#807: -

Ce n'est pas très difficile d'être dévoué à l'égard des élèves, les premiers de leurs classes de terminales, soutenus, poussés, encouragés par leurs parents, qui se rêvent Normaliens, parce que fils de Normaliens.

Arrêtons avec le dévouement et merci à mes professeurs.

Ce n'est que notre travail et à ce prix là, on peut mettre de l'humain mais ce n'est pas tjs le cas. Dans certains cas, ce n'est que mépris et commentaires.

Raison de plus, s'ils sont si bons profs et si dévoués, mettons-les en banlieue les profs de CPGE où ils sauront par leur dévouement, seul cela compte, apprendre les grands auteurs latins, les réflexions mathématiques et de chimistes à ces gosses qui ont avant tout besoin d'être maintenus à l'école.

Et pourquoi n'enseignenraient-ils pas en banlieue ? Et pareil pour les élèves des CPGE qui ne paient aucun frais d'inscription, un peu de TICE en banlieue pendant les vacances, ce serait un service contre un autre.

#812: - Le dévouement des profs de CPGERe:

Réflééchissez 2 minutes: à part quelques rares cas de jeunes profs agrégés et normaliens nommés en prépas à 25 ou 28 ans dans certaines matières (maths surtout), la grande majorité des profs de CPGE ont passé 10 à 20 dans les banlieues riantes de Paris ou d'ailleurs. La plupart sont nommés en prépa entre 40 et 50 ans.

#812: - Le dévouement des profs de CPGERe:

Vous préconisez le retour à la révolution culturelle, un des plus grands moments de l'histoire de la démocratie mondiale. De plus, pour votre gouverne, beaucoup de profs de CPGE ont enseigné en banlieue, parfois en ZEP, au début de leur carrière. Assez de ces propos démagogiques et non informés.

#812: - Le dévouement des profs de CPGERe:

Beaucoup de nos élèves aussi sont issus des ZEP. Tout élève de terminale, même avec un niveau moyen, a de bonnes chances d'être admis en CPGE s'il demande à y entrer, en province en tout cas, et dans de nombreux établissements de la région parisienne.