DSK Soutien Pétition pour le soutenir
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#6777 Re: l'abject le vaï et ses amis les prédateurs sexuels souilleurs2011-10-07 19:01
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#6778 INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes !!!2011-10-07 19:01
http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/03/ban22.png... DSK achète des costumes à 35000$Les enquêtes sur le train de vie de DSK et Anne Sinclair dans la presse rendent compte de leur patrimoine, au final très transparent. Mais prêter à DSK, dans un article paru 3 fois en 2 ans, des achats de costumes pour des sommes délirantes, pourrait s’apparenter à une tentative de lui nuire. http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/02/pourquoicestfaux.png...
Recycler des mensonges n’en font pas une vérité Dans son édition du jeudi 12 mai 2011, France Soir publie un article intitulé « DSK : des costumes à 35 000 $ pièce », de Pascale Tournier, où il est fait mention que Dominique Strauss-Kahn se serait « offert les services du tailleur de Obama », chez Georges de Paris, tailleur de 75 ans installé à Washington, qui pratiquerait des prix entre 7 000 et 35 000 $ le complet 3 pièces, et ce pour 3 costumes (dont l’article ne dit pas d’ailleurs s’ils sont de 7 000 ou de 35 000$) (1). En fait, cet article est un « papier » recyclé de la même plume, publié une première fois en juillet 2010 dans VSD, comme le révèle le Nouvel Obs (2), et une autre fois dans Bakchich, journal satyrique qui a fait de DSK sa cible préférée, en octobre 2010 (3). Capture d’écran de la 1ère parution de l’article dans VSD (7 juillet 2010) http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/vsdmag.png...
http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/captureecranbackshish.png... Capture d’écran de la 3ème parution de l’article dans France Soir (12 mai 2011) http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/capturefrancesoir.png... Notons que dans les citations de l’interview du tailleur, à la fin de l’article dans l’édition de VSD et de Bakchich, celui-ci déclare que « Nicolas Sarkozy m’a promis de m’en commander un quand il repassera à Washington ». Étonnamment, cette citation a disparu de l’édition du 12 mai de l’article de France Soir. En tout état de cause, les déclarations de Georges de Paris s’avèrent être particulièrement fantaisistes, pour le moins, et relèverait plus d’une stratégie marketing bien rodée afin de pérenniser la renommée de son commerce. Ne pas recouper et vérifier ces déclarations est véritablement faire preuve de légèreté de la part de la journaliste, surtout pour un article publié en l’état (par trois fois) si propice à alimenter « la boite à fantasmes. Un démenti catégorique de l’entourage de DSK De fait, l’entourage de Dominique Strauss-Kahn a catégoriquement démenti cette « fausse information » dans l’édition du vendredi 13 mai 2011 de France Soir : « Dominique Strauss-Kahn ne connait pas ce tailleur, qui se fait appeler Georges de Paris », « il n’y a jamais acheté le moindre centimètre de tissus, ce n’est pas son tailleur, il n’y a jamais mis les pieds ». Pourtant France Soir, et la journaliste Pascale Tournier persistent dans cette édition à accréditer les déclarations du tailleur. Des poursuites judiciaires engagées pour fausses informations Devant cet état de fait, et parce que son obligation de réserve à l’égard du Fonds monétaire international le met dans l’incapacité de répondre lui-même aux attaques dont il est l’objet, les avocats de Dominique Strauss-Kahn ont décidé « d’engager sans délais les procédures de nature à réparer le préjudice qu’il subit du fait de campagnes médiatiques destinées à lui nuire » (4). S’agissant de la publication de fausses accusations sur son train de vie, « Maîtres Jean Veil et Dominique de Leusse vont assigner, devant le tribunal de grande instance de Paris, France Soir ainsi que Madame Pascale Tournier, journaliste ». Parallèlement, un avocat américain a été mandaté afin d’examiner les suites à donner aux propos prêtés par Madame Tournier au tailleur Georges de Paris. DSK prêt à poursuivre tout propos diffamatoire Outre cette affaire, comme le souligne le Nouvel Obs dans son article en ligne du 13 mai 2011, ses avocats veilleront dorénavant « à poursuivre tout propos, concernant lui-même ou ses proches, tombant sous le coup des textes réprimant la diffamation, l’injure ou le racisme ». Sources : |
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#6779 Re: INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes !!!2011-10-07 19:02#6778: - INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes !!!
http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/03/ban22.png... DSK achète des costumes à 35000$Les enquêtes sur le train de vie de DSK et Anne Sinclair dans la presse rendent compte de leur patrimoine, au final très transparent. Mais prêter à DSK, dans un article paru 3 fois en 2 ans, des achats de costumes pour des sommes délirantes, pourrait s’apparenter à une tentative de lui nuire. http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/02/pourquoicestfaux.png...
Recycler des mensonges n’en font pas une vérité Dans son édition du jeudi 12 mai 2011, France Soir publie un article intitulé « DSK : des costumes à 35 000 $ pièce », de Pascale Tournier, où il est fait mention que Dominique Strauss-Kahn se serait « offert les services du tailleur de Obama », chez Georges de Paris, tailleur de 75 ans installé à Washington, qui pratiquerait des prix entre 7 000 et 35 000 $ le complet 3 pièces, et ce pour 3 costumes (dont l’article ne dit pas d’ailleurs s’ils sont de 7 000 ou de 35 000$) (1). En fait, cet article est un « papier » recyclé de la même plume, publié une première fois en juillet 2010 dans VSD, comme le révèle le Nouvel Obs (2), et une autre fois dans Bakchich, journal satyrique qui a fait de DSK sa cible préférée, en octobre 2010 (3). Capture d’écran de la 1ère parution de l’article dans VSD (7 juillet 2010) http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/vsdmag.png...
http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/captureecranbackshish.png... Capture d’écran de la 3ème parution de l’article dans France Soir (12 mai 2011) http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/capturefrancesoir.png... Notons que dans les citations de l’interview du tailleur, à la fin de l’article dans l’édition de VSD et de Bakchich, celui-ci déclare que « Nicolas Sarkozy m’a promis de m’en commander un quand il repassera à Washington ». Étonnamment, cette citation a disparu de l’édition du 12 mai de l’article de France Soir. En tout état de cause, les déclarations de Georges de Paris s’avèrent être particulièrement fantaisistes, pour le moins, et relèverait plus d’une stratégie marketing bien rodée afin de pérenniser la renommée de son commerce. Ne pas recouper et vérifier ces déclarations est véritablement faire preuve de légèreté de la part de la journaliste, surtout pour un article publié en l’état (par trois fois) si propice à alimenter « la boite à fantasmes. Un démenti catégorique de l’entourage de DSK De fait, l’entourage de Dominique Strauss-Kahn a catégoriquement démenti cette « fausse information » dans l’édition du vendredi 13 mai 2011 de France Soir : « Dominique Strauss-Kahn ne connait pas ce tailleur, qui se fait appeler Georges de Paris », « il n’y a jamais acheté le moindre centimètre de tissus, ce n’est pas son tailleur, il n’y a jamais mis les pieds ». Pourtant France Soir, et la journaliste Pascale Tournier persistent dans cette édition à accréditer les déclarations du tailleur. Des poursuites judiciaires engagées pour fausses informations Devant cet état de fait, et parce que son obligation de réserve à l’égard du Fonds monétaire international le met dans l’incapacité de répondre lui-même aux attaques dont il est l’objet, les avocats de Dominique Strauss-Kahn ont décidé « d’engager sans délais les procédures de nature à réparer le préjudice qu’il subit du fait de campagnes médiatiques destinées à lui nuire » (4). S’agissant de la publication de fausses accusations sur son train de vie, « Maîtres Jean Veil et Dominique de Leusse vont assigner, devant le tribunal de grande instance de Paris, France Soir ainsi que Madame Pascale Tournier, journaliste ». Parallèlement, un avocat américain a été mandaté afin d’examiner les suites à donner aux propos prêtés par Madame Tournier au tailleur Georges de Paris. DSK prêt à poursuivre tout propos diffamatoire Outre cette affaire, comme le souligne le Nouvel Obs dans son article en ligne du 13 mai 2011, ses avocats veilleront dorénavant « à poursuivre tout propos, concernant lui-même ou ses proches, tombant sous le coup des textes réprimant la diffamation, l’injure ou le racisme ». Sources : |
peit fils de déporté révolté par les horreurs proférées par levaï |
#6780 Re: Re: l'abject le vaï et ses amis les prédateurs sexuels souilleurs2011-10-07 19:02#6777: - Re: l'abject le vaï et ses amis les prédateurs sexuels souilleurs
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#6781 Re: Re: Re: l'abject le vaï et ses amis les prédateurs sexuels souilleurs2011-10-07 19:03
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témoignage gardien de rikers |
#6782 en tout cas j'ai trouvé du caca aux truffes pendant sa fouille rectale au perv!2011-10-07 19:04#6781: - Re: Re: Re: l'abject le vaï et ses amis les prédateurs sexuels souilleurs
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#6783 Re: Re: INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes !!!2011-10-07 19:21
#6778: - INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes !!!
http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/03/ban22.png... DSK achète des costumes à 35000$Les enquêtes sur le train de vie de DSK et Anne Sinclair dans la presse rendent compte de leur patrimoine, au final très transparent. Mais prêter à DSK, dans un article paru 3 fois en 2 ans, des achats de costumes pour des sommes délirantes, pourrait s’apparenter à une tentative de lui nuire. http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/02/pourquoicestfaux.png...
Recycler des mensonges n’en font pas une vérité Dans son édition du jeudi 12 mai 2011, France Soir publie un article intitulé « DSK : des costumes à 35 000 $ pièce », de Pascale Tournier, où il est fait mention que Dominique Strauss-Kahn se serait « offert les services du tailleur de Obama », chez Georges de Paris, tailleur de 75 ans installé à Washington, qui pratiquerait des prix entre 7 000 et 35 000 $ le complet 3 pièces, et ce pour 3 costumes (dont l’article ne dit pas d’ailleurs s’ils sont de 7 000 ou de 35 000$) (1). En fait, cet article est un « papier » recyclé de la même plume, publié une première fois en juillet 2010 dans VSD, comme le révèle le Nouvel Obs (2), et une autre fois dans Bakchich, journal satyrique qui a fait de DSK sa cible préférée, en octobre 2010 (3). Capture d’écran de la 1ère parution de l’article dans VSD (7 juillet 2010) http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/vsdmag.png...
http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/captureecranbackshish.png... Capture d’écran de la 3ème parution de l’article dans France Soir (12 mai 2011) http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/capturefrancesoir.png... Notons que dans les citations de l’interview du tailleur, à la fin de l’article dans l’édition de VSD et de Bakchich, celui-ci déclare que « Nicolas Sarkozy m’a promis de m’en commander un quand il repassera à Washington ». Étonnamment, cette citation a disparu de l’édition du 12 mai de l’article de France Soir. En tout état de cause, les déclarations de Georges de Paris s’avèrent être particulièrement fantaisistes, pour le moins, et relèverait plus d’une stratégie marketing bien rodée afin de pérenniser la renommée de son commerce. Ne pas recouper et vérifier ces déclarations est véritablement faire preuve de légèreté de la part de la journaliste, surtout pour un article publié en l’état (par trois fois) si propice à alimenter « la boite à fantasmes. Un démenti catégorique de l’entourage de DSK De fait, l’entourage de Dominique Strauss-Kahn a catégoriquement démenti cette « fausse information » dans l’édition du vendredi 13 mai 2011 de France Soir : « Dominique Strauss-Kahn ne connait pas ce tailleur, qui se fait appeler Georges de Paris », « il n’y a jamais acheté le moindre centimètre de tissus, ce n’est pas son tailleur, il n’y a jamais mis les pieds ». Pourtant France Soir, et la journaliste Pascale Tournier persistent dans cette édition à accréditer les déclarations du tailleur. Des poursuites judiciaires engagées pour fausses informations Devant cet état de fait, et parce que son obligation de réserve à l’égard du Fonds monétaire international le met dans l’incapacité de répondre lui-même aux attaques dont il est l’objet, les avocats de Dominique Strauss-Kahn ont décidé « d’engager sans délais les procédures de nature à réparer le préjudice qu’il subit du fait de campagnes médiatiques destinées à lui nuire » (4). S’agissant de la publication de fausses accusations sur son train de vie, « Maîtres Jean Veil et Dominique de Leusse vont assigner, devant le tribunal de grande instance de Paris, France Soir ainsi que Madame Pascale Tournier, journaliste ». Parallèlement, un avocat américain a été mandaté afin d’examiner les suites à donner aux propos prêtés par Madame Tournier au tailleur Georges de Paris. DSK prêt à poursuivre tout propos diffamatoire Outre cette affaire, comme le souligne le Nouvel Obs dans son article en ligne du 13 mai 2011, ses avocats veilleront dorénavant « à poursuivre tout propos, concernant lui-même ou ses proches, tombant sous le coup des textes réprimant la diffamation, l’injure ou le racisme ». Sources : |
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#67842011-10-07 19:21#6778: - INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes !!! DSK achète des costumes à 35000$ Les enquêtes sur le train de vie de DSK et Anne Sinclair dans la presse rendent compte de leur patrimoine, au final très transparent. Mais prêter à DSK, dans un article paru 3 fois en 2 ans, des achats de costumes pour des sommes délirantes, pourrait s’apparenter à une tentative de lui nuire. Recycler des mensonges n’en font pas une vérité Dans son édition du jeudi 12 mai 2011, France Soir publie un article intitulé « DSK : des costumes à 35 000 $ pièce », de Pascale Tournier, où il est fait mention que Dominique Strauss-Kahn se serait « offert les services du tailleur de Obama », chez Georges de Paris, tailleur de 75 ans installé à Washington, qui pratiquerait des prix entre 7 000 et 35 000 $ le complet 3 pièces, et ce pour 3 costumes (dont l’article ne dit pas d’ailleurs s’ils sont de 7 000 ou de 35 000$) (1). En fait, cet article est un « papier » recyclé de la même plume, publié une première fois en juillet 2010 dans VSD, comme le révèle le Nouvel Obs (2), et une autre fois dans Bakchich, journal satyrique qui a fait de DSK sa cible préférée, en octobre 2010 (3). Capture d’écran de la 1ère parution de l’article dans VSD (7 juillet 2010) Capture d’écran de la 2ème parution de l’article dans Bakchich (31 octobre 2010) Capture d’écran de la 3ème parution de l’article dans France Soir (12 mai 2011) Notons que dans les citations de l’interview du tailleur, à la fin de l’article dans l’édition de VSD et de Bakchich, celui-ci déclare que « Nicolas Sarkozy m’a promis de m’en commander un quand il repassera à Washington ». Étonnamment, cette citation a disparu de l’édition du 12 mai de l’article de France Soir. En tout état de cause, les déclarations de Georges de Paris s’avèrent être particulièrement fantaisistes, pour le moins, et relèverait plus d’une stratégie marketing bien rodée afin de pérenniser la renommée de son commerce. Ne pas recouper et vérifier ces déclarations est véritablement faire preuve de légèreté de la part de la journaliste, surtout pour un article publié en l’état (par trois fois) si propice à alimenter « la boite à fantasmes. Un démenti catégorique de l’entourage de DSK De fait, l’entourage de Dominique Strauss-Kahn a catégoriquement démenti cette « fausse information » dans l’édition du vendredi 13 mai 2011 de France Soir : « Dominique Strauss-Kahn ne connait pas ce tailleur, qui se fait appeler Georges de Paris », « il n’y a jamais acheté le moindre centimètre de tissus, ce n’est pas son tailleur, il n’y a jamais mis les pieds ». Pourtant France Soir, et la journaliste Pascale Tournier persistent dans cette édition à accréditer les déclarations du tailleur. Des poursuites judiciaires engagées pour fausses informations Devant cet état de fait, et parce que son obligation de réserve à l’égard du Fonds monétaire international le met dans l’incapacité de répondre lui-même aux attaques dont il est l’objet, les avocats de Dominique Strauss-Kahn ont décidé « d’engager sans délais les procédures de nature à réparer le préjudice qu’il subit du fait de campagnes médiatiques destinées à lui nuire » (4). S’agissant de la publication de fausses accusations sur son train de vie, « Maîtres Jean Veil et Dominique de Leusse vont assigner, devant le tribunal de grande instance de Paris, France Soir ainsi que Madame Pascale Tournier, journaliste ». Parallèlement, un avocat américain a été mandaté afin d’examiner les suites à donner aux propos prêtés par Madame Tournier au tailleur Georges de Paris. DSK prêt à poursuivre tout propos diffamatoire Outre cette affaire, comme le souligne le Nouvel Obs dans son article en ligne du 13 mai 2011, ses avocats veilleront dorénavant « à poursuivre tout propos, concernant lui-même ou ses proches, tombant sous le coup des textes réprimant la diffamation, l’injure ou le racisme ». Sources : 1 – DSK : Des costumes à 35.000 $ pièce, France Soir, mai 2011 2 – Costumes de DSK : quand France Soir recycle VSD, mai 2011 3 – DSK, l’étoffe d’un président, Bakchich, octobre 2010 4 – « Costumes à 35.000 dollars » : DSK assigne France Soir Photos – Capture d’écran du magazine VSD (7 au 13 juillet 2010) Photos – Capture d’écran du site Bakchich Photos – Capture d’écran du journal France Soir |
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#6785 Re: Re: Re: INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes !2011-10-07 19:21
#6778: - INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes !!!
http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/03/ban22.png... DSK achète des costumes à 35000$Les enquêtes sur le train de vie de DSK et Anne Sinclair dans la presse rendent compte de leur patrimoine, au final très transparent. Mais prêter à DSK, dans un article paru 3 fois en 2 ans, des achats de costumes pour des sommes délirantes, pourrait s’apparenter à une tentative de lui nuire. http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/02/pourquoicestfaux.png...
Recycler des mensonges n’en font pas une vérité Dans son édition du jeudi 12 mai 2011, France Soir publie un article intitulé « DSK : des costumes à 35 000 $ pièce », de Pascale Tournier, où il est fait mention que Dominique Strauss-Kahn se serait « offert les services du tailleur de Obama », chez Georges de Paris, tailleur de 75 ans installé à Washington, qui pratiquerait des prix entre 7 000 et 35 000 $ le complet 3 pièces, et ce pour 3 costumes (dont l’article ne dit pas d’ailleurs s’ils sont de 7 000 ou de 35 000$) (1). En fait, cet article est un « papier » recyclé de la même plume, publié une première fois en juillet 2010 dans VSD, comme le révèle le Nouvel Obs (2), et une autre fois dans Bakchich, journal satyrique qui a fait de DSK sa cible préférée, en octobre 2010 (3). Capture d’écran de la 1ère parution de l’article dans VSD (7 juillet 2010) http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/vsdmag.png...
http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/captureecranbackshish.png... Capture d’écran de la 3ème parution de l’article dans France Soir (12 mai 2011) http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/capturefrancesoir.png... Notons que dans les citations de l’interview du tailleur, à la fin de l’article dans l’édition de VSD et de Bakchich, celui-ci déclare que « Nicolas Sarkozy m’a promis de m’en commander un quand il repassera à Washington ». Étonnamment, cette citation a disparu de l’édition du 12 mai de l’article de France Soir. En tout état de cause, les déclarations de Georges de Paris s’avèrent être particulièrement fantaisistes, pour le moins, et relèverait plus d’une stratégie marketing bien rodée afin de pérenniser la renommée de son commerce. Ne pas recouper et vérifier ces déclarations est véritablement faire preuve de légèreté de la part de la journaliste, surtout pour un article publié en l’état (par trois fois) si propice à alimenter « la boite à fantasmes. Un démenti catégorique de l’entourage de DSK De fait, l’entourage de Dominique Strauss-Kahn a catégoriquement démenti cette « fausse information » dans l’édition du vendredi 13 mai 2011 de France Soir : « Dominique Strauss-Kahn ne connait pas ce tailleur, qui se fait appeler Georges de Paris », « il n’y a jamais acheté le moindre centimètre de tissus, ce n’est pas son tailleur, il n’y a jamais mis les pieds ». Pourtant France Soir, et la journaliste Pascale Tournier persistent dans cette édition à accréditer les déclarations du tailleur. Des poursuites judiciaires engagées pour fausses informations Devant cet état de fait, et parce que son obligation de réserve à l’égard du Fonds monétaire international le met dans l’incapacité de répondre lui-même aux attaques dont il est l’objet, les avocats de Dominique Strauss-Kahn ont décidé « d’engager sans délais les procédures de nature à réparer le préjudice qu’il subit du fait de campagnes médiatiques destinées à lui nuire » (4). S’agissant de la publication de fausses accusations sur son train de vie, « Maîtres Jean Veil et Dominique de Leusse vont assigner, devant le tribunal de grande instance de Paris, France Soir ainsi que Madame Pascale Tournier, journaliste ». Parallèlement, un avocat américain a été mandaté afin d’examiner les suites à donner aux propos prêtés par Madame Tournier au tailleur Georges de Paris. DSK prêt à poursuivre tout propos diffamatoire Outre cette affaire, comme le souligne le Nouvel Obs dans son article en ligne du 13 mai 2011, ses avocats veilleront dorénavant « à poursuivre tout propos, concernant lui-même ou ses proches, tombant sous le coup des textes réprimant la diffamation, l’injure ou le racisme ». Sources : |
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#6786 Re: Re: Re: Re: INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ân2011-10-07 19:22
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http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/03/ban22.png... DSK achète des costumes à 35000$Les enquêtes sur le train de vie de DSK et Anne Sinclair dans la presse rendent compte de leur patrimoine, au final très transparent. Mais prêter à DSK, dans un article paru 3 fois en 2 ans, des achats de costumes pour des sommes délirantes, pourrait s’apparenter à une tentative de lui nuire. http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/02/pourquoicestfaux.png...
Recycler des mensonges n’en font pas une vérité Dans son édition du jeudi 12 mai 2011, France Soir publie un article intitulé « DSK : des costumes à 35 000 $ pièce », de Pascale Tournier, où il est fait mention que Dominique Strauss-Kahn se serait « offert les services du tailleur de Obama », chez Georges de Paris, tailleur de 75 ans installé à Washington, qui pratiquerait des prix entre 7 000 et 35 000 $ le complet 3 pièces, et ce pour 3 costumes (dont l’article ne dit pas d’ailleurs s’ils sont de 7 000 ou de 35 000$) (1). En fait, cet article est un « papier » recyclé de la même plume, publié une première fois en juillet 2010 dans VSD, comme le révèle le Nouvel Obs (2), et une autre fois dans Bakchich, journal satyrique qui a fait de DSK sa cible préférée, en octobre 2010 (3). Capture d’écran de la 1ère parution de l’article dans VSD (7 juillet 2010) http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/vsdmag.png...
http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/captureecranbackshish.png... Capture d’écran de la 3ème parution de l’article dans France Soir (12 mai 2011) http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/capturefrancesoir.png... Notons que dans les citations de l’interview du tailleur, à la fin de l’article dans l’édition de VSD et de Bakchich, celui-ci déclare que « Nicolas Sarkozy m’a promis de m’en commander un quand il repassera à Washington ». Étonnamment, cette citation a disparu de l’édition du 12 mai de l’article de France Soir. En tout état de cause, les déclarations de Georges de Paris s’avèrent être particulièrement fantaisistes, pour le moins, et relèverait plus d’une stratégie marketing bien rodée afin de pérenniser la renommée de son commerce. Ne pas recouper et vérifier ces déclarations est véritablement faire preuve de légèreté de la part de la journaliste, surtout pour un article publié en l’état (par trois fois) si propice à alimenter « la boite à fantasmes. Un démenti catégorique de l’entourage de DSK De fait, l’entourage de Dominique Strauss-Kahn a catégoriquement démenti cette « fausse information » dans l’édition du vendredi 13 mai 2011 de France Soir : « Dominique Strauss-Kahn ne connait pas ce tailleur, qui se fait appeler Georges de Paris », « il n’y a jamais acheté le moindre centimètre de tissus, ce n’est pas son tailleur, il n’y a jamais mis les pieds ». Pourtant France Soir, et la journaliste Pascale Tournier persistent dans cette édition à accréditer les déclarations du tailleur. Des poursuites judiciaires engagées pour fausses informations Devant cet état de fait, et parce que son obligation de réserve à l’égard du Fonds monétaire international le met dans l’incapacité de répondre lui-même aux attaques dont il est l’objet, les avocats de Dominique Strauss-Kahn ont décidé « d’engager sans délais les procédures de nature à réparer le préjudice qu’il subit du fait de campagnes médiatiques destinées à lui nuire » (4). S’agissant de la publication de fausses accusations sur son train de vie, « Maîtres Jean Veil et Dominique de Leusse vont assigner, devant le tribunal de grande instance de Paris, France Soir ainsi que Madame Pascale Tournier, journaliste ». Parallèlement, un avocat américain a été mandaté afin d’examiner les suites à donner aux propos prêtés par Madame Tournier au tailleur Georges de Paris. DSK prêt à poursuivre tout propos diffamatoire Outre cette affaire, comme le souligne le Nouvel Obs dans son article en ligne du 13 mai 2011, ses avocats veilleront dorénavant « à poursuivre tout propos, concernant lui-même ou ses proches, tombant sous le coup des textes réprimant la diffamation, l’injure ou le racisme ». Sources : |
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#6787 Re: Re: Re: Re: Re: INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour de2011-10-07 19:22
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http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/03/ban22.png... DSK achète des costumes à 35000$Les enquêtes sur le train de vie de DSK et Anne Sinclair dans la presse rendent compte de leur patrimoine, au final très transparent. Mais prêter à DSK, dans un article paru 3 fois en 2 ans, des achats de costumes pour des sommes délirantes, pourrait s’apparenter à une tentative de lui nuire. http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/02/pourquoicestfaux.png...
Recycler des mensonges n’en font pas une vérité Dans son édition du jeudi 12 mai 2011, France Soir publie un article intitulé « DSK : des costumes à 35 000 $ pièce », de Pascale Tournier, où il est fait mention que Dominique Strauss-Kahn se serait « offert les services du tailleur de Obama », chez Georges de Paris, tailleur de 75 ans installé à Washington, qui pratiquerait des prix entre 7 000 et 35 000 $ le complet 3 pièces, et ce pour 3 costumes (dont l’article ne dit pas d’ailleurs s’ils sont de 7 000 ou de 35 000$) (1). En fait, cet article est un « papier » recyclé de la même plume, publié une première fois en juillet 2010 dans VSD, comme le révèle le Nouvel Obs (2), et une autre fois dans Bakchich, journal satyrique qui a fait de DSK sa cible préférée, en octobre 2010 (3). Capture d’écran de la 1ère parution de l’article dans VSD (7 juillet 2010) http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/vsdmag.png...
http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/captureecranbackshish.png... Capture d’écran de la 3ème parution de l’article dans France Soir (12 mai 2011) http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/capturefrancesoir.png... Notons que dans les citations de l’interview du tailleur, à la fin de l’article dans l’édition de VSD et de Bakchich, celui-ci déclare que « Nicolas Sarkozy m’a promis de m’en commander un quand il repassera à Washington ». Étonnamment, cette citation a disparu de l’édition du 12 mai de l’article de France Soir. En tout état de cause, les déclarations de Georges de Paris s’avèrent être particulièrement fantaisistes, pour le moins, et relèverait plus d’une stratégie marketing bien rodée afin de pérenniser la renommée de son commerce. Ne pas recouper et vérifier ces déclarations est véritablement faire preuve de légèreté de la part de la journaliste, surtout pour un article publié en l’état (par trois fois) si propice à alimenter « la boite à fantasmes. Un démenti catégorique de l’entourage de DSK De fait, l’entourage de Dominique Strauss-Kahn a catégoriquement démenti cette « fausse information » dans l’édition du vendredi 13 mai 2011 de France Soir : « Dominique Strauss-Kahn ne connait pas ce tailleur, qui se fait appeler Georges de Paris », « il n’y a jamais acheté le moindre centimètre de tissus, ce n’est pas son tailleur, il n’y a jamais mis les pieds ». Pourtant France Soir, et la journaliste Pascale Tournier persistent dans cette édition à accréditer les déclarations du tailleur. Des poursuites judiciaires engagées pour fausses informations Devant cet état de fait, et parce que son obligation de réserve à l’égard du Fonds monétaire international le met dans l’incapacité de répondre lui-même aux attaques dont il est l’objet, les avocats de Dominique Strauss-Kahn ont décidé « d’engager sans délais les procédures de nature à réparer le préjudice qu’il subit du fait de campagnes médiatiques destinées à lui nuire » (4). S’agissant de la publication de fausses accusations sur son train de vie, « Maîtres Jean Veil et Dominique de Leusse vont assigner, devant le tribunal de grande instance de Paris, France Soir ainsi que Madame Pascale Tournier, journaliste ». Parallèlement, un avocat américain a été mandaté afin d’examiner les suites à donner aux propos prêtés par Madame Tournier au tailleur Georges de Paris. DSK prêt à poursuivre tout propos diffamatoire Outre cette affaire, comme le souligne le Nouvel Obs dans son article en ligne du 13 mai 2011, ses avocats veilleront dorénavant « à poursuivre tout propos, concernant lui-même ou ses proches, tombant sous le coup des textes réprimant la diffamation, l’injure ou le racisme ». Sources : |
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#6788 Re:2011-10-07 19:25
#6778: - INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes !!!
http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/03/ban22.png... DSK achète des costumes à 35000$Les enquêtes sur le train de vie de DSK et Anne Sinclair dans la presse rendent compte de leur patrimoine, au final très transparent. Mais prêter à DSK, dans un article paru 3 fois en 2 ans, des achats de costumes pour des sommes délirantes, pourrait s’apparenter à une tentative de lui nuire. http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/02/pourquoicestfaux.png...
Recycler des mensonges n’en font pas une vérité Dans son édition du jeudi 12 mai 2011, France Soir publie un article intitulé « DSK : des costumes à 35 000 $ pièce », de Pascale Tournier, où il est fait mention que Dominique Strauss-Kahn se serait « offert les services du tailleur de Obama », chez Georges de Paris, tailleur de 75 ans installé à Washington, qui pratiquerait des prix entre 7 000 et 35 000 $ le complet 3 pièces, et ce pour 3 costumes (dont l’article ne dit pas d’ailleurs s’ils sont de 7 000 ou de 35 000$) (1). En fait, cet article est un « papier » recyclé de la même plume, publié une première fois en juillet 2010 dans VSD, comme le révèle le Nouvel Obs (2), et une autre fois dans Bakchich, journal satyrique qui a fait de DSK sa cible préférée, en octobre 2010 (3). Capture d’écran de la 1ère parution de l’article dans VSD (7 juillet 2010) http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/vsdmag.png...
http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/captureecranbackshish.png... Capture d’écran de la 3ème parution de l’article dans France Soir (12 mai 2011) http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/05/capturefrancesoir.png... Notons que dans les citations de l’interview du tailleur, à la fin de l’article dans l’édition de VSD et de Bakchich, celui-ci déclare que « Nicolas Sarkozy m’a promis de m’en commander un quand il repassera à Washington ». Étonnamment, cette citation a disparu de l’édition du 12 mai de l’article de France Soir. En tout état de cause, les déclarations de Georges de Paris s’avèrent être particulièrement fantaisistes, pour le moins, et relèverait plus d’une stratégie marketing bien rodée afin de pérenniser la renommée de son commerce. Ne pas recouper et vérifier ces déclarations est véritablement faire preuve de légèreté de la part de la journaliste, surtout pour un article publié en l’état (par trois fois) si propice à alimenter « la boite à fantasmes. Un démenti catégorique de l’entourage de DSK De fait, l’entourage de Dominique Strauss-Kahn a catégoriquement démenti cette « fausse information » dans l’édition du vendredi 13 mai 2011 de France Soir : « Dominique Strauss-Kahn ne connait pas ce tailleur, qui se fait appeler Georges de Paris », « il n’y a jamais acheté le moindre centimètre de tissus, ce n’est pas son tailleur, il n’y a jamais mis les pieds ». Pourtant France Soir, et la journaliste Pascale Tournier persistent dans cette édition à accréditer les déclarations du tailleur. Des poursuites judiciaires engagées pour fausses informations Devant cet état de fait, et parce que son obligation de réserve à l’égard du Fonds monétaire international le met dans l’incapacité de répondre lui-même aux attaques dont il est l’objet, les avocats de Dominique Strauss-Kahn ont décidé « d’engager sans délais les procédures de nature à réparer le préjudice qu’il subit du fait de campagnes médiatiques destinées à lui nuire » (4). S’agissant de la publication de fausses accusations sur son train de vie, « Maîtres Jean Veil et Dominique de Leusse vont assigner, devant le tribunal de grande instance de Paris, France Soir ainsi que Madame Pascale Tournier, journaliste ». Parallèlement, un avocat américain a été mandaté afin d’examiner les suites à donner aux propos prêtés par Madame Tournier au tailleur Georges de Paris. DSK prêt à poursuivre tout propos diffamatoire Outre cette affaire, comme le souligne le Nouvel Obs dans son article en ligne du 13 mai 2011, ses avocats veilleront dorénavant « à poursuivre tout propos, concernant lui-même ou ses proches, tombant sous le coup des textes réprimant la diffamation, l’injure ou le racisme ». Sources : |
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#67892011-10-07 19:35De Yasser Arafat à Dominique Strauss Kahn : l’étrange famille Banon 6 juillet 2011 Alors que la justice américaine s’apprête à relâcher Dominique Strauss Kahn et à renvoyer l’ancien directeur du FMI en France, DSK devrait de nouveau faire face à la justice pour des accusations de viols lancées par Tristane Banon. Si tout le monde à déjà son opinion sur cette affaire qui ne prend forme que 9 ans après les faits, il nous a semblé nécessaire de tirer un petit portrait de la victime présumée pour tenter de comprendre son passé, son présent et son futur. Car si tout le monde connaît la terrible enfance de Tristane et sa mère qui lui conseilla étrangement de fermer son clapet lors de la présumée tentative de viol, beaucoup moins nombreux sont ceux qui connaissent le père de Tristane Banon. Et pourtant… Son père, Gabriel Banon, est un juif de Casablanca au Maroc. Après avoir présidé plusieurs sociétés, Gabriel Banon est parachuté conseiller spécial à l’industrie de Georges Pompidou. Et c’est bien plus tard, en 1993 lors des accords d’Oslo que sa vie prendra tout son sens. C’est à cette époque que son ami Yasser Arafat, le leader terroriste palestinien, tombe sous le charme de Gabriel Banon. De conseiller de Pompidou, il passe au statut de conseiller de Yasser Arafat. Les deux hommes deviendront d’excellents amis. A la muqqata, Gabriel Banon est notamment chargé de demander à Israël le versement des fonds de pensions. Et malgré son rôle de travailleur pour le gouvernement palestinien, il reçoit (étrangement) une concession personnelle pour pouvoir lancer un nouveau service de téléphonie mobile à Gaza et dans les Territoires disputés. Encore que, connaissant le niveau de corruption sous Arafat, cette affaire semble ridicule. Entre temps, au lendemain du meurtre d’Yitzhak Rabbin le 4 novembre 1995, Gabriel Banon crée la Lettre Economique Palestinienne. Wikipedia nous apprend que De longues négociations avaient eu lieu depuis septembre 1995 entre l’un des principaux hebdomadaires de la communauté juive de France, Tribune Juive, et le conseiller de Yasser Arafat, Gabriel Banon, pour étudier la possibilité de réaliser et de publier la première interview du leader de l’OLP dans ce magazine, alors détenu par l’ancien dirigeant d’Europe 1, Jacques Abergel. Néanmoins, plusieurs facteurs ont fait achopper ce projet à plusieurs reprises. Tout d’abord, la vive rivalité existante entre le conseiller Gabriel Banon et la Déléguée Générale de Palestine à Paris, Leila Chahid, pour s’arroger le droit de parole au nom de l’Autorité Palestinienne. Par ailleurs, le fait qu’à cette époque et en dépit des déclarations très claires de Yasser Arafat parlant des articles de la charte nationale palestinienne appelant à la destruction d’Israël, en les déclarant comme « caducs » lors d’une conférence de presse donnée à Paris le 2 mai 1989, cette charte était toujours en vigueur six ans plus tard. Exprimant sa volonté de s’adresser directement aux communautés juives européennes afin de les inviter à s’engager dans la consolidation du Processus de paix, Yasser Arafat reporte plusieurs fois cet entretien, estimant que celui-ci devrait avoir lieu après son élection comme Président de l’Autorité Nationale Palestinienne. Néanmoins, le choix de Tribune Juive – qui publie en septembre 1995 un portrait de couverture du conseiller Banon, était justifié par la ligne éditoriale audacieuse de l’hebdomadaire qui, sous la conduite de son directeur de la Rédaction Yves Derai et par l’implication prononcée de son Il faut noter également que le fils du conseiller d’Arafat, Patrick, œuvrait épisodiquement comme pigiste à Tribune Juive, et que Pierre Lellouche, avocat né à Tunis, professeur de géopolitique et conseiller diplomatique de Jacques Chirac, élu député RPR en 1993 dans le Val d’Oise, avait épousé la fille du conseiller, la sculptrice Annie-Laure Banon. Enfin, Gabriel Banon était alors proche d’Ibrahim Souss et de Souha Arafat, l’épouse du leader palestinien, et associé à l’un des proches de cette dernière, Pierre Rizk, l’ancien Chef du renseignement des Phalanges libanaises, (« « Akram » de son nom de guerre, décédé dans des conditions mystérieuses à Paris en 2010), qui avait été l’un des acteurs des massacres de Sabra et Chatila en septembre 1982, pour la mise en place du réseau de télécommunications dans les Territoires palestiniens Wall Street Journal. Finalement, c’est le sort qui changea la donne à l’automne 1995 (…) Cependant, les tensions entre Gabriel Banon et Leila Chahid, loin de s’apaiser, suscite plusieurs polémiques autour de Yasser Arafat dans ce qui ressemble à une guerre de représentation. De plus, un désaccord survient entre Gabriel Banon et Pierre Rizk. Ce dernier, en charge des intérêts de Suha Arafat et de l’enfant qu’elle vient d’avoir avec le « Rais », éloigne la femme du Président de l’Autorité Nationale Palestinienne de Gabriel Banon, et interfère dans la méthode de règlement du dossier délicat des Fonds de pension palestiniens par ce dernier. Parvenus au point de rupture, les deux hommes s’affrontent et en janvier 1997, le Président de l’Autorité Nationale Palestinienne limoge son conseiller économique, accusé par Pierre Rizk de vouloir détourner une partie des Fonds de pension. La découverte d’une malversation commise par Gabriel Banon entraine le brusque départ des deux co-rédacteurs en chef adjoints et le retrait de l’Agence Wafa de La Lettre Economique Palestinienne, qui voit son dernier numéro publié en mars 1997. Poursuivi devant les tribunaux par les deux journalistes, Gabriel Banon et la société Pax Economica sont condamnés en 1998. Mais depuis, l’homme d’affaires a fermé les bureaux de ses sociétés à Paris et invoque son immunité au titre de résident américain. Proche de l’ex-conseiller du Roi du Maroc André Azoulay, il vit depuis principalement à Casablanca d’où il dirige sa multinationale Strategic Partners group , basée à Gibraltar, et où il signe régulièrement des chroniques dans Maroc Hebdo International. Après avoir apprit une grande partie du Coran par cœur dans les écoles coranique marocaines, Gabriel Banon écrit un livre mémoire dans lequel il raconte sa vie d’amitié avec Yasser Arafat. Il y parle des relations du chef de l’OLP avec l’argent, la riche diaspora palestinienne et le monde arabe. On y lit aussi bien les dessous des négociations de Camp David ou de Taba que des commentaires d’Arafat sur le terrorisme, la corruption ou encore les Juifs. En résumé, c’est l’histoire d’un juif qui apprend le Coran, qui travaille pour Pompidou et fait un enfant qu’il ne reconnaitra que pour verser une pension alimentaire à la mère socialiste. Puis il devient conseiller financier de Yasser Arafat, reçoit des marchés obscurs dans le domaine des télécommunication. Son associé, dès cette époque, est alors un homme connu pour son rôle considérable dans les massacres de palestiniens dans les camps de Sabra et Chatila. Mais cela ne gênera sa carrière en rien, ni ses amitiés avec Souha Arafat, la femme de Raïs qui aujourd’hui encore est soupçonnée de vivre avec les 800 millions de dollars qui ont disparu des caisses palestiniennes à la mort du chef terroriste. Et le fait que Gabriel Banon ait détourné de l’argent des fonds de pension palestiniens (raison pour laquelle il a été virée par Arafat) n’aura jamais fait de lui un prévenu devant la justice de Ramallah. Mais cela ne s’arrête pas là puisqu’en 2005, à la demande d’un autre grand démocrate, il devient conseiller en sécurité économique auprès de Vladimir Poutine. En plus de son nom tristounet, d’une mère carriériste et d’un père au service du blanchiment d’argent pour une organisation terroriste (OLP), Tristane ne verra jamais son père qui préfère verser à sa mère une pension alimentaire (venant de l’argent donné par les européens aux palestiniens ?) que de l’amour nécessaire à la bonne éducation d’une fille aujourd’hui perdue pour la société |
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#6790 Re: Re: Re: INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes !2011-10-07 19:36 De Yasser Arafat à Dominique Strauss Kahn : l’étrange famille Banon |
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#6791 Re: INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes !!!2011-10-07 19:40#6778: - INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes !!!
DSK veut un système éducatif qui donne plus à ceux qui ont moinsPour Dominique Strauss-Kahn, au-delà de l’égalité formelle des droits, c’est l’égalité réelle des chances qu’il faut mettre en œuvre, et d’abord là où se forment les inégalités, les inégalités de départ ou de destin. Le premier domaine où l’effort doit être porté est donc naturellement l’éducation « qui conditionne les trajectoires professionnelles et façonne les destins ». http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/02/pourquoicestvrai.png... Renouveler l’approche de l’égalité des chances que doit produire le système éducatif Dominique Strauss-Kahn a fait une analyse objective d’un système éducatif qui ne remplit plus ses promesses, d’ascension sociale pour les populations les plus défavorisées et de transmission du capital humain et culturel – leur seul capital – pour les classes intermédiaires : « l’école républicaine ne permet pas de se battre à armes égales : à enseignement identique, les enfants plus favorisés bénéficient de facto de cours de perfectionnement à la maison. A l’autre extrémité, les enfants continueront à n’hériter de rien » (1). Il constate la généralisation du désenchantement qui traverse la société vis-vis de son système éducatif et l’explique par l’écart, avec le temps, entre le principe, l’accès universel à l’école pour tous, et la pratique, dans le cadre de la massification de l’enseignement, qui a laissé se développer des inégalités que les concepteurs de l’école publique n’avait pas imaginées, comme c’est le cas pour l’ensemble des politiques publiques issues de l’État-providence : « Trop souvent, des droits d’apparence universelle deviennent contre-productifs : ils s’individualisent au bénéfice des plus chanceux ou des mieux nantis. Ainsi de la formation professionnelle : alors qu’elle devrait matérialiser la seconde chance des recalés de l’école républicaine, la voie de promotion sociale ou du moins l’adaptation de tous aux nouvelles techniques, elle est finalement utilisée par les hommes plutôt que par les femmes, par les jeunes plutôt que par les salariés plus expérimentés, par les diplômés plutôt que par les travailleurs non qualifiés » (2). Aussi, avec la même grille d’analyse pour l’ensemble des politiques publiques, Dominique Strauss-Kahn fixe au service public de l’enseignement et de l’éducation comme principal objectif de « donner plus de capital public » à ceux qui ont le moins de capital culturel, économique et social. « Aujourd’hui, trois secteurs se détachent et appellent une action déterminée en faveur de l’égalité des chances : l’université qui engendre beaucoup de frustrations ; l’école et le collège où il faut donner plus à ceux qui en ont besoin ; la petite enfance enfin, parce que c’est l’âge où s’acquièrent des facultés décisives pour les destins individuels ». Donner les moyens à l’école d’aider ceux qui en ont le plus besoin Aussi, DSK a fait de la question de la petite enfance une priorité programmatique. Pour lui, les inégalités entre les enfants en âge d’aller à la crèche sont massives. Certains sont extrêmement sollicités au plan intellectuel quand d’autres sont « laissés à l’abandon devant la télévision ». Il souhaite ainsi la généralisation d’un service public de la petite enfance pour que, entre zéro et six ans, tous les enfants puissent développer leur aptitude à apprendre. Le principe républicain veut que chaque élève reçoive les mêmes enseignements. C’est ce que DSK appelle, l’égalité formelle en matière d’éducation (3). Or, les inégalités de départ, qui sont liées au lieu d’habitation et de la situation sociale des parents, ne donnent pas à tous les enfants les mêmes chances au départ. C’est pourquoi DSK a défendu le fait qu’en vertu d’une égalité réelle, il faut concentrer les moyens sur les élèves qui en ont besoin. « Une concentration des moyens sur les territoires défavorisés doit être mise en œuvre. Au-delà, si un enfant besoin de 30 heures pour assimiler son cours de mathématiques,au lieu des 20 théoriquement prévues au programme, l’école doit être capable de les lui fournir » (4). Ainsi, faisant le constat qu’ « un élève en ZEP ne bénéficie aujourd’hui que de 1 % de moyens supplémentaires par rapport à un élève hors ZEP » DSK a notamment proposé que les élèves de ZEP ne soient que 15 par classe.
Démocratiser l’enseignement secondaire et l’enseignement supérieur qui nécessite un « effort massif » L’enseignement secondaire est dans une situation paradoxale. Aujourd’hui alors que chaque année quasiment toute une classe d’âge obtienne le bac, beaucoup de filières sont peu démocratisées. Ainsi, quand il était maire de Sarcelle, il s’est battu avec les enseignants pour que la classe préparatoire du lycée ne soit pas fermée (5). DSK a soutenu que « le problème n’était pas d’extraire quelques élèves pour les envoyer dans les lycées parisiens, mais de permettre au plus grand nombre d’avoir une chance d’intégrer ces grandes écoles. Pour cela, c’est dans les banlieues qu’il faut développer des prépas » (6). Par ailleurs, il a défendu l’idée que l’État devait investir plus fortement dans son enseignement supérieur à l’image de pays où le taux d’universitaires est particulièrement élevé (7). En effet, pour lui, la problématique est simple : « nous avons démocratisé le baccalauréat, il faut maintenant démocratiser l’enseignement supérieur. Ce n’est pas le cas aujourd’hui, où nombre d’étudiants sont orientés vers des filières démonétisées qui sont autant d’impasses. Ce sont tout particulièrement certaines filières (les sciences, le droit, le système des « grandes écoles », qu’il faut démocratiser » (8). Il constate en effet que l’écart, par exemple, avec les États-Unis est un handicap pour l’enseignement supérieur en France : en proportion, les États-Unis comptent 50 % d’universitaires de plus que la moyenne des pays européens. Or « Cet écart trouve son origine dans la différence des efforts financiers respectivement consacrés à l’enseignement supérieur. Les États-Unis investissent 3 % de leur richesse nationale dans leurs universités, contre 1,4 % en Europe. Même le financement public est supérieur aux États-Unis : 1,4 % contre 1,1 % du PIB en Europe » (9). Sources : 1 – Pour l’égalité réelle, 2004 p.80 | |||
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#6792 Re: Re: Re: Re: INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ân2011-10-07 19:40
DSK veut un système éducatif qui donne plus à ceux qui ont moinsPour Dominique Strauss-Kahn, au-delà de l’égalité formelle des droits, c’est l’égalité réelle des chances qu’il faut mettre en œuvre, et d’abord là où se forment les inégalités, les inégalités de départ ou de destin. Le premier domaine où l’effort doit être porté est donc naturellement l’éducation « qui conditionne les trajectoires professionnelles et façonne les destins ». http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/02/pourquoicestvrai.png... Renouveler l’approche de l’égalité des chances que doit produire le système éducatif Dominique Strauss-Kahn a fait une analyse objective d’un système éducatif qui ne remplit plus ses promesses, d’ascension sociale pour les populations les plus défavorisées et de transmission du capital humain et culturel – leur seul capital – pour les classes intermédiaires : « l’école républicaine ne permet pas de se battre à armes égales : à enseignement identique, les enfants plus favorisés bénéficient de facto de cours de perfectionnement à la maison. A l’autre extrémité, les enfants continueront à n’hériter de rien » (1). Il constate la généralisation du désenchantement qui traverse la société vis-vis de son système éducatif et l’explique par l’écart, avec le temps, entre le principe, l’accès universel à l’école pour tous, et la pratique, dans le cadre de la massification de l’enseignement, qui a laissé se développer des inégalités que les concepteurs de l’école publique n’avait pas imaginées, comme c’est le cas pour l’ensemble des politiques publiques issues de l’État-providence : « Trop souvent, des droits d’apparence universelle deviennent contre-productifs : ils s’individualisent au bénéfice des plus chanceux ou des mieux nantis. Ainsi de la formation professionnelle : alors qu’elle devrait matérialiser la seconde chance des recalés de l’école républicaine, la voie de promotion sociale ou du moins l’adaptation de tous aux nouvelles techniques, elle est finalement utilisée par les hommes plutôt que par les femmes, par les jeunes plutôt que par les salariés plus expérimentés, par les diplômés plutôt que par les travailleurs non qualifiés » (2). Aussi, avec la même grille d’analyse pour l’ensemble des politiques publiques, Dominique Strauss-Kahn fixe au service public de l’enseignement et de l’éducation comme principal objectif de « donner plus de capital public » à ceux qui ont le moins de capital culturel, économique et social. « Aujourd’hui, trois secteurs se détachent et appellent une action déterminée en faveur de l’égalité des chances : l’université qui engendre beaucoup de frustrations ; l’école et le collège où il faut donner plus à ceux qui en ont besoin ; la petite enfance enfin, parce que c’est l’âge où s’acquièrent des facultés décisives pour les destins individuels ». Donner les moyens à l’école d’aider ceux qui en ont le plus besoin Aussi, DSK a fait de la question de la petite enfance une priorité programmatique. Pour lui, les inégalités entre les enfants en âge d’aller à la crèche sont massives. Certains sont extrêmement sollicités au plan intellectuel quand d’autres sont « laissés à l’abandon devant la télévision ». Il souhaite ainsi la généralisation d’un service public de la petite enfance pour que, entre zéro et six ans, tous les enfants puissent développer leur aptitude à apprendre. Le principe républicain veut que chaque élève reçoive les mêmes enseignements. C’est ce que DSK appelle, l’égalité formelle en matière d’éducation (3). Or, les inégalités de départ, qui sont liées au lieu d’habitation et de la situation sociale des parents, ne donnent pas à tous les enfants les mêmes chances au départ. C’est pourquoi DSK a défendu le fait qu’en vertu d’une égalité réelle, il faut concentrer les moyens sur les élèves qui en ont besoin. « Une concentration des moyens sur les territoires défavorisés doit être mise en œuvre. Au-delà, si un enfant besoin de 30 heures pour assimiler son cours de mathématiques,au lieu des 20 théoriquement prévues au programme, l’école doit être capable de les lui fournir » (4). Ainsi, faisant le constat qu’ « un élève en ZEP ne bénéficie aujourd’hui que de 1 % de moyens supplémentaires par rapport à un élève hors ZEP » DSK a notamment proposé que les élèves de ZEP ne soient que 15 par classe.
Démocratiser l’enseignement secondaire et l’enseignement supérieur qui nécessite un « effort massif » L’enseignement secondaire est dans une situation paradoxale. Aujourd’hui alors que chaque année quasiment toute une classe d’âge obtienne le bac, beaucoup de filières sont peu démocratisées. Ainsi, quand il était maire de Sarcelle, il s’est battu avec les enseignants pour que la classe préparatoire du lycée ne soit pas fermée (5). DSK a soutenu que « le problème n’était pas d’extraire quelques élèves pour les envoyer dans les lycées parisiens, mais de permettre au plus grand nombre d’avoir une chance d’intégrer ces grandes écoles. Pour cela, c’est dans les banlieues qu’il faut développer des prépas » (6). Par ailleurs, il a défendu l’idée que l’État devait investir plus fortement dans son enseignement supérieur à l’image de pays où le taux d’universitaires est particulièrement élevé (7). En effet, pour lui, la problématique est simple : « nous avons démocratisé le baccalauréat, il faut maintenant démocratiser l’enseignement supérieur. Ce n’est pas le cas aujourd’hui, où nombre d’étudiants sont orientés vers des filières démonétisées qui sont autant d’impasses. Ce sont tout particulièrement certaines filières (les sciences, le droit, le système des « grandes écoles », qu’il faut démocratiser » (8). Il constate en effet que l’écart, par exemple, avec les États-Unis est un handicap pour l’enseignement supérieur en France : en proportion, les États-Unis comptent 50 % d’universitaires de plus que la moyenne des pays européens. Or « Cet écart trouve son origine dans la différence des efforts financiers respectivement consacrés à l’enseignement supérieur. Les États-Unis investissent 3 % de leur richesse nationale dans leurs universités, contre 1,4 % en Europe. Même le financement public est supérieur aux États-Unis : 1,4 % contre 1,1 % du PIB en Europe » (9). Sources : 1 – Pour l’égalité réelle, 2004 p.80 | |||
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#67932011-10-07 19:44Jean-François Copé furieux après son interview sur France Info Une journaliste trop insistante face à un politique de droite épouse-t-elle forcément les idées de gauche ? Oui pense visiblement Jean-François Copé, après son intervention ce matin sur France Info. Interrogé par la journaliste Mathilde Munos sur l'actualité et plus précisément les affaires qui éclaboussent le pouvoir, il n'a visiblement pas apprécié la pugnacité de son interlocutrice. "Je n'ai aucune information là-dessus" a-t-il lâché dès la première question pour couper court à l'interview sur ce sujet. La journaliste le relance, insiste. Puis Copé s'en agace : "On ne va pas passer toute l'interview là-dessus". Une journaliste de gauche ? Courageuse, Mathilde Munos suite son conducteur et l'interroge cette fois sur le patrimoine de Ziad Takédine, estimé à 40 millions d'euros alors qu'il n'a jamais payé d'impôts en France pendant plusieurs années. "Comment expliquez-vous cela ?" lui demande la journaliste. "Je n'en sais rien rétorque Copé, je n'ai jamais été saisi par personne sur ce sujet". La journaliste insiste : "Quand on est ministre du budget et qu'on a un ami qui a des contrôles fiscaux, on en parle pas ?". Autre question sur la compagne de François Hollande, qui aurait fait l'object d'une enquête de police selon L'Express. "Pardon, je ne vais pas gâcher votre matinée, on a chacun son engagement et je respecte le vôtre lui répond Copé. Peut-être pourrait-on poser la question à l'envers ? Si c'était faux, est-ce que cela ne vous choquerait pas, vous ? Quel que soit le vote qui sera le vôtre dans les prochains mois, et c'est votre droit le plus strict !". Comprenez : si vous vous acharnez autant ce matin, c'est que vous devez forcément être une journaliste d'un autre bord politique que le mien. Copé furieux à la sortie du studio Après ce face à face, Jean-François Copé sort furieux du studio. "A la fin de l'interview, c'est un Jean-François Copé très énervé qui est sorti du studio, se plaignant au directeur de France Info, puis, via un collaborateur, par téléphone. En lançant que notre consoeur aurait sûrement une promotion si la gauche passait, que laisse-t-il entendre ? Que doit-on en déduire si c'est la droite qui passe ?" s'interroge la Société des Journalistes dans un communiqué . "Et bien non, monsieur Copé, vous poser des questions sur un thème d'actualité, ce n'est pas faire du militantisme lui répond la SDJ. Le militantisme, c'est votre quotidien, pas le nôtre. Mathilde Munos a été exemplaire durant cette interview, et pas plus incisive qu'avec François Hollande, deux jours avant. Accrocheuse, mais calme et courtoise, malgré vos insinuations, elle a fait honneur à notre profession |
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#6794 Re: Re: Re: Re: Re: INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour de2011-10-07 19:44
Jean-François Copé furieux après son interview sur France Info
Une journaliste trop insistante face à un politique de droite épouse-t-elle forcément les idées de gauche ? Oui pense visiblement Jean-François Copé, après son intervention ce matin sur France Info. Interrogé par la journaliste Mathilde Munos sur l'actualité et plus précisément les affaires qui éclaboussent le pouvoir, il n'a visiblement pas apprécié la pugnacité de son interlocutrice. "Je n'ai aucune information là-dessus" a-t-il lâché dès la première question pour couper court à l'interview sur ce sujet. La journaliste le relance, insiste. Puis Copé s'en agace : "On ne va pas passer toute l'interview là-dessus".
Une journaliste de gauche ?Courageuse, Mathilde Munos suite son conducteur et l'interroge cette fois sur le patrimoine de Ziad Takédine, estimé à 40 millions d'euros alors qu'il n'a jamais payé d'impôts en France pendant plusieurs années. "Comment expliquez-vous cela ?" lui demande la journaliste. "Je n'en sais rien rétorque Copé, je n'ai jamais été saisi par personne sur ce sujet". La journaliste insiste : "Quand on est ministre du budget et qu'on a un ami qui a des contrôles fiscaux, on en parle pas ?". Autre question sur la compagne de François Hollande, qui aurait fait l'object d'une enquête de police selon L'Express. "Pardon, je ne vais pas gâcher votre matinée, on a chacun son engagement et je respecte le vôtre lui répond Copé. Peut-être pourrait-on poser la question à l'envers ? Si c'était faux, est-ce que cela ne vous choquerait pas, vous ? Quel que soit le vote qui sera le vôtre dans les prochains mois, et c'est votre droit le plus strict !". Comprenez : si vous vous acharnez autant ce matin, c'est que vous devez forcément être une journaliste d'un autre bord politique que le mien.
Copé furieux à la sortie du studioAprès ce face à face, Jean-François Copé sort furieux du studio. "A la fin de l'interview, c'est un Jean-François Copé très énervé qui est sorti du studio, se plaignant au directeur de France Info, puis, via un collaborateur, par téléphone. En lançant que notre consoeur aurait sûrement une promotion si la gauche passait, que laisse-t-il entendre ? Que doit-on en déduire si c'est la droite qui passe ?" s'interroge la Société des Journalistes dans un communiqué . "Et bien non, monsieur Copé, vous poser des questions sur un thème d'actualité, ce n'est pas faire du militantisme lui répond la SDJ. Le militantisme, c'est votre quotidien, pas le nôtre. Mathilde Munos a été exemplaire durant cette interview, et pas plus incisive qu'avec François Hollande, deux jours avant. Accrocheuse, mais calme et courtoise, malgré vos insinuations, elle a fait honneur à notre profession |
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#6795 Re: Re: INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes !!!2011-10-07 19:44
Jean-François Copé furieux après son interview sur France Info
Une journaliste trop insistante face à un politique de droite épouse-t-elle forcément les idées de gauche ? Oui pense visiblement Jean-François Copé, après son intervention ce matin sur France Info. Interrogé par la journaliste Mathilde Munos sur l'actualité et plus précisément les affaires qui éclaboussent le pouvoir, il n'a visiblement pas apprécié la pugnacité de son interlocutrice. "Je n'ai aucune information là-dessus" a-t-il lâché dès la première question pour couper court à l'interview sur ce sujet. La journaliste le relance, insiste. Puis Copé s'en agace : "On ne va pas passer toute l'interview là-dessus".
Une journaliste de gauche ?Courageuse, Mathilde Munos suite son conducteur et l'interroge cette fois sur le patrimoine de Ziad Takédine, estimé à 40 millions d'euros alors qu'il n'a jamais payé d'impôts en France pendant plusieurs années. "Comment expliquez-vous cela ?" lui demande la journaliste. "Je n'en sais rien rétorque Copé, je n'ai jamais été saisi par personne sur ce sujet". La journaliste insiste : "Quand on est ministre du budget et qu'on a un ami qui a des contrôles fiscaux, on en parle pas ?". Autre question sur la compagne de François Hollande, qui aurait fait l'object d'une enquête de police selon L'Express. "Pardon, je ne vais pas gâcher votre matinée, on a chacun son engagement et je respecte le vôtre lui répond Copé. Peut-être pourrait-on poser la question à l'envers ? Si c'était faux, est-ce que cela ne vous choquerait pas, vous ? Quel que soit le vote qui sera le vôtre dans les prochains mois, et c'est votre droit le plus strict !". Comprenez : si vous vous acharnez autant ce matin, c'est que vous devez forcément être une journaliste d'un autre bord politique que le mien.
Copé furieux à la sortie du studioAprès ce face à face, Jean-François Copé sort furieux du studio. "A la fin de l'interview, c'est un Jean-François Copé très énervé qui est sorti du studio, se plaignant au directeur de France Info, puis, via un collaborateur, par téléphone. En lançant que notre consoeur aurait sûrement une promotion si la gauche passait, que laisse-t-il entendre ? Que doit-on en déduire si c'est la droite qui passe ?" s'interroge la Société des Journalistes dans un communiqué . "Et bien non, monsieur Copé, vous poser des questions sur un thème d'actualité, ce n'est pas faire du militantisme lui répond la SDJ. Le militantisme, c'est votre quotidien, pas le nôtre. Mathilde Munos a été exemplaire durant cette interview, et pas plus incisive qu'avec François Hollande, deux jours avant. Accrocheuse, mais calme et courtoise, malgré vos insinuations, elle a fait honneur à notre profession |
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#67962011-10-07 19:49Le secrétaire général de l'UMP Jean-François Copé, interrogé mercredi 5 octobre sur France Info au sujet d'un possible espionnage de Valérie Trierweiler, compagne de François Hollande, a dénoncé un "climat de suspicion entretenu sans preuves", estimant que "trop, c'est trop". "Si c'est avéré, c'est inacceptable et si ce n'est pas avéré, c'est inacceptable aussi de porter ainsi atteinte à l'honneur de nos dirigeants qui font leur métier au service de la France", a-t-il déclaré. Selon L'Express, "des sources policières concordantes, à plusieurs niveaux hiérarchiques" affirment que "des policiers de la direction du renseignement de la préfecture de police de Paris ont reçu l'ordre d'enquêter" début 2011 sur la journaliste Valérie Trierweiler, compagne de François Hollande. Le ministre de l'intérieur, Claude Guéant, a porté plainte mercredi 5 octobre contre l'hebdomadaire pour diffusion de fausses informations et diffamation. "L'EXPLOITATION POLITIQUE CONTINUE", DÉNONCE XAVIER BERTRAND Le marie de Meaux a dit comprendre "que ça peut profiter en termes d'image à M. Hollande, qui trouve là – et il l'a fait immédiatement – un moyen de victimisation très professionnel...""On ne peut pas continuer ainsi, dans le système médiatique qui est le nôtre, à balancer des informations qui permettent, par insinuations, par allusions, de mettre en cause indirectement le pouvoir en place, c'est-à-dire le président de la République. A la fin, ça devient de la diffamation", a ajouté M. Copé. De son côté, Xavier Bertrand, ministre de la santé, a estimé que le Parti socialiste "cherche la polémique à chaque fois que c'est possible". "L'Express écrit cela. Aussitôt la préfecture de police dément, dit que ce n'est pas vrai, Claude Guéant dit la même chose, mais aussitôt l'exploitation politique continue", a-t-il dénoncé. "TRÈS MAUVAISES HABITUDES AU SOMMET DE L'ETAT" Sur l'antenne d'i-Télé, l'eurodéputé PS Vincent Peillon a parlé "de très mauvaises habitudes au sommet de l'Etat". "On vit dans un feuilleton de cabinet noir, de pressions sur les juges, de coups de téléphones, d'écoutes téléphoniques", a-t-il fait valoir. "C'est insupportable et ça fait partie des grands enjeux de 2012." A propos des affaires, il a jugé que "ce n'est pas un affrontement gauche-droite. C'est un affrontement République/anti-République, entre le droit et l'anti-droit." |
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#6797 Re: Re: Re: INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes !2011-10-07 19:49
Le secrétaire général de l'UMP Jean-François Copé, interrogé mercredi 5 octobre sur France Info au sujet d'un possible espionnage de Valérie Trierweiler, compagne de François Hollande, a dénoncé un "climat de suspicion entretenu sans preuves", estimant que "trop, c'est trop". "Si c'est avéré, c'est inacceptable et si ce n'est pas avéré, c'est inacceptable aussi de porter ainsi atteinte à l'honneur de nos dirigeants qui font leur métier au service de la France", a-t-il déclaré. Selon L'Express, "des sources policières concordantes, à plusieurs niveaux hiérarchiques" affirment que "des policiers de la direction du renseignement de la préfecture de police de Paris ont reçu l'ordre d'enquêter" début 2011 sur la journaliste Valérie Trierweiler, compagne de François Hollande. Le ministre de l'intérieur, Claude Guéant, a porté plainte mercredi 5 octobre contre l'hebdomadaire pour diffusion de fausses informations et diffamation. "L'EXPLOITATION POLITIQUE CONTINUE", DÉNONCE XAVIER BERTRAND Le marie de Meaux a dit comprendre "que ça peut profiter en termes d'image à M. Hollande, qui trouve là – et il l'a fait immédiatement – un moyen de victimisation très professionnel...""On ne peut pas continuer ainsi, dans le système médiatique qui est le nôtre, à balancer des informations qui permettent, par insinuations, par allusions, de mettre en cause indirectement le pouvoir en place, c'est-à-dire le président de la République. A la fin, ça devient de la diffamation", a ajouté M. Copé. De son côté, Xavier Bertrand, ministre de la santé, a estimé que le Parti socialiste "cherche la polémique à chaque fois que c'est possible". "L'Express écrit cela. Aussitôt la préfecture de police dément, dit que ce n'est pas vrai, Claude Guéant dit la même chose, mais aussitôt l'exploitation politique continue", a-t-il dénoncé. "TRÈS MAUVAISES HABITUDES AU SOMMET DE L'ETAT" Sur l'antenne d'i-Télé, l'eurodéputé PS Vincent Peillon a parlé "de très mauvaises habitudes au sommet de l'Etat". "On vit dans un feuilleton de cabinet noir, de pressions sur les juges, de coups de téléphones, d'écoutes téléphoniques", a-t-il fait valoir. "C'est insupportable et ça fait partie des grands enjeux de 2012." A propos des affaires, il a jugé que "ce n'est pas un affrontement gauche-droite. C'est un affrontement République/anti-République, entre le droit et l'anti-droit." |
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#6798 Re:2011-10-07 20:07
DSK veut un système éducatif qui donne plus à ceux qui ont moinsPour Dominique Strauss-Kahn, au-delà de l’égalité formelle des droits, c’est l’égalité réelle des chances qu’il faut mettre en œuvre, et d’abord là où se forment les inégalités, les inégalités de départ ou de destin. Le premier domaine où l’effort doit être porté est donc naturellement l’éducation « qui conditionne les trajectoires professionnelles et façonne les destins ». http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/02/pourquoicestvrai.png... Renouveler l’approche de l’égalité des chances que doit produire le système éducatif Dominique Strauss-Kahn a fait une analyse objective d’un système éducatif qui ne remplit plus ses promesses, d’ascension sociale pour les populations les plus défavorisées et de transmission du capital humain et culturel – leur seul capital – pour les classes intermédiaires : « l’école républicaine ne permet pas de se battre à armes égales : à enseignement identique, les enfants plus favorisés bénéficient de facto de cours de perfectionnement à la maison. A l’autre extrémité, les enfants continueront à n’hériter de rien » (1). Il constate la généralisation du désenchantement qui traverse la société vis-vis de son système éducatif et l’explique par l’écart, avec le temps, entre le principe, l’accès universel à l’école pour tous, et la pratique, dans le cadre de la massification de l’enseignement, qui a laissé se développer des inégalités que les concepteurs de l’école publique n’avait pas imaginées, comme c’est le cas pour l’ensemble des politiques publiques issues de l’État-providence : « Trop souvent, des droits d’apparence universelle deviennent contre-productifs : ils s’individualisent au bénéfice des plus chanceux ou des mieux nantis. Ainsi de la formation professionnelle : alors qu’elle devrait matérialiser la seconde chance des recalés de l’école républicaine, la voie de promotion sociale ou du moins l’adaptation de tous aux nouvelles techniques, elle est finalement utilisée par les hommes plutôt que par les femmes, par les jeunes plutôt que par les salariés plus expérimentés, par les diplômés plutôt que par les travailleurs non qualifiés » (2). Aussi, avec la même grille d’analyse pour l’ensemble des politiques publiques, Dominique Strauss-Kahn fixe au service public de l’enseignement et de l’éducation comme principal objectif de « donner plus de capital public » à ceux qui ont le moins de capital culturel, économique et social. « Aujourd’hui, trois secteurs se détachent et appellent une action déterminée en faveur de l’égalité des chances : l’université qui engendre beaucoup de frustrations ; l’école et le collège où il faut donner plus à ceux qui en ont besoin ; la petite enfance enfin, parce que c’est l’âge où s’acquièrent des facultés décisives pour les destins individuels ». Donner les moyens à l’école d’aider ceux qui en ont le plus besoin Aussi, DSK a fait de la question de la petite enfance une priorité programmatique. Pour lui, les inégalités entre les enfants en âge d’aller à la crèche sont massives. Certains sont extrêmement sollicités au plan intellectuel quand d’autres sont « laissés à l’abandon devant la télévision ». Il souhaite ainsi la généralisation d’un service public de la petite enfance pour que, entre zéro et six ans, tous les enfants puissent développer leur aptitude à apprendre. Le principe républicain veut que chaque élève reçoive les mêmes enseignements. C’est ce que DSK appelle, l’égalité formelle en matière d’éducation (3). Or, les inégalités de départ, qui sont liées au lieu d’habitation et de la situation sociale des parents, ne donnent pas à tous les enfants les mêmes chances au départ. C’est pourquoi DSK a défendu le fait qu’en vertu d’une égalité réelle, il faut concentrer les moyens sur les élèves qui en ont besoin. « Une concentration des moyens sur les territoires défavorisés doit être mise en œuvre. Au-delà, si un enfant besoin de 30 heures pour assimiler son cours de mathématiques,au lieu des 20 théoriquement prévues au programme, l’école doit être capable de les lui fournir » (4). Ainsi, faisant le constat qu’ « un élève en ZEP ne bénéficie aujourd’hui que de 1 % de moyens supplémentaires par rapport à un élève hors ZEP » DSK a notamment proposé que les élèves de ZEP ne soient que 15 par classe.
Démocratiser l’enseignement secondaire et l’enseignement supérieur qui nécessite un « effort massif » L’enseignement secondaire est dans une situation paradoxale. Aujourd’hui alors que chaque année quasiment toute une classe d’âge obtienne le bac, beaucoup de filières sont peu démocratisées. Ainsi, quand il était maire de Sarcelle, il s’est battu avec les enseignants pour que la classe préparatoire du lycée ne soit pas fermée (5). DSK a soutenu que « le problème n’était pas d’extraire quelques élèves pour les envoyer dans les lycées parisiens, mais de permettre au plus grand nombre d’avoir une chance d’intégrer ces grandes écoles. Pour cela, c’est dans les banlieues qu’il faut développer des prépas » (6). Par ailleurs, il a défendu l’idée que l’État devait investir plus fortement dans son enseignement supérieur à l’image de pays où le taux d’universitaires est particulièrement élevé (7). En effet, pour lui, la problématique est simple : « nous avons démocratisé le baccalauréat, il faut maintenant démocratiser l’enseignement supérieur. Ce n’est pas le cas aujourd’hui, où nombre d’étudiants sont orientés vers des filières démonétisées qui sont autant d’impasses. Ce sont tout particulièrement certaines filières (les sciences, le droit, le système des « grandes écoles », qu’il faut démocratiser » (8). Il constate en effet que l’écart, par exemple, avec les États-Unis est un handicap pour l’enseignement supérieur en France : en proportion, les États-Unis comptent 50 % d’universitaires de plus que la moyenne des pays européens. Or « Cet écart trouve son origine dans la différence des efforts financiers respectivement consacrés à l’enseignement supérieur. Les États-Unis investissent 3 % de leur richesse nationale dans leurs universités, contre 1,4 % en Europe. Même le financement public est supérieur aux États-Unis : 1,4 % contre 1,1 % du PIB en Europe » (9). Sources : 1 – Pour l’égalité réelle, 2004 p.80 | |||
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#6799 Re: Re: Re: INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ânes !2011-10-07 20:07
DSK veut un système éducatif qui donne plus à ceux qui ont moinsPour Dominique Strauss-Kahn, au-delà de l’égalité formelle des droits, c’est l’égalité réelle des chances qu’il faut mettre en œuvre, et d’abord là où se forment les inégalités, les inégalités de départ ou de destin. Le premier domaine où l’effort doit être porté est donc naturellement l’éducation « qui conditionne les trajectoires professionnelles et façonne les destins ». http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/02/pourquoicestvrai.png... Renouveler l’approche de l’égalité des chances que doit produire le système éducatif Dominique Strauss-Kahn a fait une analyse objective d’un système éducatif qui ne remplit plus ses promesses, d’ascension sociale pour les populations les plus défavorisées et de transmission du capital humain et culturel – leur seul capital – pour les classes intermédiaires : « l’école républicaine ne permet pas de se battre à armes égales : à enseignement identique, les enfants plus favorisés bénéficient de facto de cours de perfectionnement à la maison. A l’autre extrémité, les enfants continueront à n’hériter de rien » (1). Il constate la généralisation du désenchantement qui traverse la société vis-vis de son système éducatif et l’explique par l’écart, avec le temps, entre le principe, l’accès universel à l’école pour tous, et la pratique, dans le cadre de la massification de l’enseignement, qui a laissé se développer des inégalités que les concepteurs de l’école publique n’avait pas imaginées, comme c’est le cas pour l’ensemble des politiques publiques issues de l’État-providence : « Trop souvent, des droits d’apparence universelle deviennent contre-productifs : ils s’individualisent au bénéfice des plus chanceux ou des mieux nantis. Ainsi de la formation professionnelle : alors qu’elle devrait matérialiser la seconde chance des recalés de l’école républicaine, la voie de promotion sociale ou du moins l’adaptation de tous aux nouvelles techniques, elle est finalement utilisée par les hommes plutôt que par les femmes, par les jeunes plutôt que par les salariés plus expérimentés, par les diplômés plutôt que par les travailleurs non qualifiés » (2). Aussi, avec la même grille d’analyse pour l’ensemble des politiques publiques, Dominique Strauss-Kahn fixe au service public de l’enseignement et de l’éducation comme principal objectif de « donner plus de capital public » à ceux qui ont le moins de capital culturel, économique et social. « Aujourd’hui, trois secteurs se détachent et appellent une action déterminée en faveur de l’égalité des chances : l’université qui engendre beaucoup de frustrations ; l’école et le collège où il faut donner plus à ceux qui en ont besoin ; la petite enfance enfin, parce que c’est l’âge où s’acquièrent des facultés décisives pour les destins individuels ». Donner les moyens à l’école d’aider ceux qui en ont le plus besoin Aussi, DSK a fait de la question de la petite enfance une priorité programmatique. Pour lui, les inégalités entre les enfants en âge d’aller à la crèche sont massives. Certains sont extrêmement sollicités au plan intellectuel quand d’autres sont « laissés à l’abandon devant la télévision ». Il souhaite ainsi la généralisation d’un service public de la petite enfance pour que, entre zéro et six ans, tous les enfants puissent développer leur aptitude à apprendre. Le principe républicain veut que chaque élève reçoive les mêmes enseignements. C’est ce que DSK appelle, l’égalité formelle en matière d’éducation (3). Or, les inégalités de départ, qui sont liées au lieu d’habitation et de la situation sociale des parents, ne donnent pas à tous les enfants les mêmes chances au départ. C’est pourquoi DSK a défendu le fait qu’en vertu d’une égalité réelle, il faut concentrer les moyens sur les élèves qui en ont besoin. « Une concentration des moyens sur les territoires défavorisés doit être mise en œuvre. Au-delà, si un enfant besoin de 30 heures pour assimiler son cours de mathématiques,au lieu des 20 théoriquement prévues au programme, l’école doit être capable de les lui fournir » (4). Ainsi, faisant le constat qu’ « un élève en ZEP ne bénéficie aujourd’hui que de 1 % de moyens supplémentaires par rapport à un élève hors ZEP » DSK a notamment proposé que les élèves de ZEP ne soient que 15 par classe.
Démocratiser l’enseignement secondaire et l’enseignement supérieur qui nécessite un « effort massif » L’enseignement secondaire est dans une situation paradoxale. Aujourd’hui alors que chaque année quasiment toute une classe d’âge obtienne le bac, beaucoup de filières sont peu démocratisées. Ainsi, quand il était maire de Sarcelle, il s’est battu avec les enseignants pour que la classe préparatoire du lycée ne soit pas fermée (5). DSK a soutenu que « le problème n’était pas d’extraire quelques élèves pour les envoyer dans les lycées parisiens, mais de permettre au plus grand nombre d’avoir une chance d’intégrer ces grandes écoles. Pour cela, c’est dans les banlieues qu’il faut développer des prépas » (6). Par ailleurs, il a défendu l’idée que l’État devait investir plus fortement dans son enseignement supérieur à l’image de pays où le taux d’universitaires est particulièrement élevé (7). En effet, pour lui, la problématique est simple : « nous avons démocratisé le baccalauréat, il faut maintenant démocratiser l’enseignement supérieur. Ce n’est pas le cas aujourd’hui, où nombre d’étudiants sont orientés vers des filières démonétisées qui sont autant d’impasses. Ce sont tout particulièrement certaines filières (les sciences, le droit, le système des « grandes écoles », qu’il faut démocratiser » (8). Il constate en effet que l’écart, par exemple, avec les États-Unis est un handicap pour l’enseignement supérieur en France : en proportion, les États-Unis comptent 50 % d’universitaires de plus que la moyenne des pays européens. Or « Cet écart trouve son origine dans la différence des efforts financiers respectivement consacrés à l’enseignement supérieur. Les États-Unis investissent 3 % de leur richesse nationale dans leurs universités, contre 1,4 % en Europe. Même le financement public est supérieur aux États-Unis : 1,4 % contre 1,1 % du PIB en Europe » (9). Sources : 1 – Pour l’égalité réelle, 2004 p.80 | |||
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#6800 Re: Re: Re: Re: INFORMATION -----------DESINFORMATION--------------on prend les français pour des ân2011-10-07 20:07
DSK veut un système éducatif qui donne plus à ceux qui ont moinsPour Dominique Strauss-Kahn, au-delà de l’égalité formelle des droits, c’est l’égalité réelle des chances qu’il faut mettre en œuvre, et d’abord là où se forment les inégalités, les inégalités de départ ou de destin. Le premier domaine où l’effort doit être porté est donc naturellement l’éducation « qui conditionne les trajectoires professionnelles et façonne les destins ». http://www.dskvraifaux.fr/wp-content/uploads/2011/02/pourquoicestvrai.png... Renouveler l’approche de l’égalité des chances que doit produire le système éducatif Dominique Strauss-Kahn a fait une analyse objective d’un système éducatif qui ne remplit plus ses promesses, d’ascension sociale pour les populations les plus défavorisées et de transmission du capital humain et culturel – leur seul capital – pour les classes intermédiaires : « l’école républicaine ne permet pas de se battre à armes égales : à enseignement identique, les enfants plus favorisés bénéficient de facto de cours de perfectionnement à la maison. A l’autre extrémité, les enfants continueront à n’hériter de rien » (1). Il constate la généralisation du désenchantement qui traverse la société vis-vis de son système éducatif et l’explique par l’écart, avec le temps, entre le principe, l’accès universel à l’école pour tous, et la pratique, dans le cadre de la massification de l’enseignement, qui a laissé se développer des inégalités que les concepteurs de l’école publique n’avait pas imaginées, comme c’est le cas pour l’ensemble des politiques publiques issues de l’État-providence : « Trop souvent, des droits d’apparence universelle deviennent contre-productifs : ils s’individualisent au bénéfice des plus chanceux ou des mieux nantis. Ainsi de la formation professionnelle : alors qu’elle devrait matérialiser la seconde chance des recalés de l’école républicaine, la voie de promotion sociale ou du moins l’adaptation de tous aux nouvelles techniques, elle est finalement utilisée par les hommes plutôt que par les femmes, par les jeunes plutôt que par les salariés plus expérimentés, par les diplômés plutôt que par les travailleurs non qualifiés » (2). Aussi, avec la même grille d’analyse pour l’ensemble des politiques publiques, Dominique Strauss-Kahn fixe au service public de l’enseignement et de l’éducation comme principal objectif de « donner plus de capital public » à ceux qui ont le moins de capital culturel, économique et social. « Aujourd’hui, trois secteurs se détachent et appellent une action déterminée en faveur de l’égalité des chances : l’université qui engendre beaucoup de frustrations ; l’école et le collège où il faut donner plus à ceux qui en ont besoin ; la petite enfance enfin, parce que c’est l’âge où s’acquièrent des facultés décisives pour les destins individuels ». Donner les moyens à l’école d’aider ceux qui en ont le plus besoin Aussi, DSK a fait de la question de la petite enfance une priorité programmatique. Pour lui, les inégalités entre les enfants en âge d’aller à la crèche sont massives. Certains sont extrêmement sollicités au plan intellectuel quand d’autres sont « laissés à l’abandon devant la télévision ». Il souhaite ainsi la généralisation d’un service public de la petite enfance pour que, entre zéro et six ans, tous les enfants puissent développer leur aptitude à apprendre. Le principe républicain veut que chaque élève reçoive les mêmes enseignements. C’est ce que DSK appelle, l’égalité formelle en matière d’éducation (3). Or, les inégalités de départ, qui sont liées au lieu d’habitation et de la situation sociale des parents, ne donnent pas à tous les enfants les mêmes chances au départ. C’est pourquoi DSK a défendu le fait qu’en vertu d’une égalité réelle, il faut concentrer les moyens sur les élèves qui en ont besoin. « Une concentration des moyens sur les territoires défavorisés doit être mise en œuvre. Au-delà, si un enfant besoin de 30 heures pour assimiler son cours de mathématiques,au lieu des 20 théoriquement prévues au programme, l’école doit être capable de les lui fournir » (4). Ainsi, faisant le constat qu’ « un élève en ZEP ne bénéficie aujourd’hui que de 1 % de moyens supplémentaires par rapport à un élève hors ZEP » DSK a notamment proposé que les élèves de ZEP ne soient que 15 par classe.
Démocratiser l’enseignement secondaire et l’enseignement supérieur qui nécessite un « effort massif » L’enseignement secondaire est dans une situation paradoxale. Aujourd’hui alors que chaque année quasiment toute une classe d’âge obtienne le bac, beaucoup de filières sont peu démocratisées. Ainsi, quand il était maire de Sarcelle, il s’est battu avec les enseignants pour que la classe préparatoire du lycée ne soit pas fermée (5). DSK a soutenu que « le problème n’était pas d’extraire quelques élèves pour les envoyer dans les lycées parisiens, mais de permettre au plus grand nombre d’avoir une chance d’intégrer ces grandes écoles. Pour cela, c’est dans les banlieues qu’il faut développer des prépas » (6). Par ailleurs, il a défendu l’idée que l’État devait investir plus fortement dans son enseignement supérieur à l’image de pays où le taux d’universitaires est particulièrement élevé (7). En effet, pour lui, la problématique est simple : « nous avons démocratisé le baccalauréat, il faut maintenant démocratiser l’enseignement supérieur. Ce n’est pas le cas aujourd’hui, où nombre d’étudiants sont orientés vers des filières démonétisées qui sont autant d’impasses. Ce sont tout particulièrement certaines filières (les sciences, le droit, le système des « grandes écoles », qu’il faut démocratiser » (8). Il constate en effet que l’écart, par exemple, avec les États-Unis est un handicap pour l’enseignement supérieur en France : en proportion, les États-Unis comptent 50 % d’universitaires de plus que la moyenne des pays européens. Or « Cet écart trouve son origine dans la différence des efforts financiers respectivement consacrés à l’enseignement supérieur. Les États-Unis investissent 3 % de leur richesse nationale dans leurs universités, contre 1,4 % en Europe. Même le financement public est supérieur aux États-Unis : 1,4 % contre 1,1 % du PIB en Europe » (9). Sources : 1 – Pour l’égalité réelle, 2004 p.80 | |||
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