#397: - Re: Re: Re: Gravée dans la paume de nos mains. 

 Vous dites qu'un livre d'or est en mairie de Saint Mandé, ville qui par ailleurs a réclamé la dépouille de la petite mais qu'en est-il de l'artiste sculpteur dénommé "LAFON" géniteur de l'enfant qui après avoir vécu sous son toit pendant 15 mois n'a même pas daigné se déplacer pour son inhumation, trop occupé à se trouver un avocat pour sa défense, il faut croire qu'il doit se sentir coupable ?

J'aimerai bien savoir ce que le population de Saint Mandé pense de cet homme qui s'est vite empressé de se débarasser auprès d'Emaus des objets et vêtements de notre petite Adélaïde. Il pensait que la mer allait l'engloutir à jamais.

Adélaïde n'aurait jamais connu Berck si sa propre mère ne l'y avait conduit pour l'abandonner à la mort aussi nous,  les gens du Nord, serons là pour elle, pour qu'elle ne tombe pas dans l'oubli et que justice lui soit rendue.

#399: Claudine de Rouvroy - Re: Re: Re: Re: Gravée dans la paume de nos mains.

Bonjour Claudine,

je voulais te remercier ainsi que tous les gens du nord pour tout ce que vous faites pour Adélaide, effectivement à priori un livre d'or est déposé à la mairie de Saint mandé, les saint mandééens doivent se sentir coupables je pense, peut être l'avait il croisée avec la tortionnaire.

Je reste mobilisée pour que justice soit rendue à cette petite puce.

Le père est forcément coupable, il s'est constitué partie civile pour ne pas être inculpé mais je pense comme toi, le but de ses 2 personnes etaient de faire disparaitre Adélaide à tout jamais.

La mer, a rejeté La pauvre puce, fort heureusement, sinon qui aurait pu savoir qui elle était.

Je n'oublierai jamais ce petit coeur, quelle souffrance pour ce petit être.

Battons nous pour Adélaide, la princesse de berck.

Merci à tous les gens du  nord et de la France, merci à tous ceux qui ont une pensée pour Adélaide.

Justice sera rendue, et le tortionnaire restera à vie en prison rongée par les remords.

Adélaide doit rester vivante dans nos souvenirs.

Sois heureuse petite Adelaide, nous sommes tous là.