Gaz de schiste : non merci !

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Je pense que l'on peut se féliciter au contraire que NKM (que j'admire beaucoup) et le ministère de l'écologie s'emparent du dossier. Quant à une autorisation d'exploration : n'est-il pas nécessaire d'avoir une idée des réserves, de la qualité et des difficultés futures d'extraction ?

Lorsque l'on prend une décision quelle qu'elle soit, il faut en savoir un maximum sur les enjeux, les tenants et aboutissants de la problématique, sinon l'on est un imbécile et un responsable dangereux. Non ?

D'une manière générale le débat est trop tranché. Pour qui s'est réellement renseigné sur la problématique énergétique, est forcément mesuré dans ses paroles puisque les choses sont .....  tellement compliquées.

Il n'est actuellement pas possible de remplacer toutes les énergies polluantes par une seule et unique non polluante. Parmi les énergies dites renouvelables il y en a une beaucoup  qui ne sont en définitive pas des alternatives car leur bilan carbone est négatif (l'héolien par exemple est une escroquerie !), ne sont pas rentable (panneaux solaires) ou bien encore ne permettent pas une généralisation (pétrole bleu, pétrole végétal), dus aux importantes conséquences de leur mise en oeuvre à grande échelle.

On n'échappera pas à une utilisation du pétrole pour encore un certain nombre d'année, hélas !

La seule action radicale qui permettra une transition en attendant la panacée est la réduction des émissions via l'agmentation de la qualité des batiments et des moyens de transports.

Par ailleurs, il y a des thèmes qui portent moins à l'emportement collectif que le pétrole, mais je me demande encore pourquoi on met autant de plastique et d'encre dans l'emballage agroalimentaire !  C'est un véritable scandale, même les produits bio emploient du plastique à outrance ( produits bio que je consomme de manière mixte aussi car le "tout bio" c'est trop cher et impossible actuellemnent, mais en attendant, on mixte.), le plastique c'est vraiment SCANDALEUX.

Pourquoi extrait on du pétrole mais parce qu'on le consomme, agissons aussi sur la baisse de sa consommation ! En terme économique agir sur la demande.

Pour l'offre, la seule solution transitoire est  vraissemblablement de disposer d'une production d'énergie MIXTE : à la fois polluante (hélas) et à la fois une multitudes d'alternatives réelles et respectueuses de l'environnement.

Mais la grande rupture est tout bonnement IM PO SSI BLE.

Mais ce nest que mon avis