LE MARIAGE GRIS : CE QUE L'ON NOUS CACHE

Ca suffit !

/ #1153 Le sordide importé du bled

2016-11-26 13:51

Vous aimez les histoires ? De celles qui finissent toujours mal car mariés avec une maghrébine . Celle que je vous propose est sordide : une moukère enragée qui a transformé un français inoffensif en zombie , ayant subi 8 opérations chirurgicales pour soigner les séquelles infligées par son bourreau femelle .

( la suite à lire sur http://madame.lefigaro.fr ) du 25 / 11 /2016 )

Il la rencontre en 2007, sur Internet, à l’aube de ses trente ans. Vingt-neuf ans, célibataire, une déception amoureuse au compteur. Maxime est un garçon gentil, stable, sérieux, assez « discipliné », veut construire sa vie. Lors de leur première rencontre, Maxime est surpris. Zakia, un peu vulgaire, a des manières grossières et parle un peu comme un charretier. « Mike Tyson avec une perruque », plaisante-t-il. [...]

Son corps commence à ne plus lui appartenir. Tout comme ses moyens. Rapidement, Maxime subvient aux besoins de la famille. Zakia, consommatrice compulsive, irréfléchie, paye tout avec sa carte bancaire, à lui. S’il la lui redemande, elle lui lance : « Qu’est-ce que tu veux faire ? » Elle lui prend sa carte d’identité, s’accapare son ordinateur portable pour occuper ses journées de chômeuse au RSA. « L’agresseur a suivi les mêmes étapes que dans les cas de femmes battues : séduction, chantage, possession des moyens et isolement social », détaille-t-il.

31 décembre 2007. Après quelques verres et joints, Zakia s’énerve. Se rue sur Maxime, enchaîne les claques et met sa chemise en lambeaux. Maxime ne frappe pas les femmes, il reste stoïque. Les enfants assistent à la scène. Consternation. « Dans tous les couples, il y a des hauts et des bas. Je me suis dit que c’était une erreur de parcours. Mais le miracle ne s’est jamais produit. » Elle recommence dès le 13 janvier. Un mois plus tard, Zakia explose : elle n’a pas eu le bijou qu’elle souhaitait pour la Saint-Valentin. Sans aucune illusion, Maxime comprend deux choses : « c’est terminé » et « je suis coincé ».