Les médias ont reproché à Dominique Strauss-Kahn son silence et ainsi qu'à son équipe de communication de mal le conseiller.

Il est évident que ces médias ne sont pas à la place de DSK et qu'à leur place, ils auraient gardé le même silence que DSK.

Il est facile de comprendre et encore plus aujourd'hui, du fait des nouveaux rebondissements sur l'affaire du Sofitel, que le silence de DSK est amplement justifié.

Alors que nous savons depuis longtemps que ces avocats aux Etats-Unis enquêtaient sur un éventuel complot politique.

Les critiques des médias sur le silence de DSK s'en trouvent aujourd'hui ridicules et absurdes !

Quand on soupçonne un complot, on ne divulgue pas des éléments à la presse qui pourraient mettre la puce à l'oreille aux comploteurs !

Il faut toujours avoir une large marge d'avance face à l'ennemi qui, lui essaye de vous détruire !

Qu'auraient-ils fait à sa place ?

Cette affaire du Sofitel n'est pas une simple et banale affaire, Dominique Strauss-Kahn était l'homme à abattre, à cause de sa large cote de popularité face à un Nicolas Sarkozy affaiblit.

Le téléphone et l'Ipad de DSK auraient été mis sur écoute et il s'avérerait que le Parti de Nicolas Sarkozy serait à l'origine de cette surveillance.

De la part du témoignage de cette documentaliste travaillant au siège parisien de l'UMP et faisant partie aussi des amis de Dominique Strauss-Kahn.

Cette amie a prévenu DSK au matin du 14 mai qu'un de ses mails destinés à son épouse, Anne Sinclair, avait été lu par l'UMP.

François Copé a réagi rapidement en affirmant que le siège parisien de l'UMP avait trois documentalistes et que ces trois personnes ne connaissaient pas DSK.

Mais, apparemment cette documentaliste travaillait provisoirement pour son Parti et, est-elle toujours à son poste aujourd'hui ?

Il nous laisse entendre aussi que son Parti a déjà interrogé ces trois personnes avant de s'exprimer devant les caméras de la presse !

Donc, on peut imaginer la pression exerçait sur ces personnes !

L'enquête d'Edward Jay Epstein, montre qu'il y aurait des personnes qui seraient concernées dans ce complot politique et qu'elles seraient proche du pouvoir en place.

Depuis le début de cette affaire, le pouvoir en place a été toujours largement soupçonné et pour cause :

René-Georges Querry, un ancien membre de la brigade antigang et qui a travaillé avec Ange Mancini qui, aujourd'hui est coordinateur du renseignement du président Sarkosy.

Querry est le plus haut responsable de la sécurité du groupe Accor.

Des comportements étranges :

Des vidéos montrant deux personnes, faisant parties de la sécurité de l'hôtel, se sont réjouis et se sont félicitées.

Le procureur Vance avait pris connaissance de ces vidéos et pourtant il ne l'a pas mentionné dans son rapport qui mettait fin aux accusations contre DSK.

Une autre personne faisant elle aussi partie de la sécurité de l'hôtel, a été sanctionnée pour avoir envoyé un courriel à une autre personne proche du pouvoir exécutif. Cette personne se félicitait d'avoir fait tomber DSK.

Un jeune de l'UMP avait twitté sur l'arrestation de DSK alors qu'il n'avait pas été encore arrêté.

Les mensonges de Nafissatou Diallo et son étrange comportement :

En plus des mensonges sur les faits de sa supposée agression.

Nafissatou Diallo est entrée à plusieurs reprises dans la suite 2820 avant les faits et la première action qu'elle a fait juste après son agression, c'est de revenir dans la suite 2820.

Etant donné qu'elle ne l'avait pas mentionnée à la police ce jour-là, cette chambre n'a pas pu être examinée.

Les dirigeants du groupe Accor refusent de collaborer avec les avocats de DSK :

Refuse de remettre le traçing des clés magnétiques.

Refuse de donner l'identité ou les identités des occupants de la suite 2820.

Refuse l'accès à la suite 2806 aux enquêteurs des avocats de DSK.

Refuse de donner les vidéos...

Le mobil :

Cette affaire a commencé à cause du téléphone de DSK qui aurait été mis sur écoute par le pouvoir en place.

Du moment que Dominique Strauss-kahn avait été averti d'un éventuel piratage de son téléphone BlackBerry et de son Ipad. Les comploteurs auraient eu tout intérêt ce jour-là de mettre DSK "hors d'état de nuire".

L'appât : 

Nafissatou Diallo aurait été engagé le 14 mai 2011 pour aider les occupants de la suite 2820 à voler le portable de DSK et pour cela, il fallait qu'elle lui fasse des avances sexuelles et cela aurait permis à ces personnes de s'emparer du portable.

Les zones d'embre s'éclaircissent et on comprend pourquoi :

Elle a été si souvent dans la suite 2820 avant les faits et juste après.

La sécurité de l'hôtel a mis autant de temps à appeler la police.

Nafissatou Diallo a donné plusieurs versions sur cette supposée agression.

Il y a eu précipitation pour récupérer ce portable et dans la précipitation de ce coup monté, il s'en est retrouvé bancal !

Tout mal arrive avec des ailes et s'en retourne en boitant.  « François Marie Arouet, dit Voltaire » 

Les deux erreurs de DSK :

D'avoir utilisé - ou peut-être confondu parmis tous ses portables - le portable piraté pour prévenir son épouse, Anne Sinclair, ça a permis d'avertir en même temps les personnes qui le surveillaient.

D'avoir appelé le Sofitel après s'être rendu compte de la disparition de son téléphone lors de son trajet à l'aéroport JFK.

Malheureusement, on ne peut plus revenir en arrière et reécrire l'histoire !

Les failles du complot politique permettront tout de même à DSK de renaitre !

Le Phénix n'est pas encore mort et renaîtra de ses cendres !