Sortir des temps primitifs et de la gestion belliciste actuelle de l’ordre mondial et pouvoir enfin stopper la guerre d’Ukraine, régler le conflit israélo-palestinien et aplanir les autres foyers de t
LA CAMPAGNE INTERNATIONALE
« Cadre Mondial de Réflexion, de Concertation et d’Action pour la Sécurité et la Paix »
PAX UNIVERSA - Maison de la Paix Universelle - Cabinet du Médecin-Criminologue pour la Recherche de la Paix
« Tolérance - Dialogue - Recherche permanente de consensus ou - tout au moins - d’un Modus Vivendi »
L’initiative « Sortir des temps primitifs et de la gestion belliciste actuelle de l’ordre mondial et pouvoir enfin stopper la guerre d’Ukraine, régler le conflit israélo-palestinien et aplanir les autres foyers de tensions à travers le monde (comme la guerre à l’Est de la République Démocratique du Congo-Zaïre), dans le cadre global et harmonieux du "Nouvel Ordre Mondial Apolaire" que va instaurer la "Charte Mondiale" ».
Pétition en ligne adressée aux protagonistes dans la guerre russo-ukrainienne, au conflit israélo-palestinien et aux autres foyers de tensions à travers le monde (comme la guerre à l’Est de la République Démocratique du Congo-Zaïre).
1. Stopper la guerre d'Ukraine - Conférer le statut particulier d’un condominium aux territoires sécessionnistes disputés du Sud-Est avec Kiev et mettre fin au conflit ukrainien, avec une force internationale « neutre » d’interposition et le retrait de la Russie et de l’Ukraine des zones occupées et l’autodissolution des alliances politico-militaires particulières (en commençant par l’OTAN), dans une perspective mondiale et une approche holistique. (Comme l’a écrit le Promoteur écrit dès le déclenchement de la guerre civile entre les pro-russes et les pro-européens, il faudra tenir compte, dans le règlement du conflit ukrainien, du fait que, si Kiev négocie l’intégration de l’Ukraine à l’Union Européenne et à l’OTAN, les territoires du Sud-Est - qui, du reste, ont fait sécession - sont historiquement, géographiquement, sociologiquement, culturellement, linguistiquement, industriellement, économiquement et commercialement tournés vers la Russie).
2. La solution à deux États souverains, après échange et cession des terres, sans que cet échange ne concerne Jérusalem et les personnes et sans enclaver les territoires, avec le statut particulier d’un « Condominium » pour la Palestine avec Israël, deux États tout à fait distincts qui exerceraient une souveraineté conjointe en matière de police essentiellement dans le territoire palestinien (par des troupes mixtes, uniformément équipées), de manière à garantir, à la fois, la sécurité de l’État d’Israël dans la sous-région et l’autodétermination du peuple palestinien vis-à-vis de l’État hébreux, en résolvant harmonieusement - impérativement - au minimum et sur des bases égalitaires, ces problèmes récurrents : (1) le statut controversé de la ville de Jérusalem, (2) l’épineux problème des frontières des deux États, (3) les implantations juives en terres palestiniennes et (4) le problème crucial du « droit au retour » des réfugiés palestiniens, (5) sachant que le conflit israélo-palestinien va au-delà du Hamas et de l’actuelle guerre avec le Hezbollah. Soit « deux États », soit la pérennisation du régime d’« apartheid » et la confrontation permanente !
3. Nous ne pourrons jamais résoudre les problèmes de la planète et pacifier le monde à coups de sanctions à tout bout de champ, par le recours à la force et les menaces d’usage de la force, l’interdit, la répression et les restrictions intempestives des libertés, ni même avec les prêches du religieux et les conseils du moraliste, tant que les vrais problèmes n’auront été résolus à la base. Pour pouvoir sortir des « temps primitifs » et de la gestion belliciste actuelle de l’ordre mondial et espérer pouvoir enfin stopper la guerre d’Ukraine, régler le conflit israélo-palestinien et aplanir les autres foyers de tensions à travers le monde (comme la guerre à l’Est de la République du Congo-Zaïre), nous devons, au départ, comprendre ce qui suit :
a) Le conflit ukrainien, le conflit israélo-palestinien et tous les autres foyers de tensions à travers la planète ne sont que la partie visible de l’énorme iceberg que représente le désordre actuel du monde politique et socio-économique, un désordre intellectuel essentiellement (l’« anarchie intellectuelle », d’après Auguste COMTE), qui ne relève nullement du mal prétendu enraciné en l’homme, ni d’une quelconque faillite morale de sa part. Tant que les causes profondes de ce désordre n’auront été identifiées pour être globalement jugulées, aucune solution, réellement harmonieuse et durable, ne pourra être apportée à tous ces conflits, sachant, en outre, que le monde n’est, jusqu’ici, qu’une « jungle », dans laquelle règne l’« arbitraire » et prime la « loi du plus fort » et où chaque nation se fait justice à sa manière, par la force et par l’intimidation, en appliquant, avec constance, ce principe inique du « deux poids deux mesures », avec un ordre mondial à géométrie variable et une justice internationale à deux vitesses !
b) En matière de recherche de la paix, en son sens le plus large, qui inclue l’« ordre » sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique, l’être humain est - au stade actuel de l’évolution de la connaissance de l’humanité en matière d’« ordre et de désordre » - comparable à un médecin qui soigne un malade, mais n’a, jusqu’ici, pas encore posé le bon diagnostic ! C’est ce qui, essentiellement, explique le fait qu’il y ait si peu de résultats dans notre engagement en matière de sécurité et de paix, ainsi que dans nos choix et stratégies dans la recherche du bien-être social pour tous et dans la lutte contre le réchauffement climatique.
c) En l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, tout notre problème se situe dans l’ignorance, par l’ensemble de l’humanité (du moins dans l’opinion commune, au stade actuel de l’évolution de la connaissance en matière d’« ordre et de désordre »), des meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’ordre dans le monde, à cause de l’« IMMATURITE RELATIVE DE L’HUMANITE » - dans un monde en perpétuelle organisation, sachant que la perfection ne sera jamais atteinte - immaturité relative de sa conception du monde, de l’être humain et de la société, immaturité de sa science et de sa technologie, en général, et des connaissances en matière d’« ordre et de désordre », en particulier, (1) à la suite de l’ignorance de la cause fondamentale d’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, qui n’est nullement le mal prétendu enraciné en l’homme, ni une quelconque défaillance morale de sa part, (2) en raison de l’influence négative des idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre » sur nos choix et stratégies dans les affaires politiques, sociales, économiques, monétaires, culturelles et dans la lutte contre le réchauffement climatique. Ce n’est donc la faute de personne ! Ce n’est la faute, ni de la gauche ni de la droite, ni de l’Est ni de l’Ouest, ni du Nord ni du Sud ! Tout s’explique par l’« IMMATURITE RELATIVE DE L’HUMANITE », immaturité des connaissances en matière d’« ordre et de désordre » essentiellement et dépendra plus de l’évolution des idées, en matière d’« ordre et de désordre », que du cours des événements politiques, avec un changement radical d’approche, de stratégie et de méthodes !
b) En matière de recherche de la paix, en son sens le plus large, qui inclue l’« ordre » sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique, l’être humain est - au stade actuel de l’évolution de la connaissance de l’humanité en matière d’« ordre et de désordre » - comparable à un médecin qui soigne un malade, mais n’a, jusqu’ici, pas encore posé le bon diagnostic ! C’est ce qui, essentiellement, explique le fait qu’il y ait si peu de résultats dans notre engagement en matière de sécurité et de paix, ainsi que dans nos choix et stratégies dans la recherche du bien-être social pour tous et dans la lutte contre le réchauffement climatique.
c) En l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, tout notre problème se situe dans l’ignorance, par l’ensemble de l’humanité (du moins dans l’opinion commune, au stade actuel de l’évolution de la connaissance en matière d’« ordre et de désordre »), des meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’ordre dans le monde, à cause de l’« IMMATURITE RELATIVE DE L’HUMANITE » - dans un monde en perpétuelle organisation, sachant que la perfection ne sera jamais atteinte - immaturité relative de sa conception du monde, de l’être humain et de la société, immaturité de sa science et de sa technologie, en général, et des connaissances en matière d’« ordre et de désordre », en particulier, (1) à la suite de l’ignorance de la cause fondamentale d’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, qui n’est nullement le mal prétendu enraciné en l’homme, ni une quelconque défaillance morale de sa part, (2) en raison de l’influence négative des idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre » sur nos choix et stratégies dans les affaires politiques, sociales, économiques, monétaires, culturelles et dans la lutte contre le réchauffement climatique. Ce n’est donc la faute de personne ! Ce n’est la faute, ni de la gauche ni de la droite, ni de l’Est ni de l’Ouest, ni du Nord ni du Sud ! Tout s’explique par l’« IMMATURITE RELATIVE DE L’HUMANITE », immaturité des connaissances en matière d’« ordre et de désordre » essentiellement et dépendra plus de l’évolution des idées, en matière d’« ordre et de désordre », que du cours des événements politiques, avec un changement radical d’approche, de stratégie et de méthodes !
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Aux protagonistes dans la guerre russo-ukrainienne, au conflit israélo-palestinien et aux autres foyers de tensions à travers le monde (comme la guerre à l’Est de la République Démocratique du Congo-Zaïre).
Nous, citoyennes et citoyens du monde, membres de l’« espèce humaine »,
Considérant - comme le dit le Promoteur, le Dr. BOKOLOMBA MPELA Prosper, Pschent de « Pax Universa - Maison de la Paix Universelle - Cabinet du Médecin-Criminologue pour la Recherche de la Paix » - que, si la guerre d’agression de l’Ukraine par la Russie, avec l’annexion de ses territoires, ne peut pas résoudre le conflit ukrainien, le soutien militaire des occidentaux à Kiev n’a malheureusement pour effet que d’éterniser cette guerre - qui ne sera gagnée par aucun des deux camps - et de nous éloigner de la vraie solution qui ne peut être que politique et impartiale, là où la diplomatie de la canonnière ne fait qu’exacerber les horreurs et les affres de la guerre !
Sachant pertinemment qu’il n’y pas de solution militaire au conflit ukrainien et que la seule voie de sortie à cette guerre reste le dialogue et la négociation, pour stopper cette guerre inutile, qui ne sera gagnée, ni par un camp, ni par un autre. (Si, tout de même, la stratégie de l’un ou l’autre camp se soldait par un succès relatif, il ne s’agira, dans ce cas, que d’une « victoire à la Pyrrhus », c’est-à-dire une victoire au coût financier exorbitant, au prix d’énormes pertes en vies humaines, avec des dégâts matériels, économiques et environnementaux colossaux, mais qui ne pourra, en aucun cas, résoudre le conflit ukrainien – Pyrrhus = Roi d’Epire qui a vaincu les romains à Héraclée et à Ausculum, respectivement en 280 et en 279 avant Jésus-Christ, grâce à ses éléphants. Ces succès, obtenus au prix de très lourdes pertes, sont à l’origine de l’expression « victoire à la Pyrrhus »).
Partant de l’idée qu’une guerre d’agression a déjà été lancée par la Russie contre l’Ukraine et que tout dépend, aujourd’hui, de la réponse des occidentaux, soit l’éterniser, soit l’arrêter, avec une réponse qui soit en mesure d’apporter une solution harmonieuse au conflit ukrainien et de créer un climat de détente et de confiance mutuelle, non seulement dans le continent européen, mais à l’échelle de toute la planète, sans diviser le monde.
Vu que cette réponse devra impérativement passer par le dialogue et la négociation et non - comme le font les occidentaux aujourd’hui, par des sanctions, des boycotts, des condamnations, avec l’isolement diplomatique de la Russie et son exclusion des instances internationales, dans l’espoir - comme ils le pensent - que cette guerre d’agression s’arrête, d’elle-même, avec l’effondrement de l’économie russe.
Etant donné que, en ce monde moderne où le tissu social et économique est devenu très fragile et est facilement ébranlé par le moindre trouble social, le lancement de la guerre d’Ukraine par le Président POUTINE, quelle qu’en soit la raison, et le soutien militaire des occidentaux à cette guerre, au lieu de chercher à l’arrêter - cette guerre qui, du reste, ne sera gagnée par aucun des deux camps - sont, dans les deux cas, des crimes contre l’humanité !
Tenant compte du fait que le reste de l’humanité et les instances de l’ONU ne doivent, en aucun cas, prendre parti, ni pour un camp, ni pour un autre, contrairement au souhait des occidentaux qui suspectent et fustigent ceux qui ne prennent pas clairement parti pour leur camp et ne soutiennent pas publiquement leurs actions punitives contre le peuple russe. Ils soutiennent militairement l’Ukraine, dans cette guerre qu’ils continuent à mener par procuration, mais infligent des sanctions à l’Iran, qui aurait fourni des drones kamikaze à la Russie, tout en mettant en garde la Chine contre tout soutien militaire à Moscou et en menaçant de représailles les entreprises qui auraient une « proximité » avec la Russie et ne s’aligneraient pas sur les sanctions occidentales !
Vu que le reste de l’humanité et les instances de l’ONU ne doivent soutenir, ni l’agression de l’Ukraine par la Russie, ni la réaction excessive des occidentaux qui s’appuient - malheureusement - sur de lourdes sanctions contre le peuple russe, sur l'isolement diplomatique de la Russie et son exclusion des instances internationales, avec le risque de conduire le monde à la division et à une nouvelle « guerre froide », sans réelle volonté, de leur part - ni comme pour les russes, d’ailleurs - de stopper cette guerre inutile.
Sachant que si le Président ZELENSKY était libre de tous ses mouvements, une solution politique et diplomatique allait déjà être apportée à cette guerre, quand il avait, à un moment donné, dès les premières semaines de la guerre - et nous l’avons tous suivi à travers les médias - voulu négocier avec le Président POUTINE, en envisageant même de ne plus exiger l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN (Il n’a manifestement pas été soutenu dans cette démarche par ses partenaires occidentaux qui lui ont plutôt promis un soutien militaire et continuent à le pousser à la guerre).
Vu que les préalables posés par les protagonistes des deux camps pour accepter de négocier, dans la guerre russo-ukrainienne (Le retrait total de la Russie de l’Ukraine, pour les occidentaux et la reconnaissance des territoires annexés comme faisant définitivement partie de la Fédération de Russie, pour le Président POUTINE) sont, justement, les points qui doivent faire l’objet de négociations et ne peuvent être réglés par la victoire militaire d’un camp sur un autre.
Sachant pertinemment, au sujet du conflit israélo-palestinien, ce qui suit :
1. Ce n’est pas en exerçant une quelconque pression sur un camp ou sur un autre et en créant simplement, artificiellement, du jour au lendemain, deux États, l’État d’Israël, d’un côté, et l’État palestinien, de l’autre, qu’on pourra apporter une solution harmonieuse au conflit israélo-palestinien, tant qu’une solution juste, fondée sur des bases égalitaires, politiquement harmonieuse et socialement apaisée, acceptable par les deux parties, ne leur aura été présentée en interne, sans parti-pris, et que les « Peuples de la Communauté des Nations » n’auront œuvré ensemble, pour que les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique changent à l’international (Même simplement sur le papier d’abord), tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation, en vue de rendre possible la cohabitation de ces deux peuples frères. Nous préférons l’expression « Communauté des Nations » à celle de « Communauté Internationale » qui est surtout comprise, à tort ou à raison, comme l’ensemble des grandes puissances de la planète, essentiellement occidentales. La « Communauté des Nations » désigne l’ensemble des nations de la planète, membres et non-membres de l’ONU, tandis que la « Communauté Internationale » n’est qu’une nébuleuse fantomatique, sans contours précis.
2. Les prises de positions radicales actuelles des deux camps ne pourront évoluer vers des attitudes conciliables, (1) non pas lorsqu’ils seront devenus « meilleurs », mais (2) lorsque le climat politique aura été assaini sur le plan international, (3) une fois que les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique auront changé, tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation (même sur le papier d’abord) et (4) lorsqu’une solution juste, fondée sur des bases égalitaires, politiquement harmonieuse et socialement apaisée leur aura été présentée en interne, sans parti-pris.
Tenant compte des motivations largement évoquées dans ces deux ouvrages : (1) « Sortir des temps primitifs et de la gestion belliciste actuelle de l’ordre mondial - Nécessité pour l’humanité de se doter d’une Charte Mondiale pour la Sécurité et la Paix », (2) « Stopper la guerre d'Ukraine - Conférer le statut particulier d’un condominium aux territoires sécessionnistes disputés du Sud-Est avec Kiev et mettre fin au conflit ukrainien, avec une force internationale « neutre » d’interposition et le retrait de la Russie et de l’Ukraine des zones occupées, dans une perspective mondiale et une approche holistique », que vous pouvez vous procurer, (a) soit en les commandant sur notre site/Internet ou en contactant votre libraire, pour les livres-papier, (b) soit en allant sur le site « www.paxuniversa.org », via un moteur de recherche/Internet, pour les versions numériques.
Prions la « Communauté des Nations », en général, et les dirigeants du monde, en particulier, de bien vouloir examiner les propositions du Promoteur, le Dr. BOKOLOMBA MPELA Prosper, Pschent de « Pax Universa - Maison de la Paix Universelle - Cabinet du Médecin-Criminologue pour la Recherche de la Paix », pour amener les protagonistes dans la guerre russo-ukrainienne, au conflit israélo-palestinienne et aux autres foyers de tensions à travers la monde (comme dans la guerre à l’Est de la République Démocratique du Congo-Zaïre) à dialoguer et à négocier, afin que, partant - dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale » - des causes profondes, immédiates et lointaines de ces conflits, des solutions politiques globales « justes » puissent y être apportées.
A. Sortir des temps primitifs et de la gestion belliciste actuelle de l’ordre mondial et pouvoir enfin stopper la guerre d’Ukraine, régler le conflit israélo-palestinien et aplanir les autres foyers de tensions à travers le monde (comme la guerre à l’Est de la République Démocratique du Congo-Zaïre, dans le cadre global et harmonieux du nouvel ordre mondial apolaire que va instaurer la charte mondiale
GENERALITES.
1. Le conflit ukrainien, le conflit israélo-palestinien et tous les autres foyers de tensions à travers la planète ne sont que la partie visible de l’énorme iceberg que représente le désordre actuel du monde politique et socio-économique. Tant que les causes profondes de ce désordre n’auront été identifiées pour être globalement jugulées, aucune solution, réellement harmonieuse et durable, ne pourra être apportée à tous ces conflits.
La recherche d’une solution harmonieuse à la guerre russo-ukrainienne, au conflit israélo-palestinien et aux autres foyers de tensions à travers le monde, comme la recherche de la paix, en général, doit donc être menée, dans une perspective mondiale (au-delà du simple cadre européen et de la conception occidentalocentrée d’un ordre mondial à géométrie variable, avec une justice internationale à deux vitesses - Deux poids deux mesures !) et dans une approche holistique, tant sur le plan politique, social, économique, monétaire et culturel, que dans la préservation d’un bon équilibre écologique, en général, et dans la lutte contre le réchauffement climatique, en particulier, en ce qui concerne, aussi bien les idées et les principes, que les règles, les méthodes et les structures d’organisation à promouvoir, qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie, pour que même les intérêts divergents puissent être conciliés harmonieusement.
2. En matière de recherche de la paix, en son sens le plus large qui inclue l’« ordre » sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique, l’être humain est - au stade actuel de l’évolution de la connaissance en matière d’« ordre et de désordre » - comparable à un médecin qui soigne un malade, mais n’a, jusqu’ici, pas encore posé le bon diagnostic ! C’est ce qui, essentiellement, explique le fait qu’il y ait si peu de résultats dans notre engagement en matière de sécurité et de paix, ainsi que dans nos choix et stratégies dans la recherche du bien-être social pour tous et dans la lutte contre le réchauffement climatique.
3. En l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, les solutions appliquées dans le conflit ukrainien - comme dans tous les autres conflits armés du passé et du présent - sont encore, jusqu’ici, fondamentalement celles de l’âge de la pierre et ne touchent pas vraiment le nœud du problème ! Ainsi donc, le conflit ukrainien ne pourra être résolu, ni avec cette guerre d’agression de l’Ukraine par la Russie, ni avec le soutien militaire des occidentaux à Kiev, qui n’a malheureusement pour effet que d’éterniser cette guerre, ni - encore moins - avec l’isolement et l’effondrement de l’économie russe, sous le coup des boycotts et de lourdes sanctions occidentales, tant que (1) les causes profondes, immédiates et lointaines de ce conflit n’auront préalablement été identifiées, pour être globalement jugulées et (2) que les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique n’auront changé à l’international, en commençant par ce qui a toujours été admis, dans l’opinion commune et même dans le « monde scientifique », (a) comme cause fondamentale d’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique et (b) comme meilleures méthodes à appliquer pour y faire régner l’« ordre ».
4. Nous devons, de ce fait, à l’occasion de la recherche de solutions harmonieuses à la guerre russo-ukrainienne, au conflit israélo-palestinien et aux autres foyers de tensions à travers le monde, œuvrer pour l’avènement d’un « Nouvel Ordre Mondial Apolaire », plus juste et réellement pacifiste, en mettant en place des mécanismes harmonieux et consensuels de gouvernance mondiale, acceptés par tous, sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique, avec un consensus international sur l’essentiel en matière « d’ordre et de désordre », tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation à promouvoir, qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie, pour que même les intérêts divergents puissent être conciliés harmonieusement.
5. L’humanité devra, à cette occasion, partir du « bon diagnostic » comme hypothèse de travail dans la recherche continue de la sécurité et de la paix, dans une perspective mondiale et une approche holistique, pour aller au-delà de ce qui, en matière d’« ordre et de désordre » a toujours été dit, a toujours été fait et a toujours été admis, depuis l’âge de la pierre, dans l’opinion commune - jusque dans le « monde scientifique » - mais n’a jamais apporté la sécurité et la paix à l’humanité et que, en définitive, les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique changent, un désordre intellectuel essentiellement (l’« anarchie intellectuelle », d’après Auguste COMTE), qui ne relève nullement du mal prétendu enraciné en l’homme, ni d’une quelconque faillite morale de sa part. Nous pourrons alors abandonner les méthodes archaïques, barbares, non efficientes et contreproductives des « temps primitifs » que sont les sanctions, les embargos, les blocus et les boycotts, l’isolement et l’exclusion, le recours à la force et les menaces d’usage de la force, les frappes préventives (un terrorisme d’Etat) et les invasions militaires, l’interdit et la répression, les contraintes et les restrictions intempestives des libertés…
6. Il convient que la « Communauté des Nations », en général, et le « monde occidental », en particulier, comprennent, au départ, ce qui suit :
6.1 S’il y a un conflit en Ukraine, c’est qu’il se pose un ou plusieurs problèmes qu’il faut résoudre. Ces problèmes ne pourraient être jugulés simplement par des sanctions, par des injonctions et des condamnations, ni avec l’exclusion et l’isolement diplomatique la Russie, comme le font le « monde occidental » et les institutions de l’ONU actuellement !
6.2 Si les multiples résolutions et accords n’ont donné, jusqu’ici, aucun résultat dans le règlement du conflit israélo-palestinien, ce n’est nullement parce qu’ils étaient, chaque fois, délibérément bloqués par manque de volonté politique - comme on le dit - mais tout simplement parce que les conditions requises n’ont jamais été réunies, ni à l’international, ni au même niveau du contenu des solutions proposées jusqu’ici, en interne, en ce qui concerne, aussi bien les idées et les principes, que les règles, les méthodes et les structures d’organisation.
6.3 Comme cela a été dit plus haut, le conflit ukrainien, le conflit israélo-palestinien et tous les autres foyers de tensions à travers la planète ne sont que la partie visible de l’énorme iceberg que représente le désordre actuel du monde politique et socio-économique. Tant que les causes profondes de ce désordre n’auront été identifiées pour être globalement jugulées, aucune solution, réellement harmonieuse et durable, ne pourra être apportée à tous ces conflits.
7. La particularité de l’initiative « Sortir des temps primitifs et de la gestion belliciste actuelle de l’ordre mondial et pouvoir enfin stopper la guerre d’Ukraine, régler le conflit israélo-palestinien et aplanir les autres foyers de tensions à travers le monde » est qu’elle prône, non pas un ordre mondial et des accords de paix entre les États et entre les peuples qui reposeraient - comme c’est encore le cas actuellement - sur la force et la terreur des armes, sur des intrigues et des combines politiques, sur des arrangements et des marchandages, dans une simple logique de « trocs » (du donnant donnant), sans une quelconque référence aux principes de « droit », de « sagesse » et de « bon sens » (=Une paix simplement de façade, une paix fragile et éphémère), mais plutôt une paix profonde et durable, la paix des cœurs et des esprits, dans les limites du possible et dans les limites de l’humain, une paix qui se fonde sur le changement des conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique - un désordre intellectuel essentiellement - en identifiant, chaque fois, les causes profondes, immédiates et lointaines, des différents conflits qui sévissent à travers la planète. Il s’agit d’un changement profond qui devra porter, aussi bien sur les idées et les principes que sur les règles, les méthodes et les structures d’organisation, autour du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix.
C’est vraiment douteux que les condamnations et les injonctions des instances de l’ONU, ainsi que les exhortations et les sanctions des occidentaux puissent vraiment apporter un dénouement harmonieux au conflit ukrainien et mettre fin à la guerre russo-ukrainienne qui s’en est suivie, tant que (1) les causes profondes, immédiates et lointaines, de ce conflit n’auront préalablement été identifiées, pour être globalement jugulées et (2) que les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique n’auront changé à l’international !
8. Les pistes de solutions avancées ici doivent être comprises dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale ».
Les grands axes de ce « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale » sont présentés dans le texte de cette « pétition » et les documents y relatifs. La « Communauté des Nations », en général, et les protagonistes dans la guerre russo-ukrainienne, au conflit ukrainien et aux autres foyers de tensions à travers le monde, en particulier, ne devront donc pas attendre la rédaction et l’adoption de ce document commun de référence et d’orientation, non contraignant, en matière d’« ordre et de désordre » que sera la « Charte Mondiale pour la Sécurité et la Paix », pour s’engager dans la recherche de solutions politiques à tous ces conflits.
L’adoption de cette charte va arrêter le principe d’institution, dans le cadre de l’ONU, de ce système mondial commun, plus harmonieux et réellement pacifiste, de sécurité collective que sera l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », en même temps que celui de l’usage par les peuples de tous les pays - le moment venu, une fois les conditions réunies - dans le cadre de l’ONU, de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », pour que soit mis fin à l’actuelle guerre des monnaies.
9. Les prises de positions, dans cette initiative, ne sont pas celles d’un politicien, d’un moraliste ou d’un religieux, qui prendrait parti pour un camp ou pour un autre, comme on aura tendance à le dire, mais plutôt la réaction - en toute neutralité - d’un médecin, investi - en vertu du « Pouvoir Médical » - de l’« Autorité Médicale », qui consiste à veiller sur la « santé intégrale » de l’Etre humain dans une acception globale (corps, cœur, âme, esprit et l’« inconscient collectif », en qui concerne l’humanité dans son ensemble), tant dans son aspect physique, mental que social, dans l’optique de la « vie », de la « qualité de la vie » et de la « survie » de l’« Espèce humaine », autorité que confère à tout médecin le serment d’Hippocrate, au sens originel et noble de l’exercice de la profession médicale, pour le « bien-être intégral » de tous les membres de l’Espèce humaine, sur un même pied d’égalité, aussi bien pour ceux qui se considèrent comme « bons » par nature, que pour ceux qui sont, à tort ou à raison, pris pour des « mauvais ».
Tout le problème se situe - essentiellement - dans l’organisation politico-sécuritaire belliciste actuelle de la planète. C’est ce détestable système d’alliances politico-militaires particulières, hérité de l’époque de la « guerre froide », qui est à la base du bras de fer entre la Russie et l’OTAN et a dégénéré en conflit armé en Ukraine. Ce système politico-sécuritaire belliciste qui se fonde sur la « conception binaire de la société » - une idée reçue et erronée, héritée de l’âge de la pierre, qui suppose que l’humanité serait composée de « bons » d’un côté, et de « mauvais », de l’autre - pousse chaque pays, chaque alliance politico-militaire à s’assimiler au « bien » et à supposer que tous les problèmes de sécurité et de paix ne relèvent que de la faute des autres, la faute des « mauvais » qui sont dans l’autre pays, dans le camp politico-militaire opposé… Nous nous suspectons mutuellement et nous armons alors lourdement les uns contre les autres, nous nous préparons activement à la guerre, chaque nation, chaque alliance politico-militaire pour son compte, pour - paradoxalement - promouvoir la paix dans le monde, avec la course aux armements qui en résulte, exactement comme à l’époque de la « guerre froide ».
10. Les condamnations et les injonctions des instances de l’ONU, les exhortations des hautes personnalités mondiales et, surtout, les sanctions des occidentaux se révèleront insuffisantes et même contreproductives. Elles ne contribuent qu’à envenimer la situation !
L’humanité, en général, et l’intelligentsia mondiale, en particulier, doivent plutôt - dans la recherche de solutions harmonieuses à la guerre russo-ukrainienne, au conflit israélo-palestinien et aux autres foyers de tensions à travers le monde - partir du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix et œuvrer pour l’institution de ce système mondial commun, plus harmonieux et réellement pacifiste, de sécurité collective que sera, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », (a) un système qui ne devra être, ni un gouvernement mondial, ni une structure centralisée et pyramidale, (b) sous la police - le moment venu, une fois les conditions réunies - de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », (c) en remplacement du système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète, hérité de l’époque de la « guerre froide » d’alliances politico-militaires particulières, qui doivent s’auto-dissoudre, d’elles-mêmes (en commençant par l’OTAN). C’est ce système qui est à la base du bras de fer entre la Russie et l’OTAN et a dégénéré en conflit armé en Ukraine !
Ce système mondial commun et harmonieux de sécurité collective va rassurer toutes les nations et va créer un climat de détente et de confiance mutuelle entre les peuples, de manière à prévenir les guerres, à régler pacifiquement les conflits entre les peuples et à l’intérieur de nos différents pays, afin que le spectre de la guerre soit écarté de notre horizon et que même les intérêts divergents puissent être conciliés harmonieusement. Ce système politico-sécuritaire va - avec les principes qui le sous-tendront - rendre désuète l’idée du recours à la force pour la prévention et le règlement des différends, pour que les armes de guerre tombent, d’elles-mêmes, en désuétude, sans qu’on ne s’y active particulièrement, que le « Pacte Mondial de Non-agression et de Renonciation à l’Option Militaire » ne soit violé, que le désarmement s’opère de manière quasi spontanée et que l’espace intersidéral et numérique ne soit militarisé, tout en organisant la cyber-sécurité collective et en encadrant le maniement de l’intelligence artificielle.
11. Pour qu’une solution politique puisse être envisagée dans le conflit ukrainien et, plus largement, dans la guerre russo-ukrainienne qui s’en est suivie, le Promoteur s’adresse d’abord au « bloc occidental », qui doit cesser d’alimenter cette guerre, mais doit plutôt chercher à l’arrêter, par le dialogue et la négociation, cette guerre qui, du reste, ne sera gagnée par aucun des deux camps, en tenant compte de ce qui suit :
Une guerre d’agression a déjà été lancée par la Russie contre l’Ukraine. Le vin est tiré... Tout dépend aujourd’hui de la réponse des occidentaux, soit l’éterniser, soit l’arrêter, avec une réponse qui soit en mesure d’apporter une solution harmonieuse au conflit ukrainien et de créer un climat de détente et de confiance mutuelle, non seulement dans le continent européen, mais à l’échelle de toute la planète, sans diviser le monde.
Nous ne pourrons jamais construire la paix et bâtir un « ordre mondial harmonieux » sur des bases inégalitaires et injustes ! Si le Promoteur s’adresse avec autant de véhémence, dans ce projet de paix, aux puissances occidentales, c’est parce qu’il compte d’abord sur l’engagement politique des décideurs du « monde occidental » - dans ce rôle de gendarmes du monde qu’ils sont appelés à jouer, par la force des choses, en l’absence d’un système mondial organisé de police de la planète - pour qu’un dialogue sincère et des négociations assidues s’amorcent, dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale », (1) en vue de stopper la guerre russo-ukrainienne, (2) pour que le conflit israélo-palestinien soit réglé, (3) à l’instar des autres foyers de tensions à travers le monde (comme la guerre à l’Est de la République Démocratique du Congo-Zaïre) et (3) que, plus largement, l’initiative « Sortir des temps primitifs et de la gestion belliciste actuelle de l’ordre mondial » soit mis en route et se pérennise. Ce n’est nullement par un quelconque anti-occidentalisme que nous adoptons ce ton - quelque peu sévère - pour nous adresser aux occidentaux. Nous voulons simplement les amener à prendre leur responsabilité dans le rôle moteur qu’ils doivent jouer, pour que ce projet global de paix mondiale soit mis en route et se pérennise ! Le monde ne partira pas du néant, dans ce projet de paix. L’humanité va s’appuyer sur les idées, les règles, les méthodes, les structures d’organisation et les principes sur lesquels se fonde le progrès relatif accompli, jusqu’ici, par l’homme dans l’organisation sociopolitique des États, idées et les principes qui se retrouvent essentiellement dans le « monde occidental » et qui garantissent à ses habitants l’« harmonie », la « justice », la « prospérité », la « sécurité », la « paix » et les « libertés », les libertés politiques et économiques, les libertés syndicales, les libertés de conscience et de religion, la liberté d’expression et la liberté de presse, ainsi que les droits humains, en général, et les droits de la femme, en particulier. Dans ce contexte, une guerre, par exemple, est tout à fait inimaginable entre les différents pays qui composent cette partie du monde, l’Europe de l’Ouest et l’Amérique du Nord !
12. Aucun gouvernement, aucun pays, aucune sommité du « monde scientifique », aucun de nos décideurs politiques, religieux ou économico-financiers ne doit se sentir lésé par la dénonciation d’une prise de position, d’une pratique ou d’une stratégie en matière politique, sociale, économique, monétaire, culturelle ou dans la lutte contre le réchauffement climatique qu’il prône, étant donné que nos choix politiques et stratégiques nous ont essentiellement été légués par nos prédécesseurs. Il est grand temps que nous les soumettions à une analyse critique, pour ne plus tout admettre comme allant de soi ! C’est seulement à ce prix que nous pourrons aller au-delà de ce qui, en matière d’« ordre et de désordre », a toujours été dit, a toujours été fait et a toujours été admis, depuis l’âge de la pierre, dans l’opinion populaire et dans le « monde scientifique », mais n’a jamais apporté la sécurité et la paix à l’humanité.
13. Tout est question de vision du monde ! (Postulat philosophique en matière d’« ordre et de désordre »). « Les idées gouvernent et bouleversent le monde » (Auguste COMTE, philosophe français, 1798 - 1857). L’organisation politique et socio-économique de la planète est - au stade actuel de l’évolution de la connaissance de l’humanité en matière d’« ordre et de désordre » - encore insuffisante pour garantir réellement l’« ordre » dans le monde et promouvoir la sécurité, la paix, le bien-être social pour tous et un équilibre écologique optimal, à cause de l’ignorance, par l’ensemble de l’humanité (En l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, tout notre problème se situe dans l’ignorance, par l’ensemble de l’humanité (du moins dans l’opinion commune, au stade actuel de l’évolution de la connaissance en matière d’« ordre et de désordre »), des meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’ordre dans le monde, à cause de l’« IMMATURITE RELATIVE DE L’HUMANITE » - dans un monde en perpétuelle organisation, sachant que la perfection ne sera jamais atteinte - immaturité relative de sa conception du monde, de l’être humain et de la société, immaturité de sa science et de sa technologie, en général, et des connaissances en matière d’« ordre et de désordre », en particulier, (1) à la suite de l’ignorance de la cause fondamentale d’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, qui n’est nullement le mal prétendu enraciné en l’homme, ni une quelconque défaillance morale de sa part, (2) en raison de l’influence négative des idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre » sur nos choix et stratégies dans les affaires politiques, sociales, économiques, monétaires, culturelles et dans la lutte contre le réchauffement climatique), des meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’« ordre » dans le monde, (1) à la suite de l’ignorance de la cause fondamentale d’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, qui n’est nullement le mal prétendu enraciné en l’homme, ni une quelconque défaillance morale de sa part, (2) en raison de l’influence négative des idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre », qui sont à la base d’une « IMMATURITE RELATIVE DE L’HUMANITE » - dans un monde en perpétuelle organisation, sachant que la perfection ne sera jamais atteinte - immaturité de sa conception du monde, de l’être humain et de la société, immaturité de sa science et de sa technologie, en général, et des sciences humaines, en particulier (Sur le plan des fondements philosophiques, en rapport avec la notion d’« ordre et de désordre » essentiellement), et de leur « retard » par rapport au progrès relatif accompli par l’homme dans le domaine des « sciences dures » (=les sciences exactes) et de la technologie, (3) en l’absence notamment (a) d’une doctrine sociale commune et (b) d’un consensus international sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre » sur le plan politique, social, économique, monétaire et culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique, en ce qui concerne, aussi bien les idées et les principes, que les règles et les structures d’organisation à promouvoir, qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie, pour que même les intérêts divergents puissent être conciliés harmonieusement (4) et au fait que les humains n’aient pas encore pris, jusqu’ici, conscience de l’« unicité » du genre humain et n’aient pas suffisamment intériorisé le sentiment d’appartenance à une communauté de destin pour toute l’humanité. Les idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre » se retrouvent à l’arrière-plan non critique, conscient et inconscient, de l’opinion populaire et de la pensée dominante de notre époque, jusque dans le « monde scientifique ». Ces idées influent négativement sur nos choix et stratégies dans la recherche de la sécurité et de la paix (en son sens le plus large) et se traduisent par une certaine défaillance dans l’organisation politique et sociale du monde et dans la manière de l’homme de gérer la planète et d’administrer les différents pays. Les méthodes à appliquer pour faire régner l’ordre dans le monde doivent plutôt consister essentiellement (a) partir du « bon diagnostic », qui n’est nullement le mal prétendu enraciné en l’homme, ni une quelconque faillite morale de sa part, (b) à identifier et à juguler les causes profondes, immédiates et lointaines, des problèmes à l’ordre du jour, (c) en œuvrant pour que soient réunies les conditions qui doivent être satisfaites (d) et non à multiplier les sanctions, le recours à la force et les menaces d’usage de la force, les interdits et les répressions, les restrictions intempestives des libertés et les contraintes inutiles (Diagnostic « positif » à partager par les humains, comme hypothèse de travail, dans la recherche continue de la sécurité et de la paix).
14. Nous ne pourrons jamais résoudre les problèmes de la planète et pacifier le monde à coups de sanctions à tout bout de champ, par le recours à la force et les menaces d’usage de la force, l’interdit, la répression et les restrictions intempestives des libertés, ni même avec les prêches du religieux et les conseils du moraliste, tant que les vrais problèmes n’auront été résolus à la base.
C’est par pure ignorance - et pas tellement de mauvaise foi - que, au stade actuel de la connaissance en matière d’« ordre et de désordre », l’homme continue à recourir systématiquement, jusqu’ici, aux méthodes archaïques, barbares, non efficientes et contreproductives des « temps primitifs » que sont les sanctions, les embargos, les blocus et les boycotts, l’isolement et l’exclusion, le recours à la force et les menaces d’usage de la force, les frappes préventives (un terrorisme d’Etat) et les invasions militaires, l’interdit et la répression, les restrictions intempestives des libertés et les contraintes inutiles, dans la gestion de l’ordre mondial et à l’intérieur de nos différents pays, à cause de son « immaturité relative », par rapport à sa conception du monde, de l’être humain et de la société. Cette « immaturité » de l’humanité se caractérise par une « immaturité relative » des sciences humaines, les sciences politiques, sociales et économiques (Sur le plan des fondements philosophiques, en rapport avec la notion d’« ordre et de désordre » particulièrement) et se traduit par l’ignorance, par l’ensemble de l’humanité. En l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, tout notre problème se situe dans l’ignorance, par l’ensemble de l’humanité (du moins dans l’opinion commune, au stade actuel de l’évolution de la connaissance en matière d’« ordre et de désordre »), des meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’ordre dans le monde, à cause de l’« IMMATURITE RELATIVE DE L’HUMANITE » - dans un monde en perpétuelle organisation, sachant que la perfection ne sera jamais atteinte - immaturité relative de sa conception du monde, de l’être humain et de la société, immaturité de sa science et de sa technologie, en général, et des connaissances en matière d’« ordre et de désordre », en particulier, (1) à la suite de l’ignorance de la cause fondamentale d’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, qui n’est nullement le mal prétendu enraciné en l’homme, ni une quelconque défaillance morale de sa part, (2) en raison de l’influence négative des idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre » sur nos choix et stratégies dans les affaires politiques, sociales, économiques, monétaires, culturelles et dans la lutte contre le réchauffement climatique), des meilleurs méthodes à appliquer pour faire régner l’ordre dans le monde, avec une certaine défaillance dans l’organisation politique et sociale du monde et dans la manière de l’homme de gérer la planète et d’administrer les différents pays, (1) à la suite de l’ignorance de la cause fondamentale d’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, qui n’est nullement le mal prétendu enraciné en l’homme, ni une quelconque défaillance morale de sa part, (2) en raison de l’influence négative des idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre » sur nos choix et stratégies dans les affaires politiques, sociales, économiques, monétaires, culturelles et dans la lutte contre le réchauffement climatique, (3) en l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix.
15. En dehors des croyances mythologiques qui sont difficilement démontrables et qui varient d’une culture à l’autre, d’une religion à l’autre et même d’une personne à l’autre, la cause fondamentale d’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique n’est pas - comme on le pense communément - le mal prétendu enraciné en l’homme, dans sa nature supposée perverse, dans son cœur jugé corrompu, dans son esprit ou son mental dit déséquilibré, ni - encore moins - dans son patrimoine génétique prétendu déficient. Elle n’est donc ni la déchéance et la faillite morale de l’homme, ni la déraison et certainement pas l’égoïsme, le manque d’amour du prochain ni une quelconque négligence de la part de l’homme.
La cause fondamentale d’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique est plutôt - de manière « positive », en dehors des croyances mythologiques et des considérations moralistes - L’IMMATURITÉ RELATIVE DE L’HUMANITE dans un monde en perpétuelle organisation, sachant que la perfection ne sera jamais atteinte, immaturité relative des connaissances en matière d’« ordre et de désordre », immaturité relative de sa science et de sa technologie, immaturité relative de sa science et de sa technologie, immaturité des techniques industrielles, agricoles et énergétiques, dans la lutte contre le réchauffement climatique, par exemple.
La texture de la connaissance en matière d’« ordre et de désordre » (en rapport avec ces quatre concepts essentiels, (1) Dieu, (2) le monde, (3) l’être humain et (4) la société) évolue avec le temps, tout au long de l’histoire, à la lumière de l’évolution du « savoir » et du « savoir-faire » de l’homme, avec le progrès de la « science » et de la « technologie ». Elle ne doit donc pas être considérée comme étant définitivement « scientifiquement » établie, pour ne pas être modifiée et améliorée. La nature de cette connaissance influe sur la nature de l’« ordre » qu’on voudrait voir régir le monde, ainsi que sur les méthodes qu’on met en œuvre pour la réalisation de l’« ordre » recherché (y compris les techniques industrielles, agricoles et énergétiques, dans la lutte contre le réchauffement climatique, par exemple).
16. Il ne suffit pas, pour les « Peuples de la Communauté des Nations », de désirer ardemment la sécurité, la paix, le bien-être social pour tous et un équilibre écologique optimal pour qu’ils s’instaurent véritablement.
Les résolutions contraignantes, toutes les bonnes intentions du monde, la moralisation des gens et des dirigeants et même - paradoxalement - les sanctions, les embargos, le recours à la force et les menaces d’usage de la force se révéleront tout à fait insuffisants et l’humanité ne connaîtra jamais la paix véritable, tant que certaines conditions minimales ne seront pas vraiment remplies, en ce qui concerne notamment (1) le « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix et (2) un consensus international sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre », portant (a) sur une doctrine sociale commune, sur les idées, les principes, les règles, les méthodes et (b) les structures d’organisation à promouvoir, qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie, (c) sous la « police » - le moment venu, une fois les conditions réunies - de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® ».
17. Pour un consensus international sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre », condition sine qua non de l’avènement de la paix mondiale. Si le courant ne passe pas et que nous ne nous comprenons pas les uns les autres, si nous nous suspectons mutuellement, jusqu’à nous armer si lourdement les uns contre les autres, c’est parce que - au stade actuel de l’évolution de la connaissance de l’humanité - nous ne nous sommes mis, jusqu’ici, d’accord sur pratiquement rien du toute en matière d’« ordre et de désordre », ni sur le plan politique, social, économique, monétaire et culturel, ni dans la lutte contre le réchauffement climatique.
L’absence de paix dans le monde ne pourrait s’expliquer par un « conflit de valeurs », entre les « bons » et les « mauvais », entre les « démocraties » et les « régimes autoritaires », comme l’affirme une certaine opinion, qui part d’une « conception binaire de la société » !
La paix véritable ne pourra réellement régner dans le monde que lorsque nous aurons réalisé un consensus international sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre », autour des idées générales et des principes fondamentaux qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie, (1) un consensus qui soit fondé sur le « bon diagnostic », comme hypothèse de travail, dans la recherche continue de la sécurité et de la paix, (2) avec de meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’« ordre » dans le monde, (3) avec une doctrine sociale commune (Sans totalitarisme ni restriction sur le plan idéologique, pour pouvoir, grâce au principe de « relativité », dissiper le conflit d’idéologies qui perdure dans nos pays et dans le monde) et (4) un cadre institutionnel global, conséquent et harmonieux, accepté par tous, sous forme d’un système mondial commun de sécurité collective, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », (a) un système qui ne devra être, ni un gouvernement mondial, ni une structure centralisée et pyramidale, (b) sous la « police » - le moment venu, une fois les conditions réunies - de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », (c) en remplacement du système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète, hérité de l’époque de la « guerre froide » d’alliances politico-militaires particulières, qui doivent s’auto-dissoudre, d’elles-mêmes (en commençant par l’OTAN).
18. « Tout est question de vision du monde ! (Postulat philosophique en matière d’« ordre et de désordre »). « Les idées gouvernent et bouleversent le monde » (Auguste COMTE). Tout, en matière de recherche de l’« ordre », est avant tout question de vision du monde. L’ordre politique, social, économique et environnemental que nous voudrions voir régir le monde n’est pas déterminé par l’attitude de notre « bon cœur », ni simplement par notre « bonne volonté », mais par la texture de notre connaissance, par notre « science », c’est-à-dire par notre « savoir » et notre « savoir-faire », en rapport avec l'évolution de la connaissance en matière d’« ordre et de désordre ». Qu’il soit harmonieux ou pas, cet ordre découle essentiellement, selon les cas - en même temps que les stratégies et les méthodes que nous mettons en œuvre pour le réaliser et qui sont également tributaires des moyens disponibles - des idées qui nous habitent, consciemment et inconsciemment, en rapport avec ces quatre concepts essentiels, (1) Dieu (En ce qui concerne particulièrement la nature de Son implication dans les affaires publiques, qu’on croie ou non en Son existence), (2) le monde, (3) l’être humain et (4) la société, à la lumière de ce qu’on pense être, consciemment et inconsciemment, à tort ou à raison, la cause fondamentale d’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique et de ce qui est considéré comme étant les causes profondes, immédiates et lointaines, présumées ou effectives, des problèmes à l’ordre du jour, sous l’influence des conditions particulières dans lesquelles nous nous trouvons. La recherche de la paix est une question qui relève avant tout du domaine de la « science », c’est-à-dire du « savoir » et du « savoir-faire » de l’homme ! Elle n’est pas tellement un problème de « politique politicienne », ni simplement de la religion et de la morale, qui auraient pour objet de changer la nature humaine supposée perverse et son cœur jugé corrompu.
19. Le retard du monde politique et socio-économique, par rapport au progrès relatif accompli par l’homme dans le domaine des « sciences dures » et de la technologie, ne provient ni de l’égoïsme, ni de la perversion de l’homme ou d’une catégorie d’individus. Il ne relève même pas d’une quelconque incurie des politiciens et des opérateurs économiques.
Il résulte plutôt du fait que, jusqu’ici - en l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix - notre approche, nos stratégies et nos méthodes dans la recherche de l’« ordre » sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique, continuent à se fonder, inconsciemment, sur des idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre » et sur des points de vue grégaires des masses populaires.
Cet état de choses découle essentiellement du fait que nous ne possédons pas nos idées, mais que nous sommes possédés par elles, qu’elles soient conscientes ou inconscientes ! Ces idées sont admises comme allant de soi et n’ont été soumises à une quelconque analyse critique.
Les idées qui orientent notre discours politique, social ou économique ne sont pas seulement nécessairement celles que nous affirmons consciemment, mais aussi et surtout celles qui se trouvent enfouies dans l’arrière-plan non critique, souvent inconscient, de ce discours. Et, cet arrière-plan est souvent constitué d’idées toutes faites, des idées reçues qui se sont forgées au fil du temps, qui échappent à toute analyse critique et sont admises comme allant de soi (Yvon DANDURAND et François-Xavier RIBORDY, dans l’ouvrage « Crime et société : Introduction à l’étude du phénomène criminel », paru aux Editions de l’Université d’OTTAWA en 1980).
Ces idées reçues et erronées, héritées du passé - particulièrement celles qui se rapportent à la notion d’« ordre et de désordre » - sous-tendent l’organisation politique et socio-économique du monde et sont à la base d’une « immaturité relative » de l’humanité, en général, et des sciences humaines, les sciences politiques, sociales et économiques, en particulier (Sur le plan des fondements philosophiques en rapport avec la notion d’« ordre et de désordre » essentiellement), et de leur « retard » par rapport au progrès relatif accompli par l’homme dans le domaine des « sciences dures » (=les sciences exactes) et de la technologie.
Comme ces idées sont admises comme allant de soi et n’ont été soumises à une quelconque analyse critique, toute initiative qui viserait un quelconque changement d’approche et des fondamentaux en sciences humaines et dans l’organisation politique du monde et des États est aujourd’hui - malheureusement - tout à fait hors de question, étant donné que tout est supposé être totalement « scientifique » et définitivement établi. On est alors tenu de reproduire, d’une manière servile, la leçon du maître et de perpétuer indéfiniment ce qui a toujours été dit, a toujours été fait et a toujours été admis. Et, c’est là un des grands problèmes conceptuels de l’humanité, à notre époque !
Ce phénomène se pérennise avec cette espèce de griserie qui nous pousse à penser que, comparativement au progrès des sciences exactes et de la technologie, l’organisation politique et sociale du monde et celles de nos États ont réalisé - avec les sciences politiques, sociales et économiques qui les sous-tendent - un progrès similaire, en matière d’« ordre et de désordre » particulièrement, qu’elles sont « scientifiques », qu’elles auraient atteint le plus haut sommet de la perfection et ne doivent pas être modifiées et améliorées (Derrière des théories complexes et de brillantes analyses, apparemment « scientifiques », se cachent souvent, en filigrane, à leur arrière-plan, des idées tout à fait simples et des prises de positions erronées qui relèvent plutôt de ces idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre »).
20. Il est important que celles et ceux qui pensent le monde et - avec eux - le « monde scientifique » et académique, les décideurs politiques, religieux et économico-financiers comprennent que (a) l’état actuel de la démocratie dans le monde, (b) le mode de gestion actuel de l’ordre mondial et (c) l’organisation politique et socio-économique actuelle de la planète ne sont pas aussi « scientifiques » qu’on le prétend et n’auraient pas atteint le plus haut sommet de la perfection, comme on le dit, en qui concerne essentiellement l’approche, les stratégies et les méthodes utilisées !
Ce qui est essentiel est que l’humanité, en général, et l’intelligentsia mondiale, en particulier, comprennent que la connaissance de l’homme en matière d’« ordre et de désordre » évolue avec le temps, tout au long de l’histoire, à la lumière de l’évolution du « savoir » et du « savoir-faire » de l’homme, avec le progrès de la « science » et de la « technologie ». Elle ne doit donc pas être considérée comme étant définitivement « scientifiquement » établie, pour ne pas être modifiée et améliorée.
C’est la texture de cette connaissance qui (a) détermine notre approche, nos stratégies et nos méthodes dans la recherche de la sécurité et de la paix, en son sens le plus large, qui inclue l’« ordre » sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique et (b) influe sur la nature de l’ordre que l’humanité instaure dans le monde politique et socio-économique, à une époque ou à une autre.
Nous devons, de ce fait, comprendre que, en l’absence du « bon diagnostic » dans la recherche continue de la sécurité et de la paix, l’humanité, dans sa globalité, est, jusqu’ici, à côté du problème, sur toute la ligne et à tous les niveaux, en ce qui concerne aussi bien l’approche que les stratégies et les méthodes utilisées, en matière d’« ordre et de désordre », sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique. C’est ce qui, essentiellement, explique le fait qu’il y ait si peu de résultats dans notre engagement en matière de sécurité et de paix, ainsi que dans nos choix et stratégies dans la recherche du bien-être social pour tous et dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Pour obtenir des résultats probants, nous devons revoir, de fond en comble, notre approche, nos stratégies et nos méthodes dans la recherche de la paix, en son sens le plus large qui inclue l’« ordre » sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique, en partant du « bon diagnostic », comme hypothèse de travail dans le recherche continue de la sécurité et de la paix.
21. Les tensions politiques et les conflits armés qui sévissent dans certains pays et dans certaines régions du monde, les problèmes liés à la sécurité, à la paix, à la démocratie et au développement dans le monde et dans nos différents pays, ne pourront connaître un début de solution que s’ils sont résolus concomitamment, en leurs multiples aspects, avec le temps, dans une perspective mondiale et une approche holistique, en essayant de résoudre ces problèmes à la base et de manière globale, à partir de leurs racines, lorsque les « Peuples de la Communauté des Nations » auront assaini le climat politique sur le plan international, particulièrement lorsque les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique auront changé, au niveau planétaire d’abord - dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale »- et, ensuite, à l’intérieur de nos différents pays, par toutes nos sensibilités politiques respectives, sans exclusive.
Il faudra globalement (1) revoir les fondements philosophiques du monde politique et socio-économique, en général, et ceux du pouvoir démocratique, en particulier, (2) réaliser un consensus international sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre », en ce qui concerne, notamment, (a) les meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’« ordre » dans le monde, (b) la doctrine sociale commune (Sans totalitarisme ni restriction sur le plan idéologique, pour pouvoir, grâce au principe de « relativité », dissiper le conflit d’idéologies qui perdure dans nos pays et dans le monde), (c) les idées générales, (d) les règles de base et (e) les principes fondamentaux qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie et (3) mettre en place ce système mondial commun de sécurité collective que sera, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », un système qui ne devra être, ni un gouvernement mondial, ni une structure centralisée et pyramidale, (3) sous la « police » - le moment venu, une fois les conditions réunies - de la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® ».
22. S’il règne un peu plus de paix, un peu plus d’« ordre » dans le monde politique et socio-économique par rapport au passé, ce n’est pas parce qu’une doctrine morale ou religieuse quelconque aurait rendu l’homme meilleur par rapport au passé.
Le minimum d’ordre sociopolitique que nous connaissons actuellement est plutôt dû au bouleversement spectaculaire qui s’était produit dans la manière de l’humanité de se représenter l’univers, le monde, l’homme et la société, de façon « positive », en dehors de toute considération mythologique, métaphysique et moraliste, en commençant par les occidentaux, entre 1.500 et 1.700 après Jésus-Christ.
Ce bouleversement dans la vision du monde, de l’être humain et de la société a conduit à une certaine amélioration dans l’organisation politique et sociale des États et a apporté un peu plus d’« ordre » et une « paix relative » au monde. Contrairement à ce qu’on pense communément, ce progrès n’est pas le résultat d’une doctrine morale ou religieuse quelconque qui aurait rendu l’homme meilleur par rapport au passé. Il découle plutôt de cette conception positive et scientifique de l’univers d’Isaac NEWTON.
C’est vraiment regrettable que ce fait ait été si méconnu et n’ait pas été clairement souligné dans les manuels d’histoire ! Aux historiens d’agir donc, pour que tout un chacun comprenne que - sans nier leur importance dans le vivre-ensemble et dans les relations entre les peuples - ce ne sont pas les préceptes de la morale ni les prescrits d’une religion quelconque qui ont changé ou vont changer le monde ! L’être humain est et reste fondamentalement le même, en tout temps et en tout lieu. Ce qui doit changer en l’homme ce sont les idées qui l’habitent et les conditions dans lesquelles il est placé. Les prêches du religieux et les conseils du moraliste n’ont jamais eu et n’auront pas réellement d’effets dans la recherche de la paix, parce qu’ils passent à côté du « bon diagnostic » et ne touchent pas vraiment le nœud du problème. Ils concernent plutôt, essentiellement, l’édification personnelle, le comportement, la foi et la vie privée de chacun. En ayant à l’esprit cette réalité, nous devons chercher à perfectionner l’organisation politique et sociale de la planète, en même temps que les idées, les principes, les règles et les méthodes qui la sous-tendent, pour garantir plus de paix au monde, au lieu de nous limiter à moraliser l’homme et à vouloir lui imposer une multitude de sanctions et d’interdits. C’est seulement de cette façon que nous pourrons combler ce grand retard qu’accuse l’humanité sur le plan politique, social et économique par rapport au progrès relatif accompli dans le domaine des « sciences dures » et de la technologie.
Il nous faudra, de ce fait, éliminer les obstacles à la paix et au bien-être social pour tous qui se situent actuellement, essentiellement, au niveau de nos idées, au niveau de notre conception de Dieu (En rapport avec la nature de Son implication dans les affaires publiques particulièrement), au niveau de notre conception du monde, de l’être humain et de la société. Ainsi donc, le minimum d’effort à fournir actuellement doit surtout viser à perfectionner l’organisation politique et sociale de la planète et celle de nos États, en même temps que les idées, les principes, les règles et les méthodes qui les sous-tendent.
23. En ce qui concerne sa nature, son cœur, son esprit, son mental et son patrimoine génétique, l’être humain est et reste fondamentalement le même, en tout temps et en tout lieu. Les hommes sont tous pareils. Ils sont tous capables, à la fois, de beaucoup de bien et du pire, quel que soit le camp auquel ils appartiennent, exception faite d’une tare génétique ou d’une quelconque autre déficience, en ce qui concerne chaque être humain pris à part. Tout dépend essentiellement de la vision qu’ils ont du monde, de l’être humain et de la société, des idées qui les habitent et des conditions (essentiellement politiques) dans lesquelles ils sont placés, en fonction des moyens et des techniques disponibles, le cas échéant.
L’effort à fournir, pour garantir réellement la sécurité et la paix à l’humanité, doit consister, non pas à faire la morale aux gens, dans l’espoir qu’ils deviennent meilleurs et respectent de plus en plus les multitudes de sanctions et d’interdits qu’on leur impose, mais plutôt à partir du « bon diagnostic », qui n’est nullement le mal prétendu enraciné en l’homme, ni une quelconque faillite morale de sa part, pour revoir l’approche et les stratégies à mettre en œuvre, en vue d’appliquer les meilleures méthodes, qui consistent, essentiellement, à chercher à réunir les conditions qui doivent être satisfaites en matière d’« ordre et de désordre » sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique, selon les cas, en ce qui concerne, aussi bien les idées et les principes, que les règles, les méthodes et les structures d’organisation à promouvoir, qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie.
Le changement à apporter dans le monde doit donc porter, non pas sur la nature humaine supposée perverse, sur son cœur jugé corrompu, sur son esprit ou son mental dit déséquilibré, ni - encore moins - sur son patrimoine génétique prétendu déficient, mais plutôt sur les idées qui habitent l’homme et sur les principes qui gouvernent le monde, avec des règles, des méthodes et des structures d’organisation à promouvoir, qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie, tant sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique.
24. Les sanctions, le recours à la force et les menaces d’usage de la force ne peuvent pas rétablir l’harmonie là où elle ne règne plus ! La militarisation à outrance de la planète, la logique irrationnelle de la force ne pourra que conduire la collectivité humaine à un suicide collectif, dans une apocalypse nucléaire.
Nos décisions en matière de sécurité et de paix, de désarmement, de résolutions des conflits et dans la recherche du bien-être social pour tous et dans la lutte contre le réchauffement climatique seront sans effet, si elles ne reposent pas sur un consensus international sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre ». Elles doivent s’appuyer sur un socle conceptuel consensuel de base en matière d’« ordre et de désordre » sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique, selon les cas, et sur un cadre institutionnel global, conséquent et harmonieux, accepté par tous, autour du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, en nous efforçant d’aplanir, par le dialogue, les principaux points de dissensions qui nous opposent et de réunir d’abord les conditions qui doivent être satisfaites, en vue de créer un climat de détente et de confiance mutuelle entre les peuples.
25. Le débat que suscitera le lancement de cette initiative amènera la collectivité humaine, en général, et l’intelligentsia mondiale, en particulier, à renoncer à cette espèce de griserie et à être plus critiques (a) sur l’état actuel de la démocratie dans le monde, (b) sur le mode de gestion actuel de l’ordre mondial et (c) sur l’organisation politique et socio-économique actuelle de la planète, qui ne seraient pas aussi « scientifiques » qu’on le prétend et n’auraient pas atteint le plus haut sommet de la perfection, comme on le dit !
L’organisation politique et sociale actuelle du monde est décriée de toutes parts et le mode de gestion de l’ordre mondial ne donne pas entière satisfaction à tous les peuples, aussi bien sur le plan international qu’à l’intérieur des différents pays. Les « Peuples de la Communauté des Nations » doivent, à présent, s’appuyer sur le « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, pour revoir, de fond en comble, leur approche, leurs stratégies et leurs méthodes dans la recherche de la sécurité, de la paix, du bien-être social pour tous et dans la lutte contre le réchauffement climatique. Ils doivent agir de manière concertée, en partant des mêmes bases et en suivant les mêmes repères, autour d’un « diagnostic partagé » sur la problématique de la recherche de la paix et autour d’un consensus international sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre ».
Le malaise qui plane dans le monde est grandissant et tend à s’exprimer de multiples façons ! Cela doit interpeller chaque citoyenne et chaque citoyen du monde, pour que chacun d’entre nous s’implique à fond dans la recherche de la paix, en son sens le plus large, à travers ses prises de positions, ses choix, ses propos, ses suggestions et ses agissements, dans le vécu quotidien et dans l’exercice de ses fonctions, tant à l’intérieur de son pays que dans les instances internationales.
26. La recherche de la paix est une quête perpétuelle qui doit être menée, dans une perspective mondiale et une approche holistique, par une action concertée de l’ensemble des personnes physiques et morales que compte l’humanité, de générations en générations, dans le vécu quotidien, (1) autour du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, (2) avec un consensus international sur l'essentiel en matière d’« ordre et de désordre », sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique.
26.1. Pour combler ce vide dans l’organisation de l’humanité, un cadre mondial de réflexion, de concertation et d’action, dénommé « La Campagne Internationale » est créé au sein du « Cabinet Médico-social pour la Sécurité et la Paix », « Pax Universa », en vue d’unir les « Peuples de la Communauté des Nations » autour du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix et les placer au centre de la démocratie planétaire et de la marche du monde, au cœur de la gouvernance mondiale, dans un cadre tout à fait « neutre », loin des rivalités, des prétentions et des pesanteurs nationalistes des institutions intergouvernementales, en dehors de toute emprise sectaire des pouvoirs politiques, économiques et religieux.
Dans ce contexte, outre son objet initial qui consiste, en un premier temps, à amener les « Peuples de la Communauté des Nations » à rédiger et à adopter ce document commun de référence et d’orientation, non contraignant, en matière d’« ordre et de désordre » que sera la « Charte Mondiale pour la Sécurité et la Paix », « La Campagne Internationale », structure de « Pax Universa », tient lieu de « Cadre Mondial de Réflexion, de Concertation et d’Action pour la Sécurité et la Paix », à travers lequel vont dialoguer, débattre et agir, de manière concertée, tous les membres de l’« Espèce humaine » - là où ils sont - de générations en générations, librement et sans contrainte, sans cartes de membres répertoriés ni une quelconque inscription préalable. Ils pourront ainsi partir des mêmes bases et suivre, de manière consensuelle, les mêmes repères, autour d’un diagnostic partagé, pour la recherche continue de la paix, en son sens le plus large qui inclue l’« ordre » sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique, (a) la paix étant comprise avant tout comme un problème « scientifique » de santé publique, dans une approche globale qui inclue - comme le veut la définition de l’OMS - aussi bien l’aspect physique et mental de la santé que son aspect social, (b) dans ce « terrain neutre » qu’offre « Pax Universa », (c) loin des rivalités, des prétentions et des pesanteurs nationalistes des institutions intergouvernementales, (d) en dehors de toute emprise sectaire des pouvoirs politiques, économiques et religieux, (e) dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale ».
Les membres de l’« Espèce humaine » de toutes les nationalités, de toutes les croyances religieuses et de toutes les convictions philosophiques et orientations politiques agiront ensemble, à travers cette structure de « Pax Universa » qu’est « La Campagne Internationale », dans la « tolérance », le « dialogue » et la « recherche permanente de consensus » ou - tout au moins - d’un « modus vivendi », sans sectarisme aucun. Ils interviennent, (1) d’abord, de manière ponctuelle - du moins pour nos contemporains - dans le cadre du débat mondial organisé sur ce projet de paix, pour la rédaction et l’adoption de la « Charte Mondiale » et (2) agiront ensuite, indéfiniment, de générations en générations, dans le vécu quotidien de chacun d’entre eux et dans l’exercice de leurs fonctions, à travers leurs prises de positions, leurs choix, leurs propos, leurs suggestions et leurs agissements, à l’intérieur de leurs pays respectifs et dans les instances internationales.
26.2. Dans cette recherche continue de la sécurité et de la paix, les « Peuples de la Communauté des Nations » auront, à la base, (1) dans le cadre de « La Campagne Internationale », (a) la « Charte Mondiale pour la Sécurité et la Paix », comme document commun de référence et d’orientation, non contraignant, en matière d’« ordre et de désordre » et (b) la « Confédération Universelle des Ordres Professionnels et des Corps de Métiers pour la Sécurité et la Paix », comme leur organe central de concertation et de coordination dans la démocratie planétaire et la marche du monde, avec, (2) dans le cadre de l’ONU, ce système mondial commun de sécurité collective que sera l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », (a) un système qui ne devra être, ni un gouvernement mondial, ni une structure centralisée et pyramidale, (b) sous la « police » - le moment venu, une fois les conditions réunies - de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », (c) en remplacement du système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète, hérité de l’époque de la « guerre froide d’alliances politico-militaires particulières), qui doivent s’auto-dissoudre, d’elles-mêmes (en commençant par l’OTAN).
26.3. Pour le règlement pacifique des conflits politiques entre États et à l’intérieur des différents pays, pour prévenir les troubles sociaux, les conflits politiques et les guerres intestines, pour éviter que les individus ne fomentent des troubles et ne prennent le pouvoir par la force, par exemple, les « Peuples de la Communauté des Nations » se confieront à un organe de la « Confédération Universelle des Ordres Professionnels et des Corps de Métiers pour la Sécurité et la Paix », dénommée « La Haute Instance Mondiale pour le Règlement Pacifique des Conflits Politiques », en abrégé, « La Haute Instance Mondiale ».
Cet organe interviendra pour résoudre, non seulement les conflits entre États, mais aussi les conflits nationaux qui ne pourront être résolus harmonieusement de l’intérieur, particulièrement pour les conflits qui ne sont pas de nature à être traités avec succès au sein de la Cour Permanente d’Arbitrage (CPA) et les autres juridictions internationales qui prononcent plutôt des jugements péremptoires et irrévocables, alors que la « Haute Instance Mondiale » agira, elle, dans le sens de la négociation, de la conciliation et de la réconciliation, sans interférence des autres nations. Si les politiciens savent qu’ils peuvent être écoutés et obtenir des solutions aux problèmes politiques qui se posent dans leur pays, dans le cadre d’une telle structure, personne ne sera plus tentée de prendre les armes pour conquérir le pouvoir, ni de fomenter des troubles.
A vrai dire, le monde a besoin d’un « terrain neutre » où les conflits, tant nationaux qu’internationaux, pourront être résolus pacifiquement, à l’amiable, sans passion, sans contrainte et, surtout, à l’abri de l’ingérence et du parti pris des autres pays, directement par cette structure de la « Confédération Universelle des Ordres Professionnels et des Corps de Métiers pour la Sécurité et la Paix » que sera « La Haute Instance Mondiale ».
La « Haute Instance Mondiale » va, par exemple, superviser systématiquement les processus électoraux dans tous les pays, de bout en bout, conjointement avec leurs organes électoraux respectifs, sans interférence des autres nations, même dans les pays où le problème ne s’est jamais posé jusqu’ici, pour qu’il n’y ait pas « deux poids deux mesures ». Cela, pour ne pas attendre que les contestations et les conflits électoraux surgissent pour s’y intéresser, comme on le voit aujourd’hui. Cette structure pourra être saisie immédiatement dès qu’un conflit pointe à l’horizon, au lieu de la situation actuelle où les médiations n’interviennent que tardivement, lorsque les dégâts humains, matériels et environnementaux, souvent irréparables, se sont déjà produits. Cet organe pourra, aussi, proposer directement sa médiation aux parties ou aux États en conflit, lorsqu’il y a urgence et que l’initiative tarde à venir de leur part. Le panel des notabilités et d’experts qui seront chargés d’arbitrer le conflit à l’ordre du jour sera constitué, chaque fois, en fonction de la nature du problème soulevé, avec, nécessairement, l’accord des parties en conflit.
26.4. Pour garantir réellement la paix au monde, nous ne pouvons pas compter uniquement sur les instances judiciaires, pour réprimer et lutter contre les délits professionnels et les crimes politiques et économiques. Nous devons aussi et surtout essayer de les prévenir, de façon à éviter leurs conséquences qui peuvent être très lourdes et, souvent, irréparables, dans la plupart des cas, sur le plan matériel, humain et environnemental, par la création de la « Confédération Universelle des Ordres Professionnels et des Corps de Métiers pour la Sécurité et la Paix ».
Les instances dirigeantes des ordres professionnels pourront ainsi prévenir et découvrir les anomalies et les crimes professionnels, en général, ainsi que les crimes politiques et économiques, en particulier, pour les dénoncer à temps. Elles pourront rappeler à l’ordre les fautifs ou les traduire en justice, s’il le faut, avant qu’il ne soit trop tard. Pour les politiques et les acteurs économiques particulièrement, la création de la « Confédération Universelle des Ordres Professionnels et des Corps de Métiers pour la Sécurité et la Paix » sera une occasion rêvée d’organiser leurs professions à l’échelle de toute la planète, dans la perspective de la recherche de la paix, sur le plan de l’éthique, de l’excellence et de l’efficience dans l’exercice de leurs professions. Il sera ainsi plus facile, pour les membres de ces professions, hautement sensibles, comme pour ceux de toutes les autres corporations, de s’accorder à travers ces structures planétaires sur les idées générales, sur les principes fondamentaux, les règles de base, les méthodes et les pratiques qui doivent régir, non seulement leurs professions, mais également le monde dans sa globalité, tant sur le plan politique, social, économique, monétaire et culturel, qu’en matière de recherche d’un bon équilibre écologique, en général, et dans la lutte contre le réchauffement climatique, en particulier, avec beaucoup plus de chance d’obtenir des résultats probants.
26.5. Sur le plan de la morale, on a vu, par exemple, des sociétés étrangères soutenir des régimes fantoches, fomenter des coups d’état, entretenir des guerres civiles, des sécessions et des rebellions et sacrifier des vies humaines, pour avoir la main mise sur les ressources énergético-minières de certains pays, avec ou sans la complicité des gouvernants de leurs nations d’origine et des élites des pays concernés, en passant frauduleusement par des États mafieux. Jusqu’ici, la justice internationale n’a jamais sévi contre ce genre d’actes ignobles et les politiques sont restés tout à fait muets sur ce phénomène. Il faudra compléter et clarifier les règles du droit international et proscrire ce comportement à travers la « Charte Mondiale pour la Sécurité et la Paix » et les « codes d’éthique et de bonne conduite » des différentes corporations. Mais, tout cela se révèlera insuffisant, si nous ne nous appuyons pas aussi sur les instances dirigeantes des différents ordres professionnels et corps de métiers, en général, et sur celles des corporations des acteurs politiques et des opérateurs économiques, en particulier.
Les instances morales de ces deux corporations, par exemple, pourront agir, à partir de leurs « codes d’éthique et de bonne conduite », conscientiser leurs membres, influer sur leur comportement et prévenir les actes répréhensibles. Comme nous l’avons dit, il convient de prévenir les crimes professionnels, les crimes politiques et économiques, au lieu d’attendre qu’ils soient commis, pour sanctionner leurs auteurs, leurs complices et leurs commanditaires, étant donné que les dégâts matériels, humains et environnementaux qu’ils causent sont considérables et, souvent, irréversibles et irréparables dans la plupart des cas.
Un exemple patent de ce genre d’actes est cette activité criminelle, organisée au plan international, que constitue l’exploitation illégale des minerais à l’Est de la République Démocratique du Congo-Zaïre, les minerais dits « de sang » comme le coltan. En dehors des conflits intercommunautaires, c’est essentiellement cette activité illicite qui est la principale cause d’insécurité, de remous sociaux, de violences, de meurtres, de vols et de viols dans ce territoire. Une multitude de bandes armées incontrôlables, créées, équipées et entretenues par une odieuse mafia, opèrent dans cette partie de ce pays, via le Rwanda et l’Ouganda, au nez et à la barbe de la « communauté dite internationale » qui pourrait, à cause de son silence, être tenue, elle aussi, pour complice de tous ces crimes, avec cette guerre prédatrice, que mène le Rwanda, à travers le M23, avec le soutien de l’Ouganda et ces aveux tacites du Président KAGAME, qui a clairement dit, à maintes reprises, agir (1) contre le traitement inique réservé aux tutsis au Congo et, (2) dernièrement, pour la reconquête des territoires perdus, lors du tracé des frontières coloniales (Allez-y comprendre quelques chose !). Mais, tout le monde le sait. Il s’agit bel et bien d’une guerre prédatrice, engagée par la convoitise des richesses du sol et du sous-sol congolais !
Le Rwanda reçoit - paradoxalement - des compliments, des éloges et la collaboration du « monde occidental » auquel il fournit gracieusement des minerais de contrebande, pillés à l’Est du Congo ! Il ne s’agit pas d’exiger simplement la condamnation verbale du Rwanda, de l’Ouganda et de leurs complices. Il faudra plutôt chercher à obtenir du « monde occidental » qu’il veuille bien s’impliquer, pour que - en marge des différentes initiatives à prendre, pour mettre fin aux hostilités et à la souffrance du peuple, comme dans le « processus de Luanda » (Négocier - acte de grande sagesse et de haute diplomatie et non un aveu de faiblesse - ne veut pas dire capituler et accéder à toutes les revendications de ce mouvement fantoche, sachant qu’il n’y a pas de solution militaire à ce conflit - Il faudra, de ce fait, retirer la demande de lancement d’un mandat d’arrêt contre le Président KAGAME du Rwanda, pour préserver un climat de sérénité dans les négociations avec la RDC, qui se déroulent déjà au plus haut sommet des deux pays) - cette activité criminelle soit encadrée, normalisée et alignée sur les mécanismes de réglementation du code minier congolais, avec une simple résolution du « Conseil de Sécurité de l’ONU », par exemple - et avec l’implication de l’Union Africaine - en exigeant la traçabilité, la certification de l’origine des minerais exportés (comme on le fait habituellement, pour les minerais des conflits), résolution que pourront facilement faire appliquer les pays originaires des sociétés engagées dans ce trafic macabre. Le gouvernement congolais devra surtout mener une vaste action diplomatique en direction des occidentaux qui tirent les ficelles, non pas en leur faisant la morale, mais en insistant sur le fait que le monde (y compris le Rwanda, l’Ouganda et leurs complices) continuera à jouir, légalement et dans l’intérêt de tous, de ces minerais critiques et terres rares, à moindre coût, directement à partir du Congo, en payant simplement les royalties, au lieu de continuer à se faire flouer par la mafia et à soutenir indirectement ce pillage des minerais congolais, avec ses conséquences funestes sur le quotidien de la population. L’agression prédatrice du Rwanda va, du coup, s’arrêter et les groupuscules armés qui gravitent autour de l’exploitation minière vont disparaitre ! Et, le peuple congolais, longtemps spolié et copieusement martyrisé, va enfin vivre en paix et sera entièrement rétabli dans ses droits. C’est là la première réponse à donner à ce conflit, avec un cessez-le-feu et une force internationale « neutre » d’interposition à la frontière/est du Congo et, en même temps, l’autodissolution des FDLR (=les Forces Démocratiques pour la libération du Rwanda) et du M23, avec l’amnistie de leurs membres, d’un côté comme de l’autre, avec leur intégration dans la vie civile et militaire, mais pas dans les postes de commandement.
Si l’État doit réglementer le secteur économique, la moralisation de l’activité économique, comme celle du « capital financier », tant réclamée à travers le monde, devra s’opérer, elle, de l’intérieur, par l’« Ordre Mondial des Opérateurs Economiques pour la Sécurité et la Paix » (à instituer dans le cadre de la « Confédération Universelle ») et non être imposée de l’extérieur. De toutes les façons, les mesures moralisatrices contraignantes, imposées de l’extérieur, seront difficilement applicables, qu’il s’agisse du secteur économique ou de n’importe quel autre. Il sera, en effet, pratiquement impossible d’y exercer un quelconque contrôle et d’y appliquer un quelconque régime de sanctions. De telles mesures, prises de l’extérieur, seront tout à fait inopérantes et même contreproductives.
27. Pour une action concertée de l’ensemble des personnes physiques et morales que compte l’humanité, la première action à poser, pour cette génération, dans ce projet de paix, devra être la rédaction et l’adoption de ce document commun de référence et d’orientation, non contraignant, en matière d’« ordre et de désordre » que sera la « Charte mondiale pour la Sécurité et la Paix ».
Dans ce document commun d’orientation et de référence, les « Peuples de la Communauté des Nations » vont établir les bases d’un consensus international sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre », avec (1) un socle conceptuel consensuel de base sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique et (2) un cadre institutionnel global, conséquent et harmonieux, accepté par tous, (a) sous forme d’un système mondial commun de sécurité collective, l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », (b) sous la « police » - le moment venu, une fois les conditions réunies - de la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », (3) autour du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, pour l’édification d’un monde plus juste, un monde écologique libre, uni, pluriel, multiculturel et tolérant (en vertu du principe de « relativité »), une société planétaire solidaire, prospère, pacifique et harmonieuse, tant sur le plan politique, social, économique, monétaire et culturel, que dans la lutte contre le réchauffement climatique, en ce qui concerne, aussi bien les idées et les principes, que les règles, les méthodes et les structures d’organisation à promouvoir, qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie, pour que même les intérêts divergents puissent être conciliés harmonieusement.
L’objet de la « Charte Mondiale » consiste, non pas à apporter immédiatement - comme par un coup de baguette magique - des solutions toutes faites aux problèmes du monde, mais à mettre en place un cadre conceptuel et institutionnel consensuel global, conséquent et harmonieux, accepté par tous, autour du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, en vue de permettre à l’humanité de poser véritablement les bases d’un monde plus juste, un monde écologique libre, uni, pluriel, multiculturel et tolérant (en vertu du principe de « relativité »), une société planétaire solidaire, prospère, pacifique et harmonieuse.
Il s’agira, dans cette optique, (1) de partir du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, un diagnostic « positif », en dehors de toute considération mythologique, métaphysique et moraliste, (2) d’écarter les idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre » qui continuent à gouverner le monde, (3) d’adopter un corpus d’idées générales et de principes fondamentaux en matière d’« ordre et de désordre », qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie, (4) de chercher à réunir les conditions qui doivent être satisfaites en matière d’« ordre et de désordre », tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation politiques, sociales, économiques, monétaires, culturelles et environnementales et (5) d’instituer, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », ce système mondial commun de sécurité collective que sera l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », (a) un système qui ne devra être, ni un gouvernement mondial, ni une structure centralisée et pyramidale, (b) sous la « police » - le moment venu, une fois les conditions réunies - de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », de manière à rassurer toutes les nations et à créer un climat de détente et de confiance mutuelle entre les peuples.
Les idées et les principes qui devront être repris dans la « Charte Mondiale pour la Sécurité et la Paix » sont essentiellement ceux qui (1) se rapportent à la notion d’« ordre et de désordre », (2) touchent le nœud du problème et (3) pourraient modifier l’arrière-plan non critique, conscient et inconscient, de l’opinion populaire et de la pensée dominante de notre époque, de manière à pouvoir influer positivement sur les prises de positions et les comportements des individus et à changer le monde. Ce qui va définitivement imprimer une nouvelle orientation à notre stratégie de recherche de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, dans la recherche de la sécurité, de la paix, du bien-être social pour tous et dans la lutte contre le réchauffement climatique. Un nouvel élan sera alors insufflé au mouvement pacifiste mondial et à celui de développement, de manière à promouvoir les libertés fondamentales, l’harmonie, la concorde, le bien-être social pour tous et par tous, la sécurité, la paix et un équilibre écologique optimal.
La « Charte Mondiale » sera le « vade mecum du vivant à l’"Ere solaire" », le document de référence et d’orientation, non contraignant, en matière d’« ordre et de désordre » qui va guider, librement et sans contrainte, les prises de positions, les choix, les propos, les suggestions et les agissements de chaque membre de la société humaine, dans le vécu quotidien et dans l’exercice de ses fonctions, aussi bien dans son pays que dans les instances internationales. (Vade mecum : Dans ce contexte, guide, manuel qu’on porte sur soi, pour se renseigner, pour se diriger. Ce projet de paix s’adresse d’abord à chaque être humain pris à part, étant donné que la bonne gestion et la bonne gouvernance dans chaque pays, d’une part, et la compréhension, la prise de conscience et la responsabilisation de chaque citoyenne et de chaque citoyen, d’autre part, sont les conditions essentielles de l’avènement de la paix dans le monde).
Dans sa stratégie, ce projet de paix, qui s’adresse à chaque être humain pris à part, va plutôt consigner les idées, les principes, les règles, les méthodes et les structures d’organisation à promouvoir en matière d’« ordre et de désordre » dans ce document commun de référence et d’orientation, non contraignant, que sera la « Charte Mondiale pour la Sécurité et la Paix », pour que chaque membre de la collectivité humaine s’en inspire, librement et sans contrainte, là où il est, dans le vécu quotidien et dans l’exercice de ses fonctions. Il ne s’agira donc pas, dans ce projet de paix, de créer des centres qui mèneraient indéfiniment des recherches théoriques sur la sécurité et la paix, ni de former des « diplômés », des « spécialistes » et des « experts » en recherche de la paix, en prévention et en résolution des conflits, étant donné que la recherche de la paix est une quête perpétuelle qui doit être menée, de manière concertée, par l’ensemble des personnes physiques et morales que compte l’humanité, de générations en générations, et se matérialise réellement dans le vécu quotidien de chaque membre de la famille humaine et dans l’exercice de ses fonctions, aussi bien dans son pays que dans les instances internationales, à travers ses prises de positions, ses choix, ses propos, ses suggestions et ses agissements.
28. Tout est question de vision du monde (Postulat philosophique en matière d’« ordre et de désordre »). « Les idées gouvernent et bouleversent le monde » (Auguste COMTE). Tout - en matière d’« ordre et de désordre », en matière de recherche de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, dans la recherche de la sécurité, de la paix, du bien-être social pour tous et dans la lutte contre le réchauffement climatique - est, avant tout, question de vision du monde.
28.1. Il convient que tout un chacun comprenne, sur ce point, que s’il règne un peu plus de paix, un peu plus d’« ordre » dans le monde politique et socio-économique par rapport au passé, ce n’est pas parce qu’une doctrine morale ou religieuse quelconque aurait rendu l’homme meilleur par rapport au passé. Le minimum d’ordre sociopolitique que nous connaissons actuellement est plutôt dû au bouleversement spectaculaire qui s’était produit dans la manière de l’humanité de se représenter l’univers, le monde, l’homme et la société, de façon « positive », en dehors de toute considération mythologique, métaphysique et moraliste, en commençant par les occidentaux, entre 1.500 et 1.700 après Jésus-Christ.
Ce bouleversement dans la vision du monde, de l’être humain et de la société a conduit à une certaine amélioration dans l’organisation politique et sociale des États et a apporté un peu plus d’« ordre » et une « paix relative » au monde. Même les valeurs de « démocratie » (sous sa forme actuelle), des « libertés individuelles », des « droits humains », de « dignité humaine » et d’« égalité en droits entre les hommes » ont été dégagées par l’humanité, en commençant par les occidentaux, de cette nouvelle conception de Dieu, du monde, de l’être humain et de la société.
28.2. La « Révolution Mondiale », la « Révolution Copernicienne », qui a été à la base de toutes les autres - qu’elles aient été pacifiques ou pas, bien qu’elles n’aient été, dans la plupart des cas, que des « pseudo révolutions » (=Un soulèvement populaire ou un coup d’état suivi d’une dictature, qui brime les libertés et enrégimente les gens…) - s’est amorcée avec les travaux de Nicolas COPERNIC (astronome polonais, 1473 - 1543) dans la manière de décrire l’univers. Elle s’est poursuivie avec les recherches de KEPLER (astronome allemand, 1571 - 1630) et de GALILÉE (physicien et astronome italien, 1564 - 1642). Elle a atteint son point culminant avec les conclusions d’Isaac NEWTON (physicien, mathématicien et astronome anglais, 1642 - 1727), pour éclore avec les philosophes des « Lumières ». En faisant la synthèse des travaux de ses prédécesseurs, Isaac NEWTON avait présenté au monde la vision positive et scientifique suivante de l’univers : « L’univers est un système harmonieux et rationnel, régi par des lois mathématiques de cause à effet ». C’est là le socle conceptuel du fondement philosophique originel du progrès relatif accompli, jusqu’ici, par l’homme dans l’organisation sociopolitique des États.
Selon cette nouvelle manière de voir le monde, les philosophes des « Lumières » estimaient que l’homme, en tant que partie intégrante de l’univers harmonieux et rationnel, pouvait le comprendre par sa propre raison, sans s’appuyer sur une révélation surnaturelle et sans être guidé par la main autoritaire des pouvoirs de ce monde (pouvoirs politiques, pouvoirs religieux...). La nature humaine était alors vue sous un jour nouveau, avec plus d’optimisme. C’est ce qui provoquera, par la suite, l’expansion de l’idée des « libertés individuelles », des « droits humains », de « dignité humaine », d’« égalité en droits entre les hommes » et, plus tard, l’idée d’abolition de l’esclavage. Il se développa ensuite la notion d’affirmation de l’individu et celle d’humanisme. En ce qui concerne la société, les philosophes des « Lumières » affirmèrent alors que la société était perfectible, car l’homme pouvait découvrir les lois intrinsèques qui régissent son fonctionnement et l’améliorer. Les institutions humaines pouvaient alors être modifiées à la lumière de la raison. D’où l’idée de progrès social et de bien-être social. Il se développa ainsi une nouvelle conception du pouvoir et celle de l’État, qui aboutira plus tard à la pratique de la démocratie (sous sa forme actuelle), en y intégrant le principe du respect des droits humains.
29. La « science » est une ! Pour parfaire, à notre tour, la « Révolution Mondiale », rompre avec le passé et sortir des « temps primitifs », nous devons, non pas chercher à rendre l’homme meilleur par des sanctions, des interdits et des injonctions, par le recours à la force et les menaces d’usage de la force, ni même par les prêches du religieux et les conseils du moraliste, mais plutôt miser sur le progrès de la « science », essentiellement (A) en intégrant, dans nos prises de positions, dans nos choix et stratégies dans les affaires politiques, sociales, économiques, monétaires, culturelles et dans la lutte contre le réchauffement climatique, de même qu’en matière de croyances et de religions, (1) le « positivisme » d’Auguste COMTE dans de notre conception de Dieu, du monde, de l’être humain et de la société, en rapport avec l'évolution de la connaissance en matière d’« ordre et de désordre », (a) en nous appuyant sur le « bon diagnostic » (un diagnostic positif) sur la problématique de la recherche de la paix et (b) en écartant les idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre » qui continuent à gouverner le monde, ainsi que (2) les notions de la « physique moderne » qui, en tant que « science », ne se réduit plus à la seule « physique mécanique » (En intégrant, par exemple, le principe de « relativité » d’Albert EINSTEIN et les notions de la physique nucléaire dans notre conception du monde) et (B) en misant sur la recherche scientifique et l’innovation technologique qui nous permettront de revoir notre approche et d’améliorer nos méthodes et nos stratégies dans la lutte contre le réchauffement climatique, par exemple, avec des techniques industrielles, agricoles et énergétiques agricoles et énergétiques efficientes et non avec des injonctions, des objectifs chiffrés, des résolutions contraignantes et des décisions politiques autoritaires prises d’en haut, qui, du reste, sont difficilement applicables et n’ont qu’un effet cosmétique, ni - encore moins - en moralisant les gens et en condamnant l’État pour inaction climatique.
30. Qu’est-ce qui explique le grand retard des sciences humaines par rapport au progrès relatif accompli par l’homme dans le domaine des « sciences dures » et de la technologie ?
En l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, à la suite de la méconnaissance de la cause fondamentale d’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, le désordre du monde politique et socio-économique n’a jamais été perçu comme une question qui relève du domaine de la « science », ni dans l’opinion commune, ni même dans le « monde scientifique », mais seulement comme un problème de « politique politicienne » ou, simplement, de la religion et de la morale qui auraient pour objet - comme on le pense communément - de changer la nature humaine supposée perverse et son cœur jugé corrompu.
La criminologie, par exemple, ne s’occupe que de la criminalité violente et contre la propriété et, dans une moindre mesure, d’un certain type de « criminels en col blanc ». C’est ainsi que les sciences humaines, qui sont censées œuvrer pour l’« ordre » et l’harmonie dans le monde politique et socio-économique, se sont tenues à l’écart de l’objet ultime de leur action, qui ne doit pas consister simplement à produire un savoir « savant » - un savoir qui, dans la plupart des cas, n’est qu’une érudition anesthésiante, qui soulève un certain nombre de questions, sans rechercher les causes profondes des problèmes à l’ordre du jour et sans avancer de propositions concrètes et n’est, dans la plupart des cas, d’aucune utilité, ni pour l’humanité, ni pour le progrès de la science elle-même - mais plutôt, à œuvrer pour l’édification - avec le temps et dans la mesure du possible, en partant du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix et d’une conception philosophique positive et harmonieuse de Dieu, du monde, de l’être humain et de la société - d’un ordre mondial pacifique et harmonieux, susceptible de promouvoir, à la fois, la tolérance, les libertés, l’unité, la solidarité, la fraternité, l’harmonie, la concorde et le bien-être social pour tous et par tous, tel que l’exige - dans la mesure du possible - le progrès relatif accompli par l’homme dans le domaine des « sciences dures » et de la technologie.
C’est essentiellement la méconnaissance du rôle prépondérant que doivent jouer les sciences humaines dans la recherche de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique qui, en l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, perpétue le désordre actuel du monde politique et socio-économique, un désordre intellectuel essentiellement (l’« anarchie intellectuelle », d’après Auguste COMTE), qui ne relève nullement du mal prétendu enraciné en l’homme, ni d’une quelconque faillite morale de sa part.
L’absence de paix dans le monde n’est pas tellement - comme on le pense communément - un problème de « politique politicienne », ni simplement de la religion et de la morale, mais une question qui relève du domaine de la « science ». Si, jusqu’ici, la question des meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique ne s’était jamais posée dans les sciences politiques, sociales et économiques - qui sont censées œuvrer pour l’« ordre », dans leurs domaines de recherche respectives - c’est parce que toute la collectivité humaine et même l’intelligentsia mondiale, dans sa grande majorité, continuent à admettre, inconsciemment, comme allant de soi, les idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre », (1) à la suite de la méconnaissance de la cause fondamentale d’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, (2) en raison de l’influence négative des idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre » sur nos choix et stratégies dans les affaires politiques, sociales, économiques, monétaires, culturelles et dans la lutte contre le réchauffement climatique, (3) en l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix.
31. Le « retard » du monde politique et socio-économique (Sur le plan des fondements philosophiques, en rapport avec la notion d’« ordre et de désordre ») et l’« immaturité relative » de l’humanité, en rapport avec sa conception du monde, de l’être humain et de la société (qui se caractérise par une « immaturité relative » des sciences humaines, les sciences politiques, sociales et économiques, sur le plan des fondements philosophiques) découlent des idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre ».
Ainsi donc, contrairement à l’opinion commune, le niveau de développement actuel des sciences humaines, qui sont censées œuvrer pour l’ordre en matière politique, sociale et économique, est encore insuffisant (Sur le plan des fondements philosophiques, en rapport avec la notion d’« ordre et de désordre ») pour faire régner - de manière satisfaisante - l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique et promouvoir la sécurité, la paix, le bien-être social pour tous et un équilibre écologique optimal, (1) à cause de l’ignorance des meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’« ordre » dans le monde, (2) à la suite de l’ignorance de la cause fondamentale d’absence de l’ordre dans le monde politique et socio-économique, qui n’est nullement le mal prétendu enraciné en l’homme, ni une quelconque défaillance morale de sa part, (3) en raison de l’influence négative des idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre » sur nos choix et stratégies dans les affaires politiques, sociales, économiques, monétaires, culturelles et dans la lutte contre le réchauffement climatique, (4) en l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix.
32. Aucun progrès ne sera réalisé dans la recherche de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, dans la recherche de la sécurité, de la paix et du bien-être social pour tous et dans la lutte contre le réchauffement climatique, tant que, en un premier temps, les idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre », qui se retrouvent dans l’arrière-plan non critique, conscient et inconscient, de l’opinion commune, jusque dans nos écoles et dans nos universités, partout au monde, y compris dans les pays dits développés, n’auront été écartées de la pensée dominante de notre époque, toutes ces idées qui influent négativement - souvent inconsciemment - sur nos prises de positions et nos choix en matière politique, sociale, économique, monétaire, culturelle et dans la lutte contre le réchauffement climatique. Ainsi donc, le changement, la sécurité et la paix ne pourront réellement nous arriver que par nos écoles et par nos universités, mais pas tellement des grands forums « politiques ».
A vrai dire, ce n’est pas tellement aux dirigeants du monde, aux acteurs politiques, socio-économiques et religieux, ni même aux seigneurs des guerres et chefs des groupuscules anarchistes, mais plutôt à l’intelligentsia mondiale, en général, aux philosophes et aux chercheurs en sciences humaines, les sciences politiques, sociales et économiques (C’est-à-dire à nos écoles et à nos universités), en particulier, que revient l’entière responsabilité du désordre actuel du monde politique et socio-économique, un désordre intellectuel essentiellement (l’« anarchie intellectuelle », d’après Auguste COMTE) et ont, à présent, le devoir de présenter aux politiques de meilleures méthodes et une autre manière, plus consensuelle, plus « civilisée » et plus apaisée d’organiser, de gérer la planète et d’administrer les différents pays.
C’est donc à l’intelligentsia mondiale, à nos écoles et à nos universités de réfléchir et d’agir, pour que les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique changent, un désordre intellectuel essentiellement (l’« anarchie intellectuelle », d’après Auguste COMTE), qui ne relève nullement du mal prétendu enraciné en l’homme, ni d’une quelconque faillite morale de sa part.
33. Pour agir avec efficacité, pour rompre avec le passé, pour perfectionner la gouvernance mondiale, améliorer la manière d’administrer nos différents pays et garantir au monde, non pas une « paix béate et absolue », mais simplement une « paix relative », dans les limites du possible et dans les limites de l’humain, le projet « Sortir des temps primitifs » propose à l’humanité d’agir radicalement, dans une perspective mondiale et une approche holistique, par une action concertée de l’ensemble des personnes physiques et morales que compte l’humanité, dans sa quête perpétuelle de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, dans la recherche continue de la sécurité, de la paix, du bien-être social pour tous et dans la lutte contre le réchauffement climatique.
L’humanité, en général, et l’intelligentsia mondiale, en particulier, doivent savoir d’abord que la recherche de la paix, l’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique est une question qui relève avant tout du domaine de la « science », c’est-à-dire du « savoir » et du « savoir-faire » de l’homme, et pas tellement de la « politique politicienne », ni simplement de la religion et de la morale qui auraient pour objet - comme on le pense communément - de changer la nature humaine supposée perverse et son cœur jugé corrompu.
34. Ainsi donc, la stratégie de l’humanité dans la recherche de l’« ordre » sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique doit être focalisée, non pas sur la nature humaine qui est et reste fondamentalement la même, mais plutôt (1) sur le perfectionnement des structures d’organisation politique et sociale de la planète et celles de nos États, en même temps que (2) les idées, les principes et les règles qui les sous-tendent et qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie, (3) en partant du « bon diagnostic », comme hypothèse de travail, dans la recherche continue de la sécurité et de la paix et (4) en appliquant les meilleures méthodes pour faire régner l’« ordre » dans le monde, avec - notamment - des techniques industrielles, agricoles et énergétiques efficientes, dans la lutte contre le réchauffement climatique (=Un phénomène purement « technique », qui relève du domaine de la « science ») et non avec des injonctions, des objectifs chiffrés, des résolutions contraignantes et des décisions politiques autoritaires prises d’en haut, qui, du reste, sont difficilement applicables et n’ont qu’un effet cosmétique, ni - encore moins - en moralisant les gens et en condamnant l’État pour inaction climatique.
35. Avec le diagnostic « positif », proposé, comme hypothèse de travail, dans le projet de paix « Sortir des temps primitifs », avec ce changement de paradigme, l’humanité, en général, et l’intelligentsia mondiale, en particulier, vont enfin toucher le nœud du problème. Les humains pourront alors aller au-delà de ce qui, en matière d’« ordre et de désordre », a toujours été dit, a toujours été fait et a toujours été admis, depuis l’âge de la pierre, dans l’opinion commune, jusque dans le « monde scientifique », mais n’a jamais apporté la sécurité et la paix à l’humanité, pour que, en définitive, les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique changent.
Ils seront ainsi en mesure de revoir, de fond en comble, leur approche, leurs stratégies et leurs méthodes dans la recherche continue de la sécurité, de la paix, du bien-être social pour tous et dans la lutte contre le réchauffement climatique, pour sortir des « temps primitifs », de manière à pouvoir rompre définitivement avec le passé, à perfectionner la gouvernance mondiale, à améliorer la manière d’administrer nos différents pays et espérer obtenir des résultats probants. (Les « temps primitifs » : En l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, l’approche, les stratégies et les méthodes utilisées - par toute l’humanité - en matière d’« ordre et de désordre », dans la recherche de la sécurité, de la paix, du bien-être social pour tous et dans la lutte contre le réchauffement climatique, sont encore, jusqu’ici - fondamentalement - celles de l’âge de la pierre, que sont les sanctions, les embargos, les blocus et les boycotts, les injonctions, les contraintes, l’exclusion et l’isolement, le recours à la force et les menaces d’usage de la force, les frappes préventives - un terrorisme d’Etat - et les invasions militaires...).
36. La « science » est « une » ! Le monde politique et socio-économique et les sciences humaines n’ont pas suivi l’évolution de la physique qui, en tant que science, ne se réduit plus à la seule physique mécanique sur laquelle nous continuons encore à calquer, malheureusement, notre conception du fonctionnement des affaires sociales et économiques.
Devant les prouesses des sciences exactes et de la technologie, nous avons tendance à penser que les sciences humaines, les sciences politiques, sociales et économiques ont connu un progrès similaire ! Nous pensons ainsi, à tort, pouvoir arriver à planifier « mécaniquement », à notre guise, aujourd’hui mieux qu’hier, avec la même précision que les sciences exactes, la croissance économique et à décréter alors infailliblement le progrès social, le plein-emploi, la résorption du chômage, la sécurisation des emplois, la hausse du pouvoir d’achat et la réduction de la pauvreté par des plans rigides et par des décisions politiques autoritaires prises d’en haut, sans prendre en compte les aléas, les imprévus et les impondérables inhérents à notre existence terrestre.
Malheureusement, aujourd’hui, pour les politiques particulièrement, la mode est de promettre aux électeurs, aux masses populaires, la croissance économique, le progrès social, le plein-emploi, la résorption du chômage, la sécurisation des emplois, la hausse du pouvoir d’achat et la réduction de la pauvreté, en leur faisant croire que l’État peut tout ! Ils poussent même l’imposture jusqu’à annoncer, par exemple et par on ne sait quelle magie, le nombre précis d’emplois qui seront créés et à fixer, à l’avance, le taux de croissance économique qui sera généré.
Un des grands problèmes du monde politique et socio-économique en notre temps est que nous continuons à fonder, inconsciemment, notre conception des affaires politiques, sociales et économiques sur une conception exclusivement matérialiste de l’origine de la richesse et sur des concepts de vision mécanique du monde.
Nous continuons à fonder notre conception du fonctionnement des affaires sociales et économiques sur une idée reçue et erronée, héritée du passé, qui suppose que les lois intrinsèques qui les régissent sont des lois mathématiques rigides de cause à effet de même nature que celles de la physique mécanique, au lieu de nous adapter au progrès réalisé par cette science qui ne se réduit plus à la seule physique mécanique. Et, c’est ce qu’a explicité Georges GILDER (Georges GILDER, Economiste et auteur américain) : « Si, comme le montrent les lois de la physique nucléaire, la structure de l’atome tolère le hasard et l’incalculable, comment pouvons-nous écarter le hasard, la chance et les impondérables de la société et des affaires économiques ? ».
Nous devons alors comprendre, par-là, ce qui suit : (1) Le monde est régi par des lois intrinsèques et immuables qui ne dépendent pas de la volonté de l’être humain et que nous devons respecter, à tout prix, dans tout ce que nous entreprenons dans la vie politique, sociale et économique, pour que règne l’harmonie dans la société - (2) Les affaires sociales et économiques ont leur logique intrinsèque qui n’est pas nécessairement celle de nos plans rigides - (3) La nature des lois intrinsèques qui régissent les affaires sociales et économiques est différente de celle des lois de la physique mécanique. Elles sont des lois mathématiques de cause à effet, certes, mais plutôt des lois mathématiques probabilistes à incidence statistique, dont les résultats sont tout à fait incertains et sont soumis aux aléas, aux impondérables et aux imprévus.
Les problèmes liés à la paix et à la sécurité doivent trouver solution en amont, au niveau de leurs causes profondes et non au niveau de leurs conséquences dans la vie politique, sociale et économique. Ainsi donc, la meilleure façon de mettre un terme aux exactions, aux violences, aux vols, aux viols, aux meurtres et aux divers autres formes de crimes odieux qui se commettent pendant les conflits armés est, non pas de réglementer et d’humaniser les guerres, ni de moraliser l’homme et de lui imposer une multitude d’interdits, mais plutôt de chercher à réunir les conditions qui doivent être satisfaites pour que, lorsque les conflits surgissent, ils ne puissent plus dégénérer en conflits armés et ne débouchent plus sur de la violence, notamment en instituant, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », ce système mondial commun, plus harmonieux et réellement pacifiste, de sécurité collective que sera l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », (a) sous la « police » - le moment venu, une fois les conditions réunies - de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », (b) en remplacement du système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète (d’alliances politico-militaires particulières), hérité de l’époque de la « guerre froide », ce système qui pourra créer, avec les idées, les principes, les règles et les méthodes qui le sous-tendront, un climat de détente et de confiance mutuelle entre les peuples, pour que les armes de guerres tombent, d’elles-mêmes, en désuétude, sans qu’on ne s’y active particulièrement, que le « Pacte Mondial de Non-agression et de Renonciation à l’Option Militaire » ne soit violé et que le désarmement s’opère de manière quasi spontanée.
37. En intégrant la notion de « positivisme » d’Auguste COMTE dans la conception du monde, l’humanité, en général, et l’intelligentsia mondiale, en particulier, vont essentiellement, à cette occasion, non seulement (1) écarter les idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre » qui continuent à gouverner le monde, mais aussi (2) cesser de fonder leur conception des affaires politiques, sociales et économiques sur une conception exclusivement matérialiste de l’origine de la richesse et sur des concepts de vision mécanique du monde, qui ont déjà été invalidés par les notions de la physique nucléaire et la théorie de la « relativité » d’Albert EINSTEIN et (3) introduire, mutatis mutandis, les notions de criminologie moderne et les meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’« ordre » dans le monde au champ, plus étendu, de la recherche de la paix, en son sens le plus large qui inclue l’« ordre » sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique (C’est-à-dire dans les programmes des sciences politiques, sociales et économiques). Ce qui (4) permettra aux sciences humaines d’améliorer leurs fondements philosophiques pour sortir relativement de leur « immaturité » et rattraper leur retard par rapport au progrès relatif accompli par l’homme dans le domaine des « sciences dures » et de la technologie, (5) de manière à amener cette génération à parfaire la « Révolution Mondiale copernicienne ».
Le retard du monde politique et socio-économique tient aussi au fait que nous n’avons pas suffisamment intégré la notion de « relativité » d’Albert EINSTEIN et les notions de la physique nucléaire dans la conception de nos affaires politiques, sociales et économiques.
La « science » est « une » ! S’il n’y a pas de vérité absolue en physique qui est une science dite « exacte », une « science dure », il ne peut a fortiori pas en avoir en matière de croyances et de religions, ni dans les affaires politiques, sociales et économiques qui ne sont que des « sciences humaines », des « sciences molles ».
Dans le cadre de l’alignement au « positivisme » d’Auguste COMTE, l’intégration du principe de « relativité » d’Albert EINSTEIN et des notions de la physique nucléaire dans la conception de nos affaires politiques, sociales et économiques créera un climat de détente, avec plus de tolérance dans nos rapports entre États et entre individus. Elle va amener plus d’harmonie et plus de cohésion dans notre stratégie de recherche de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, dans la recherche de la sécurité, de la paix, du bien-être social pour tous et dans la lutte contre le réchauffement climatique.
En intégrant la notion de « relativité » de la physique moderne dans notre conception du monde, nous comprendrons alors que « tout est relatif ». Ce qui va promouvoir un climat de détente et de confiance mutuelle entre les peuples, avec plus de tolérance dans les rapports entre les États et entre les individus.
Nous pourrons alors (1) mieux lutter, aussi bien contre le fanatisme, l’intolérance, l’intégrisme religieux et la « dictature religieuse » que contre le recours abusif aux libertés, pour tourner en dérision les croyances des autres (Liberté d’expression, laïcité…), (2) bannir l’intolérance et le fanatisme politique, de manière à pouvoir dissiper le conflit d’idéologies qui perdure dans le monde et à l’intérieur de nos différents pays, (3) pour amener les peuples du monde (a) à adhérer à une doctrine sociale commune (Sans totalitarisme ni restriction sur le plan idéologique, pour pouvoir, grâce au principe de « relativité », dissiper le conflit d’idéologies qui perdure dans nos pays et dans le monde) et (b) à imaginer des formes plutôt consensuelles et plus harmonieuses de représentation, d’accession, de partage et d’exercice du pouvoir, en optant pour un autre type de système politique (celui des « démocraties consensuelles » qui se fondent sur le principe de « relativité »), ce système qui, loin de prôner l’unanimité et la pensée unique, privilégie la recherche de solutions à un attachement mordicus à la discipline et aux lignes idéologiques sectaires des partis, mais en tenant plutôt compte du contexte et des conditions du moment (Principe de « relativité » oblige), sans conduire à une polarisation à outrance de la scène politique.
38. Tout est relatif ! Les faits religieux relèvent de la vie privée de chacun ! La « science » est « une » ! S’il n’y a pas de vérité absolue en physique qui est une « science dure » (une « science exacte »), il ne peut a fortiori pas en avoir en matière de croyances et de religions.
38.1. Les croyances religieuses, les expériences et les révélations autour du Divin, qui varient d’une culture à l’autre, d’une religion à l’autre et même d’une personne à l’autre, ne sont pas des vérités absolues, mais simplement des affirmations tout à fait relatives ! L’immensité du Divin ne peut se réduire à une seule révélation, ni être limitée au contenu d’un seul livre sacré, quel qu’il soit. Et, comme l’illustre bien le « proverbe chinois de "l’éléphant et les aveugles" », nous ne percevons la réalité divine que du côté où nous nous trouvons, en rapport avec la texture de notre pensée, en rapport avec notre culture, notre conception du monde, notre savoir et notre époque, sans rien d’absolu !
Nous devons comprendre par-là que, en vertu de ce principe « scientifique » qu’est la « relativité » - qui indique qu’il n’y a pas de vérité absolue en matière de croyances et de religions - et au nom de la « liberté de croyance », toutes les religions, toutes les doctrines autour du Divin se valent, tant qu’elles respectent l’ordre public ainsi que les droits et les libertés de la personne humaine (Y compris la liberté de croire, de ne pas croire et de se convertir éventuellement à une autre religion), tant qu’elles n’asservissent pas les gens et ne conduisent pas à l’intolérance et au rejet des autres, au rejet de ceux qui ne sont pas de la même obédience religieuse qu’elles. Ainsi donc, quiconque croit détenir le monopole de la vérité religieuse, méprise les religions des autres ou le point de vue de ceux qui ne croient pas et voudrait les convertir à la sienne doit savoir qu’il représente une menace pour la paix dans le monde.
38.2. Tout est relatif ! Les faits religieux relèvent de la vie privée de chacun ! En vertu du principe de « relativité », au nom de la « tolérance », d’« acceptation de l’autre » et d’« acceptation de la différence » et, simplement, par respect de la « vie privée d’autrui », chacun d’entre nous doit garder ses convictions religieuses ou philosophiques pour lui (Les autres ont les leurs !).
Ce n’est pas en voulant convertir toute l’humanité à une seule doctrine philosophique ou à une seule religion, considérée comme étant la seule véritable, que nous allons instaurer la paix dans le monde, mais plutôt - au contraire - en « libérant » la pratique religieuse, en nous accordant tous - en vertu de la notion de « relativité » - sur ce principe cardinal : Tout est relatif ! Les faits religieux relèvent de la vie privée de chacun ! Tout être humain est libre (1) de pratiquer la religion de son choix, (2) de croire ou de ne pas croire (Mais, dans le respect de l’autre et de ses convictions religieuses, sans jamais tourner en dérision les croyances des autres), (3) de pouvoir quitter sa religion, sans être condamné pour apostasie, (4) de se convertir éventuellement à une autre ou (5) d’adopter sa propre forme de croyance, même tout à fait en dehors des canaux que proposent les principales confessions religieuses existantes.
Un pouvoir religieux, quel qu’il soit, ne peut faire l’unanimité, aligner et unir tous les humains sous sa bannière, pour instaurer la paix dans le monde. (Ce n’est pas parce que l’État est « laïque » qu’on doit se permettre de profaner, de déchirer le Saint Coran, de tourner en dérision et de caricaturer éperdument le Prophète Mohammed, provoquer et offenser ainsi délibérément - avec un profond mépris - des centaines de millions de croyants musulmans à travers le monde, sous ces abusifs et fallacieux prétextes de « liberté d’expression », de « laïcité », de « valeurs de la République », de « valeurs de l’Europe »... Il convient que, dans chacun de nos pays, les droits et les libertés, en général, comme « la liberté d’expression » et « la liberté de presse », en particulier, s’exercent de manière responsable, conformément aux lois et règlements, dans le respect de l’autre, dans le respect des droits et des croyances des autres, avec sagesse, avec sagesse, avec tact et méthode (pour ne pas récolter des effets contraires aux résultats escomptés), sans dénigrer, sans provoquer ni nuire à autrui, sans troubler l’ordre public et sans mettre en péril la paix sociale et le vivre-ensemble. Nos libertés s’arrêtent là où commencent les droits des autres. Mais, l’être humain qui n’est - jusqu’ici - pas encore tout à fait sorti de sa « petite enfance » pense - de manière égoïste - pouvoir tout se permettre, au nom de sa « liberté », en abusant de la « liberté d’expression », sans se soucier des droits autres !
38.3. C’est par pure ignorance, par la méconnaissance de ce principe « scientifique » qu’est la « relativité » que nous-mêmes et nos dignitaires religieux, ceux d’hier et ceux d’aujourd’hui, sombrons dans le sectarisme, l’intolérance, le fanatisme, l’intégrisme religieux et la « dictature religieuse ».
Tout un chacun comprendra ici qu’il doit, en vertu du principe de « relativité », au nom de la tolérance et des « libertés religieuses », pratiquer sa religion ou sa forme de croyance particulière, non pas pour l’imposer ni pour apprendre quoi que ce soit aux autres, dans l’espoir de changer le monde, avec les dogmes, les préceptes et les révélations de sa religion, dans le sens de l’accomplissement des prophéties des textes sacrés de sa religion, mais plutôt pour son édification personnelle, pour son comportement individuel, pour sa « vie privée » et pour sa foi.
38.4. Etant donné que l’État est laïque, il doit laisser à chacun la liberté d’exprimer publiquement ses convictions religieuses, mais sans troubler l’ordre public. Il ne doit s’opposer ni s’acharner contre les signes distinctifs religieux, vestimentaires, artistiques, ornementaux et architecturaux d’une communauté religieuse quelconque.
Un État laïque n’est pas un État athée qui s’opposerait à toute référence à Dieu, un État qui serait contre les religions ou contre une religion et s’opposerait au port des signes religieux dans l’espace publique, à moins que l’uniforme ne soit exigé pour une école ou pour une profession donnée, exception faite des tenues qui dissimulent le visage et rendent impossible l’identification des personnes qui les portent.
La laïcité n’est, ni de l’athéisme, ni une valeur antireligieuse, mais plutôt un principe qui promeut la tolérance, l’harmonie et la concorde dans le « vivre-ensemble ». Il doit, de ce fait, magnifier la tolérance et les libertés religieuses, jusqu’au port des signes religieux et tenues vestimentaires des différentes religions dans l’espace publique.
L’idée de vouloir aligner tout le monde sur une « culture dite laïque », en violation du principe de « relativité » (Comme en France), conduit à un « laïcisme militant, agressif et intolérant ».
Nul ne doit, cependant, priver les hommes et/ou les femmes de leurs droits et de leurs libertés, pour les astreindre à des contraintes inutiles, au nom de la religion, au motif que ce serait là des recommandations de Dieu en personne (Une imposture !). L'État devra y veiller !
La laïcité doit être un « vecteur » des libertés et non un « épouvantail » qui s’oppose au port des signes distinctifs religieux et s’impose dans le choix du vestimentaire. D’une manière générale, si l’État doit laisser une liberté totale aux gens dans le choix du vestimentaire et le port des signes religieux, la « religion » ne doit, pour sa part, pas s’imposer dans ce choix, sauf - peut-être - uniquement dans les lieux de culte !
La laïcité suppose, à la base, (1) la neutralité de l’État. (2) Le pays ne dispose pas de constitution dite « religieuse » et (3) n’est inféodé à aucune doctrine religieuse. (3) Il y a une séparation institutionnelle entre l’État et les confessions religieuses - bien qu’il existe souvent une certaine collaboration entre la sphère étatique et le monde religieux - et que, de ce fait, (4) l’État ne dicte à aucune communauté religieuse la manière de pratiquer sa religion.
Quoi qu’il en soit, qu’il s’agisse d’États dits laïques ou de pays ayant des constitutions religieuses, les habitants doivent pouvoir, au nom des libertés religieuses, de la liberté de conscience, de croyances et de culte, et, simplement, en vertu du principe de « relativité », exprimer librement leurs convictions religieuses, jusqu’au port des signes distinctifs, de manière ostensible, jusque dans l’espace publique, mais sans troubler l’ordre public. Ils doivent donc pratiquer leurs religions dans le respect de l’ordre public, dans le respect des droits et des libertés des autres, en gérant l’altérité dans une vie collective. Cependant, tout en laissant à chacun la liberté de croire ou de ne pas croire, de pouvoir éventuellement quitter sa religion, sans être condamné pour apostasie, de se convertir librement à une autre ou d’adopter sa propre forme de croyance, l’État devra, en vertu du principe de « relativité », écarter tout prosélytisme actif et intolérant !
39. D’une manière générale, ce sont les insuffisances de l’état actuel de la démocratie dans le monde qui sont à l’origine de la plupart de conflits qui sévissent à l’intérieur de nos différents pays, (1) à cause de l’ignorance des meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’« ordre » dans le monde, (2) à la suite de l’ignorance de la cause fondamentale d’absence de l’ordre dans le monde politique et socio-économique, qui n’est nullement le mal prétendu enraciné en l’homme, ni une quelconque défaillance morale de sa part, (3) en raison de l’influence négative des idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre » sur nos choix et stratégies dans les affaires politiques, sociales, économiques, monétaires, culturelles et dans la lutte contre le réchauffement climatique, (4) en l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix.
Contrairement aux idées reçues, ni les sanctions, l’isolement, les embargos et la propagande politique, ni, encore moins, les moyens militaires, comme la guerre dans un pays ou contre un État, ne peuvent véritablement asseoir la démocratie et le respect des droits humains dans le monde ou dans un pays quelconque, tant que les conditions requises ne sont pas réunies.
Dans notre propension à vouloir voir s’instaurer, immédiatement et sans délai, la démocratie et le respect des droits humains partout au monde, nous devons savoir que tout progrès, que tout changement ne peut s’opérer harmonieusement qu’avec le temps et, seulement, lorsque toutes les conditions sont réunies. Nous devons, de ce fait, apprendre à donner, chaque fois, le temps au temps, sous peine de récolter des effets contraires aux résultats escomptés.
L’instauration, dans chaque pays, d’un mode particulier et consensuel de représentation, d’accession, de partage et d’exercice harmonieux du pouvoir (celui des « démocraties consensuelles » qui se fondent sur le principe de « relativité ») - un système qui convient le mieux à sa population, lui donne entière satisfaction, expose moins aux conflits et aux abus et garantit automatiquement, par ses mécanismes intrinsèques, le renouvellement, sans heurts, de la classe politique dirigeante - réduira sensiblement les conflits politiques dans nos différents pays, ces conflits qui dégénèrent souvent en troubles sociaux et en conflits armés.
L’« alternance au pouvoir » qu’on considère, à tort, comme une vertu de la « démocratie », n’est plutôt qu’une preuve de plus du fait qu’aucune famille politique ne peut détenir, seule, la « science » et la « vérité » de manière absolue.
L’« alternance au pouvoir », dans le bipartisme, la compétition et la confrontation permanente entre des familles politiques rivales, qui se disputent constamment le pouvoir et ne peuvent jamais collaborer entre elles, n’est - en soi - pas une réponse suffisante que nous puissions donner à l’humanité, dans sa quête d’une démocratie qui soit politiquement harmonieuse, socialement apaisée et économiquement efficiente. Il y a plusieurs dizaines d’années que les démocraties « classiques » de type oppositionnel et bipartite alternent, mais sans grands résultats et surtout sans jamais garantir réellement la tolérance, la cohésion politique et l’harmonie sociale dans ces pays).
L’instauration de la démocratie, sous une forme ou une autre et, avec elle, l’avènement de la sécurité, de la paix et du développement dans le monde et dans nos différents pays, ne pourront devenir une réalité que lorsque les principaux points de dissensions politiques et socio-économiques auront préalablement été aplanis, au niveau planétaire d’abord - dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale » - et, ensuite, à l’intérieur de nos différents pays, par toutes nos sensibilités politiques respectives, sans exclusive.
Par contre, la pratique du système politique des « démocraties consensuelles » ne sera politiquement harmonieuse, socialement apaisée et économiquement efficiente que (1) si nous intégrons la notion de « relativité » de la physique moderne dans notre conception du monde, (2) si nous réalisons un consensus international sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre » et (3) lorsque nous aurons adopté une doctrine sociale commune à l’échelle de toute la planète (Sans totalitarisme ni restriction sur le plan idéologique, pour pouvoir, grâce au principe de « relativité », dissiper le conflit d’idéologies qui perdure dans nos pays et dans le monde).
40. Avec l’intégration du principe de « relativité » et des notions de la physique nucléaire dans la conception du monde, nous pourrons enfin amener les « Peuples de la Communauté des Nations » à imaginer des formes plutôt consensuelles et plus harmonieuses de représentation, d’accession, de partage et d’exercice du pouvoir, en optant pour un autre type de système politique (celui des « démocraties consensuelles » qui se fondent sur le principe de « relativité »), ce système qui, loin de prôner l’unanimité et la pensée unique, privilégie la recherche de solutions à un attachement mordicus à la discipline et aux lignes idéologiques sectaires des partis, mais en tenant plutôt compte du contexte et des conditions du moment (Principe de « relativité » oblige), sans conduire à une polarisation à outrance de la scène politique.
Le système politique dominant actuel des « démocraties oppositionnelles, bipartites et compétitives » qui est érigé en dogme et se fonde sur la dialectique « majorité - opposition », sur la compétition et la confrontation permanente - un système conflictuel par essence - conduit à toutes sortes d’abus et ne convient pas à tous les peuples :
C’est surtout le cas de ces pays où les « démocraties oppositionnelles, bipartites et compétitives » classiques ont échoué ou ne se sont pas bien adaptées, en raison des particularismes, tel le communautarisme ou la prolifération des partis politiques sans idéologies précises que présentent leurs populations. Le système politique des « démocraties consensuelles » proposé par le projet de paix « Sortir des temps primitifs », pourra être adopté harmonieusement par ces pays et aussi par tous ces peuples qui hésitent à s’ouvrir à la démocratie, du moins sous sa forme bipartite et compétitive dominante actuelle.
Les pays qui continuent à recourir au système des « partis uniques » doivent s’ouvrir aux autres courants d’idées - principe de « relativité » oblige - libéraliser la vie politique et abandonner l’« autoritarisme » et le « totalitarisme idéologique » qui les caractérisent, en mettant en place des procédures précises par lesquelles les citoyens peuvent présenter des suggestions et des initiatives concrètes, individuelles ou collectives, mais sans qu’elles ne s’érigent nécessairement en formations politiques d’« opposition » et que le parti unique, le « parti-État », ne soit plus présenté comme un « parti politique », au sens classique du terme, étant donné que la démocratie n’est pas seulement ni nécessairement un jeu des partis politiques, un jeu de « majorité - opposition ».
Le système politique des « démocraties consensuelles » pourra également être adopté par tous ces pays où le système politique des « démocraties oppositionnelles, bipartites et compétitives » semble convenir, mais ne donne pas entière satisfaction.
Lors de la course au pouvoir, la logique d’affrontement, sur lequel se fonde ce système politique, donne lieu - même dans les pays où il semble convenir - aux invectives, aux attaques personnelles et même aux injures entre les candidats des différentes familles politiques (S’il ne donne pas, là aussi, lieu (1) à des contestations électorales, comme aux États-Unis, (a) en 2000, lors des élections BUSH Vs. GORE, et, (b) dernièrement, avec le Président TRUMP et ce spectacle désolant, digne d’une « république bananière », qu’a présenté au monde la première démocratie « bipartite et compétitive » de la planète, avec l’assaut du Capitole du 6 Janvier 2021, (2) aux récurrentes batailles budgétaires des congressistes américains ou (3) à des crises gouvernementales répétitives, en Belgique, en Israël, en Italie, au Liban et, actuellement, de plus en plus, dans les autres pays de l’Europe, Allemagne, France...), avec, de manière permanente, une polarisation à outrance de la scène politique, une absence de tolérance et un manque de cohésion politique et d’harmonie sociale dans la recherche de solutions aux problèmes de la nation.
Et, habituellement, dans ces pays, la nouvelle équipe au pouvoir s’empresse - en l’absence de consensus entre les deux camps politiques opposés - d’adopter juste le contraire de ce qui avait été décidé par le gouvernement précédent et crée une certaine instabilité.
D’une manière générale, l’adoption du système politique des « démocraties consensuelles » permettra à tous les pays de bannir la polarisation excessive de la scène politique qui caractérise le système politique dominant actuel des « démocraties oppositionnelles, bipartites et compétitives ». Il nous permettra de garantir plus de tolérance, plus d’harmonie et plus de cohésion dans notre recherche de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, dans la recherche de la sécurité, de la paix, du bien-être social pour tous et dans la lutte contre le réchauffement climatique, non seulement à l’intérieur de nos différents pays, mais à l’échelle de toute la planète.
41. En nous appuyant sur le principe de « relativité » de la physique moderne, nous comprendrons alors ce qui suit, en ce qui concerne la « démocratie » :
Il est illusoire que les tenants d’une doctrine sociale sectaire quelconque ou les membres d’un parti politique, à l’échelle d’un pays, puissent prétendre pouvoir résoudre tous les problèmes politiques, sociaux et économiques dans le monde ou à l’intérieur de leur pays, à partir de la seule ligne idéologique sectaire de leur doctrine.
A l’ère actuelle de la fin des idéologies, en cette époque de la théorie de la « relativité », le rôle des partis politiques ne doit plus être de « philosopher » sur leurs idéologies politiques, mais de résoudre de façon pragmatique, avec les autres sensibilités politiques, ensemble et de manière consensuelle, les problèmes qui se posent à la nation, sur base de compromis, sans s’attacher à leurs lignes idéologiques sectaires, mais en tenant plutôt compte du contexte et des conditions du moment (Principe de « relativité » oblige).
De ce fait, toutes les formations politiques, tous les groupes communautaires et les tenants des différentes doctrines devront se mettre ensemble, pour apporter des solutions aux problèmes politiques, sociaux, économiques et environnementaux de la nation et du monde. Chaque groupe va apporter ce qu’il a de meilleur et accepter de collaborer avec les autres, sans prétendre qu’il soit le seul détenteur de la « science » et de la « vérité ».
La pratique du système politique des « démocraties consensuelles » qui se fonde sur le principe de « relativité » de la physique moderne et l’adoption - même de manière tacite - du « pragmatisme », le « pragmatisme dans l’économie sociale et solidaire de marché », comme doctrine sociale commune de l’humanité, dissiperont le conflit d’idéologies qui perdure dans le monde et à l’intérieur de nos différents pays. Elles garantiront plus de tolérance, plus d’harmonie et plus de cohésion dans nos actions politiques, sociales, économiques et environnementales.
Si la cohabitation entre les camps politiques opposés est difficile et chaotique dans les « démocraties oppositionnelles, bipartites et compétitives » et que le compromis y est difficile à trouver, c’est (1) à la suite de cette espèce de fanatisme politique, (2) de la caporalisation à outrance des acteurs politiques et (3) de l’enrégimentement des gens qu’elles génèrent, (4) en l’absence de consensus sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre », tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation, (5) en l’absence également d’une doctrine sociale commune et (6) à la suite, essentiellement, du fait que la notion de « relativité » n’ait pas encore été suffisamment intégrée dans notre conception du monde.
La pratique du système politique dominant actuel des « démocraties oppositionnelles, bipartites et compétitives » qui consiste à accorder l’exclusivité du pouvoir exécutif à une seule famille politique, pendant que l’autre est réduite à exercer tout simplement l’opposition et, souvent, la critique systématique, relève d’une idée reçue, héritée de l’époque des idéologies, au moment où la notion de « relativité » n’était pas suffisamment ancrée dans nos esprits. Cette idée reçue et erronée suppose que la science et la vérité ne peuvent se situer que dans un seul camp politique et, cela, de manière absolue, dans le camp de la majorité populaire.
« Consensus » ne veut pas dire « unanimité » ni « pensée unique » !
Le système politique des « démocraties consensuelles » confie le pouvoir exécutif - après élections - aux meilleurs des différents groupes sociopolitiques en présence, suivant le critère de représentation retenu dans le pays concerné et qui l’exercent de manière consensuelle, sur base de compromis. Ces personnes qui peuvent avoir des points de vue différents - et cela est tout à fait normal - se mettent ensemble et essaient de concilier leurs propositions, pour la recherche de consensus ou - tout au moins - d’un compromis.
Ce système politique ne prône donc ni l’unanimité ni la pensée unique, mais privilégie la recherche de solutions à un attachement mordicus à la discipline et aux lignes idéologiques sectaires des partis, mais en tenant plutôt compte du contexte et des conditions du moment (Principe de « relativité » oblige), sans conduire à une polarisation à outrance de la scène politique.
La participation des citoyens à la gestion de la chose publique devra être améliorée, en précisant, au niveau de chaque pays, les procédures par lesquelles ils peuvent - sous certaines conditions - prendre, de manière ordonnée et responsable, des initiatives concrètes et explicites, individuelles ou collectives et pouvoir influer de manière constante sur la gestion de la chose publique, de sorte qu’ils n’aient pas seulement la rue et, aujourd’hui, l’Internet avec les réseaux sociaux, comme moyens d’expression, en dehors des élections, des référendums et des votations. Mais, ces procédures ne doivent pas prendre la forme d’instances populaires de prise de décisions, comme les fameux « comités populaires » de triste mémoire, ni s’apparenter aux systèmes politiques dans lesquels « tout doit être décidé par tout le monde ».
Tout ne doit être décidé par tout le monde ! Ce projet de paix rejette l’idée - souvent évoquée par une certaine opinion - d’instituer le principe de « majorité populaire » à l’ONU et dans nos différents pays, étant donné que, dans le monde des idées, l’évidence est trompeuse (Joseph SCHUMPETER, économiste autrichien, 1883 - 1950, dans son livre « Socialisme et démocratie »). Contrairement à l’opinion commune, contrairement à l’adage « Vox populi vox dei » (= littéralement, du latin, « la voix du peuple, c’est la voix de Dieu »), ce n’est pas nécessairement la majorité populaire qui est douée de bon sens, possède un esprit critique aiguisé et a nécessairement raison. Contrairement à ce qu’on pense communément, comme l’a si bien dit Joseph SCHUMPETER, dans ce livre, les humains perdent l’acuité de leur esprit critique et le sens de la rigueur, quand ils agissent en masse, non seulement lorsqu’ils sont dans la foule, mais également lorsqu’ils ne sont pas au coude à coude.
Le monde irait droit à la dérive, si on instituait le principe de « majorité populaire » (le « suffrage mondial »), à l’échelle planétaire et à l’ONU, comme l’a souvent proposé une certaine opinion qui exige « plus de démocratie », en souhaitant que tout soit, chaque fois, décidé par la majorité populaire.
Ainsi donc, contrairement à la pratique courante des referendums et des votations - qui ne devraient, en principe, être réservés qu’à quelques cas précis, sous certaines conditions - il convient que, lorsqu’un problème se pose ou qu’un conflit surgit - et particulièrement pour les questions hautement techniques que ne maîtrise pas le commun des mortels - le peuple se confie, chaque fois, à ceux qui en ont la compétence, c’est-à-dire aux meilleurs d’entre nous, parmi les délégués des différents courants d’idées. Ceux-ci vont y réfléchir et débattre en toute sérénité dans des cadres sélects, en association avec des experts, sans se limiter à l’avis et aux résolutions prises, sans ménagement, par la foule, par les masses populaires sur la place publique. Mais, si un avis contraire à la « volonté populaire », est retenu, il conviendra de recourir à la pédagogie la mieux indiquée et prendre le temps nécessaire, pour l’expliquer au peuple et le persuader du bienfondé, de la pertinence et de la justesse d’une telle décision, en vue de conférer à celle-ci une assise populaire, avant de pouvoir l’appliquer.
C’est de cette façon que devront également être examinées les initiatives des citoyens, avec la possibilité de les amender et de les améliorer, en associant leurs promoteurs à ces débats, pour que tout ne soit plus résolu simplement par un « oui ou non » des consultations populaires, les référendums et les votations, dont le résultat concerne souvent tout à fait autre chose - un « vote sanction » de la politique du gouvernement, par exemple - que l’objet même de cette consultation populaire.
Etant donné que la « foule » a rarement raison - parce qu’elle est mue par l’esprit grégaire, par les émotions, par les instincts et non par une quelconque rationalité - pour être bénéfique, la participation du peuple à la gestion de la chose publique devra s’accomplir de moins en moins par des consultations populaires, de moins en moins par les référendums et les votations, qui ne devraient, en principe, être réservés qu’à quelques cas précis, sous certaines conditions, surtout pour les questions hautement techniques que ne maîtrise pas le commun des mortels. C’est - malheureusement - à l’occasion des consultations populaires que certains pays ont renié ce qui faisait leur force et leur grandeur, en adoptant - par esprit grégaire - lors des référendums ou des votations, des options politiques et sociales rétrogrades. La participation du « peuple » à la gestion de la chose publique ne devra surtout pas s’apparenter aux systèmes dans lesquels « tout doit être décidé par tout le monde ».
Les révolutions de la rue ont généré (1) des guerres civiles et un chaos en Lybie, en Syrie et au Yémen, une instabilité et des crises politiques en Algérie, en Egypte et en Tunisie, pour le « Printemps arabe », (2) une absence de tolérance et un manque de cohésion politique et d’harmonie sociale, pour les mouvements des « indignés », des « insoumis » et d’« occupy » en Occident, (3) un désordre politique et socio-économique pour la « révolution des parapluies » à Hong Kong, ainsi que (4) des violences, des actes de vandalisme et même des morts d’hommes, pour « la révolte des gilets jaunes » en France et le mouvement des « pro-démocratie » à Hong Kong. Les revendications peuvent être tout à fait fondées, mais la méthode n’est souvent pas adéquate et produit plutôt des effets contraires aux résultats escomptés, en l’absence, malheureusement, dans nos différents pays, de procédures précises par lesquelles les citoyens peuvent - sous certaines conditions - prendre, de manière ordonnée et responsable, des initiatives concrètes et explicites, individuelles ou collectives et pouvoir influer de manière constante sur la gestion de la chose publique. Ils n’ont jusqu’ici, malheureusement, que la rue et, aujourd’hui, l’Internet avec les réseaux sociaux, comme moyens d’expression, en dehors des élections, des référendums et des votations.
Il ne suffit pas de descendre dans la rue comme des anarchistes, avec des revendications inconsidérées et vagues. Il faut plutôt présenter la solution proposée de manière explicite, en indiquant clairement aux décideurs les conditions qui doivent être satisfaites et la voie à suivre, pour que soit résolu le problème à l’ordre du jour.
Nous devons réfléchir sur les conditions d’un bon usage des consultations populaires (Referendums et votations, qui ne devraient, en principe, être réservés qu’à quelques cas précis, sous certaines conditions), pour sortir d’une vision simpliste de la notion de « souveraineté populaire » et de « majorité populaire » et pouvoir enfin aller au-delà d’une démocratie des masses populaires informes et anonymes et évoluer vers la pratique d’une démocratie des citoyennes et citoyens singularisés et responsables, en privilégiant la réflexion, la « délibération commune » et la recherche de compromis, en lieu et place de simples « oui ou non ».
Dans le même ordre d’idées , mais dans un tout autre registre, au lieu de le fixer en s’appuyant sur des considérations idéologiques de politique politicienne, l’âge légal de départ à la retraite, qui peut être une moyenne ou même une fourchette - et pas nécessairement un chiffre absolu - est fixé (a) en fonction des normes sanitaires, (b) dans un esprit de solidarité, (c) mais sans rechercher l’uniformité et l’égalitarisme (Principe de « relativité » oblige), (d) suivant les normes techniques, (e) par des experts, les spécialistes des sciences actuarielles et non par la foule dans la « rue », par des sondages d’opinions, par des referendums ou des votations et surtout pas par des recommandations issues des conventions citoyennes, tenues par des personnes simplement tirées au sort, qui n’ont pas suffisamment réfléchi sur le sujet et n’ont pas nécessairement une expertise en la matière (Tout ne doit être décidé par tout le monde !), (f) en rapport avec les facteurs suivants : (1) l’espérance de vie dans chaque catégorie professionnelle, (2) les mesures à prendre sur le taux et la durée des cotisations pour chaque catégorie professionnelle, conformément aux réalités de chaque pays et de chaque époque, (3) la projection de l’évolution du rapport entre la population active et les retraités à prendre en charge, au regard du pyramide des âges, (4) en tenant compte (a) de la pénibilité, de la dangerosité et de la spécificité de certaines professions, (b) d’un handicap ou (c) d’une invalidité, selon les cas.
42. En intégrant le principe de « relativité » dans notre conception du monde, nous pourrons (1) bannir l’intolérance et le fanatisme politique, (2) de manière à pouvoir dissiper le conflit d’idéologies qui perdure dans le monde et à l’intérieur de nos différents pays, (3) pour amener les peuples du monde à adhérer à une doctrine sociale commune (Sans totalitarisme ni restriction sur le plan idéologique, pour pouvoir, grâce au principe de « relativité », dissiper le conflit d’idéologies qui perdure dans nos pays et dans le monde) :
42.1. La doctrine sociale commune : L’humanité tend actuellement à adhérer, avec l’évolution des idées, à une même doctrine sociale, commune à tous les peuples. Et, cette doctrine n’est, ni une doctrine morale, ni une doctrine religieuse. Elle n’est ni le capitalisme, ni le socialisme, ni, encore moins, le communisme et - même pas - une quelconque doctrine du centre ou du juste milieu ! Il s’agit plutôt du « pragmatisme », le « pragmatisme dans l’économie sociale et solidaire de marché » (A ne pas confondre avec l’« économie sociale », avec l’« économie socialiste », ni même avec l’« économie solidaire »), une doctrine des libertés économiques et des libertés tout court, sans totalitarisme ni restriction sur le plan idéologique (grâce au principe de « relativité »), mais avec impérativement des mesures d’encadrement nécessaires, assorties des règles de prudence et de transparence, tant étatiques que corporatistes.
Cette doctrine ne se situe ni à gauche, ni à droite, ni au centre, ni même au juste milieu ! Elle apparaît plutôt comme le refus, pour l’humanité, de s’aligner, de façon servile, sur une doctrine sociale sectaire quelconque et son désir de recourir librement, avec réalisme et suivant les contextes, en tenant compte des conditions du moment - principe de « relativité » oblige - à ce qu’il y a de meilleur, aux valeurs, aux principes et aux idéaux nobles, à la fois, du capitalisme, en dehors de tout ce qui le rend sauvage et farfelu et à ceux du socialisme et du communisme, débarrassés de leur caractère utopique, autoritaire, collectiviste, totalitaire et liberticide, ainsi qu’aux idéaux nobles des autres doctrines sociales connues, sans exclusive.
42.2. Le « pragmatisme », le « pragmatisme dans l’économie sociale et solidaire de marché » s’appuie sur le principe de « relativité » de la physique moderne et admet que « tout est relatif ».
Il ne rejette - dans un monde pluriel - aucune doctrine sociale, tant qu’elle ne trouble pas l’ordre social, ne brime pas les libertés, ne prône pas la violence et ne mène pas à la domination, à la diabolisation, à l’exclusion et au rejet de l’autre (Comme on le voit actuellement en Europe, où les « extrêmes » sont diabolisés, ostracisés...) ! Cette doctrine sociale commune, qui se fonde sur le principe de « relativité », magnifiera la tolérance parmi nous et va - si elle n’est pas combattue - créer un climat de détente dans le monde et à l’intérieur de nos différents pays. Elle nous permettra ainsi de garantir plus de tolérance, plus d’harmonie et plus de cohésion dans notre recherche de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, dans la recherche de la sécurité, de la paix, du bien-être social pour tous et dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Le « pragmatisme dans l’économie sociale et solidaire de marché » est une nouvelle terminologie, certes, mais, en tant que doctrine, il n’est pas une simple vue de l’esprit. Cette nouvelle terminologie ne décrit que ce qui se pratique déjà et s’observe de plus en plus à travers le monde. Cette longue terminologie voudrait faire apparaître, de manière explicite dans cet énoncé, l’expression « économie sociale et solidaire de marché » qui constitue le socle conceptuel de cette doctrine sociale commune qu’est « le pragmatisme ».
En dehors des deux doctrines sectaires et extrémistes que sont, d’une part, l’« étatisme dans l’économie dirigée », prôné par le socialisme « scientifique » et le communisme « originel » et, d’autre part, « le capitalisme sauvage, libertaire et débridé » d’antan, il n’y a pas d’alternative au « pragmatisme », le « pragmatisme dans l’économie sociale et solidaire de marché ».
Cette doctrine prône les libertés économiques et les libertés tout court, avec impérativement des mesures d’encadrement nécessaires, assorties des règles de prudence et de transparence, tant étatiques que corporatistes, dans le respect des lois intrinsèques et immuables du fonctionnement du marché et des affaires sociales et économiques, dans le respect du comportement naturel de l’homme, de sa dignité et des droits des autres et dans le respect de l’ordre public et de l’environnement.
42.3. Pour dissiper le conflit d’idéologies qui divise les hommes et retarde leur adhésion à une doctrine sociale commune, ceux d’entre nous qui se situent culturellement dans le camp du capitalisme doivent rejeter les abus de cette doctrine. Par contre, les tenants du communisme et du socialisme, particulièrement ceux du communisme « originel » et ceux du socialisme « scientifique » et, avec eux, toute la collectivité humaine, doivent chercher (1) à connaître les véritables origines de la richesse des uns et de la pauvreté des autres (individus, familles, groupes sociaux ou nations…), (2) à savoir qu’il n’y a pas une quantité fixe de richesses dans le monde à répartir entre les humains et (3) à connaitre la vraie nature de la richesse qui n’est pas que matérielle. Ils comprendront alors que (4) le surplus des riches n’est pas nécessairement ce qui aurait été arraché aux pauvres. Ils doivent, en outre, (5) savoir que les affaires sociales et économiques sont régies par des lois mathématiques de cause à effet, certes, mais plutôt des lois mathématiques probabilistes à incidence statistique, dont les résultats sont tout à fait incertains et sont soumis aux aléas, aux impondérables et aux imprévus, (6) qu’elles ont leur logique intrinsèque qui n’est pas nécessairement celle de nos plans rigides, (7) et qu’elles ne fonctionnent pas comme une machine mécanique qu’on pourrait programmer et planifier rigoureusement et « mécaniquement » à notre guise, tel que l’avaient supposé certains penseurs du « siècle des Lumières », à l’époque où la physique n’était pas développé en tant que science et se réduisait à la seule physique mécanique. Ils doivent surtout (8) savoir que, quel que soit le niveau du progrès de la science, nous ne pourrons jamais écarter la chance, les aléas et les imprévus des affaires sociales et économiques.
Le conflit d’idéologies apparait surtout autour du choix de la meilleure politique économique à mettre en œuvre, pour garantir, avec certitude, le bien-être socio-économique dans le monde et à l’intérieur de nos différents pays. Ce conflit provient essentiellement (1) des malentendus sur les véritables origines de la richesse des uns et de la pauvreté des autres (individus, familles, groupes sociaux ou nations…). Il relève également (2) de l’absence de consensus (a) sur la vraie nature de la richesse qui n’est pas que matérielle et (b) sur les lois de l’économie, en tant que « science », (3) à la suite surtout de la méconnaissance de la nature réelle des lois intrinsèques et immuables qui régissent le fonctionnement des affaires sociales et économiques. Les lois intrinsèques qui régissent le fonctionnement des affaires sociales et économiques sont plutôt des lois mathématiques probabilistes de cause à effet à incidence statistique, dont les résultats sont tout à fait incertains et sont soumis aux aléas, aux impondérables et aux imprévus. Elles sont donc, des lois différentes de celles de la physique mécanique.
42.4. A l’époque où la physique se réduisait, en tant que science, à la seule physique mécanique, certains penseurs du « siècle des Lumières » avaient interprété abusivement la formulation d’Isaac NEWTON sur la conception scientifique de l’univers - formulation qui dit que « l’univers est un système harmonieux et rationnel, régi par des lois mathématiques de cause à effet » - et avaient assimilé la nature des lois intrinsèques qui régissent le fonctionnement des affaires sociales et économiques à celle des lois rigides de cause à effet de la physique mécanique.
Mais, aujourd’hui, avec le progrès de la physique, les tenants du communisme et du socialisme - particulièrement ceux du communisme « originel » et du socialisme « scientifique » - et, avec eux, toute la collectivité humaine, doivent donc comprendre que les lois intrinsèques qui régissent le fonctionnement des affaires sociales et économiques sont des lois mathématiques de cause à effet, certes, mais plutôt des lois mathématiques probabilistes à incidence statistique, dont les résultats sont tout à fait incertains et sont soumis aux aléas, aux impondérables et aux imprévus.
42.5. Nous ne pouvons donc pas programmer rigoureusement, « mécaniquement », « scientifiquement », à notre guise, les affaires sociales et économiques, avec la même précision que les sciences exactes. Nous devons, à présent, tout en nous situant culturellement, les uns les autres, dans l’une ou l’autre doctrine sociale particulière de notre choix, accepter et prôner le « pragmatisme », le « pragmatisme dans l’économie sociale et solidaire de marché », comme doctrine sociale commune de l’humanité, cette doctrine qui ne se situe ni à gauche, ni à droite, ni au centre, ni même au juste milieu et ne rejette - dans un monde pluriel - aucune doctrine sociale connue ou à venir, tant qu’elle ne trouble pas l’ordre social, ne brime pas les libertés, ne prône pas la violence et ne mène pas à la domination, à la diabolisation, à l’exclusion et au rejet de l’autre (Comme on le voit actuellement en Europe, où les « extrêmes » sont diabolisés, ostracisés...). Nous allons ainsi écarter, par une telle attitude, tout sectarisme et espérer pouvoir dissiper le conflit d’idéologies qui perdure dans le monde et à l’intérieur de nos différents pays, ce conflit d’idéologies qui paralyse nos actions en matière politique, sociale, économique et environnementale.
42.6. En intégrant la notion de « relativité » de la physique moderne dans la conception de nos affaires politiques, sociales et économiques, nous retiendrons, à tout instant, que tout est relatif !
La « science » est « une » ! S’il n’y a pas de vérité absolue en physique qui est une science dite « exacte », une science « dure », il ne peut a fortiori pas en avoir dans les affaires politiques, sociales et économiques qui ne sont que des « sciences molles », des « sciences humaines », du moins en ce qui concerne les idées. Ce qui est vrai pour les uns, ne le sera pas nécessairement pour les autres, pour plusieurs raisons. Ce qui est vrai pour un cas, à un moment donné, ne le sera pas nécessairement pour une telle autre situation, à un autre moment. Une solution, un principe qui ne convient pas à une réalité donnée, à un tel moment précis, sera plutôt applicable dans un tel autre contexte, à un autre moment. Ce qui est vécu dans une situation particulière sera différent de ce qu’on connaitra dans d’autres circonstances. Nous ne verrons jamais, tous, la « réalité » de la même manière !
42.7. Puisque la science est neutre, les professeurs de nos universités et, avec eux, tout le corps enseignant, devront donc, en vertu du principe de « relativité », rester entièrement neutres dans leurs enseignements, prôner le « pragmatisme » comme doctrine sociale commune de l’humanité et ne plus être au service d’idéologies sectaires de leurs partis politiques, tout en se situant librement - culturellement et à titre personnel - dans l’une ou l’autre doctrine sociale particulière du choix de chacun d’entre eux.
Le mouvement pacifiste mondial et celui de développement pourront alors abandonner leur penchant gauchiste, hérité du passé. C’est ce penchant gauchiste à l’extrême qui retarde leur décollage et les éloigne des véritables solutions à la pauvreté et à la misère qui accablent la plus grande partie de l’humanité. Ce qui compromet ainsi indéfiniment l’avènement de la paix véritable, la « paix des cœurs et des esprits » !
Il faudra profiter (1) de l’ambiance consensuelle qui naît de l’adoption - même de manière tacite - par toute l’humanité, du « pragmatisme », le « pragmatisme dans l’économie sociale et solidaire de marché », comme doctrine sociale commune de l’humanité et (2) de la fin des idéologies et de la « guerre froide », pour mettre en place des structures d’organisation politiques, sociales, économiques et monétaires efficientes, avec des règles, des méthodes et des principes harmonieux, pouvant permettre l’instauration d’une nouvelle ère de « paix véritable » - une « paix relative », dans les limites du possible et dans les limites de l’humain.
42.8 Il faudra, à cette même occasion, (1) revoir les fondements du monde politique et socio-économique, en général, et ceux du pouvoir démocratique, en particulier, (2) parfaire, à notre tour, la « Révolution Mondiale », la « Révolution copernicienne », (3) pour rompre avec le passé et (4) sortir des « temps primitifs », non pas en cherchant à rendre l’homme meilleur par des sanctions, des interdits et des injonctions, par le recours à la force et les menaces d’usage de la force, ni même par les prêches du religieux et les conseils du moraliste, mais plutôt en misant (1) sur le progrès de la « science », avec le « positivisme » d’Auguste COMTE et les notions de la physique moderne, qui ne se réduit plus à la seule physique mécanique (En intégrant, par exemple, le principe de « relativité » d’Albert EINSTEIN et les notions de la physique nucléaire dans notre conception du monde) et (2) sur la recherche scientifique et l’innovation technologique.
43. En l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, quel que soit le discours que nous puissions tenir, tout notre système de penser en matière d’« ordre et de désordre », dans la recherche de la sécurité, de la paix, du bien-être social pour tous, ainsi que dans la lutte contre le réchauffement climatique, se fonde - inconsciemment, tant dans l’opinion commune que dans le « monde scientifique » - sur une idée reçue et erronée, héritée du passé, qui suppose que la cause fondamentale d’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique serait le mal prétendu enraciné en l’homme, la déchéance et la faillite morale de l’homme, la déraison, l’égoïsme, la perversion de l’homme ou celle d’une partie de l’humanité. Cette idée est à la base de cette « conception binaire de la société » - une idée reçue et erronée, héritée de l’âge de la pierre - qui nous pousse à supposer, à tort, que l’humanité serait composée de « bons », d’un côté, et de « mauvais », de l’autre.
43.1. Dans cette hypothèse, chacun d’entre nous, chaque famille politique, chaque bloc politico-militaire, chaque peuple s’assimile au « bien » et considère que les autres sont « mauvais ». Les autres seraient des « méchants » qu’on suspecte constamment et contre lesquels on doit s’armer à tout prix. Nous rejetons tout naturellement la faute à ceux que nous considérons comme « mauvais », sans jamais nous remettre nous-mêmes en question, parce que nous pensons être « bons » par nature. Nous ne poussons plus notre raisonnement plus loin. Nous nous éloignons ainsi définitivement des véritables causes et des vraies solutions à nos problèmes d’ordre politique, social, économique, monétaire, culturel et en rapport avec le réchauffement climatique.
43.2. Dans la lutte contre le réchauffement climatique, cette idée nuisible d’une « conception binaire de la société » nous pousse à penser qu’il y aurait, d’un côté, les « bons », ceux qui ont compris, aiment la nature et respectent la création et, de l’autre, les « mauvais », ceux qui n’auraient rien compris, n’aimeraient pas la nature et ne respecteraient pas la création et les droits de l’environnement, au lieu de partir de l’idée que le réchauffement climatique est un phénomène purement « technique », qui relève du domaine de la « science » et dépend, non pas de la volonté de l’homme, mais de la nature des techniques (industrielles, agricoles et énergétiques) utilisées !
43.3. Dans le même ordre d’idées, nous devons essentiellement, en matière sécuritaire, sortir de la « conception binaire de la société » et abandonner l’idée qu’il y aurait, d’un côté, les « bons » qui, eux, peuvent s’associer « militairement » librement et s’armer lourdement, jusqu’à détenir les armes nucléaires et les autres armes de destruction massive et, de l’autre, les « mauvais » qui, eux, n’en seraient pas dignes, sous peine de lourdes sanctions, de frappes préventives et, même, d’invasions militaires, et opter pour une solution consensuelle, plus juste et plus harmonieuse, sur des bases égalitaires, une solution qui puisse rassurer toutes les nations, sans toutefois exiger que chaque pays se dote d’armes nucléaires, la recherche de la paix ne passant pas par la dissuasion armée !
43.4. En matière socio-économique, une certaine opinion pense, avec cette « conception binaire de la société », que les riches seraient des « mauves » qui auraient confisqué toutes les richesses, pour ne rien laisser aux autres. Tout un chacun doit plutôt savoir sur ce point que, l’humanité étant composée d’individus ayant des niveaux de contentement différents et des attitudes diverses vis-à-vis de l’effort, du travail, de la richesse et de l’épargne, toutes les « différences de conditions sociales » ne sont pas nécessairement des « inégalités » et ne doivent donc pas être considérées comme des « injustices sociales », sans oublier le fait que le facteur « chance » sourit différemment aux gens, même si on a tous été placés dans les mêmes conditions. Toutefois, les « différences de conditions sociales », que d’aucuns considèrent - à tort - comme des « inégalités », doivent être combattues, si elles sont érigées en systèmes étatiques institutionnalisés.
43.5. Pour plus d’harmonie dans le « vivre ensemble », tout un chacun doit comprendre ce qui suit :
43.5.1. La tolérance - pour les actes et les comportements qui sont considérés comme marginaux par une partie de l’opinion, mais ne nuisent pas à autrui, ne troublent pas l’ordre public et relèvent de la « vie privée » des gens - est la vertu capitale qui garantit l’harmonie dans la société. La bonne politique, devant tout comportement marginal qui ne nuit pas à autrui et ne trouble pas l’ordre public, est la « TOLERANCE », associée à des mesures d’encadrement nécessaires. L’attitude contraire ne fait qu’exacerber nos problèmes et endurcir le mal ! Le contrôle social devient un facteur précipitant de la déviance, précisément, lorsqu’il vise des comportements que les gens expriment spontanément et naturellement. De ce fait, les idées non-conformistes et les comportements marginaux ne peuvent être prohibés par la société et être sanctionnés par la loi que dans la mesure où ils troublent l’ordre public et lorsqu’ils induisent des devoirs ou des charges pour les autres ou portent atteinte à la liberté, aux droits, à la réputation, à la santé ou à la vie d’autrui.
43.5.2. Pour légiférer harmonieusement, dans un pays ou dans un État fédéral, sur ces actes qui sont considérés comme marginaux par une partie de l’opinion, mais ne nuisent pas à autrui, ne troublent pas l’ordre publique et relèvent de la « vie privée » des gens (l’homosexualité et, plus largement, le phénomène LGBT, la consommation des drogues et certaines pratiques médicales dont l’interdit et la répression conduisent à la clandestinité et mettent inutilement en danger des vies humaines, comme l’interruption volontaire des grossesses non-désirées (IVG), l’accès à la contraception, le choix des méthodes de procréation médicalement assistées et éprouvées, la « GPA » (=Gestation pour autrui) et la « PMA » (=Procréation médicalement assistée), le législateur ne doit - en vertu du principe de « relativité » et au nom de la « neutralité de l’État » - pas s’appuyer sur les opinions, les croyances et les idéologies partisanes des uns et des autres, ni même sur ses propres convictions philosophiques, morales ou religieuses et ne doit surtout pas agir pour des visées politiques. Il doit partir du principe qu’il s’agit, ici, plutôt d’actes qui relèvent de la « liberté de choix » et de la « vie privée » de chacun, que l’État a le devoir de protéger, en vertu du principe de « relativité », au nom de la tolérance, des « libertés individuelles » et du respect de la « vie privée d’autrui », tout en prenant les mesures d’encadrement nécessaires.
43.5.3. Pour trancher, la société ne doit pas attendre indéfiniment l’hypothétique jour où tout le monde va unanimement approuver ces pratiques, le jour où seront totalement clos ces interminables débats autour de ces actes, avec l’idée de vouloir aligner tout le monde - en violation du principe de « relativité » - sur une « éthique nationale », au nom d’une prétendue « vérité absolue », conforme à la volonté des moralistes et des religieux, à la volonté de la majorité, des plus puissants ou des gouvernants. Pour ces actes et ces comportements, chaque être humain doit, de par leur caractère privée - en vertu du principe de « relativité », au nom de la tolérance, des « libertés individuelles » et du respect de la « vie privée d’autrui » - jouir d’une totale « liberté de choix » et non d’une « liberté paternaliste », concédée par l’État, qui dicterait aux gens l’attitude à adopter sur ce qui touche à leur « vie privée ».
43.5.4. Tout est relatif ! Dans un « État de droit », tout un chacun a - en vertu du principe de « relativité », au nom de la tolérance, des « libertés individuelles » et du respect de la « vie privée d’autrui » - le devoir de respecter ou - tout au moins - de tolérer ce qui touche à la « vie privée » des autres et ne nuit pas à autrui, même s’il n’est pas d’accord avec leur point de vue. Il doit surtout s’abstenir de juger, de condamner les autres et d’aller fouiner dans leur « vie privée », étant donné que les questions d’« éthique », de « conscience » et de « morale » doivent - dans le cas particulier de ces actes - être assumées, de par leur caractère privé, par chaque être humain (Principe de « relativité » oblige) et non être fixées de manière péremptoire par l’État, à quelques exceptions près, les manipulations génétiques médicalement prohibées, par exemple.
43.5.5. « Libéraliser et encadrer » devra être la « règle d’or » en matière politique, sociale et économique - mais pas dans les affaires criminelles - en lieu et place de ce « mot d’ordre » hérité du passé, qui semble être « surveiller et punir ». Les mesures qui libéralisent, associées à celles d’accompagnement, de remplacement ou qui résolvent les vrais problèmes, aboutissent à de meilleurs résultats que la répression, les lois et les mesures politiques, sociales et économiques qui restreignent les libertés.
B. Sortir des temps primitifs et de la gestion belliciste actuelle de l’ordre mondial et pouvoir enfin stopper la guerre d’Ukraine, régler le conflit israélo-palestinien et aplanir les autres foyers de tensions à travers le monde (comme la guerre à l’Est de la République Démocratique du Congo-Zaïre, dans le cadre global et harmonieux du nouvel ordre mondial apolaire que va instaurer la charte mondiale.
PROPOSITIONS CONCRETES.
1. Pour pouvoir stopper la guerre d’Ukraine, nous devons, au préalable, comprendre que le conflit ukrainien va au-delà de la simple personne du Président Vladimir POUTINE !
En l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, les solutions appliquées dans le conflit ukrainien - comme dans tous les autres conflits armés du passé et du présent - sont encore, jusqu’ici, fondamentalement celles de l’âge de la pierre et ne touchent pas vraiment le nœud du problème !
Ainsi donc le conflit ukrainien ne pourra être résolu, ni avec cette guerre d’agression de l’Ukraine par la Russie, ni avec le soutien militaire des occidentaux à Kiev, qui n’a malheureusement pour effet que d’éterniser cette guerre, ni - encore moins - avec l’isolement et l’effondrement de l’économie russe, sous le coup de lourdes sanctions occidentales, tant que (1) les causes profondes, immédiates et lointaines, de ce conflit n’auront préalablement été identifiées, pour être globalement jugulées et (2) que les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique n’auront changé à l’international, en commençant par ce qui a toujours été admis, dans l’opinion commune et même dans le « monde scientifique », (a) comme cause fondamentale d’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique et (b) comme meilleures méthodes à appliquer pour y faire régner l’« ordre ».
2. Une solution réellement harmonieuse ne pourra être apportée au conflit israélo-palestinien, tout comme aux autres foyers de tensions à travers le monde, que si elle est recherchée sur des bases égalitaires et sans parti-pris, dans une perspective mondiale et une approche holistique, dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale », autour du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix. Il faudra, au préalable, que le climat politique ait été assaini, par les « Peuples de la Communauté des Nations » sur le plan international, particulièrement lorsque les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique auront changé (même simplement sur le papier d’abord), avec un consensus international sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre », en ce qui concerne notamment le « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, les meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’« ordre » dans le monde, la doctrine sociale commune, les idées générales, les principes fondamentaux, les règles de base, les méthodes et les structures d’organisation à promouvoir, qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie.
3. Nous devons cesser d’attribuer l’origine d’absence de paix dans le monde ou le désordre actuel du monde politique et socio-économique à quelques pays ou à quelques personnalités politiques du passé ou du présent, ni à une seule catégorie d’individus :
Comme le montre ce projet de paix, le problème réel du monde n’était pas, hier, Saddam Hussein et Mouammar Kadhafi. Il n’est, aujourd’hui, ni l’Iran, ni la Corée du Nord et surtout pas le Cuba qui croule, depuis plus d’un demi-siècle, sous de lourdes sanctions américaines (Qu’est-ce qui, sur le plan du droit, pourrait justifier de telles sanctions ?). Le problème du monde n’est même pas, actuellement, la Russie du Président Vladimir POUTINE !
Fondamentalement, le désordre actuel dans la situation politico-sécuritaire du monde ne relève nullement de la perversion d’une catégorie d’individus ou d’une partie de l’humanité, ni d’une quelconque incurie des décideurs politiques d’un pays ou d’un camp politico-militaire donné. En l’absence du « bon diagnostic », tout notre problème se situe dans l’ignorance, par l’ensemble de l’humanité (du moins dans l’opinion commune, au stade actuel de l’évolution de la connaissance en matière d’« ordre et de désordre »), des meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’ordre dans le monde, à cause de l’« IMMATURITE RELATIVE DE L’HUMANITE - dans un monde en perpétuelle organisation, sachant que la perfection ne sera jamais atteinte - immaturité relative de sa conception du monde, de l’être humain et de la société, immaturité de sa science et de sa technologie, en général, et des connaissances en matière d’« ordre et de désordre », en particulier qui se traduit par une certaine défaillance dans l’organisation politique et sociale du monde et dans la manière de l’homme de gérer la planète et d’administrer les différents pays. Tout notre problème, sur le plan sécuritaire, réside essentiellement dans le système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète (d’alliances politico-militaires particulières), hérité de l’époque de la « guerre froide », qui ne rassure pas et ne garantit pas la sécurité à nos différents pays, à cause de l’influence négative des idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre » qui la sous-tendent et qui sont à la base d’une « immaturité relative » de l’humanité, en général, et des sciences humaines, les sciences politiques, sociales et économiques, en particulier (Sur le plan des fondements philosophiques, en rapport avec la notion d’« ordre et de désordre » essentiellement), et de leur « retard » par rapport au progrès relatif accompli par l’homme dans le domaine des « sciences dures » et de la technologie. Tout s’explique essentiellement par le fait que l’être humain ne soit - jusqu’ici - pas encore tout à fait sorti de sa « petite enfance », en raison d’une « immaturité relative » de sa conception du monde.
La recherche de la paix est une question qui relève avant tout du domaine de la « science », c’est-à-dire du « savoir » et du « savoir-faire » de l’homme, et pas tellement de la « politique politicienne », ni simplement de la religion et de la morale, qui auraient pour objet de changer la nature humaine supposée perverse et son cœur jugé corrompu. Ainsi donc, le changement, la sécurité et la paix ne pourront réellement nous arriver que par nos écoles et par nos universités, mais pas tellement des grands forums « politiques ». C’est donc à l’intelligentsia mondiale, à nos écoles et à nos universités de réfléchir et d’agir, pour que les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique changent.
Il faudra nous départir de la « conception binaire de la société », cette idée erronée, héritée de l’âge de la pierre qui suppose que l’humanité serait composée de « bons », d’un côté, et de « mauvais », de l’autre. Cette idée nous éloigne des vraies solutions à apporter aux conflits qui sévissent à travers le monde, en croyant pouvoir les résoudre simplement en écartant un dirigeant et ses proches, considérés comme « mauvais », pour les faire remplacer par les « bons », comme nous le faisons dans nos pays, comme on l’a fait en Irak et en Lybie et comme on le souhaite, aujourd’hui, par exemple, pour le Liban, la Biélorussie, la Russie, la Syrie et le Venezuela ! Ce n’est pas en évinçant les gouvernants véreux, pour les remplacer par les « bons », les « vertueux », qu’on va pacifier le monde !
Le problème de l’humanité, en général, et de chacun de nos pays, en particulier, ne se situe pas tellement dans les hommes, qui sont tous les mêmes. L’être humain n’est ni meilleur ni pire à une époque de l’histoire qu’à une autre, dans une partie du monde que dans une autre, dans un groupe social que dans un autre ! Il ne s’agit pas tellement de changer les hommes ni de vouloir remplacer ceux qu’on considère comme « mauvais » par ceux qui sont supposés être « bons », ni de remplacer les « vieux » par les « jeunes ».
Nous devons plutôt (1) partir du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, (2) revoir les idées et les principes qui gouvernent le monde, (3) revoir les fondements philosophiques du monde politique et socio-économique, en général, et ceux du pouvoir démocratique, en particulier, et (4) mettre en place des structures d’organisation qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie, (5) avec une doctrine sociale commune (Sans totalitarisme ni restriction sur le plan idéologique, pour pouvoir, grâce au principe de « relativité », dissiper le conflit d’idéologies qui perdure dans nos pays et dans le monde) et (6) un consensus international sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre », (7) en appliquant les meilleures méthodes pour faire régner l’« ordre » dans le monde, tant sur le plan politique, social, économique, monétaire et culturel que dans la lutte contre le réchauffement climatique, en ce qui concerne, aussi bien les idées et les principes, que les règles, les méthodes et les structures d’organisation à promouvoir, qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie et (8) en instituant ce système mondial commun de sécurité collective que sera, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », (a) sous la « police » - le moment venu, une fois les conditions réunies - de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », (b) en remplacement du système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète (d’alliances politico-militaires particulières), hérité de l’époque de la « guerre froide », avec, (9) dans la gouvernance mondiale, (a) un cadre institutionnel global efficient, sous-tendu par des règles précises du droit international complétées et clarifiées, en vertu des principes harmonieux et consensuels du mode de gestion de l’ordre mondial, (b) dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale » et (c) non le leadership hégémonique d’une nation puissante ou d’une institution interétatique particulière et, (10) dans chaque pays, un mode particulier et consensuel de représentation, d’accession, de partage et d’exercice harmonieux du pouvoir (Celui des « démocraties consensuelles » qui se fondent sur le principe de « relativité »), un système qui convient le mieux à sa population, lui donne entière satisfaction, expose moins aux conflits et aux abus et garantit automatiquement, par ses mécanismes intrinsèques, le renouvellement, sans heurts, de la classe politique dirigeante, avec, surtout, (11) la bonne gestion et la bonne gouvernance dans chaque pays, d’une part, et la compréhension, la prise de conscience et la responsabilisation de chaque citoyenne et de chaque citoyen, d’autre part, comme conditions essentielles pour que puisse régner la paix sociale dans un pays, ainsi que (12) (a) la coexistence pacifique, (b) la non-ingérence et (c) le droit à l’autodétermination de chaque peuple, comme principe intangible, pour que, plus jamais, une nation, un peuple n’exerce une quelconque domination politique sur un autre, avec, en outre, (13) ces principes sacro-saints que sont (a) l’« indépendance de la justice » et (b) l’« État de droit » dans chaque pays, d’une part, et (c) la « neutralité de la science » à l’échelle de toute la planète et (d) un certain « fair play » à l’international, sur le plan politique, diplomatique, technologique et commercial, d’autre part, (14) en magnifiant la notion d’« unicité » du genre humain et en cultivant le sentiment d’appartenance à une communauté de destin pour toute l’humanité. .
4. Ce n’est pas en exerçant une quelconque pression sur un camp ou sur un autre qu’on pourra apporter une solution harmonieuse au conflit ukrainien, tout comme à tous les autres foyers de tensions à travers le monde, tant qu’une solution juste, acceptable par les deux parties, ne leur aura été présentée, sans parti pris, et que les « Peuples de la Communauté des Nations » n’auront œuvré ensemble, pour que les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique changent (Même simplement sur le papier d’abord), tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation, au cas par cas. Le conflit ukrainien ne pourra donc pas être résolu par des injonctions, par des sanctions, par des condamnations et - surtout pas - avec la diabolisation et l’isolement diplomatique de la Russie.
5. Si les multiples résolutions et accords n’ont donné, jusqu’ici, aucun résultat dans le règlement du conflit ukrainien, dans le conflit israélo-palestinien et dans tous les autres foyers de tensions à travers le monde, ce n’est nullement parce qu’ils étaient, chaque fois, délibérément bloqués par manque de volonté politique - comme on le dit, pour le conflit israélo-palestinien, par exemple - mais tout simplement parce que les conditions requises n’ont jamais été réunies, ni à l’international, ni même au niveau des contenus des solutions proposées, jusqu’ici, aux protagonistes dans tous ces conflits, en ce qui concerne, aussi bien les idées et les principes, que les règles, les méthodes et les structures d’organisation. Le conflit ukrainien, le conflit israélo-palestinien et tous les autres foyers de tensions à travers la planète ne sont que la partie visible de l’énorme iceberg que représente le désordre actuel du monde politique et socio-économique. Tant que les causes profondes de ce désordre n’auront été identifiées pour être globalement jugulées, aucune solution, réellement harmonieuse et durable, ne pourra être apportée à tous ces conflits.
6. La recherche de la paix, en général, et de solutions aux différents foyers de tensions à travers le monde, en particulier, doit être menée dans une perspective mondiale et une approche holistique, de manière concertée, par l’ensemble des personnes physiques et morales que compte l’humanité, avec l’implication de l’intelligentsia mondiale, en général, et de nos écoles et de nos universités, en particulier, pour que, en définitive, les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique changent, tant sur le plan politique, social, économique, monétaire et culturel, que dans la préservation d’un bon équilibre écologique, en général, et dans la lutte contre le réchauffement climatique, en particulier, en ce qui concerne, aussi bien les idées et les principes, que les règles, les méthodes et les structures d’organisation à promouvoir, qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie, pour que même les intérêts divergents puissent être conciliés harmonieusement. Tout doit changer à l’échelle mondiale et non seulement au niveau des foyers de tensions qui sévissent à travers la planète, mais aussi à l’intérieur de chacun de nos pays.
7. Tout est lié ! Les raisons qui poussent les différents protagonistes à adopter des prises de positions radicales et à afficher des attitudes inconciliables qui sont à la base du blocage des différents processus de paix, dans le conflit israélo-palestinien comme dans tous les autres foyers de tensions à travers le monde, sont ces mêmes idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre », qui se retrouvent à l’arrière-plan non critique, conscient et inconscient, de l’opinion commune - jusque dans le « monde scientifique » - et qui, dans les situations de graves conflits, se radicalisent. Pour que ces idées changent, elles doivent l’être à l’échelle de toute la planète, dans tous les pays, jusque dans l’« inconscient collectif » de l’humanité et non seulement dans une partie du monde.
8. Pour pouvoir amener les différents protagonistes à la table de négociation, pour qu’ils puissent dialoguer et négocier de manière sincère et assidue, en se faisant mutuellement des concessions, pour que les deux camps sortent gagnants, pour que l’accord qui leur est proposé ait les chances d’être accepté et que le cessez-le-feu décrété soit respecté, il faut, non pas recourir à la contrainte, aux injonctions, aux condamnations et aux sanctions - comme on le voit aujourd’hui dans la guerre d’Ukraine et qu’on l’a fait dans la crise gouvernemental du Liban, par exemple - mais identifier les causes profondes, immédiates et lointaines, du conflit à l’ordre du jour, réfléchir et indiquer clairement aux protagonistes (1) les conditions qui doivent être satisfaites (même simplement sur le papier d’abord ), ainsi que (2) la procédure à suivre, les étapes à franchir et (3) les objectifs à atteindre, tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation, de manière à créer un climat de détente et à les mettre suffisamment en confiance :
Pour pouvoir toucher réellement le nœud du problème, il faudra nécessairement que les médiateurs partent du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix et ne soient, ni sous l’influence négative des idées reçues et erronées, héritées du passée en matière d’« ordre et de désordre », ni sous l’emprise des points de vue grégaires des masses populaires.
Pour être harmonieuse, la solution proposée ne doit pas se conformer à n’importe quel ordre voulu par les moralistes et les religieux, par la majorité, par les plus puissants ou décrété par la volonté des gouvernants, elle devra plutôt (a) être conforme - avec les principes et les méthodes qui la sous-tendent - à « l’ordre harmonieux universel préétabli des choses » (LEIBNIZ, philosophe et mathématicien allemand, 1646 - 1716), « l’ordre du monde ou l’ordre providentiel » (VOLTAIRE, philosophe français, 1694 - 1778) et (b) être acceptable par les deux parties, (c) sans parti pris ! (Il faut noter que cet « ordre harmonieux naturel du monde » - « l’ordre harmonieux universel préétabli des choses », selon Leibniz, « l’ordre du monde ou l’ordre providentiel », d’après Voltaire - qui n’est pas nécessairement l’ordre établi, est inscrit dans les lois de la nature physique, celles du comportement naturel de l’homme et dans les lois intrinsèques et immuables qui déterminent le fonctionnement du marché et des affaires sociales et économiques. Les décideurs doivent impérativement respecter ces lois de la nature ainsi que le comportement naturel de l’homme, pour que l’harmonie règne dans tout ce qu’on entreprend dans la société).
Tout dépendra plus de l’évolution des idées, en matière d’« ordre et de désordre », que du cours des événements politiques, avec un changement radical d’approche, de stratégie et de méthodes !
L’action des intellectuels dans la recherche d’une solution harmonieuse au conflit ukrainien et la guerre russo-ukrainienne qui s’en est suivie ne doit donc pas consister à être simplement à la remorque des événements, à commenter et à engager d’interminables débats sur le déroulé de cette guerre, sans avancer de propositions concrètes, sans avancer de solutions alternatives à la guerre ! Ils doivent plutôt rechercher les causes profondes de cette guerre, pour y apporter une solution politique harmonieuse. Ils doivent, de ce fait, amener la « Communauté des Nations », en général, et les protagonistes au conflit ukrainien, en particulier, (1) à partir du « bon diagnostic », comme hypothèse de travail, dans la recherche continue de la sécurité et de la paix, (2) pour identifier et juguler (a) les causes profondes, immédiates et lointaines de ce conflit, (b) en même temps que les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique, en vue d’y apporter une solution consensuelle, harmonieuse et impartiale, dans une perspective mondiale et dans une approche holistique - tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation - une solution qui puisse créer un climat de détente et de confiance mutuelle, non seulement dans le continent européen, mais à l’échelle de toute la planète, dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale », pour ne pas diviser le monde et que soit mis fin au système mondial belliciste actuel de la planète, hérité de l’époque de la « guerre froide » d’alliances politico-militaires particulières, qui doivent s’auto-dissoudre, d’elles-mêmes (en commençant par l’OTAN).
Pour plus d’efficacité de leur action dans la marche du monde, celles et ceux qui pensent le monde devront nécessairement cesser d’être simplement à la remorque des événements.
Nous devons, à l’occasion de la recherche de solutions harmonieuses à la guerre russo-ukrainienne, au conflit israélo-palestinien et aux autres foyers de tensions à travers le monde, œuvrer pour l’avènement d’un « Nouvel Ordre Mondial Apolaire », plus juste et réellement pacifiste, en mettant en place un système harmonieux et consensuel de gouvernance mondiale, accepté par tous, sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la préservation d’un bon équilibre écologique, en général, et dans la lutte contre le réchauffement climatique, en particulier, avec un consensus international, tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation à promouvoir, qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie, pour que même les intérêts divergents puissent être conciliés harmonieusement.
9. Les sanctions prises malencontreusement contre la Russie touchent plutôt le petit peuple, l’homme de la rue et impactent l’ensemble de l’économie mondiale, sans avoir d’effets significatifs sur le Président POUTINE et son entourage ! Elles ne pourront, malheureusement, jamais stopper cette guerre ! Les entreprises occidentales qui quittent la Russie laissent derrière elles des familles entières, sans ressources, et privent la population des services qu’elle avait bénéficiés jusque-là. Ce qui n’est pas du tout humain !
10. L’agression de l’Ukraine par la Russie - une nième guerre d’agression et non la première qu’ait connue le monde, ces derniers temps, de la part d’un pays membre permanent du « Conseil de Sécurité » contre un État souverain - ne doit pas être une raison pour les pays de l’OTAN de pousser l’humanité à la division et à « militariser » la planète à outrance, en augmentant les budgets et les arsenaux militaires de leurs pays, en perpétuant et en aggravant - avec l’élargissement de leur alliance politico-militaire - la division du monde en blocs politico-militaires opposées, qui se préparent activement à la guerre. Comme tout un chacun peut le constater, il s’agit là d’une solution belliciste qui sera totalement contreproductive ! Le maintien, l’élargissement de l’OTAN va intensifier la course aux armements et va accroitre le risque de confrontations entre les différents pays.
11. La « dissuasion armée » ne peut vraiment promouvoir la paix dans le monde !
Si l’OTAN s’élargit, s’arme lourdement et se prépare activement à la guerre, en proférant des propos belliqueux en direction des pays, nommément cités, qui représenteraient une menace pour la sécurité de ses membres et de ses alliés, les pays ainsi visés se sentiront, à leur tour, menacés et vont former leur propre bloc politico-militaire, malgré l’opposition des occidentaux qui veulent être les seuls à pouvoir s’associer librement « militairement ». Comme on le voit, le maintien, l’élargissement de l’OTAN va accentuer la division du monde en blocs politico-militaires opposés, radicalement hostiles, et va créer un climat de méfiance entre les différents blocs politico-militaires ainsi constitués. Ce qui va alimenter la course aux armements et va accroitre le risque de confrontations entre les différents pays !
Tout - dans le dénouement du conflit ukrainien - dépendra, non pas tellement des pays de l’OTAN mais plutôt du « monde scientifique », de nos écoles et de nos universités, qui devront amener l’humanité, en général, et le « monde occidental », en particulier, à partir du « bon diagnostic », qui n’est nullement le mal prétendu enraciné en l’homme, ni une quelconque faillite morale de sa part, pour comprendre que l’origine réelle de la guerre d’Ukraine se situe dans le système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète (d’alliances politico-militaires particulières), hérité de l’époque de la « guerre froide », de manière à envisager l’autodissolution des alliances politico-militaires particulières (en commençant par l’OTAN) et s’engager à œuvrer résolument, à l’instigation des « Peuples de la Communauté des Nations », pour l’institution de ce système mondial commun, plus harmonieux et réellement pacifiste, de sécurité collective que sera, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », en remplacement du système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète, hérité de l’époque de la « guerre froide » d’alliances politico-militaires particulières, qui doivent s’auto-dissoudre, d’elles-mêmes (en commençant par l’OTAN).
12. Les conventions internationales conclues, pour réglementer et humaniser les guerres, ne sont pas du tout respectées par les belligérants, le sentiment d’angoisse et de désespoir qui règne pendant les conflits armés étant incontrôlable.
Les russes qui ont agressé l’Ukraine, bombardent des cibles civiles, bien au-delà de la ligne de front, mais n’acceptent pas que les Ukrainien s’attaquent à leur territoire. Alors qu’ils sont en guerre, les attaques des ukrainiens sur leur territoire sont qualifiées d’actes « terroristes » par les russes. Quant aux occidentaux, ils soutiennent militairement l’Ukraine, dans cette guerre qu’ils continuent à mener par procuration, mais infligent des sanctions à l’Iran, qui aurait fourni des drones kamikaze à la Russie, tout en mettant en garde la Chine contre tout soutien militaire à Moscou et en menaçant de représailles les entreprises qui auraient une « proximité » avec la Russie et ne s’aligneraient pas sur les sanctions occidentales !
Le Président POUTINE parle d’« opération spéciale » et non de « guerre d’agression » contre l’Ukraine, en allant même jusqu’à arrêter et à emprisonner ceux qui, en Russie, parleraient de « guerre ». Les occidentaux, pour leur part, ne reconnaissent pas mener une « guerre par procuration » contre la Russie en Ukraine, avec ce soutien militaire massif - largement médiatisé - qu’ils apportent à Kiev contre l’offensive russe et qui est programmé dans de multiples réunions, en parlant même d’« économie de guerre » pour leurs pays ! Partant consciemment ou inconsciemment d’une « conception binaire de la société », les occidentaux pensent que seuls, eux, les « bons », peuvent s’armer « lourdement », élargir librement leur alliance politico-militaire et soutenir militairement leurs alliés, mais les autres, les « mauvais », ne peuvent pas faire autant !
Comme on le voit, nous ne pouvons pas compter sur les conventions internationales pour règlementer harmonieusement les guerres et les humaniser avec certitude. Ceci doit amener les décideurs des deux camps à comprendre qu’il faut tout simplement faire stopper cette guerre, la guerre russo-ukrainienne, car les conflits armés ne sont régis, ni par une quelconque logique, ni par des règles précises ! Les « Peuples de la Communauté des Nations » doivent se mobiliser, pour faire arrêter cette guerre absurde, qui ne sera gagnée par aucun des deux camps, et œuvrer, à présent - à l’occasion de ce projet de paix - pour l’institution de ce système mondial commun de sécurité collective que sera, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », (a) sous la « police » - le moment venu, une fois les conditions réunies - de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », (b) en remplacement du système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète (d’alliances politico-militaires particulières), hérité de l’époque de la « guerre froide, (c) un système qui soit en mesure de rassurer toutes les nations et qui puisse créer, avec les idées, les principes, les règles, les méthodes et les structures d’organisation qui le sous-tendront, un climat de détente et de confiance mutuelle entre les peuples, de manière à rendre désuète l’idée du recours à la force et à écarter le spectre de la guerre de notre horizon, pour que les armes de guerres tombent, d’elles-mêmes, en désuétude, sans qu’on ne s’y active particulièrement, que le « Pacte Mondial de Non-agression et de Renonciation à l’Option Militaire » ne soit violé, que le désarmement s’opère de manière quasi spontanée et que l’espace intersidéral et numérique ne soit militarisé, tout en organisant la cyber-sécurité collective et en encadrant le maniement de l’intelligence artificielle. La solution n’est pas, dans cette guerre d’Ukraine, d’intensifier les sanctions, de multiplier les condamnations et les injonctions en direction de la Russie, qui ne vont pas résoudre le problème. C’est même une perte de temps !
13. Lorsqu’un conflit éclate, l’essentiel n’est pas de savoir qui sont « bons » et qui sont « mauvais », qui ont raison et qui ont tort. Nous devons plutôt arrêter au plus vite le conflit à l’ordre du jour, en identifiant et en jugulant les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique, en général, et les causes profondes, immédiates et lointaines, de ce conflit, en particulier, réfléchir, agir en profondeur et tout entreprendre, pour réunir les conditions qui doivent être satisfaites, en ce qui concerne, aussi bien les idées et les principes, que les règles, les méthodes et les structures d’organisation, pour que ces « drames » ne se reproduisent plus. Si les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique, en général, et celles qui sont à l’origine du conflit ukrainien, en particulier, ne changent pas, cette nième guerre qui se déroule actuellement en Ukraine ne sera pas la dernière !
Cela ne veut pas dire que nous dédouanons la Russie de sa responsabilité dans cette agression. Tant qu’un principe accepté par tous n’a pas encore été modifié, nous ne pouvons pas et ne devons pas nous en prendre à ceux qui s’arment lourdement, à ceux qui veulent se doter, eux aussi, d’armes nucléaires comme certains pays et à ceux qui fomentent des guerres, pour leur sécurité ou bien pour, paradoxalement, promouvoir la paix, la démocratie et le respect des droits humains dans le monde (Comme l’ont fait, à certaines occasions, les nations puissantes qui se disent « libres »).
Une guerre d’agression a déjà été lancée par la Russie contre l’Ukraine ! Pour vraiment aider le peuple ukrainien, les pays de l’OTAN doivent plutôt chercher à arrêter rapidement cette guerre - que ne va réellement gagner aucun des deux camps - par le dialogue et la négociation, en y apportant une solution politique qui soit en mesure de mettre fin au conflit ukrainien et de créer la détente, non seulement dans le continent européen, mais à l’échelle de toute la planète, sans diaboliser et sans isoler la Russie, pour ne pas diviser le monde, au lieu d’éterniser cette guerre inutile avec leur soutien militaire à Kiev.
14. Les décideurs des pays de l’OTAN doivent, dans leur réaction excessive devant l’agression de l’Ukraine par la Russie, se rappeler que la guerre russo-ukrainienne n’est pas la première guerre d’agression qu’ait connue le monde, ces derniers temps, de la part d’un pays membre permanent du « Conseil de Sécurité » contre un État souverain. Elle ne sera sans doute pas la dernière - pas nécessairement de la part de la Russie, mais aussi de la part de n’importe quel autre pays - si les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique ne sont pas revues !
La Russie n’est pas le premier pays, membre permanent du « Conseil de Sécurité », à avoir violé le droit international, en envahissant un État souverain ces dernier temps (On pourra citer, par exemple, les invasions d’Irak et de Lybie. Ces agressions barbares, fondées sur des mensonges, ont malheureusement été présentées comme des guerres justes. Aucune sanction, aucune condamnation, aucune exclusion n’a été prononcée contre les agresseurs. Il en est de même des bombardements massifs, par l’OTAN, des cibles serbes durant la guerre du Kosovo, du 23 mars au 10 juin 1999 !). La Russie n’est pas - dans les conditions de désordre actuel du monde politique et socio-économique - le seul pays qui s’arme, se prépare à la guerre et pourrait déclencher un nouveau conflit armé à l’avenir. Les « Peuples de la Communauté des Nations » doivent s’impliquer pour que soit institué un autre système mondial, plus harmonieux et réellement pacifiste qui, en créant un climat de détente et de confiance mutuelle entre les peuples, va rassurer toutes les nations et va rendre désuète l’idée du recours à la force pour la prévention et le règlement des différends.
15. La guerre russo-ukrainienne ne résulte pas d’un « confit de valeurs », entre les « bons », les occidentaux, et les « mauvais », les russes, entre les « démocraties » et les « régimes autoritaires », comme l’affirme - de manière cynique - une certaine opinion, qui part d’une « conception binaire de la société » ! Elle ne serait pas non plus - comme le prétend le Président POUTINE - une croisade civilisatrice de la Russie contre l’Occident en décadence morale ! La simple idée d’une adhésion programmée de son pays (un État frontalier à la Russie) à l’OTAN, projetée en 2008, était un « casus belli » (=cause de guerre, motif de guerre). Cette idée avait initialement conduit, en 2014, après la révolution de Maîdan et l’annexion de la Crimée, à la guerre civile entre les pro-russes et les pro-européens et est à la base de l’actuelle guerre russo-ukrainienne. Si les occidentaux l’avaient compris dès le départ, ce bras de fer entre l’OTAN et la Russie n’allait - peut-être - pas dégénérer en conflit armé en Ukraine.
16. Au lieu de se lancer dans la confrontation et de sombrer dans une escalade verbale belliqueuse, nos dirigeants doivent savoir qu’une solution harmonieuse pourrait être apportée au conflit ukrainien, tout comme à celui de Taïwan avec la Chine - en conférant, avec une force internationale « neutre » d’interposition et le retrait de la Russie et de l’Ukraine des zones occupées et l’autodissolution des alliances politico-militaires particulières (en commençant par l’OTAN) - le statut particulier d’un « condominium » aux territoires sécessionnistes disputés du Sud-Est avec Kiev.
Un condominium est, en droit public international, un territoire sur lequel plusieurs puissances (généralement deux) exercent une souveraineté conjointe, en s'accordant formellement sur ce partage de souveraineté. Il conviendrait de conférer, dans le conflit israélo-palestinien - même simplement sur le papier d’abord - le statut particulier d’un « Condominium » à l’État palestinien, deux États tout à fait distincts qui exerceraient une souveraineté conjointe en matière de police essentiellement dans le territoire palestinien (par des troupes mixtes, uniformément équipées), dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale », de manière à garantir, à la fois, la sécurité de l’État d’Israël dans la sous-région et l’autodétermination du peuple palestinien vis-à-vis de l’État hébreux. Le sens de ce terme juridique va donc évoluer, dans le contexte mondial actuel !
Comme Israël n’est pas peuplé que de « juifs » exclusivement, l’État dit « juif » d’Israël devra garantir des droits égaux à tous ses citoyens, aux « juifs » comme aux « non-juifs », sans « apartheid ». L’application, dans chacun des deux États, du mode particulier et harmonieux de représentation, d’accession, de partage et d’exercice du pouvoir des « démocraties consensuelles » pourra donner entière satisfaction, exposer moins aux conflits et aux abus, garantir automatiquement, par ses mécanismes intrinsèques, le renouvellement, sans heurts, de la classe politique dirigeante et placer les citoyens des différentes communautés sur un même pied d’égalité, en Israël comme en Palestine, pour que les minorités ne soient des « citoyens de seconde zone », ni d’un côté, ni de l’autre. Toutefois, l’exercice des hautes fonctions qui consacrent le caractère « arabo-musulman » et « juif » de chacun des deux États - en commençant par les fonctions de président et de premier ministre - pourra être respectivement réservé aux « arabo-musulmans », d’un côté, et aux « juifs », de l’autre. C’est ce principe qu’appliquent déjà les États « arabo-musulmans » et les républiques « islamiques », même si cela n’apparait pas toujours dans les lois fondamentales de ces pays, comme en Tunisie, par exemple, où la constitution indique clairement que seul, un « musulman » peut accéder à la magistrature suprême. Il ne sera alors plus nécessaire de perpétuer cette politique discriminatoire, avec une justice à deux vitesses, qu’applique l’État d’Israël à l’égard des palestiniens et des arabes israéliens et qui s’apparente plutôt à l’« apartheid » et non à une démocratie (Exactement comme, jadis, en Afrique du Sud), surtout avec la proclamation de l’État d’Israël comme étant la « patrie des juifs ». Ce qui marginalise encore plus les non-juifs (les arabes, les chrétiens, les druzes…) qui sont alors de plus en plus maintenus dans leur statut de « citoyens de seconde zone » et légitime davantage les multiples lois qui les discriminaient déjà. Soit « deux États », soit la pérennisation du régime d’« apartheid » et la confrontation permanente !
On ne peut vraiment pas parler de « démocratie », mais bien d’« apartheid », pour l’État d’Israël où il y a des « citoyens de seconde zone », avec des droits différents pour les différentes communautés et une justice à deux vitesses, avec cette inscription discriminatoire « non-juif » sur les pièces d’identité des « non-juifs » ! Il ne faut pas qu’il y ait nécessairement une « ségrégation », pour parler d’« apartheid ».
C’est avec cet artifice juridique qu’est le « condominium » que pourra s’opérer - un jour, peut-être - l’unification des deux Corées, avec leurs deux systèmes tout à fait différents, en deux États souverains, tout à fait distincts, en précisant les matières sur lesquelles portera cette souveraineté conjointe. S’il est appliqué aux îles Diaoyutai (Pour la Chine) et Senkaku (Pour le Japon), ce statut particulier d’un « condominium » permettra de mettre fin au conflit qui les oppose, en donnant l’occasion à ces deux pays d’exploiter conjointement les ressources énergético-minières de ces îles. (C’est dans ce même esprit - une exploitation conjointe - que pourra également être résolu le conflit qui oppose la Turquie à la Grèce et au Chypre et celui du Liban avec Israël, Chypre et la Syrie, sur les gisements de gaz découverts dans les eaux disputées de la Méditerranée Orientale, étant donné que leurs limites ne coïncident pas « mécaniquement » avec les frontières maritimes).
Ce statut juridique particulier pourrait aussi permettre de régler les conflits territoriaux, s’il est - mutatis mutandis - appliqué aux entités qui ont fait ou voudraient faire sécession. Ces entités deviendraient des États souverains, à côté des « nations-mères » (ou qui prétendent l’être), avec lesquels elles exerceraient une souveraineté conjointe. En effet, en vertu de son droit à l’autodétermination, une nation ne peut nullement maintenir, dans l’union, contre sa volonté, par la force et par la terreur des armes, simplement par formalisme politico-idéologique, un territoire qui voudrait majoritairement s’affranchir de sa tutelle politique, surtout quand, manifestement, les spécificités, les singularités de son système politique, économique et socio-culturel risquent de compromettre la cohabitation de ces deux entités (C’est le cas de Taïwan et de Hong Kong, par exemple, dont le système des libertés politiques est incompatible avec le régime communiste chinois). Avec l’échec du principe d’« un pays, deux systèmes » à Hong Kong, le gouvernement chinois y impose plutôt, aujourd’hui, un régime autoritaire, avec des violations massives des droits et des libertés et un grand nombre d’exclus et de prisonniers politiques (et c’est ce qui risque de se reproduire à Taïwan), pour des contraintes d’ordre géopolitique et pas tellement de mauvaise foi, de peur que le vent des « libertés politiques » qui souffle à Hong Kong n’atteigne le continent et n’emporte son régime ! A l’intelligentsia mondiale d’agir donc, pour que, partant du « bon diagnostic », comme hypothèse de travail, dans la recherche continue de la sécurité et de la paix, il soit mis fin - avec une « doctrine sociale commune » et grâce au principe de « relativité » - au système mondial actuel des blocs idéologiques opposés, qui s’affrontent constamment, à l’intérieur de nos pays et dans le monde !
Par contre, le retrait des entités indépendantistes ne pourra être total, si, le cas échéant, les « nations-mères » ou qui prétendent l’être, leur opposent le droit international. Ce statut particulier d’un « condominium » permettra alors de trancher, en apportant - même simplement sur le papier d’abord, dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale » - des solutions harmonieuses qui tiennent compte, à la fois, du droit à l’autodétermination des entités indépendantistes et des exigences du droit international pour les « nations-mères », dans, par exemple, les cas de Hong Kong, de Taïwan et du Tibet avec la Chine, du Casamance avec le Sénégal, du Kosovo avec la Serbie, du Sahara Occidental (le Sahara Espagnol) avec le Maroc, du Somaliland avec la Somalie, du Tigré avec l’Ethiopie, des territoires anglophones du Cameroun avec Yaoundé, de la Transnistrie avec la Moldavie, de l’Abkhazie et l’Ossétie du Sud avec la Géorgie et, aujourd’hui, des territoires sécessionnistes disputés du Sud-Est de l’Ukraine avec Kiev, avec une force internationale « neutre » d’interposition et le retrait de la Russie et de l’Ukraine des zones occupées et avec, dans chaque cas, une souveraineté conjointe en matière de police essentiellement, sans, toutefois, qu’un pays n’agisse par la convoitise des richesses d’un territoire, ni pour des visées colonialistes, avec l’idée de vouloir exercer coûte que coûte une domination politique sur un autre peuple, quel que soit le nombre de gouvernements qui, par peur de représailles ou, simplement, en échange d’un privilège, vont - sans scrupule et sans aucun souci du bon sens - se ranger derrière cette entité colonialiste. C’est le cas de tous ces pays qui ont reconnu la souveraineté de la Chine "communiste" sur Taïwan (Une démocratie). Le Président TRUMP a, pour pouvoir ajouter un pays arabe de plus sur la liste de ceux qui normalisaient leurs relations avec Israël, dans le cadre des « Accords d’Abraham », simplment reconnu, de manière cynique, la souveraineté du Maroc sur le Sahara Occidental et le Président MACRON a fait de même, pour réconcilier diplomatiquement son pays avec le Maroc ! Mais, le Tribunal Général de l’Union Européenne avait rappelé, dans son jugement du 29 Septembre 2021, que le Sahara Occidental (le Sahara Espagnol), ancienne province d’Espagne (jadis une colonie espagnole entre 1886 et 1975), ne faisait pas partie du Maroc et jouissait d’un statut séparé et distinct de ce Royaume ! Son statut définitif doit être défini par l’ONU, mais reste en suspens depuis le cessez-le-feu de 1991, dans cette institution intergouvernementale qui statue, non pas suivant les règles juridiques, mais en fonction des calculs politiques mesquins (Sous réserve du fait que, pour le Sahara Occidental, le cas de la Mauritanie qui, après son indépendance, n’est pas entrée dans le giron du Maroc, pourrait faire jurisprudence et du fait que l’unification de Taïwan avec la Chine, en un État "communiste", va créer - avec leurs idéologies opposées - plus de problèmes qu’elle ne va en résoudre, surtout que, historiquement, Taïwan n’a jamais fait administrativement partie de la Chine communiste).
Ce statut juridique élargi d’un « condominium » permettrait aussi de dénuer les cas des territoires indépendantistes disputés, pour l’indépendance du Cachemire avec l’Inde et le Pakistan et - le moment venu - celle du Grand Kurdistan avec l’Irak, l’Iran, la Syrie et la Turquie… D’une manière générale, tous les pays doivent tenir compte, dans l’organisation politico-administrative de l’État, des revendications identitaires, de la spécificité et de la singularité des différents territoires, pour qu’ils se sentent bien dans l’union et ne cherchent pas à en sortir !
Le sens du terme juridique « condominium » va nécessairement évoluer dans le contexte mondial actuel. Il gardera son sens classique pour les îles Diaoyutai (Pour la Chine) et Senkaku (Pour le Japon), avec ces deux États qui exerceraient une souveraineté conjointe dans l’exploitation des richesses énergético-minières de ces iles. Dans l’unification des deux Corées, cette souveraineté conjointe s’exercera, sur leurs deux territoires contigus, en matière de police essentiellement. Mais, dans le cas d’Israël avec la Palestine, cette souveraineté conjointe s’exercera sur le territoire palestinien par ces deux États, sur des bases égalitaires, en matière de police d’abord, par des troupes mixtes, uniformément équipées. Et, de la même manière, dans les autres cas, la région séparatiste exercera une souveraineté conjointe, en matière de police, sur son territoire, avec la « nation-mère » (ou qui prétend l’être), dans les cas de Hong Kong, de Taïwan et du Tibet avec la Chine, du Casamance avec le Sénégal, du Kosovo avec la Serbie, du Sahara Occidental (le Sahara Espagnol) avec le Maroc, du Somaliland avec la Somalie, du Tigré avec l’Ethiopie, des territoires anglophones du Cameroun avec Yaoundé, de la Transnistrie avec la Moldavie, de l’Abkhazie et l’Ossétie du Sud avec la Géorgie et, aujourd’hui, pour les territoires sécessionnistes disputés du Sud-Est de l’Ukraine avec Kiev, avec une force internationale « neutre » d’interposition et le retrait de la Russie et de l’Ukraine des zones occupées (cette souveraineté conjointe porterait ici également sur le plan énergétique). Dans le même ordre d’idées, cette souveraineté s’exercera conjointement - à la fois - avec l’Inde et le Pakistan, pour et avec le Cachemire, et avec l’Irak, l’Iran, la Syrie et la Turquie, pour et avec le Grand Kurdistan, le moment venu…
17. La paix entre israéliens et palestiniens est tout à fait possible, à condition qu’elle soit recherchée, sur des bases égalitaires et sans parti-pris, dans une perspective mondiale et une approche holistique, dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale », autour du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, autour du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, en insistant sur le fait que le conflit israélo-palestinien va au-delà du Hamas et de l’actuelle guerre avec le Hezbollah !
La collectivité humaine, en général, et les décideurs politiques, religieux et économico-financiers de la planète, en particulier, doivent, à l’occasion de cette initiative, amener les principaux protagonistes au conflit israélo-palestinien à relancer et à ne privilégier que le processus politique, pour sortir le monde de cette situation de colonisation et de non-droits dans laquelle est maintenu le peuple palestinien, depuis 1948 (année de proclamation de l’État d’Israël), cette situation qui fait la honte, non seulement des dirigeants du monde, mais aussi de toute l’intelligentsia mondiale, pour ne pas avoir proposé jusqu’ici, dans ce conflit, une solution qui soit « juste », politiquement harmonieuse et socialement apaisée, acceptable par les deux parties, sans parti-pris. Les israéliens avancent des raisons d’ordre sécuritaire pour légitimer cette forme ignominieuse de colonisation des temps modernes dans laquelle ils maintiennent le peuple palestinien. Dans leur désarroi et leur ras-le-bol, les palestiniens recourent - avec le manque de perspective, devant l’inaction de la « Communauté dite Internationale » - à la violence, au « sabotage » et même aux actes terroristes, pour résister et se libérer de l’occupation, de l’oppression et de la répression, comme on l’a vu avec tous les mouvements de libération à travers l’histoire. Ce qui, malgré tout, est tout à fait condamnable ! Excédé, courroucé, l’État d’Israël répond, chaque fois - pour se venger - avec une terreur aveugle, comme un vrai « État terroriste », comme on le voit aujourd’hui à Gaza, après l’attaque « terroriste » du Hamas du 7 Octobre de l’année dernière, une guerre de vengeance, bien au-delà d’une légitime auto-défense, une punition collective ! .
Il convient que nous comprenions tous, sur ce point, ce qui suit :
17.1 La clef du conflit israélo-palestinien se trouve entre les mains des puissances occidentales - avec, à leur tête, les États-Unis - dans ce rôle de gendarmes du monde qu’elles sont appelées à jouer, par la force des choses, en l’absence d’un système mondial organisé de police de la planète. Pour ouvrir un nouvel horizon politique et permettre à l’humanité d’apporter des solutions harmonieuses et « justes » au conflit israélo-palestinien, au conflit ukrainien et à tous les autres foyers de tensions à travers le monde, comme dans la guerre à l’Est de la République Démocratique du Congo-Zaïre, il faudra d’abord que les occidentaux se remettent en question et abandonnent impérativement leur conception occidentalocentrée d’un ordre mondial à géométrie variable et d’une justice internationale à deux vitesses, qui reposent sur une « conception binaire de la société » - Deux poids deux mesures ! C’est alors et alors seulement qu’ils pourront s’investir, totalement et sans parti-pris, dans cette recherche d’un ordre mondial plus juste, plus harmonieux et réellement pacifiste. Cette idée erronée, héritée de l’âge de la pierre, d’une « conception binaire de la société » suppose que l’humanité serait composée de « bons », d’un côté, et de « mauvais », de l’autre, qui, eux, ne peuvent pas jouir des mêmes droits que les autres et contre lesquels les « bons » peuvent tout se permettre, sans aucun scrupule, sans une quelconque référence aux principes de « droit », de « justice », de « sagesse » et de « bon sens », comme la colonisation, l’occupation et la politique discriminatoire qu’applique l’État d’Israël à l’égard des palestiniens et des arabes israéliens (avec cette inscription discriminatoire « non-juif » sur les pièces d’identité des « non-juifs »), sans que le « monde occidental » ne s’en émeuve outre mesure ! Malgré tout cela, les occidentaux continuent, dans leur globalité, à claironner à tue-tête qu’Israël est une « démocratie », la seule démocratie du Moyen-Orient (disent-ils), alors qu’il s’agit bel et bien d’apartheid, exactement comme, jadis, en Afrique du Sud où s’organisaient, certes, des élections, mais pour les afrikaners exclusivement, avec une justice à deux vitesses, des droits différents pour les différentes communautés et une politique « discriminatoire » pour le reste de la population (des « citoyens de seconde zone »). Pour parler d’« apartheid », il ne faut pas qu’il y ait nécessairement une ségrégation "physique" des communautés ! Les « Peuples de la Communauté des Nations » doivent, pour leur part, agir ensemble, dans cette optique, pour que les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique changent, tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation à promouvoir (à consigner dans la « Charte Mondiale »).
17.2 Plus le temps passe, plus le soutien « inconditionnel » des occidentaux à l’État d’Israël apparait de plus en plus comme un soutien « aveugle » à l’occupation, à l’oppression et à la répression. Dans ce contexte, leur soutien indéfectible au droit de l’État d’Israël « à se défendre » devient plutôt un soutien inconditionnel à son droit « à se venger » - avec de multiples exactions, des frappes indiscriminées et des destructions massives - et un soutien sans faille à la politique discriminatoire du « tout sécuritaire », avec une justice à deux vitesses, qu’applique l’État d’Israël à l’endroit des palestiniens et des arabes israéliens et qui s’apparente à l’« apartheid » et non à une démocratie (Exactement comme, jadis, en Afrique du Sud). Cette politique discriminatoire aveugle les décideurs politiques et génère plus d’insécurité pour Israël qu’on ne le pense, contrairement à cette fausse impression de sécurité que lui donne sa supériorité sur le plan militaire ! Cette politique se fonde sur des stratégies et des méthodes archaïques, barbares, non efficientes et contreproductives des « temps primitifs », les embargos, les blocus, les tracasseries et les mesures policières de privation des libertés, les injonctions, le recours à la force et les menaces d’usage de la force, les frappes préventives et les frappes aveugles de représailles, les invasions militaires, les assassinats ciblés (=Exécutions extrajudiciaires légalisées), les détentions administratives arbitraires, sans jugement ni inculpation, les expulsions, les expropriations, les destructions méchantes légalisées, les déplacements forcés des populations, la colonisation, l’annexion, la confiscation des terres palestiniennes et la poursuite de construction de logements dans les territoires occupés. (On ne peut vraiment pas parler de « démocratie », mais bien d’« apartheid », pour l’État d’Israël où il y a des « citoyens de seconde zone », avec des droits différents pour les différentes communautés et une justice à deux vitesses, avec cette inscription discriminatoire « non-juif » sur les pièces d’identité des « non-juifs » !).
17.3. Nous ne pourrons jamais construire la paix entre israéliens et palestiniens et leur garantir une cohabitation harmonieuse sur des bases inégalitaires et injustes ! La solution au conflit israélo-palestinien passe par la création de deux États, certes, mais - mieux - deux États souverains, après échange et cession des terres, sans que cet échange ne concerne Jérusalem et les personnes et sans enclaver les territoires, avec le statut particulier d’un « Condominium » pour la Palestine avec Israël, deux États tout à fait distincts qui exerceraient une souveraineté conjointe en matière de police essentiellement dans le territoire palestinien, par des troupes mixtes, uniformément équipées, de manière à garantir, à la fois, la sécurité de l’État d’Israël dans la sous-région et l’autodétermination du peuple palestinien vis-à-vis de l’État hébreux, dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale ». Ce qui rendra politiquement harmonieuse et socialement apaisée la cohabitation de ces deux peuples frères et rendra désuète l’idée du recours à la force par un camp ou par un autre. L’idée de conférer le statut particulier d’un « condominium » à la Palestine avec Israël permettra également de résoudre plus facilement ces problèmes récurrents : (1) le statut controversé de la ville de Jérusalem, (2) l’épineux problème des frontières des deux États, (3) les implantations juives en terres palestiniennes et (4) le problème crucial du « droit au retour » des réfugiés palestiniens, (5) sachant que le conflit israélo-palestinien va au-delà du Hamas et de l’actuelle guerre avec le Hezbollah au Liban. Pour être harmonieux, le règlement de ce conflit devra résoudre, au minimum, impérativement ces problèmes cruciaux. Toute solution au conflit israélo-palestinien qui n’inclurait pas, intégralement et de manière harmonieuse, ces problèmes n’en serait pas une ! Il en est de même pour toute autre solution à ce vieux conflit qui ne passerait pas par le dialogue, par la négociation et par la reconnaissance mutuelle.
17.4. L’idée de créer deux États sur des bases inégalitaires - l’un militarisé et l’autre démilitarisé - n’est pas juste ! Elle se fonde sur l’idée nuisible, héritée de l’âge de la pierre, d’une « conception binaire de la société », qui suppose qu’il y aurait les « bons » (les israéliens), qui peuvent s’armer librement, d’un côté et, de l’autre, les « mauvais » (les palestiniens), qui, eux, n’en seraient pas dignes ! Et, même dans l’optique d’un État d’Israël militarisé à côté d’un État palestinien démilitarisé, les israéliens qui ne seront pas du tout sûrs de la loyauté des palestiniens pourraient continuer à les maintenir dans un embargo, sous un blocus ou, simplement, multiplier les contrôles, avec les tracasseries qu’ils entrainent, pour s’assurer vraiment que les armes n’entrent pas en Palestine.
17.5 Si l’État d’Israël, si les israéliens recourent à la « force » et aux autres méthodes archaïques, barbares, non efficientes et contreproductives des « temps primitifs » évoquées ici, au lieu de privilégier la recherche d’une solution politique, ce n’est pas tellement parce qu’ils sont les plus « forts », et même pas parce qu’ils sont « mauvais », mais par pure ignorance, l’ignorance - au stade actuel de l’évolution de la connaissance de l’humanité en matière d’« ordre et de désordre » - par l’ensemble de l’humanité (du moins dans l’opinion commune, au stade actuel de l’évolution de la connaissance en matière d’« ordre et de désordre »), des meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’« ordre » dans le monde, (1) à la suite de l’ignorance de la cause fondamentale d’absence de l’ordre dans le monde politique et socio-économique, qui n’est nullement le mal prétendu enraciné en l’homme, ni une quelconque défaillance morale de sa part, (2) en raison de l’influence négative des idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre » sur nos choix et stratégies dans les affaires politiques, sociales, économiques, monétaires, culturelles et dans la lutte contre le réchauffement climatique, (3) en l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix. C’est par pure ignorance que nous perpétuons le système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète (d’alliances politico-militaires particulières), hérité de l’époque de la « guerre froide », qui ne rassure pas et ne garantit pas la sécurité à nos différents pays et dans lequel nous nous armons si lourdement les uns contre les autres, dans - paradoxalement - le but de garantir la paix au monde, à cause de l’ignorance, par l’ensemble de l’humanité (du moins dans l’opinion commune, au stade actuel de l’évolution de la connaissance en matière d’« ordre et de désordre »), des meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’« ordre » dans le monde !
17.6 Il ne s’agit pas pour la « Communauté des Nations » d’exiger simplement que soit créé deux États, d’observer - en spectateur - et d’attendre calmement que tout se règle entre israéliens et palestiniens, comme on l’a toujours fait jusqu’ici ! Tous les États-nations doivent s’impliquer pour que les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique changent - même simplement sur le papier d’abord - tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation, dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale », en agissant, à la fois, à l’international et au niveau de chacun de leurs pays respectifs. En effet, les raisons qui poussent les différents protagonistes à adopter des prises de positions radicales et à afficher des attitudes inconciliables qui sont à la base du blocage des différents processus de paix, dans le conflit israélo-palestinien comme dans tous les autres foyers de tensions à travers le monde, sont ces mêmes idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre », qui se retrouvent à l’arrière-plan non critique, conscient et inconscient, de l’opinion commune - jusque dans le « monde scientifique » - et qui, dans les situations de graves conflits, se radicalisent. Pour que ces idées changent, elles doivent l’être à l’échelle de toute la planète, dans tous les pays, jusque dans l’« inconscient collectif » de l’humanité et non seulement dans une partie du monde, impérativement autour de nos écoles et de nos universités.
17.7 Le conflit ukrainien, le conflit israélo-palestinien et tous les autres foyers de tensions à travers le monde ne sont que la partie visible de l’énorme iceberg que représente le désordre actuel du monde politique et socio-économique. Tant que les causes profondes de ce désordre n’auront été identifiées pour être globalement jugulées, aucune solution, réellement harmonieuse et durable, ne pourra être apportée au conflit israélo-palestinien et à tous les autres foyers de tensions à travers le monde.
17.8 Les sanctions, la force, la violence et la contrainte ne peuvent pas rétablir l’harmonie là où elle ne règne plus ! C’est seulement et seulement en apportant une solution « juste », sur des bases égalitaires et sans parti-pris, au conflit qui les opposent aux palestiniens que les israéliens pourront réellement garantir leur sécurité et celle de la diaspora juive à travers le monde, en résolvant harmonieusement, à la fois et au minimum, ces problèmes récurrents : (a) le statut controversé de la ville de Jérusalem, (b) l’épineux problème des frontières des deux États, (c) les implantations juives en terres palestiniennes et (d) le problème crucial du « droit au retour » des réfugiés palestiniens, (e) sachant que le conflit israélo-palestinien va au-delà du Hamas et de l’actuelle guerre avec le Hezbollah. Le peuple juif pourra alors vivre réellement en sécurité et en paix, sans arrière-pensées, non seulement avec les palestiniens, mais aussi avec tout le monde arabo-musulman et avec tous les autres peuples du monde, sans aucune inquiétude pour la diaspora juive, avec la dissipation de l’antisémitisme qui s’en suivra, ce qui ne pourra advenir simplement avec des manifestations, des condamnations et la moralisation des gens, tant qu’une solution politique globale « juste » n’aura été apportée à la question palestinienne. La suprématie en matière d’armements de l’État d’Israël, la détention d’armes nucléaires, les murs présumés infranchissables et les frontières prétendues inexpugnables, ainsi que les batteries antimissiles supposées inviolables ne confèrent qu’une fausse impression de sécurité à l’État d’Israël et égarent ses dirigeants, qui se croient alors en sécurité et ne s’engagent plus sur la voie du dialogue et de la négociation, en vue d’une solution politique globale « juste », une solution qui soit en mesure de résoudre radicalement ce conflit à la base, à partir de ses racines, dans une perspective mondiale et une approche holistique.
17.9 Seule, une solution politique globale « juste » à la question palestinienne - même simplement sur le papier d’abord - permettra aux israéliens et à la diaspora juive de vivre en sécurité et en paix et d’obtenir la dissipation de l’antisémitisme, avec, automatiquement, la cessation des hostilités entre l’État d’Israël et le Hezbollah et une accalmie dans le conflit latent qui les oppose aux pays musulmans de la sous-région et du reste du monde et avec le retour, en toute quiétude, de la population au Nord d’Israël, et non avec l’idée illusoire de « Tsahal » de créer un « no man’s land » au Sud du Liban. La dissipation de l’antisémitisme ne pourra advenir simplement avec des manifestations, des condamnations et la moralisation des gens, tant qu’une solution politique globale « juste » n’aura été apportée à la question palestinienne ! Quelles que soient la hauteur de leurs murs de sécurité, l’étanchéité de leurs frontières, la fiabilité de leurs batteries antimissiles, l’ampleur de leurs arsenaux militaires et nucléaires, la vigilance de leurs forces de police, la performance de leurs « forces spéciales » et l’efficacité de leurs services d’intelligence et de renseignements, les israéliens ne seront jamais à l’abri des surprises, devant la détermination et l’imagination, sans limites, des palestiniens qui se disent opprimés et humiliés !
Même s’ils arrivaient à éliminer tous les « résistants » palestiniens (comme ils se qualifient, eux-mêmes, eux qui, avec le manque de perspective, recourent, dans leur désarroi et leur ras-le-bol - devant l’inaction de la « Communauté dite Internationale » - à la violence, au « sabotage » et même aux actes terroristes, comme on l’a vu avec tous les mouvements de libération à travers l’histoire. Ce qui, malgré tout, est tout à fait condamnable), les israéliens ne seront jamais en sécurité, tant qu’une solution juste et harmonieuse n’aura été apportée au conflit qui les oppose aux palestiniens. Il naitra, chaque fois, après chaque riposte, de nouvelles générations de « résistants », de plus en plus déterminés à agir, pour libérer - par tous les moyens, avec même, certainement, des actes terroristes - leur peuple du joug israélien ! Même s’il faut parler de « terrorisme » stricto sensu (=au sens propre du terme), l’État d’Israël ne doit continuer à s’en servir de paravent pour recourir à la terreur, aux exactions, aux « massacres », aux destructions et à la violation des droits et des libertés, comme on le voit aujourd’hui à Gaza, après l’attaque « terroriste » du Hamas du 7 Octobre de l’année dernière, une guerre de vengeance, bien au-delà d’une légitime auto-défense, une punition collective !
Le terrorisme est plus une « conséquence » qu’une « cause ». Il ne peut être vaincu avec l’outil militaire, par la répression, avec des exactions, des massacres et des destructions. Mais, malheureusement, nos leaders politiques, nos stratèges qui tiennent à gagner les guerres ne l’ont toujours pas encore compris ! Le « tout-sécuritaire » n’est pas une solution dans la lutte contre le terrorisme. D’une manière générale, les actes terroristes, ces actes irrationnels et aveugles apparaissent, à première vue, comme une espèce de front du refus des groupuscules anarchistes qui voudraient exprimer leur désarroi et leur ras-le-bol, (1) face au mode de gestion de l’ordre mondial, (2) face au dysfonctionnement du système sociopolitique du monde qui nourrit les contestations et potentialise les radicalismes, (3) en fonction (a) des idées qui les habitent et (b) des conditions - essentiellement politiques - dans lesquelles ils sont maintenus (pour résister à l’occupation, à l’oppression et à la répression, dans le cas particulier des palestiniens). Le terrorisme est avant tout une tactique, un type de modes opératoires qui peuvent avoir divers mobiles. Il ne peut donc être vaincu par des moyens militaires. Ainsi donc, en dehors des opérations habituelles de police, on pourra, devant les situations de guerres créées par les terroristes eux-mêmes, juste y apporter une riposte militaire ponctuelle de légitime défense, sans perdre de vue que, même pour le terrorisme, la solution ne peut être que politique, par le dialogue et la négociation, (a) en résolvant les « vrais problèmes » à la base, à partir de leurs racines, dans une perspective globale et (b) en identifiant et en jugulant les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique.
Le terrorisme doit être combattu en nous attaquant à ses vraies racines, dans une perspective globale. Les méthodes actuelles de lutte contre le terrorisme contribuent plutôt à envenimer le problème, à le rendre de plus en plus visible et à accroître, par ce fait, les phénomènes d’imitation des actes terroristes. La militarisation de la lutte contre le « terrorisme », en Israël et ailleurs, crée plus de problèmes qu’elle n’en résout ! Le Hamas est une idée, une idéologie. Le Hezbollah est, à la fois, un parti politique et une organisation militaire, sociale et religieuse. Ces deux entités ne peuvent être détruites avec les massacres des populations palestinienne et libanaise, ni avec des destructions massives à Gaza et au Liban, en réponse de l’État d’Israël à l’attaque « terroriste » du 7 Octobre de l’année dernière et dans la confrontation avec le Hezbollah !
A vrai dire, la « débâcle » de Tsahal (= la « Force de défense d'Israël ») face aux actes terroristes du Hamas du 7 Octobre de l’année dernière est une preuve manifeste de l’échec total de la stratégie politico-sécuritaire discriminatoire, archaïque, barbare, non efficiente et contreproductive des « temps primitifs », pratiquée - jusqu’ici - par l’État d’Israël dans la gestion du conflit israélo-palestinien, à cause de l’ignorance, par l’ensemble de l’humanité (du moins dans l’opinion commune, au stade actuel de l’évolution de la connaissance en matière d’« ordre et de désordre »), des meilleures méthodes à appliquer dans la recherche de la sécurité et de la paix ! On ne pourrait parler, aujourd’hui, de « victoire », pour l’État d’Israël, quel que soit le nombre de personnes tuées, quelle que soit l’ampleur de l’horreur, du désastre, des destructions et des souffrances infligées aux gazaouis, comme une punition collective !
Le monde ne pourra vraiment parler de « victoire », après la décapitation du Hamas, dont les principaux dirigeants ont été assassinés, que lorsque l’humanité, en général, et l’intelligentsia mondiale, les écoles et les universités, en particulier, auront apporté une solution politique globale « juste » à ce vieux conflit, dans une perspective mondiale et une approche holistique, sur des bases égalitaires et sans parti pris, dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale » : La solution à deux États tout à fait souverains, après échange et cession des terres, sans que cet échange ne concerne Jérusalem et les personnes et sans enclaver les territoires, avec le statut particulier d’un « Condominium » pour la Palestine avec Israël, deux États tout à fait distincts qui exerceraient une souveraineté conjointe en matière de police essentiellement dans le territoire palestinien, par des troupes mixtes, uniformément équipées, de manière à garantir, à la fois, la sécurité de l’État d’Israël dans la sous-région et l’autodétermination du peuple palestinien vis-à-vis de l’État hébreux.
17.10. Nous ne pourrons jamais résoudre les problèmes de la planète et pacifier le monde à coups de sanctions à tout bout de champ, par le recours à la force et les menaces d’usage de la force, l’interdit, la répression et les restrictions intempestives des libertés, ni même avec les prêches du religieux et les conseils du moraliste, tant que les vrais problèmes n’auront été résolus à la base. En l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, l’approche, les stratégies et les méthodes utilisées - par toute l’humanité - en matière d’« ordre et de désordre », dans la recherche de la sécurité, de la paix, du bien-être social pour tous et dans la lutte contre le réchauffement climatique, sont encore, jusqu’ici - fondamentalement - celles de l’âge de la pierre. Pour obtenir des résultats probants, nous devons revoir, de fond en comble, notre approche, nos stratégies et nos méthodes, en partant du « bon diagnostic », comme hypothèse de travail, dans la recherche continue de la sécurité et de la paix, en son sens le plus large, qui inclue l’« ordre » sur la plan politique, social, économique monétaire culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique.
17.11 Au lieu de multiplier les sanctions, les embargos, le recours à la force et les menaces d’usage de la force, les interdits, les restrictions des libertés et les contraintes inutiles, nous devons plutôt recourir aux meilleures méthodes pour faire régner l’« ordre » dans le monde, qui doivent consister plutôt essentiellement (a) à partir du « bon diagnostic », qui n’est nullement le mal prétendu enraciné en l’homme, ni une quelconque faillite morale de sa part, (b) à identifier et à juguler les causes profondes, immédiates et lointaines, des problèmes à l’ordre du jour, (c) en œuvrant pour que soient réunies les conditions qui doivent être satisfaites, suivant les contextes, tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation, selon les cas, (d) sachant pertinemment que les lois et règlements, les décisions à prendre, doivent être fondées sur le « droit », la « justice », la « sagesse » et le « bon sens » et avoir, comme objectif primordial, la recherche de solutions aux problèmes de la société, dans l’optique de la préservation de la paix et de l’harmonie sociale - et non une multitude de sanctions, de restrictions des libertés et de contraintes inutiles à imposer aux gens et aux États, pour un ordre vain, sans un but précis, simplement par conformisme politique, idéologique ou religieux - (e) tout en améliorant la gouvernance mondiale et en perfectionnant la manière de gérer la planète et d’administrer les différents pays, (f) autour du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, (g) sachant pertinemment que, en ce qui concerne sa nature, son cœur, son esprit, son mental et son patrimoine génétique, l’être humain est et reste fondamentalement le même, en tout temps et en tout lieu. (Deux éminents criminologues, Yvon DANDURAND et François-Xavier RIBORDY, insistent - dans l’ouvrage « Crime et société : Introduction à l’étude du phénomène criminel », paru aux Editions de l’Université d’Ottawa, en 1980 - sur la nécessité, pour les pouvoirs publics, de chercher d’abord à réunir, dans la lutte contre la criminalité, les conditions qui doivent être satisfaites, au lieu d’imposer une multitude d’interdits et de contraintes inutiles aux gens. C’est tout simplement en raison du fait que l’« être humain » ne soit - jusqu’ici - pas encore tout à fait sorti de sa « petite enfance » qu’il pense pouvoir tout régler par l’interdit et la répression et pouvoir tout stopper par la contrainte, par la fermeté et la sévérité des sanctions à appliquer).
17.12 Soit « deux États », soit la pérennisation du régime d’« apartheid » et la confrontation permanente ! Créer un État palestinien indépendant ne sera que « justice » pour la « Communauté des Nations ». La solution à deux États n’est pas une simple exigence d’aujourd’hui. La décision de l’ONU du 29 Novembre 1947 qui avait mis fin au mandat britannique sur la Palestine, pour créer un État juif, prévoyait déjà le partage de ce territoire en deux États distincts, l’État d’Israël (60%) et l’État palestinien (40%). Même si ces pourcentages ne peuvent pas être scrupuleusement respectés aujourd’hui, cela doit être bien compris, à la fois, (1) par ceux parmi les israéliens qui parlent d’un seul État, rêvent d’un « Grand Israël » et prônent, dans cette optique, la poursuite de l’annexion des terres palestiniennes et l’implantation de nouvelles colonies dans les territoires occupés et (2) ceux des palestiniens qui nient à l’État d’Israël le droit d’exister. C’est en partant de cette base que les uns et les autres comprendront qu’ils doivent nécessairement œuvrer pour « la solution à deux États ». Il s’agit ici, non pas d’un choix, mais d’une obligation pour les décideurs de l’État hébreu, qui doivent appliquer cette décision irrévocable de l’ONU, décision qui - fort heureusement - avait permis la création de leur propre État à côté d’un État palestinien, sur un territoire occupé totalement, à l’époque, à 100%, par la Palestine mandataire, dans lequel il n’y avait pas plus de 10% de juifs ! C’est vraiment regrettable que la « Communauté dite internationale » ne se soit pas donnée, jusqu’ici, les moyens de faire respecter cette sage décision de l’ONU, après l’inhumaine et terrifiante expérience de la Shoah !
17.13 Nous ne pourrons jamais construire la paix entre israéliens et palestiniens et leur garantir une cohabitation harmonieuse sur des bases inégalitaires et injustes ! La solution d’un condominium d’un type particulier qui garantirait la « sécurité commune des deux États » est préférable à celle de deux États, créés sur des bases inégalitaires, qui vivraient simplement « côte à côte », séparés par un mur de sécurité, l’un militarisé et l’autre démilitarisé - comme le propose, de manière cynique, une certaine opinion, qui part d’une « conception binaire de la société », cette idée erronée, héritée de l’âge de la pierre, qui suppose qu’il y aurait, d’un côté, les « bons » qui peuvent s’armer librement et, de l’autre, les mauvais qui, eux, n’en seraient pas dignes - deux États qui n’auraient pas résolu ces problèmes récurrents : (1) le statut controversé de la ville de Jérusalem, (2) l’épineux problème des frontières des deux États, (3) les implantations juives en terres palestiniennes et (4) le problème crucial du « droit au retour » des réfugiés palestiniens, (5) sachant que le conflit israélo-palestinien va au-delà du Hamas et de l’actuelle guerre avec le Hezbollah. Elle écarte également l’idée de deux armées « côte à côte » qui seraient fatalement, dans les conditions actuelles, opposées l’une contre l’autre et se prépareraient activement à la guerre !
17.14 Pour apporter une solution harmonieuse à l’épineux problème du « droit au retour » des réfugiés palestiniens et, en même temps, à celui, tout aussi crucial, des frontières des deux États, avec les implantations juives en terres palestiniennes, il serait souhaitable que l’« État d’Israël » accepte d’échanger des terres - sans que cet échange ne concerne Jérusalem et les personnes et sans enclaver les territoires - et de céder une ou plusieurs portions de son territoire à la Palestine (au lieu d’annexer, par la force, les terres palestiniennes !) et y construise, en contrepartie, pour le « droit au retour » des réfugiés palestiniens, avec certainement la contribution de toute la « Communauté des Nations », des habitations à loyer modéré, dans des cités modernes, pour les réfugiés palestiniens, avec toutes les infrastructures requises, du moins pour ceux d’entre eux qui n’auraient pas choisi - en échange d’une compensation - de rester dans le pays d’accueil ou d’aller dans un pays tiers. Cette proposition tient compte de la crainte - tout à fait compréhensible - des Israéliens d’être engloutis par un afflux massif des réfugiés palestiniens dans leur territoire qui, sur le plan démographique, perdrait alors son caractère « juif ». Cependant, vouloir, à tout prix, que les réfugiés palestiniens reviennent exactement là où ils étaient avant la création de l’État d’Israël serait tout simplement un manque notoire de réalisme ! Par contre, demander aux réfugiés palestiniens, qui vivent entassés, pendant des décennies, dans des camps surpeuplés et insalubres, de renoncer tout bonnement à leur « droit au retour », sans contrepartie, comme on l’a souvent proposé jusqu’ici, serait totalement irresponsable de la part de la « Communauté des Nations ». Il est vraiment souhaitable que soit retenue cette proposition d’échange et de cession des terres - sans que cet échange ne concerne Jérusalem et les personnes et sans enclaver les territoires - pour la création d’un État palestinien viable, car il est aujourd’hui pratiquement impossible de revenir aux frontières exactes de 1967, comme on l’a toujours exigé !
17.15 C’est pour garantir sa « sécurité » - et pas tellement de mauvaise foi - qu’Israël maintient les palestiniens sous occupation et sous un blocus, avec une politique discriminatoire et une justice à deux vitesses qu’il applique à l’endroit des palestiniens et des arabes israéliens et qui s’apparente, malheureusement, à un régime d’« apartheid » et non à une démocratie. « La paix passe par la sécurité » (Shimon PERES, ancien président et premier ministre d’Israël, prix Nobel de la paix 1994). L’idée de conférer le statut particulier d’un « condominium » à l’État palestinien avec Israël et qui garantirait la sécurité commune des deux États pourrait, en créant un climat de détente et de confiance mutuelle entre israéliens et palestiniens, rendre désuète l’idée du recours à la force par un camp ou par un autre et permettre ainsi aux « Peuples de la Communauté des Nations » d’atteindre cet objectif de garantir, à la fois, la sécurité de l’État d’Israël dans la sous-région et l’autodétermination du peuple palestinien, une fois que ces problèmes récurrents auront harmonieusement été résolus : (1) le statut controversé de la ville de Jérusalem, (2) l’épineux problème des frontières des deux États, (3) les implantations juives en terres palestiniennes et (4) le problème crucial du « droit au retour » des réfugiés palestiniens.
17.16 Il faudra surtout écarter l’idée de créer deux États sur des bases inégalitaires, dont l’un serait militarisé et l’autre démilitarisé - comme le propose, de manière cynique, une certaine opinion qui part d’une conception binaire de la société - un État militarisé, celui des « bons » (Les israéliens), à côté d’un État démilitarisé, celui des « mauvais », celui des « méchants » (les palestiniens), qui n’auraient pas, eux, le droit de s’armer comme les autres !
17.17 Avec cette solution de deux États distincts, dans laquelle l’État palestinien aura le statut particulier d’un « condominium » avec Israël, le problème des frontières sera moins aigu. Il faudra néanmoins qu’impérativement un terme soit désormais mis à la colonisation et à l’annexion des terres palestiniennes, étant donné qu’elles exacerbent l’antisémitisme et les extrémismes, enveniment les relations entre les deux camps, compromettent le processus de paix et mettent inutilement en danger la diaspora juive à travers le monde.
En ce qui concerne le statut controversé de la ville de Jérusalem, il est souhaitable d’opter pour le statu quo, la zone arabe reste strictement palestinienne, comme par le passé, à côté de la partie juive, avec une souveraineté conjointe des deux États sur une partie de la « vieille ville », qui pourra alors abriter les organes de ce « condominium », et un statut international particulier de neutralité pour les lieux saints que les religions monothéistes abrahamiques ont en partage à Jérusalem et ailleurs. Compte tenu du caractère très disputé de la ville de Jérusalem, les deux parties estimeront elles-mêmes, en tenant compte des conditions du moment, s’il faut, oui ou non, en faire les capitales des deux États. Elles devraient, en principe, y renoncer - du moins, pour le moment - en raison de la portée hautement symbolique et des conséquences politiques imprévisibles d’une telle décision dans l’imaginaire des deux peuples. Sur ce point, il conviendrait de maintenir également le statu quo. Pour plus de stabilité et plus d’harmonie, la ville de Jérusalem devrait plutôt continuer à garder son statut d’une ville sainte, une ville trois fois sainte (chrétienne, juive et musulmane), et ne pas prendre les allures d’un haut lieu politique, un haut lieu de controverses politiques !
Exiger « avec force », dans les conditions conflictuelles actuelles, que la ville de Jérusalem soit impérativement la capitale d’un ou même des deux États ne ferait qu’envenimer le conflit, en raison justement du caractère très disputé de cette ville. Mais, devant le « fait accompli » créé par la décision prise par le Président TRUMP des États-Unis de reconnaitre Jérusalem comme capitale d’Israël, à défaut du statu quo, qui aurait permis à Jérusalem de garder uniquement son statut d’une ville sainte et non celui d’un haut lieu politique, pour calmer les esprits, créer la détente et espérer pouvoir relancer le processus politique, il est souhaitable qu’Israël accepte de faire cette douloureuse concession de reconnaitre Jérusalem comme capitale des deux États, avec Jérusalem-Est comme capitale de Palestine, en s’appuyant - avec réalisme et sans fanatisme, dans un esprit de conciliation et en écoutant la voix de la sagesse et de la raison - sur la situation du monde d’aujourd’hui et non sur l’état du monde d’il y a trois mille ans. Avec ce « fait accompli » créé par la décision du Président TRUMP de reconnaitre Jérusalem comme capitale d’Israël, une fois ces problèmes cruciaux résolus, même simplement sur le papier - (1) les frontières des deux États, (2) les implantations juives en terres palestiniennes et (3) le « droit au retour » des réfugiés palestiniens - faire, de commun accord, par les deux parties, de Jérusalem, la capitale des deux États, sera, dans la situation actuelle, l’acte politique majeur, hautement décisif, qui traduira dans les faits la reconnaissance mutuelle entre ces deux peuples frères. Ce qui va créer un climat de détente et va, à coup sûr, relancer le processus politique.
17.18 Il faudra nécessairement - comme le dit cette initiative de paix - écarter, au départ, de nos esprits, la « conception binaire de la société », cette idée reçue et erronée, héritée de l’âge de la pierre, qui suppose que l’humanité serait composée de « bons », d’un côté, et de « mauvais », de l’autre. Avec cette conception erronée, les membres de chaque camp s’assimilent, eux-mêmes, au « bien » et considèrent que les autres sont « mauvais ». C’est, sans doute, cette « conception binaire de la société » qui amène certains d’entre nous, (a) soit à soutenir, pour les uns, dans le règlement du conflit israélo-palestinien, l’idée de créer deux États sur des bases inégalitaires, avec le privilège de s’armer pour un État, celui des « bons » (Les israéliens), à côté d’un État démilitarisé, celui des « mauvais », les palestiniens, qui n’auraient pas, eux, le droit de s’armer comme les autres, bien que - comme vous allez vous en apercevoir - la solution à ce vieux conflit, comme pour la sécurité et la paix mondiale, en général, ne réside pas dans l’option militaire et la dissuasion armée, (b) soit à approuver, pour les autres, l’idée de créer unilatéralement un État palestinien, plein et entier, comme une épreuve de force, sans dialoguer ni négocier avec les israéliens - qu’on prendrait, à tort, pour des « méchants », pour des « mauvais » - ne fût-ce que la ligne de base des frontières des deux États (ces frontières qui, pourtant, se trouvent au cœur de ce conflit), en allant même jusqu’à refuser de reconnaître, pour les extrémistes particulièrement, le droit à l’existence de l’État d’Israël. (Par contre, l’idée de conférer collectivement à la Palestine le statut d’« État observateur » à l’ONU et ailleurs, dans les différentes institutions spécialisées et autres conventions internationales, sans créer concrètement un vrai État (un État plein et entier), doit être soutenue, parce que la reconnaissance d’un tel État, plutôt « symbolique », sans tous ses attributs régaliens, ne soulèvera pas normalement le problème crucial de ses frontières avec l’État d’Israël, par exemple. Ce statut d’« État observateur » devra essentiellement permettre à la Palestine d’être traitée sur un même pied d’égalité avec l’État d’Israël au niveau des instances internationales).
18. La responsabilité de la situation chaotique actuelle du monde politique et socio-économique incombe, au premier plan, à l’intelligentsia mondiale, à nos écoles et à nos universités, qui doivent, à présent, présenter aux politiques de meilleures méthodes et une autre manière, plus consensuelle, plus « civilisée » et plus apaisée d’organiser, de gérer la planète et d’administrer les différents pays.
Dans le cas précis de la guerre d’Ukraine, il ne s’agira - comme le propose le Promoteur, le Dr. BOKOLOMBA MPELA Prosper, Pschent de « Pax Universa - Maison de la Paix Universelle - Cabinet du Médecin-Criminologue pour la Recherche de la Paix » - ni d’arrangements, ni de marchandages, dans lesquels le camp en position de force prendrait le dessus sur l’autre. Pour pouvoir stopper la guerre d’Ukraine, il ne faudra donc pas, pour les occidentaux, d’attendre que Kiev soit nécessairement en position de force, pour entamer les négociations.
Il faudra plutôt (1) partir du « bon diagnostic » qui n’est pas le mal prétendu enraciné en l’homme, (2) pour cerner l’origine réelle du conflit ukrainien et (3) pouvoir identifier et juguler (a) les causes profondes, immédiates et lointaines, de cette guerre, ainsi que (b) les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique, (4) en œuvrant pour que soient réunies les conditions qui doivent être satisfaites tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation.
19. Nous ne pourrons jamais construire la paix et bâtir un « ordre mondial harmonieux » sur des bases inégalitaires et injustes !
Les puissances occidentales - qui, en l’absence d’un système mondial organisé de police de la planète, jouent aux gendarmes du monde - doivent se remettre en question et rejeter impérativement leur conception occidentalocentrée d’un ordre mondial à géométrie variable, avec une justice internationale à deux vitesses (Deux poids deux mesures). Elles doivent renoncer à ce rôle, tout à fait ingrat, qu’elles sont appelées à jouer par la force des choses ! Cet « occidentalocentrisme » qui potentialise les radicalismes est perçu par les autres nations, en général, et par les groupuscules anarchistes, en particulier, comme étant de l’arrogance et de la condescendance des puissances occidentales dans les relations internationales et dans la gestion de l’ordre mondial.
L’« occidentalocentrisme » découle de la « conception binaire de la société » - une idée reçue et erronée, héritée de l’âge de la pierre, qui suppose que l’humanité serait composée de « bons », d’un côté, et de « mauvais », de l’autre - couplée à un « suprématisme occidental » rampant, non pas de mauvaise foi, mais à cause de l’ignorance, par l’ensemble de l’humanité (du moins dans l’opinion commune, au stade actuel de l’évolution de la connaissance en matière d’« ordre et de désordre »), des meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’« ordre » dans le monde, (1) à la suite de l’ignorance de la cause fondamentale d’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, qui n’est nullement le mal prétendu enraciné en l’homme, (2) en raison de l’influence négative des idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre » sur nos choix et stratégies dans les affaires politiques, sociales, économiques, monétaires, culturelles et dans la lutte contre le réchauffement climatique, (3) en l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix. C’est ainsi que, imbus d’eux-mêmes, certains dirigeants de l’Occident, qui pensent être « bons » par nature, veulent décider, seuls, de la marche du monde, sans se soucier de l’avis du reste de l’humanité.
Lorsqu’un conflit armé surgit, ils prennent parti pour leurs alliés ou pour le camp de ceux qu’ils considèrent comme « bons », le camp de ceux qui sont dans leur giron et diabolisent l’autre partie, celle des « mauvais », au lieu d’agir comme des médiateurs et des facilitateurs impartiaux, en identifiant et en jugulant les causes profondes, immédiates et lointaines du conflit à l’ordre du jour.
Les puissances occidentales, qui ont une certaine idée d’elles-mêmes, suspectent et fustigent les gouvernements des pays qui gardent une certaine neutralité et ne prennent pas clairement parti pour leur camp. Alors qu’elles soutiennent librement et publiquement - militairement - leurs alliés, élargissent leurs alliances politico-militaires, elles menacent de représailles les États qui oseraient apporter un soutien militaire au camp adverse ou qui voudraient s’associer « militairement » entre eux. Dans le même ordre d’idées, l’influence d’une autre puissance mondiale sur un pays ou sur une partie du monde ou sa supériorité sur l’un ou autre aspect particulier de la « science » et de la « technologie » est perçue par les puissances occidentales comme un « péril » qu’elles doivent combattre à tout prix !
Cette idée nuisible d’une « conception binaire de la société » poussent les détenteurs d’armes nucléaires, avec, à leur tête, le « monde occidental », à s’arroger le droit d’être les seuls à pouvoir s’armer librement, jusqu’à détenir l’arme nucléaire et les autres armes de destruction massive, eux les « bons », pour leur sécurité, pour dissuader les autres, les « mauvais ». Ces détenteurs d’armes nucléaires vont même jusqu’à proclamer ouvertement, sur des toits des maisons et du haut de toutes les tribunes, à travers le monde, leur foi en la dissuasion nucléaire, mais seulement pour eux, les « bons » et pour leurs alliés, mais pas pour les autres (Les mauvais qui, eux, n’en seraient pas dignes !).
Alors qu’on les a vus dans tous les théâtres de guerre à travers le monde, ils prétendent naïvement que leurs armes ne menacent personne, mais qu’elles servent juste à dissuader les « mauvais », ceux qui menacent leur sécurité, leurs « valeurs » et leur modèle de société ! C’est ce qu’ils ont notamment donné comme réponse au Président POUTINE qui s’inquiétait de l’élargissement continuel de l’OTAN vers l’Est, craignant qu’elle ne vienne, avec l’intégration de l’Ukraine (ou de l’un ou l’autre de ses pays frontaliers) en son sein, s’installer, avec ses armes, à sa porte (Exactement comme avaient réagi les États-Unis, quand l’URSS avait implanté ses missiles à quelques encablures de son territoire, à Cuba, du 14 au 28 Octobre 1962).
Ils prennent de lourdes sanctions, inutiles et injustes (le cas de la Corée du Nord et de l’Iran), lancent impunément des frappes préventives (le cas de l’Iran) et envahissent militairement (le cas de l’Irak de Saddam Hussein) tout autre pays que leurs alliés, qui présenterait le moindre soupçon de velléité d’acquisition d’armes nucléaires, pendant qu’eux-mêmes en possèdent et continuent de les perfectionner ! Pour eux, la justice internationale ne peut et ne doit sévir que contre les autres pays, contre les « mauvais », les « faibles », mais jamais contre eux-mêmes, les « bons », les « plus forts », jamais contre leurs citoyens et leurs alliés. Ils s’appuient sur une compétence universelle autoproclamée (par astuce), pour s’immiscer dans ce qui se passe dans les pays qu’ils considèrent comme « mauvais », pour faire valoir ce qui, pour eux, doit être le « bon droit » !
Pour agir ensemble, de manière concertée et pouvoir abandonner l’idée nuisible d’une « conception binaire de la société », ainsi que les méthodes archaïques, barbares, non efficientes et contreproductives des « temps primitifs », appliquées jusqu’ici, à cause de l’ignorance des meilleures méthodes dans la recherche de la sécurité et de la paix, nous devons partir du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, pour comprendre ce qui suit :
L’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, l’absence de sécurité et de paix dans le monde ne relève nullement du mal prétendu enraciné en l’homme, ni d’une quelconque faillite morale de sa part. Elle doit plutôt être mise sur le compte de l’« IMMATURITE RELATIVE DE L’HUMANITE », en ce qui concerne les connaissances en matière d’« ordre et de désordre » essentiellement. Nous devons, de ce fait, cesser d’attribuer l’origine d’absence de paix dans le monde ou le désordre actuel du monde politique et socio-économique à quelques pays ou à quelques personnalités politiques du passé ou du présent, ni à une seule catégorie d’individus.
Nous ne pourrons jamais construire la paix et bâtir un « ordre mondial harmonieux » sur des bases inégalitaires et injustes ! Les puissances occidentales - qui, en l’absence d’un système mondial organisé de police de la planète, jouent aux gendarmes du monde - doivent se remettre en question et rejeter impérativement leur conception occidentalocentrée d’un ordre mondial à géométrie variable, avec une justice internationale à deux vitesses (Deux poids deux mesures). Elles doivent renoncer à ce rôle, tout à fait ingrat, qu’elles sont appelées à jouer par la force des choses !
Tout dépendra du « monde scientifique », de nos écoles et de nos universités, qui doivent amener l’humanité, en général, et les grandes puissances, avec, à leur tête, le « monde occidental », en particulier, à partir du « bon diagnostic », comme hypothèse de travail, dans la recherche continue de la sécurité et de la paix et à œuvrer (A) pour que soit institué ce système mondial commun de sécurité collective que sera, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », (a) sous la « police » - le moment venu, une fois les conditions réunies - de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », (b) en remplacement du système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète (d’alliances politico-militaires particulières), hérité de l’époque de la « guerre froide » et (B) non le leadership hégémonique d’une nation puissante ou d’une institution interétatique particulière, avec (C) (a) la coexistence pacifique, (b) la non-ingérence et (c) le droit à l’autodétermination de chaque État-nation, l’autodétermination de chaque peuple, comme principe intangible, pour que, plus jamais, une nation, un peuple n’exerce une quelconque domination politique sur un autre, avec, en outre, (D) ces principes sacro-saints que sont (a) l’« indépendance de la justice » et (b) l’« État de droit » dans chaque pays, d’une part, et (c) la « neutralité de la science » à l’échelle de toute la planète et (d) un certain « fair play », à l’international, sur le plan politique, diplomatique, technologique et commercial, d’autre part.
20. L’humanité, en général et l’intelligentsia mondiale, en particulier, doivent, dans la recherche de solutions harmonieuses à la guerre russo-ukrainienne, au conflit israélo-palestinien et aux autres foyers de tensions à travers le monde (comme la guerre à l’Est de la République Démocratique du Congo-Zaïre), partir du « bon diagnostic », comme hypothèse de travail, dans la recherche continue de la sécurité et de la paix et œuvrer résolument pour sortir l’humanité de la gestion belliciste actuelle de l’ordre mondial, par l’instauration - dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale » - d’une nouvelle ère de paix véritable (une paix relative, dans les limites du possible et dans les limites de l’humain) (I) qui puisse garantir au monde, à la fois, la tolérance, les libertés, l’unité, la solidarité, l’harmonie, la concorde et le bien-être social pour tous et par tous, ainsi qu’un équilibre écologique optimal, (II) une paix globale qui devra inclure l’aspect de la « paix sociale et économique », « l’ordre sur le plan monétaire », la « sécurité sociale », la « sécurité environnementale » et la « sécurité alimentaire », y compris l’accès à l’eau et à l’énergie, (III) une nouvelle ère de paix (a) qui ne soit plus seulement absence de guerres, (b) qui ne soit plus une paix imposée par la guerre et par la terreur des armes, par la dissuasion armée, la dissuasion nucléaire et le contrôle des armements, (c) ni celle qui repose sur l’équilibre des forces entre les armés nationales et entre les alliances politico-militaires opposées, qui se préparent activement à la guerre, avec une multitude d’interdits et de conventions internationales, pour réglementer et humaniser les guerres, que ne respecte personne, en faisant la morale aux gens et aux dirigeants, (d) sachant que la « paix absolue » n’est pas réalisable, en ce monde où la perfection ne pourra être atteinte, en magnifiant la notion d’« unicité » du genre humain et en cultivant le sentiment d’appartenance à une communauté de destin pour toute l’humanité.
21. Nous devons, concrètement, partir du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix et œuvrer pour l’institution de ce système mondial commun, plus harmonieux et réellement pacifiste, de sécurité collective que sera, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », un système qui ne devra être, ni un gouvernement mondial, ni une structure centralisée et pyramidale, (a) sous la « police » - le moment venu, une fois les conditions réunies - de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », (b) en remplacement du système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète (d’alliances politico-militaires particulières), hérité de l’époque de la « guerre froide », qui est à la base du bras de fer entre la Russie et l’OTAN et a dégénéré en conflit armé en Ukraine.
Ce système devra être en mesure de rassurer toutes les nations et qui puisse créer, avec les idées, les principes, les règles, les méthodes et les structures d’organisation qui le sous-tendront, un climat de détente et de confiance mutuelle entre les peuples, de manière à rendre désuète l’idée du recours à la force et à écarter le spectre de la guerre de notre horizon, pour que les armes de guerres tombent, d’elles-mêmes, en désuétude, sans qu’on ne s’y active particulièrement, que le « Pacte Mondial de Non-agression et de Renonciation à l’Option Militaire » ne soit violé, que le désarmement s’opère de manière quasi spontanée et que l’espace intersidéral et numérique ne soit militarisé, tout en organisant la cyber-sécurité collective et en encadrant le maniement de l’intelligence artificielle :
L’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre » : Ce projet de paix propose aux « Peuples de la Communauté des Nations » de s’impliquer pour que soit créé, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », un système mondial commun de sécurité collective, l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », en lieu et place des armées nationalistes et des alliances politico-militaires particulières qui se préparent activement à la guerre. Partant de l’idée erronée, héritée de l’âge de la pierre, d’une « conception binaire de la société » - une idée reçue qui suppose que l’humanité serait composée de « bons » d’un côté, et de « mauvais », de l’autre - les pays membres des alliances politico-militaires de chaque bloc pensent qu’ils sont, eux-mêmes, « bons » par nature et considèrent que les autres pays - particulièrement ceux qui ne pensent pas comme eux et ne sont pas dans leur orbite - sont « mauvais ». Ils présentent alors ouvertement leurs « alliances » comme des associations agressives, dirigées contre des pays - nommément désignés - qui représentent, à leurs yeux, une menace pour leur sécurité et contre lesquels ils doivent s’armer lourdement. Leur stratégie dans la recherche de la paix continue à se fonder - exactement comme à l’époque de la « guerre froide » - sur la terreur des armes et sur l’équilibre des forces, par la dissuasion et le contrôle des armements. Après la chute du mur de Berlin et la dissipation du rêve communiste et socialiste, après la fin des idéologies, celle de la « guerre froide » et de la course aux armements entre l’Est et l’Ouest, ces alliances politico-militaires sont devenues tout à fait obsolètes. Elles apparaissent comme des associations malveillantes qui compromettent la paix mondiale ! Elles doivent s’auto-dissoudre, d’elles-mêmes (en commençant par l’OTAN), parce que, au lieu de cultiver la confiance mutuelle, ces alliances politico-militaires entretiennent la méfiance entre les différents pays et entre les blocs politico-militaires ainsi constitués et alimentent la course aux armements. Elles compartimentent la planète et constituent un obstacle à la concorde internationale, un écueil sur le chemin de la paix véritable qui devra plutôt passer - sur le plan sécuritaire particulièrement - par l’institution, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », de ce système mondial commun de sécurité collective, que sera l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », sous la « police » - le moment venu, une fois les conditions réunies - de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® ». Quoi qu’il en soit, les guerres d’aujourd’hui ayant changé de causes et de nature, il est douteux qu’elles soient gagnées par l’outil militaire ! Mais, malheureusement, nos leaders politiques, nos stratèges qui tiennent à gagner les guerres ne l’ont toujours pas encore compris ! Les bases militaires des différentes puissances étrangères devront, de la même manière, être démantelées, dans le cadre de la démilitarisation de la planète.
L’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre » permettra à l’humanité de passer, sur le plan sécuritaire, du système mondial belliciste actuel à un autre, plus harmonieux et réellement pacifiste. Ce système mondial commun de sécurité collective va - dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale » - rassurer toutes les nations et créer, avec les idées, les principes, les règles et les méthodes qui le sous-tendront, un climat de détente et de confiance mutuelle entre les peuples, de manière à rendre désuète l’idée du recours à la force et à écarter le spectre de la guerre de notre horizon, pour que les armes de guerres tombent, d’elles-mêmes, en désuétude, sans qu’on ne s’y active particulièrement, que le « Pacte Mondial de Non-agression et de Renonciation à l’Option Militaire » ne soit violé, que le désarmement s’opère de manière quasi spontanée et que l’espace intersidéral et numérique ne soit militarisé, tout en organisant la cyber-sécurité collective et en encadrant le maniement de l’intelligence artificielle.
L’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre » regroupera en son sein tous les organes de justice des différentes nations du monde, toutes les juridictions internationales, toutes les forces de police et les forces armées, reconverties en forces de maintien de la paix, sous l’égide du « Conseil de Sécurité de l’ONU » réformé, par l’entremise des organes parlementaires des différents pays qui en assureront la supervision. Mais, cette tutelle du « Conseil de Sécurité » s’exercera uniquement sur le plan des règles, des principes et des méthodes, avec une totale indépendance en matière judiciaire et une large autonomie sur le plan administratif, pour les organisations nationales des forces de l’ordre des différents pays, sans interférence des puissances étrangères. Les éléments armés, les forces de police et celles de maintien de la paix de chaque nation deviendront des auxiliaires des organes de justice de ce pays, relèveront de leur autorité et ne pourront être levés qu’avec leur aval. La suppression des ministères de défense et de justice des différents pays et la réorganisation des pouvoirs judiciaires en « pouvoirs judiciaires et de police », par la subordination et la mise sous tutelle des éléments armés et des forces de police aux organes de justice de chaque pays, avec une totale indépendance de la justice, constitueront le dispositif institutionnel décisif, qui va réellement traduire dans les faits l’adhésion unanime de tous les États-nations de la planète au « Pacte Mondial de Non-agression et de Renonciation à l’Option Militaire », par l’institution de ce système mondial commun de sécurité collective que sera, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre » et non par la simple signature d’un document. Ce qui va créer un climat de détente et de confiance mutuelle entre les peuples et rendre désuète l’idée du recours à la force pour la prévention et le règlement des différends. Le monde pourra alors évoluer progressivement, avec le temps, vers la démilitarisation complète et le désarmement nucléaire de la planète.
La stabilité de ce système mondial commun de sécurité collective sera assurée, non pas par la volonté politique des gouvernants, mais par la justesse des idées, des principes, des règles, des méthodes et des structures d’organisation qui le sous-tendront, seront consignés dans la « Charte Mondiale » et vont créer un climat de détente et de confiance mutuelle entre les peuples, (1) en rendant désuète l’idée du recours à la force, (2) de manière à écarter le spectre de la guerre de notre horizon, (3) pour que les armes de guerres tombent, d’elles-mêmes, en désuétude, sans qu’on ne s’y active particulièrement, (4) que le « Pacte Mondial de Non-agression et de Renonciation à l’Option Militaire » ne soit violé et (5) que le désarmement s’opère de manière quasi spontanée.
22. Le terrorisme est avant tout une tactique, un type de modes opératoires qui peuvent avoir divers mobiles. Il ne peut donc être vaincu par des moyens militaires. Ainsi donc, en dehors des opérations habituelles de police, on pourra, devant les situations de guerres créées par les terroristes eux-mêmes, juste y apporter une riposte militaire ponctuelle de légitime défense, sans perdre de vue que, même pour le terrorisme, la solution ne peut être que politique, par le dialogue et la négociation, (a) en résolvant les « vrais problèmes » à la base, à partir de leurs racines, dans une perspective globale et (b) en identifiant et en jugulant les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique. Tout en condamnant toute forme de terrorisme, d’où qu’elle vienne, nous pouvons affirmer que ce sont plutôt les mobiles, les causes profondes de ce fléau qui doivent trouver des solutions appropriées, au cas par cas, et non espérer naïvement arriver à éliminer directement cette tactique, ce type de mode opératoire qu’est le terrorisme par des moyens militaires.
Le terrorisme doit être combattu en nous attaquant à ses racines, dans une perspective globale. Même si on arrivait à décimer tous les membres de tous les groupuscules séditieux qui écument la planète et à « incarcérer » tous les « terroristes » potentiels, le terrorisme n’aura pas pour autant été vaincu, tant que les vrais problèmes n’auront été résolus à la base, à partir de leurs racines. Le terrorisme est plus une « conséquence » qu’une « cause ». Il ne peut donc être vaincu dans une « guerre », avec l’outil militaire, quelques soient la performance des « forces spéciales » et l’efficacité des services d’intelligence et de renseignements. Mais, malheureusement, nos leaders politiques, nos stratèges qui tiennent à gagner les guerres ne l’ont toujours pas encore compris !
Le « tout-sécuritaire » n’est pas non plus une solution à la lutte contre le terrorisme. En dehors des phénomènes d’imitation et des crimes crapuleux et sadiques, les actes terroristes, ces actes irrationnels et aveugles apparaissent, à première vue, comme une espèce de front du refus de ces groupuscules anarchistes qui voudraient exprimer leur désarroi et leur ras-le-bol, (1) face au mode de gestion de l’ordre mondial, (2) face au dysfonctionnement du système sociopolitique du monde qui nourrit les contestations et potentialise les radicalismes, (3) en fonction (a) des idées qui les habitent et (b) des conditions - essentiellement politiques - dans lesquelles ils sont maintenus. La militarisation de la lutte contre le terrorisme djihadiste a créé plus de problèmes qu’elle n’en a résolus ! Les méthodes actuelles de lutte contre le terrorisme contribuent plutôt à envenimer le problème, à le rendre de plus en plus visible et à accroître, par ce fait, les phénomènes d’imitation des actes terroristes. La lutte contre le terrorisme ne doit, en aucun cas, servir de paravent à un gouvernement pour recourir à la terreur, aux exactions, aux « massacres », aux destructions et à la violation des droits et des libertés (Vieux comme le monde, le terrorisme apparaît aujourd’hui, sous sa forme « djihadiste » actuelle, comme un phénomène nouveau).
23. La crise du « multilatéralisme » ne pourra être dissipée par un simple discours, ni après une conférence, ni même avec la propagande politique, mais plutôt (1) lorsque les « Peuples de la Communauté des Nations » (a) auront pris conscience de l’« unicité » du genre humain et (b) auront intériorisé le sentiment d’appartenance à une communauté de destin pour toute l’humanité et (2) lorsqu’ils auront réalisé, dans ce document commun de référence et d’orientation que sera la « Charte Mondiale », un consensus international sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre », tant sur le plan politique, social, économique, monétaire et culturel que dans la lutte contre le réchauffement climatique, (3) autour du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, en ce qui concerne, aussi bien les idées et les principes, que les règles, les méthodes et les structures d’organisation, (4) avec une doctrine sociale commune (Sans totalitarisme ni restriction sur le plan idéologique, pour pouvoir, grâce au principe de « relativité », dissiper le conflit d’idéologies qui perdure dans nos pays et dans le monde) et (5) avec (a) ce système mondial commun de sécurité collective que sera, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », (b) sous la « police » - le moment venu, une fois les conditions réunies - de la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », (6) avec un certain « fair play » à l’international, sur le plan politique, diplomatique, technologique et commercial. Nous sommes un seul monde, il n’y a qu’une seule « Espèce humaine », l’humanité est une et indivisible !
23.1. « Pax Universa - Maison de la Paix Universelle » qui initie ce projet de paix conseille aux membres de la collectivité humaine d’être tolérants. Ils ne doivent exclure aucune personnalité politique, aucune nation, aucune entité politique, aucun groupe communautaire, ni tout autre groupuscule - même le plus marginal - du débat et du dialogue que va devoir engager l’humanité dans la tolérance la plus absolue et sans préconditions, pour la recherche de consensus ou - tout au moins - d’un modus vivendi, nécessaire aux exigences de la vie commune de l’« Espèce humaine » en société sur cette terre. Si les occidentaux partent, consciemment ou inconsciemment, d’une « conception binaire de la société », estiment qu’ils sont « bons » par nature, s’ils forment un club des « bons », excluent ceux qu’ils considèrent comme « mauvais », ceux qui ne sont pas dans leur orbite et ne pensent pas comme eux (les birmans, les chinois, les cubains, les iraniens, les nicaraguayens, les nord-coréens, les russes, les vénézuéliens et tous les peuples qui ne leur sont pas dociles, ainsi que tous les groupuscules séditieux qui écument la planète et sont actuellement dans le collimateur de la « communauté dite internationale »…), refusent de négocier avec eux et n’engagent le dialogue qu’entre eux, les « bons », aucun progrès ne sera vraiment réalisé dans la voie de la paix. « Les Peuples de la Communauté des Nations », en général, et l’intelligentsia mondiale, en particulier, doivent, à l’occasion de cette initiative, s’impliquer pour que les décideurs des pays de l’OTAN ne conduisent pas le monde à la division et à une nouvelle « guerre froide », en maintenant et en élargissant leur alliance politico-militaire, avec ce « schisme » technologique et commercial qui se profile à l’horizon ! (Les conférences sur la guerre d’Ukraine, comme sur n’importe quel autre confit armée dans le monde, ne pourront être concluantes que si toutes les parties y sont conviées, sur un même pied d’égalité et sans parti pris. Ce qui n’a pas été le cas pour la « Conférence Internationale sur la Paix en Ukraine » qui s’est tenue en Suisse, le 15 et le 16 Juin derniers, sans la participation de la Russie !).
23.2. La « science » est « une » - « We are the World » ! Nous sommes un seul monde, il n’y a qu’une seule humanité, il n’y a qu’une seule « Espèce humaine », l’humanité est une et indivisible (C’est la science qui le dit et tout un chacun doit le savoir). Malheureusement, la « conception binaire de la société » - une idée reçue et erronée, héritée de l’âge de la pierre, qui nous pousse à supposer, à tort, que l’humanité serait composée de « bons », d’un côté, et de « mauvais », de l’autre - menace dangereusement de conduire actuellement le monde à un « schisme technologique et commercial » (Ce que l’humanité n’a jamais connu, même pas à l’époque de la « guerre froide », du moins pas pour la technologie grand public).
C’est ce qui se voit aujourd’hui avec la méfiance et le refus de certaines nations du « monde occidental », qui pensent être « bonnes » par nature, (1) de fournir à la Chine les composants technologiques issus de leur bloc (Dans le secteur de la haute technologie) et (2) de promouvoir l’usage des techniques de ce pays dans leurs territoires, ce pays qu’elles considèrent comme « mauvais », n’est pas dans leur giron, ne pense pas comme elles et avec lequel elles entretiennent des relations de diabolisation, de suspicion et de rivalité (Comme l’attestent, par exemple, les mesures, manifestement hostiles et injustes, prises par l’administration TRUMP et que perpétue l’équipe gouvernementale américaine actuelle contre la Chine, avec HUAWEI, les applications TIKTOK, ainsi qu’avec l’exclusion, par le Président TRUMP, des opérateurs de télécommunication de la Chine du marché des capitaux américains, parmi lesquels China Mobile, China Telecom et China Unicom, dans la foulée de la guerre commerciale déclarée à ce pays, mesures auxquelles se sont joints quelques pays du « monde occidental »…).
Qui veut noyer son chien l’accuse de rage, dit le proverbe. Officiellement, les raisons avancées par les occidentaux sont les suivantes : (1) garantir la « souveraineté technologique » de leur camp, pour (a) ne pas dépendre et (b) ne pas être espionnés, eux, les « bons », par ces « mauvaises gens » que sont, à leurs yeux, les concepteurs de ces techniques, les chinois, (2) le risque potentiel - mais non établi scientifiquement - de la 5G sur la santé, (3) les interférences présumées - qui peuvent être facilement corrigées - avec les réseaux informatiques dans le trafic aérien et (3) son influence sur le climat, alors que son empreinte écologique est négligeable, par rapport aux biens-faits que cette technique va apporter à l’humanité. Rappelons-nous à tout instant - comme le dit la « science » - que nous sommes un seul monde et qu’il n’y a qu’une seule humanité - La « science » est « une », elle doit rester « neutre » et ne doit pas être « politisée ». L’intelligentsia mondiale devra y veiller et promouvoir un certain « fair play » à l’international, sur le plan politique, diplomatique, technologique et commercial !
23.3. Nous insistons, dans ce projet de paix , sur le fait que, pour ne pas embarquer tous les pays dans une erreur d’appréciation en matière politique, sociale et économique, l’organisation de la planète doit impérativement continuer à se fonder politiquement sur les « États-nations », (1) avec une multiplicité d’expériences politiques, autour (2) du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, (3) avec un consensus international (a) sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre », (b) sur une doctrine sociale commune (Sans totalitarisme ni restriction sur le plan idéologique, pour pouvoir, grâce au principe de « relativité », dissiper le conflit d’idéologies qui perdure dans nos pays et dans le monde), (c) sur les idées générales et (d) sur les principes fondamentaux qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie, (4) avec ce système mondial commun, plus harmonieux et réellement pacifiste, de sécurité collective que sera, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », « Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », (a) un système qui ne devra être, ni un gouvernement mondial, ni une structure centralisée et pyramidale, (b) sous la « police » - le moment venu, une fois les conditions réunies - de la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® ». Mais, (5) pour une meilleure coordination, il doit se créer, à l’échelle de la planète, de grands ensembles régionaux, sous régionaux et continentaux, (6) tout en concédant aux différentes nations une large marge de manœuvres dans les choix politiques, sociaux et économiques ainsi qu’en matière budgétaire et fiscale, sans centralisation ni standardisation à outrance, qui conduisent à un cauchemar bureaucratique épouvantable, (7) sans, toutefois, que l’union d’une partie d’un continent ou de la planète ne soit politiquement dirigée contre une autre, ni contre un pays quelconque, comme on le voit - malheureusement - aujourd’hui (a) avec, par exemple, l’« Union Européenne » qui, en s’élargissant, a ouvertement dit - avec des propos malveillants - vouloir « envoyer un signal fort » à la Russie et (b) avec le G7 qui s’est politisé et devient, de plus en plus, de nos jours, une structure sectaire - loin de sa vocation économique - a exclu la Russie et s’associe aux sanctions prises par le « camp occidental » contre ce pays, dans son agression contre l’Ukraine.
Une telle liberté de choix de politiques, en toutes ces matières, ne pourra vraiment être possible, pour les nations qui sont unies dans des organisations régionales, sous régionales et continentales qu’avec la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® » que propose ce projet de paix. Ce qui ne pourra être obtenu avec une monnaie commune particulière, une monnaie régionale, sous régionale ou continentale. En effet, dans la situation actuelle, pour consolider leur zone monétaire et permettre à leur devise commune de se maintenir parmi tant d’autres, les pays qui ont en partage une monnaie commune, régionale, sous régionale ou continentale doivent harmoniser leurs politiques économiques, budgétaires et fiscales. Ce qui ne sera pas le cas avec la « Monnaie Universelle » qui, en tant que « Numéraire Universel® », va agir harmonieusement dans le marché mondial globalisé, sans devoir se positionner vis-à-vis d’une quelconque autre zone monétaire et sans rechercher une quelconque convergence dans les choix politiques, sociaux et économiques, ni même en matière budgétaire et fiscale des différents États du monde. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® » garantira plus de justice entre nos différentes nations, avec une réelle souveraineté et une vraie indépendance à chacun de nos pays, mieux que ne les assurent, aujourd’hui, nos monnaies particulières, nos monnaies nationales, régionales, sous régionales et continentales. A vrai dire, nos monnaies actuelles ne sont - tout simplement - que des « monnaies des humanoïdes », pour les plus pointues d’entre elles.
Fait surprenant, les pays de l’Union Européenne se sont concertés, entre eux, et ont étonnamment obtenu le soutien du G7 qui s’est politisé, avec celui de administration américaine et de l’Australie, pour plafonner - d’autorité, arbitrairement - simplement par « la loi du plus fort », le prix du pétrole russe, et seulement du pétrole russe, sans une consultation préalable de la Russie - Deux poids deux mesures - dans un monde des « libertés économiques », un monde de « liberté de commercer » et de « libre marché », dans le marché mondial unique du pétrole, dans lequel le prix est le même, pour un même type de baril, quel qu’en soit l’origine ! Quelle arrogance ! Dans quel monde sommes-nous ? De quel droit et au nom de quel principe, une institution interétatique peut ainsi s’arroger le droit de fixer - de manière autoritaire - le prix d’un article que produit et que commercialise un autre pays - un pays souverain - même si elle lui fait la guerre par procuration ? Tout excès nuit ! C’est là une preuve de plus du désordre actuel du monde politique et socio-économique. Il faudra abandonner la « conception binaire de la société » avec laquelle les plus forts, qui pensent être « bons » par nature, se permettent tout contre ceux qui sont pris pour des « mauvais », les plus faibles, sans aucun scrupule, sans une quelconque référence aux principes de « droit », de « justice », de « sagesse » et de « bon sens ». Aux « Peuples de la Communauté des Nations » d’agir donc pour libérer l’humanité de l’arbitraire, non pas en s’opposant à un pouvoir quelconque, mais en œuvrant pour que soient réunies les conditions qui doivent être satisfaites, tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation à promouvoir (à consigner dans la « Charte Mondiale »).
24. Le maintien, l’élargissement de l’OTAN va perpétuer et aggraver la division du monde en blocs politico-militaires opposées, qui se préparent activement à la guerre, avec la course aux armements qui en résulte, exactement comme à l’époque de la « guerre froide » !
Les pères fondateurs de l’ONU et les « haut-esprits » qui ont œuvré pour un monde plus juste, un monde uni et solidaire, doivent se retourner dans leurs tombes, en voyant que, aujourd’hui, ceux-là même qui sont sensés conduire le monde vers plus de solidarité et plus d’unité, sapent les efforts de leurs prédécesseurs et agissent plus pour diviser le monde que pour l’unir ! Ils s’appuient sur l’idée d’une « conception binaire de la société », avec les « bons » (eux-mêmes), d’un côté, et de l’autre, les « mauvais », ceux qui ne sont pas dans leur giron et ne pensent pas comme eux.
Au lieu d’engager le dialogue, pour régler harmonieusement les problèmes qui les opposent aux Russes, mettre fin au conflit ukrainien et arrêter cette guerre absurde d’Ukraine, les décideurs du « bloc occidental » préfèrent soutenir cette guerre qu’ils mènent par procuration, une guerre inutile qui ne sera gagnée par aucun des deux camps ! Ils continuent à soutenir militairement cette guerre, comme eux-mêmes - les décideurs du « bloc occidental » - ne risquent rien pour leurs vies, alors qu’en Ukraine les gens meurent dans cette guerre inutile, non seulement sur le champ de bataille, mais partout ailleurs, même au-delà de la ligne de front. Un sacrifice humain inutile !
25. La solution au conflit ukrainien, avec la guerre qui s’en est suivie, doit être recherchée dans une perspective mondiale (au-delà du simple cadre européen et de la conception occidentalocentrée d’un ordre mondial à géométrie variable, avec une justice internationale à deux vitesses - Deux poids deux mesures !) et dans une approche holistique, dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale pour la Sécurité et la Paix », comme le préconise le Promoteur, tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation, en matière politique, social, économique et culturel, ainsi que dans la lutte contre le réchauffement climatique (Comme largement présenté plus haut, au niveau des réflexions préliminaires). Il ne s’agira donc pas de se limiter seulement à l’aspect militaire et sécuritaire, car tout est lié !
25.1. D’une manière générale, la recherche de la paix ne doit pas se réduire au fait de nous armer lourdement et de nous préparer activement à la guerre, chaque nation, chaque alliance politico-militaire pour son compte, dans - paradoxalement - le but de promouvoir la paix dans le monde, ni au fait de conclure une multitude de conventions internationales, pour réglementer et humaniser les guerres, mais que ne respecte personne !
Le « Nouvel Ordre Mondial de l'"Ere solaire" » ne devra pas se réduire aux seuls aspects politique, sécuritaire, militaire et policier. Il devra inclure également l’aspect de la « paix sociale et économique », « l’ordre sur le plan monétaire », la « sécurité sociale », la « sécurité environnementale » et la « sécurité sanitaire et alimentaire », y compris l’accès à l’eau et à l’énergie, sachant, pertinemment, que la « paix absolue » n’est pas réalisable, en ce monde où la perfection ne pourra être atteinte !
L’« Ere solaire » est cette nouvelle ère au seuil de laquelle nous nous trouvons, la nouvelle ère, plusieurs fois millénaire, de paix véritable - une « paix relative », dans les limites du possible et dans les limites de l’humain - dans un espace mondial de sécurité, de justice, des libertés et de bien-être social pour tous et par tous, « avec l’effort de tous et de chacun », avec des droits, mais aussi, pour chaque être humain, des devoirs vis-à-vis de la communauté. L’homme devra nécessairement vivre, à cette nouvelle ère, en harmonie avec les autres espèces, avec toute la biodiversité et avec le milieu écologique, dans le respect de la pureté de l’air et de l’eau. L’« Ere solaire » a été décrite, dans les milieux ésotériques chrétiens, par les Templiers, comme l’« Ere de la "Résurgence du Temple" », le « Retour terrestre du règne de "Christ" ». Elle a été présentée dans certains autres milieux ésotériques comme l’« Ere du "Règne de l’Ange Noir" » et, au Rwanda et au Burundi, comme « Le retour du Fils d’IMANA (IMANA = DIEU) ».
25.2. Ainsi donc, pour la promotion de la paix dans le monde, en général, et pour parvenir à une solution harmonieuse dans le conflit ukrainien, en particulier, il faudra nécessairement qu’un consensus soit préalablement réalisé en matière d’« ordre et de désordre », tant sur le plan politique, social, économique, monétaire et culturel que dans la lutte contre le réchauffement climatique, dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale », en ce qui concerne, aussi bien les idées et les principes, que les règles, les méthodes et les structures d’organisation à promouvoir, qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie, autour du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, pour que même les intérêts divergents puissent être conciliés harmonieusement.
26. Pour pouvoir stopper la guerre d’Ukraine, il faut, non pas intensifier les sanctions, les injonctions et les condamnations. Il faut, au contraire, lever les sanctions, lever toutes les sanctions, ces sanctions qui - du reste - n’ont résolu et ne vont résoudre aucun problème !
Il faudra lever d’abord les sanctions infligées aux russes, leur restituer, à eux et aux Talibans, les biens et l’argent confisqués injustement, ensuite, celles prises contre les autres peuples, en commençant par les cubains qui croulent sous de lourdes sanctions, inutiles et injustes, depuis plus d’un demi-siècle (Qu’est-ce qui, sur le plan du droit, pourrait justifier de telles sanctions ?), et celles imposées aux iraniens, aux nord-coréens et à tous les autres peuples qui ne leur sont pas dociles et sont dans le collimateur de la « Communauté dite internationale ». La Chine devra, de la même manière, lever, elle aussi, les sanctions qu’elle a infligées aux autres et cesser de s’en prendre violement aux gouvernements qui osent braver l’interdit, reconnaissent, coopèrent et entretiennent des relations diplomatiques avec les entités qui lui résistent et voudraient majoritairement s’affranchir de sa tutelle politique (Le cas de Hong Kong, de Taïwan et du Tibet, avec le Dalaïlama…). Il faudra, de la même manière, lever immédiatement - sans tarder - les sanctions imposés à la Syrie et qui n’ont plus aucun sens après la chute du régime de Bachar al-Assad, ces sanctions qui, du reste, n’avaient aucun effet sur les dignitaires de ce régime, mais plutôt sur le peuple syrien !
L’objectif est de créer un climat de détente à l’échelle mondiale, en vue de rassurer toutes les nations et prendre un temps de réflexion, pour repartir ensuite sur de bonnes bases, dans un climat de sérénité, dans une perspective mondiale et une approche holistique, dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale », autour du « bon diagnostic », comme hypothèse de travail, dans la recherche continue de la sécurité et de la paix - un diagnostic « positif », en dehors de toute considération mythologique, métaphysique et moraliste - en rejetant l’idée nuisible d’une « conception binaire de la société ». Nous pourrons enfin toucher le nœud du problème et aller au-delà de ce qui, en matière d’« ordre et de désordre », a toujours été dit, a toujours été fait et a toujours été admis, depuis l’âge de la pierre, dans l’opinion commune - jusque dans nos écoles et dans nos universités, partout au monde, y compris dans les pays dits développés - mais n’a jamais apporté la sécurité et la paix à l’humanité, pour que, en définitive, les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique changent, un désordre intellectuel essentiellement (l’« anarchie intellectuelle », d’après Auguste COMTE), qui ne relève nullement du mal prétendu enraciné en l’homme, ni d’une quelconque faillite morale de sa part.
Tout est lié ! La paix n’est pas seulement absence de guerres ! Le consensus sur lequel devra se fonder le « Nouvel Ordre Mondial de l'"Ere solaire" » ne devra pas se réduire aux seuls aspects politique, sécuritaire, militaire et policier. Il devra inclure également l’aspect de la « paix sociale et économique », « l’ordre sur le plan monétaire », la « sécurité sociale », la « sécurité environnementale » et la « sécurité sanitaire et alimentaire », y compris l’accès à l’eau et à l’énergie, sachant, pertinemment, que la « paix absolue » n’est pas réalisable, en ce monde où la perfection ne pourra être atteinte !
26.1 Nous ne soutenons, ni l’agression de l’Ukraine par la Russie, ni la réaction excessive des occidentaux qui s’appuient - malheureusement - sur de lourdes sanctions contre le peuple russe, sur l’isolement diplomatique de la Russie et son exclusion des instances internationales, sans réelle volonté, de leur part - ni comme pour les russes, d’ailleurs - de stopper cette guerre inutile, qu’ils continuent plutôt à mener par procuration, comme eux-mêmes - les décideurs du « camp occidental » - ne risquent rien pour leurs vies, alors qu’en Ukraine les gens meurent dans cette guerre inutile, que ne va réellement gagner aucun des deux camps, non seulement sur le champ de bataille, mais partout ailleurs, même au-delà de la ligne de front. Un sacrifice humain inutile ! Ils misent - avec cynisme et une irresponsabilité coupable - sur l’effondrement de l’économie russe, pour que cette guerre absurde s’arrête, d’elle-même, comme par enchantement, sans dialogue et sans négociations. Ce qui n’est pas évident ! Comme le montre déjà à suffisance la crise multiforme créée aujourd’hui par la guerre d’Ukraine, elle-même, et par les boycotts et les sanctions des occidentaux contre la Russie, l’effondrement de l’économie russe, sous le poids de ces sanctions, conduira le monde à un désastre économique sans précédent !
26.2 L’Ukraine ne doit pas continuer à être le théâtre de ce macabre commerce d’armes ! Malgré les conséquences funestes de leurs boycotts et de leurs sanctions contre la Russie sur leurs propres économies et sur celle du reste du monde, les décideurs des pays de l’OTAN, qui sont mus par un certain sentiment de haine et de vengeance, préfèrent revenir aux énergies polluantes, comme le charbon et à opter pour des solutions coûteuses dans leur approvisionnement en gaz et en pétrole, avec comme seul objectif, faire le plus de mal possible à l’économie russe, quel qu’en soit le prix, dans l’espoir qu’elle s’effondre et que la guerre d’Ukraine s’arrête, d’elle-même, comme par enchantement ! Ce qui n’est pas du tout évident !
Une solution réfléchie et harmonieuse ne pourra, en réalité, venir que du « monde scientifique » de l’Occident qui va - nous l’espérons - en partant du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, amener les décideurs des pays de l’OTAN (1) à cerner l’origine réelle du bras de fer qui les oppose à la Russie et qui se situe essentiellement dans le système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète (d’alliances politico-militaires particulières), hérité de l’époque de la « guerre froide », (2) pour faire stopper rapidement cette guerre inutile et (3) à œuvrer pour l’avènement d’un climat de détente et de confiance mutuelle, non seulement dans le continent européen, mais à l’échelle de toute la planète, (4) pour ne pas diviser le monde et que soit mis fin à ce système mondial belliciste de la planète (d’alliances politico-militaires particulières), hérité de l’époque de la « guerre froide », qui divise le monde.
26.3 La réaction excessive des décideurs des pays de l’OTAN, devant l’agression de l’Ukraine par la Russie - une nième guerre d’agression et non la première qu’ait connue le monde, ces derniers temps, de la part d’un pays membre permanent du « Conseil de sécurité de l’ONU », contre un État souverain - va conduire le monde à une nouvelle « guerre froide », avec ce « schisme » technologique et commercial qui se profile à l’horizon !
Si la guerre d’agression de l’Ukraine par la Russie, avec l’annexion de ses territoires, ne peut pas résoudre le conflit ukrainien, le soutien militaire des occidentaux à Kiev n’a malheureusement pour effet que d’éterniser cette guerre - que ne va réellement gagner aucun des deux camps - et de nous éloigner de la vraie solution qui ne peut être que politique et impartiale, là où la diplomatie de la canonnière ne fait qu’exacerber les horreurs et les affres de la guerre ! Une guerre d’agression a déjà été lancée par la Russie contre l’Ukraine. Le vin est tiré... Tout dépend aujourd’hui de la réponse des occidentaux, soit l’éterniser, soit l’arrêter, avec une réponse qui soit en mesure d’apporter une solution harmonieuse au conflit ukrainien et de créer un climat de détente et de confiance mutuelle, non seulement dans le continent européen, mais à l’échelle de toute la planète, sans diviser le monde.
26.4 C’est vraiment étonnant que les pays de l’OTAN n’aient pas cerné, jusqu’ici, la cause réelle du bras de fer qui les opposent à la Russie et qui se situe essentiellement dans le système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète (d’alliances politico-militaires particulières), hérité de l’époque de la « guerre froide », qui divise le monde. Pour les pays du « bloc occidental », l’élargissement de l’OTAN est - paradoxalement - la réponse à donner à l’agression de l’Ukraine par la Russie, contrairement au « bon sens », contrairement à ce qu’indique la genèse de ce conflit ! Une erreur d’approche !
C’est surprenant que, pour eux, la guerre d’Ukraine démontre l’utilité de l’alliance politico-militaire transatlantique, pour - comme ils le disent - assurer la défense de leur « liberté », de leurs valeurs et de leur modèle de société, alors que ce conflit n’a rien avoir avec tout cela !
C’est regrettable que, partant de cette lecture occidentalocentrée de l’origine de la guerre d’Ukraine, la Finlande (pays frontalier à la Russie) et la Suède, deux nations historiquement « neutres », ont sollicité leur adhésion à l’OTAN, alors que c’est, justement, l’idée projetée en 2008 d’une adhésion de l’Ukraine (pays frontalier à la Russie) à l’OTAN, qui est à l’origine de l’actuel bras de fer entre la Russie et l’OTAN. Cette idée avait initialement conduit, en 2014, après la révolution de Maîdan et l’annexion de la Crimée, à la guerre civile entre les pro-russes et les pro-européens et est à la base de l’actuelle guerre russo-ukrainienne. Chaque pays a, certes - d’après ce qui est admis jusqu’ici - la liberté d’organiser sa sécurité comme il l’entend. Mais, manifestement, le système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète (d’alliances politico-militaires particulières), hérité de l’époque de la « guerre froide », pose problèmes ! Il est à la base de l’actuel bras de fer entre la Russie et l’OTAN, qui - nous ne le dirons jamais assez - avait initialement conduit, en 2014, après la Révolution de Maïdan et l’annexion de la Crimée, à la guerre civile entre les pro-russes et le pro-européens - simplement avec l’idée, projetée en 2008, d’une adhésion de l’Ukraine (pays frontalier à la Russie) à l’OTAN - et a dégénéré, aujourd’hui, en un conflit armé entre l’Ukraine et la Russie !
27. Nous ne pourrons jamais construire la paix et bâtir un « ordre mondial harmonieux » sur des bases inégalitaires et injustes !
Une guerre d’agression a déjà été lancée par la Russie contre l’Ukraine. Le vin est tiré... Tout dépend aujourd’hui de la réponse des occidentaux, soit l’éterniser, soit l’arrêter, avec une réponse qui soit en mesure d’apporter une solution harmonieuse au conflit ukrainien et de créer un climat de détente et de confiance mutuelle, non seulement dans le continent européen, mais à l’échelle de toute la planète, sans diviser le monde.
Les occidentaux finiront par opter pour une solution politique et diplomatique, au lieu de continuer à alimenter cette guerre inutile que ne va gagner aucun des deux camps, car il n’y a pas de solution militaire au conflit ukrainien ! Mais, comme d’habitude, ils ne seront malheureusement ramenés à la raison que quand il sera trop tard, avec de lourds dégâts matériels, humains et environnementaux et des conséquences déplorables sur le plan économique, à l’échelle de toute la planète !
Dans cette économie mondiale globalisée, dans ce grand village planétaire qu’est devenu le monde, les performances et, surtout, la récession d’un pays à grande économie vont se répercuter sur les économies des autres nations de la planète. Les décideurs des pays de l’Occident font preuve d’une irresponsabilité coupable, en misant sur l’effondrement de l’économie russe, pour arrêter la guerre d’Ukraine ! « We are the World » ! Nous sommes un seul monde ! Comme le montre déjà à suffisance la crise multiforme créée aujourd’hui par la guerre d’Ukraine, par les boycotts et les sanctions des occidentaux contre la Russie, l’effondrement de l’économie russe, sous le poids de ces sanctions, conduira le monde à un désastre économique sans précédent !
Tout dépendra, non pas directement des grandes puissances économiques et militaires, elles-mêmes, mais plutôt du « monde scientifique », de nos écoles et de nos universités, qui doivent amener l’humanité, en général, et les grandes puissances, avec, à leur tête, le « monde occidental », en particulier, (1) à partir du « bon diagnostic », comme hypothèse de travail dans la recherche continue de la sécurité et de la paix et (2) à s’impliquer pour que le monde soit plutôt géré (1) suivant des règles précises du droit international complétées et clarifiées, en vertu des principes harmonieux et consensuels du mode de gestion de l’ordre mondial, (2) avec un cadre conceptuel et institutionnel consensuel global, conséquent et harmonieux, accepté par tous et non par le leadership hégémonique d’une nation puissante ou d’une institution interétatique particulière, (3) autour d’un consensus international sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre », (4) avec de meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’« ordre » dans le monde, (5) dans ce système mondial commun de sécurité collective que sera - dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale » - l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », (a) un système qui ne devra être, ni un gouvernement mondial, ni une structure centralisée et pyramidale, (b) sous la « police » - le moment venu, une fois les conditions réunies - de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », (c) en remplacement du système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète (d’alliances politico-militaires particulières), hérité de l’époque de la « guerre froide », qui divise le monde.
28. Nous ne pourrons jamais construire la paix et bâtir un « ordre mondial harmonieux » sur des bases inégalitaires et injustes !
28.1. La guerre nucléaire est ingagnable ! Cette génération doit - à l’occasion de ce projet de paix - débarrasser la planète de ces armes grotesques, inutiles et inutilisables que sont les armes nucléaires, sauf - peut-être - dans une vaste opération de massacre aveugle ou de suicide collectif, dans une apocalypse nucléaire ! Nous ne pourrons jamais apporter une solution harmonieuse au problème d’armes nucléaires dans le monde, en général, au programme nucléaire iranien et au programme nucléaire et balistique de la Corée du Nord, en particulier, si, dans les négociations, les puissances nucléaires ne font jamais allusion à leurs propres arsenaux nucléaires et militaires et à ceux de leurs alliés, surtout que - paradoxalement - les États qui exigent avec insistance le désarmement nucléaire de ces deux pays possèdent eux-mêmes les armes nucléaires et continuent de les perfectionner. Nous devons aborder ce problème de manière globale et sans passion, pour nous demander pourquoi les puissances nucléaires s’étaient dotées, hier, de ces armes et pourquoi les autres pays veulent s’en procurer, aujourd’hui, eux-aussi, comme elles et comme leurs alliés. Nous comprendrons tous alors finalement que ce n’est pas par méchanceté ni de mauvaise foi que les nations se préparent activement à la guerre et accumulent les armes, jusqu’à acquérir ou à vouloir se doter, elles aussi - pour leur « sécurité » - d’armes nucléaires comme certains pays. Ce n’est nullement dans le simple but de vouloir narguer la « communauté dite internationale », comme on le dit ! C’est plutôt parce que l’organisation politico-sécuritaire belliciste actuelle de la planète ne les rassure pas et ne leur garantit pas réellement - avec les idées, les principes, les règles et les méthodes qui la sous-tendent - la sécurité sur le plan régional et sur le plan planétaire, mais aussi et surtout parce que, jusqu’ici, aucune politique alternative, plausible et attrayante ne leur a jamais été proposée, à cause de l’ignorance, par l’ensemble de l’humanité (du moins dans l’opinion commune, au stade actuel de l’évolution de la connaissance en matière d’« ordre et de désordre »), des meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’« ordre » dans le monde.
Qu’il s’agisse d’armes nucléaires ou des autres armes sensibles, l’essentiel n’est pas de multiplier les sanctions, d’imposer des interdits et de précipiter leur démantèlement, ni simplement de réglementer le commerce et le transfert international des armes de guerres et des munitions, en exigeant le désarmement nucléaire de deux pays seulement, surtout que, comme on le voit, les puissances nucléaires ne s’engagent pas vraiment, elles-mêmes, dans la voie du désarmement nucléaire.
Nous devons abandonner ces méthodes archaïques, barbares, non efficientes et contreproductives des « temps primitifs » et chercher plutôt à réunir les conditions qui doivent être satisfaites, tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation, en vue de créer un climat de détente et de confiance mutuelle entre les peuples et entre les gouvernements des différents pays. De cette façon, les différentes nations n’éprouveront plus la nécessité de s’armer lourdement les unes contre les autres, ni de se préparer activement à la guerre, pour que, en définitive, ces armes grotesques tombent, d’elles-mêmes, en désuétude, sans qu’on ne s’y active particulièrement, que le « Pacte Mondial de Non-agression et de Renonciation à l’Option Militaire » ne soit violé, que le désarmement s’opère de manière quasi spontanée et que l’espace intersidéral et numérique ne soit militarisé, tout en organisant la cyber-sécurité collective et en encadrant le maniement de l’intelligence artificielle.
Ainsi donc, répondre au programme nucléaire iranien, aux essais nucléaires et aux tirs expérimentaux de missiles nord-coréens par des sanctions, par des propos hostiles, par des menaces d’usage de la force et de multiples exercices militaires préparatoires à la guerre entre alliés est totalement contreproductif et ne fait qu’envenimer la situation. Ces menaces d’usage de la force et ces « exercices militaires préparatoires à la guerre » entre alliés ne peuvent être perçus par eux que comme une preuve de plus des menaces d’ordre sécuritaire dont ils sont l’objet de la part des puissances « ennemies » et contre lesquelles ils doivent se préparer en conséquence.
Les industriels du secteur de l’armement auront - comme il est dit dans ce projet de paix - le temps nécessaire pour la reconversion de leurs activités vers d’autres filières commerciales, pour qu’il n’y ait pas de répercussions financières désastreuses sur l’ensemble de l’économie mondiale.
28.2. Pour plus de justice et plus d’harmonie, le Promoteur propose à la « Communauté des Nations » de sursoir, en toute logique, « sine die », les négociations sur le « nucléaire iranien », pour inclure le problème des armes nucléaires et des autres armes de destructions massives dans le cadre général de la sécurité de la planète et amorcer une réflexion approfondie sur la problématique de la recherche de la paix (En son sens le plus large), sur de bonnes bases, dans une perspective mondiale et une approche holistique, sur des bases égalitaires, dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale », autour du « bon diagnostic », comme hypothèse de travail, dans la recherche continue de la sécurité et de la paix et non - comme on le voit aujourd’hui - sur des bases inégalitaires, avec ces principes iniques : « la loi du plus forts » et « le deux poids deux mesures », pour un ordre mondial à géométrie variable, avec une justice internationale à deux vitesses !
Nous devons essentiellement, en matière sécuritaire, (1) sortir de la « conception binaire de la société » et (2) abandonner l’idée qu’il y aurait, d’un côté, les « bons » qui, eux, peuvent s’associer librement « militairement » et s’armer lourdement, jusqu’à détenir les armes nucléaires et les autres armes de destruction massive et, de l’autre, les « mauvais » qui, eux, n’en auraient pas le droit, sous peine de lourdes sanctions, de frappes préventives et, même, d’invasions militaires, et (3) opter pour une solution consensuelle, plus juste et plus harmonieuse, sur des bases égalitaires, une solution qui puisse rassurer toutes les nations, sans toutefois exiger que chaque pays se dote d’armes nucléaires, la recherche de la paix ne passant pas par la dissuasion armée, qui est l’institution de ce système mondial commun de sécurité collective que sera, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », l’ « Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre ».
Nous devons, comme nous l’avons dit, abandonner les méthodes barbares, archaïques, non efficientes et contreproductives des « temps primitifs » et chercher plutôt à réunir les conditions qui doivent être satisfaites, tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation, pour créer un climat de détente et de confiance mutuelle entre les peuples et entre les gouvernements des différents pays, pour que ces armes grotesques tombent, d’elles-mêmes, en désuétude, sans qu’on ne s’y active particulièrement (Sine die : Locution latine, sans fixer le jour...).
29. Il faudra, dans le même ordre d’idées, lever ou, simplement, suspendre le mandat d’arrêt international lancé malencontreusement par le procureur de la « Cour Pénale Internationale » contre le Président POUTINE, pour privilégier le dialogue et la négociation, qui ne peuvent pas s’amorcer harmonieusement dans ces conditions-là, avec un des principaux acteurs de ce conflit qui serait sous le coup d’un mandat d’arrêt international. Il faudra, de la même manière, lever ou, simplement, suspendre les mandats d’arrêts internationaux lancés, d’un côté, contre le premier ministre israélien, Benjamin NETANYAHU et son ancien ministre de la défense et, de l’autre, contre le chef de la branche armée du Hamas. Il faudra également retirer la demande de lancement d’un mandat d’arrêt contre le Président KAGAME du Rwanda, pour préserver un climat de sérénité dans les négociations avec la RDC, qui se déroulent déjà au niveau ministériel entre les deux pays.
30. Il faudra sursoir également les négociations autour du climat, pour tout recommencer sur de bonnes bases, sur une bonne approche, autour du « bon diagnostic », comme hypothèse de travail, dans la recherche continue de la sécurité et de la paix, en son sens le plus large, en insistant sur le fait que le réchauffement climatique est un phénomène purement « technique », qui relève du domaine de la « science ».
Pour plus d’harmonie entre nous, nous devons, en matière de protection de l’environnement, en général, et dans la lutte contre le réchauffement climatique, en particulier, nous départir de la « conception binaire de la société », qui suppose qu’il y aurait, d’un côté, les « bons », ceux qui ont compris, aiment la nature et respectent la création et, de l’autre, les « mauvais », ceux qui n’auraient rien compris, n’aimeraient pas la nature et ne respecteraient pas la création et les droits de l’environnement. Nous devons partir de l’idée que les dégâts causés jusqu’ici par l’homme, en rapport avec le réchauffement climatique, ne sont pas directement liés au modèle économique actuel qu’est l’« économie de marché » en soi, ni à la « croissance économique » et à la « mondialisation », mais à la nature des techniques utilisées, en raison - comme le dit ce projet de paix - de l’« immaturité » de notre système industriel, agricole et énergétique, à la suite de l’« immaturité relative » de notre science et de notre technologie et non d’une quelconque négligence de la part de l’homme, ni d’une prétendue inaction des États et d’un manque d’engagement des banques, ni - encore moins - d’un quelconque immobilisme des sociétés qui exploitent les énergies fossiles. Il s’agit ici d’un problème purement « technique » qui ne dépend pas directement de la manière de l’homme de vivre, d’entreprendre, de produire, de s’alimenter, de voyager et de commercer, ni même de la croissance économique, mais plutôt de la nature des techniques utilisées. Ce sont plutôt nos techniques industrielles, agricoles et énergétiques qui doivent changer et non la nature humaine ni même le modèle économique actuel d’« économie de marché », qui serait carboné - comme on le dit abusivement - et ne serait pas assez « vert », pas assez « bleu ». L’« économie dite verte » n’est - en soi - pas un modèle économique différent, qui pourrait être présenté comme une alternative au modèle économique actuel. Fondamentalement, sur le plan des principes, il n’y a pas une ligne de démarcation nette entre le modèle économique actuel et l’économie dite « verte ». Dans l’économie dite « verte », les principes économiques et les lois du marché n’auront pas changé, mais plutôt les « techniques industrielles, agricoles et énergétiques ».
30.1 Aux problèmes techniques, solutions techniques : Recherche scientifique, innovation technologique et non les injonctions et les interdits, ni même l’engagement militant et la propagande alarmiste, moralisante et anxiogène des activistes patentés qui s’en prennent aux autres et à l’État et prônent la désobéissance civile !
Au lieu de multiplier les déclarations de bonnes intentions et les accords contraignants et de fixer des objectifs chiffrés que ne respecte personne, au lieu de nous lancer dans un élan de militantisme agressif contre les autres, contre ceux que nous prenons pour des « mauvais », contre ceux qui n’auraient - d’après nous - rien compris, n’aimeraient pas la nature et ne respecteraient pas la création et les droits de l’environnement, nous devons revoir notre approche, nos stratégies et nos méthodes dans la lutte contre la dégradation excessive de l’environnement, en général, et contre le réchauffement climatique, en particulier. Nous devons (1) abandonner les méthodes archaïques, contraignantes et non efficientes des « temps primitifs », (2) savoir surtout que le réchauffement climatique est un phénomène purement « technique », qui relève du domaine de la « science » et ne découle donc, ni de la négligence, ni d’une quelconque faillite morale de l’homme, (3) réfléchir et miser sur la recherche scientifique et l’innovation technologique, pour réunir les conditions qui doivent être satisfaites sur le plan des techniques à promouvoir et à inventer et pouvoir mettre un terme ou - tout au moins - limiter la progression de la dégradation de l’environnement et du réchauffement climatique. Nous ne devons, de ce fait, pas retenir, au hasard, (a) les choix de la « rue » ou les recommandations issues des conventions citoyennes, tenues par des personnes simplement tirées au sort, qui n’ont pas suffisamment réfléchi sur le sujet et n’ont pas nécessairement une expertise en la matière et (b) des solutions choisies par la majorité dans des sondages d’opinions, dans des référendums et des votations.
Dans la lutte contre le réchauffement climatique, l’innovation technologique et la recherche scientifique orientée vers des techniques alternatives, actuelles et à inventer, plus respectueuses de l’environnement et plus efficientes, nous donneront des résultats probants, avec plus de certitude que ne pourront le réaliser tout notre engagement militant et la propagande politique. La menace écologique et climatique est bien réelle. Elle est visible. Il y a urgence absolue ! Mais, quoi qu’on fasse, la « transition écologique et énergétique », comme tout progrès et tout changement, ne pourra réellement s’opérer, de manière décisive, qu’avec le temps et, seulement, lorsque toutes les conditions seront « techniquement » réunies, c’est-à-dire lorsque les techniques alternatives - industrielles, agricoles et énergétiques - seront au point, sur le plan de la rentabilité, de l’efficacité, du confort et du coût et non en fonction de l’ampleur de notre détermination, ni par la fermeté de nos décisions politiques.
La « transition écologique et énergétique » n’interviendra pas à coups de lois, avec des injonctions, d’accords contraignants, d’objectifs chiffrés et, surtout, pas avec des conseils de moraliste et des décisions politiques autoritaires prises d’en haut, mais plutôt avec le progrès de la « science » et l’innovation technologique. Une technique industrielle, agricole ou énergétique, réellement efficiente, s’impose d’elle-même par sa rentabilité, par son efficacité, son confort et son coût et non par la force, par la contrainte et notre engagement militant, ni - encore moins - avec cette propagande alarmiste, moralisante et anxiogène que mènent certains d’entre nous. Le cœur du problème se trouve ailleurs !
Ce n’est donc pas, comme l’exige une certaine opinion, en condamnant l’État pour inaction climatique, en lui demandant de s’impliquer plus et de revoir à la hausse ses ambitions sur le climat - c’est-à-dire en lui demandant de prendre des mesures encore plus autoritaires et plus contraignantes, qui, du reste, sont difficilement applicables et n’ont qu’un effet cosmétique, au regard de l’ampleur du défi à relever à l’échelle de la planète - qu’on pourra vraiment réaliser le « virage écologique et énergétique » et atteindre la « neutralité carbone », tant que les conditions ne seront pas « techniquement » réunie. Il s’agit ici d’un problème purement « technique » qui ne découle pas directement de la manière de l’homme de vivre, d’entreprendre, de produire, de s’alimenter, de voyager et de commercer, mais plutôt de la nature des techniques utilisées, en raison - comme nous l’avons dit - de l’« immaturité » de notre système industriel, agricole et énergétique, à la suite de l’« immaturité relative » de notre science et de notre technologie et non d’une quelconque négligence de la part de l’homme, ni d’une prétendue inaction des États et d’un manque d’engagement des banques, ni - encore moins - d’un quelconque immobilisme des sociétés qui exploitent les énergies fossiles. Ainsi donc, les droits liés à l’environnement ne sont, en réalité, que des « aspirations » et non des droits « opposables ».
Il ne s’agit pas de s’en prendre aux autres ni de condamner l’État pour inaction climatique et de prôner la désobéissance civile. L’État n’est pas omnipotent. L’État ne peut pas tout. Il a des limites dans sa capacité à apporter des solutions aux problèmes socio-économiques et écologiques du pays et compte sur l’apport, tant matériel que conceptuel, des citoyens eux-mêmes, pour créer les conditions qui favorisent leur épanouissement social. Aux problèmes techniques, solutions techniques. Le réchauffement climatique est un phénomène purement « technique », qui relève du domaine de la « science » et requiert des « solutions techniques ». La « transition écologique et énergétique » n’interviendra pas à coups de lois, avec des injonctions, d’accords contraignants, d’objectifs chiffrés et, surtout, pas avec des conseils de moraliste et des décisions politiques autoritaires prises d’en haut, même si cela relève du souhait de la majorité, mais seulement lorsque les conditions seront « techniquement » réunies, c’est-à-dire lorsque les techniques alternatives - industrielles, agricoles et énergétiques - seront au point, sur le plan de la rentabilité, de l’efficacité, du confort et du coût. C’est aux citoyennes et aux citoyens de présenter à l’État des techniques alternatives (industrielles, agricoles et énergétiques), plus efficientes et plus respectueuses de l’environnement, pour mettre un terme ou - tout au moins - limiter la progression de la dégradation de l’environnement et du réchauffement climatique. C’est à chacun d’entre nous d’agir dans ce sens ! Tout un chacun a ce devoir-là de transformer le monde et de contribuer à apporter des solutions aux problèmes de l’humanité. Nous devons tempérer nos critiques à égard des autres, devant les problèmes et les imperfections de la société, si nous n’avons pas, nous-mêmes, de solutions alternatives, plus efficientes et plus confortables à proposer à l’humanité ! Ainsi donc, si vous n’avez pas, vous-mêmes, des solutions à proposer à la communauté - des solutions qui soient vraiment efficientes et harmonieuses - il sera préférable que vous vous remettiez à l’expertise de ceux qui en ont la compétence, au lieu de débiter des propos alarmistes et de prôner la désobéissance civile, au lieu de vous en prendre aux autres et à l’État, au lieu de fomenter des troubles et de semer du désordre, au lieu de pousser les masses populaires à la révolte et à l’insoumission, au lieu de leur demander de « contester », de « protester » et de « s’indigner »…
30.2 Aux problèmes techniques, solutions techniques ! Les objectifs chiffrés et les accords contraignants seront sans effet, tant que les conditions ne seront pas « techniquement » réunies sur le plan de la rentabilité, de l’efficacité, du confort et du coût. Soit qu’on décide, dans une conférence sur le climat - comme nous avons pris l’habitude de le faire régulièrement ces derniers temps - de réduire, de manière autoritaire, les émissions de gaz à effet de serre de 10, 20 ou 30%, à l’échelle de la planète dans un délai donné, pour que, entretemps, la hausse de la température de la planète ne dépasse 1 ou 2 degré, par exemple. Nous nous serons certainement donné bonne conscience, en croyant avoir agi, alors que nous n’aurons rien fait concrètement ! Nous allons plutôt perdre de temps, en nous éloignant de la vraie voie à emprunter pour réaliser le « virage écologique et énergétique » et atteindre la « neutralité carbone » qui est la recherche scientifique et l’innovation technologique. En effet, nous ne saurons jamais comment nous y prendre, sur le plan pratique, pour que, à partir du comportement de chaque ménage et de chaque automobiliste, à partir de l’empreinte carbone de chaque aéronef, à partir de l’empreinte écologique des différents moyens de transport, des différents engins et des différentes industries - parmi les centaines de milliers que compte la planète - une telle décision soit effectivement traduite dans les faits, conformément au taux affiché et par rapport au délai fixé. En l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, au lieu de rechercher les causes réelles du réchauffement climatique qui sont essentiellement « techniques », nous nous en prenons, à tort, à l’homme, et nous lui imposons une multitude de contraintes, d’injonctions et d’interdits. C’est ainsi que, avec l’approche et les stratégies actuelles, les « COP » s’enchainent et se ressemblent, sans grand résultat, 28 ans après !
Croyons-nous avoir agi en prenant, de manière autoritaire, la décision d’abandonner les énergies fossiles et de sortir des énergies carbonées dans un délai de 15, 20 ou 30 ans, par exemple, sans éléments factuels probants ? Est-il raisonnable, de notre part, de fixer l’abandon du charbon et la sortie des énergies fossiles, dans un délai précis, sans être sûrs que les énergies alternatives seront vraiment au point, à ce moment-là, sur le plan de la rentabilité, de l’efficacité, du confort et du coût, pour les remplacer valablement ? Etant donné que l’innovation et la créativité ne peuvent pas être planifiées, nous nous comportons donc comme des « devins », comme des « petits enfants » et non comme des « scientifiques », quand nous projetons de réaliser le « virage écologique et énergique » et atteindre la « neutralité carbone » dans un délai précis, fixé de manière autoritaire, sans éléments factuels conséquents et, surtout, sans prendre en compte les aléas, les imprévus et les impondérables inhérents à notre existence terrestre ! Il convient que nous le comprenions tous.
Le réchauffement climatique est un phénomène purement « technique », qui relève du domaine de la « science » et requiert des « solutions techniques » ! La « transition écologique et énergétique » n’interviendra pas à coups de lois, avec des injonctions, d’accords contraignants, d’objectifs chiffrés et, surtout, pas avec des conseils de moraliste et des décisions politiques autoritaires prises d’en haut, même si cela relève du souhait de la majorité, mais seulement lorsque les conditions seront « techniquement » réunies, c’est-à-dire lorsque les techniques alternatives - industrielles, agricoles et énergétiques - seront au point, sur le plan de la rentabilité, de l’efficacité, du confort et du coût, car, il s’agit ici d’un problème « technique » qui dépend essentiellement de la nature des techniques utilisées et non de la volonté de l’homme, ni directement de sa manière de vivre, d’entreprendre, de produire, de s’alimenter, de voyager et de commercer ! Le recours aux techniques agricoles alternatives, qui soient, à la fois, efficientes et respectueuses de l’environnement, nous permettra d’abandonner l’usage de certains produits de l’agrochimie et de l’agro-industrie qui sont nuisibles à l’écologie, comme certains types d’engrains et de pesticides et non la propagande politique et la moralisation des gens. Il en est de même de la pollution plastique, avec des techniques industrielles alternatives...
Il ne s’agit donc pas de dire aux banques - dans un élan d’écologisme primaire - de ne pas financer les énergies carbonées, de demander à l’État de ne pas les subventionner, ni de sommer les multinationales à ne plus exploiter les énergies fossiles, alors que le besoin continue à se faire sentir ! Il faut plutôt présenter à l’humanité des techniques alternatives qui soient vraiment au point et qui puissent s’imposer, d’elles-mêmes, sur le plan de la rentabilité, de l’efficacité, du confort et du coût.
30.3 Les politiques de conservation de la nature doivent impérativement tenir compte des besoins vitaux de l’être humain et ne pas sombrer dans un « écologisme primaire » dans lequel, par exemple, quand bien même le besoin se ferait sentir, le moindre plan d’aménagement du territoire, le moindre ouvrage architectural, hydro-électrique, routier, ferroviaire, portuaire ou aéroportuaire est systématiquement - arbitrairement - jugé inutile et nuisible à l’écologie, alors que, dans la plupart des cas, l’empreinte écologique de ces différents ouvrages est tout à fait négligeable à l’échelle globale de la planète, par rapport aux services qui seront rendus à la communauté.
La « donne écologique » ne doit, en principe, plus nous opposer les uns contre les autres, étant donné que l'« écologisme » profite à tout le monde. Au-delà de l’idéalisme visionnaire des militants écologistes, le réalisme et le « pragmatisme » des entrepreneurs, des hommes d’affaires et des industriels offrent à la collectivité humaine de nouvelles perspectives industrielles et de nouvelles opportunités de création d’emplois. Quoi qu’il en soit, puisque la « donne écologique » et les avancées en matière de protection de l’environnement découlent du progrès de la science et de l’innovation technologique, étant donné surtout que la science est neutre, elles ne doivent pas continuer à être glanées comme étant le résultat de la conquête d’un groupe idéologique et de son engagement militant, avec cette propagande moralisante qu’il mène en direction des autres, en condamnant l’État pour inaction climatique.
Pour plus d’harmonie entre nous, nous devons, en matière de protection de l’environnement, en général, et dans la lutte contre le réchauffement climatique, en particulier, nous départir de la « conception binaire de la société », qui suppose qu’il y aurait, d’un côté, les « bons », ceux qui ont compris, aiment la nature et respectent la création et, de l’autre, les « mauvais », ceux qui n’auraient rien compris, n’aimeraient pas la nature et ne respecteraient pas la création et les droits de l’environnement.
31. Le monde ayant évolué, l’élargissement du « Conseil de Sécurité » devient actuellement une nécessité impérieuse et doit être envisagé essentiellement dans la perspective de permettre d’y assurer la représentation de tous les différents grands groupes des peuples de la planète et de conférer le droit de veto à chaque groupe - si ce système de veto doit nécessairement être maintenu - en vertu du principe d’égalité en droits entre les peuples et entre les nations, mais en laissant aux anciens membres permanents traditionnels de ce conseil le privilège de garder leur droit de veto, privilège acquis à l’époque, en raison des considérations de ce temps-là.
Pour éviter un déséquilibre et sauvegarder un climat de sérénité, les nouveaux postes au « Conseil de Sécurité », avec droit de veto, ne doivent pas être réservés et ne pouvoir être accordés qu’aux seules nouvelles puissances de la planète, comme un droit exclusif reconnu aux seules nations puissantes, si ce système de veto doit nécessairement être maintenu :
31.1. Le fait de ne vouloir accorder le droit de veto qu’aux nouvelles puissances militaires, économiques ou démographiques continuera à donner l’impression que le « Conseil de Sécurité » n’est qu’un club réservé aux nations puissantes et grâce auquel elles imposent leur volonté, leur « diktat » aux autres pays. C’est justement ce mode de gestion de l’ordre mondial qui est décrié, celui qui consiste à accorder certains privilèges aux grandes puissances et à les dénier aux autres nations. Il ne faudra donc surtout pas - comme le propose une certaine opinion - accorder de nouveaux sièges permanents, avec droit de veto, au « Conseil de Sécurité », en exclusivité, à quelques nouvelles puissances militaires, économiques ou démographiques de la planète, d’où qu’elles viennent. Accorder le droit de veto aux seules nations puissantes, comme un droit exclusif, ne serait qu’appliquer la loi de la jungle, « la loi du plus fort » !
31.2. L’élargissement du « Conseil de Sécurité » ne devra donc pas consister simplement en un élargissement du club des nations puissantes qui doivent détenir, seules, le droit de veto et régenter le monde, quand bien même ces nouvelles puissances soient issues des pays du Sud et des pays dits émergents. La réforme à introduire au sein du « Conseil de Sécurité » devra plutôt être menée dans le sens d’accorder le droit de veto, à tour de rôle et lors des mandats successifs - si ce système de veto doit nécessairement être maintenu - à un État quelconque dans chacun des différents grands groupes des peuples de la planète, quelle que soit son envergure économique, militaire ou démographique, à côté des anciens membres permanents traditionnels de cet organe, qui continueraient à garder leur droit de veto et, éventuellement, aussi à côté des autres membres qui y sont admis, à tour de rôle, de manière temporaire, sans droit de veto (Il pourra s’agir, par exemple, des 5 grands groupes suivants : (1) Le groupe des peuples de l’Europe et de l’Amérique du Nord, (2) le groupe des peuples de l’Amérique Latine et Caribéenne, (3) le groupe des peuples d’Afrique, (4) le groupe des peuples du monde arabo-musulman en dehors de l’Afrique, et, enfin, (5) celui des peuples du reste de l’Asie avec ceux de l’Océanie).
31.3. Le « Conseil de Sécurité » doit cesser d’être - tel qu’il est aujourd’hui, à la suite de l’ignorance des meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’« ordre » dans le monde - une instance qui gère l’ordre mondial avec des méthodes archaïques, barbares, non efficientes et contreproductives des « temps primitifs » (les sanctions, les embargos, les blocus et les boycotts, les injonctions, l’exclusion et l’isolement, le recours à la force et les menaces d’usage de la force, les frappes préventives - un terrorisme d’État - et les invasions militaires, l’interdit et la répression, les restrictions intempestives des libertés et les contraintes inutiles...), (a) par à-coups, (b) à coups d’intrigues et de combines politiques, (c) sans anticipation et sans aucun souci de prévention et (d) sans chercher à résoudre les vrais problèmes à la base, c’est-à-dire sans s’attaquer aux véritables causes qui les génèrent, comme on le voit actuellement. Le « Conseil de Sécurité » devra gérer l’ordre mondial (a) suivant des règles précises du droit international complétées et clarifiées, (b) en vertu des principes harmonieux et consensuels du mode de gestion de l’ordre mondial, avec, dans la gouvernance mondiale, (a) un cadre conceptuel et institutionnel consensuel global, conséquent et harmonieux, accepté par tous et non (b) le leadership hégémonique d’une nation puissante ou d’une institution interétatique particulière. Il en est de même des États-nations qui devront être régis plutôt (a) par des institutions fortes, par des méthodes, des règles et des principes harmonieux, bien établis et acceptés par tous, (b) et non par l’humeur et le charisme des leaders « éclairés », en écartant, avec le temps, toute forme de personnalisation du pouvoir, comme dans le système gouvernemental suisse, dans lequel un des sept conseillers fédéraux (=équivalents des ministres) assume la présidence du « Conseil Fédéral » (=La présidence de la confédération, présidence du pays) pendant une année civile, sans que le pouvoir ne soit, à aucun moment, personnalisé. Ce qui mettra l’humanité à l’abri des dérives des pouvoirs personnalisés, (1) avec, dans chaque pays, (a) mode particulier et consensuel de représentation, d’accession, de partage et d’exercice harmonieux du pouvoir, en écartant, avec le temps, toute forme de personnalisation du pouvoir, (b) avec, surtout, la bonne gestion et la bonne gouvernance dans chaque pays, d’une part, et la compréhension, la prise de conscience et la responsabilisation de chaque citoyenne et de chaque citoyen, d’autre part, comme conditions essentielles pour que puisse régner la paix sociale dans un pays, ainsi que (c) la coexistence pacifique, la non-ingérence et le droit à l’autodétermination de chaque État-nation, l’autodétermination de chaque peuple, comme principe intangible, pour que, plus jamais, une nation, un peuple n’exerce une quelconque domination politique sur un autre, avec, en outre, (d) ces principes sacro-saints que sont l’« indépendance de la justice » et l’« État de droit » dans chaque pays, d’une part, et la « neutralité de la science » à l’échelle de toute la planète et un certain « fair play » à l’international, sur le plan politique, diplomatique, technologique et commercial, d’autre part, (e) en magnifiant la notion d’« unicité » du genre humain et en cultivant le sentiment d’appartenance à une communauté de destin pour toute l’humanité.
31.4. Le « Conseil de Sécurité » devra être réformé également dans le sens de lui permettre de veiller à la sécurité de la planète au quotidien, en exerçant sa tutelle sur les forces de l’ordre des différentes nations, dans le cadre de l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre ». Le « Conseil de Sécurité » réformé devra, pour cela, agir, comme nous l’avons dit, par l’entremise des organes parlementaires des différents pays, qui en assureront la supervision et sa tutelle portera uniquement - nous vous le rappelons - sur le plan des règles et des principes, avec une totale indépendance en matière judiciaire et une large autonomie sur le plan administratif, pour les organisations nationales des forces de l’ordre des différents pays, sans interférence des puissances étrangères.
La réforme du « Conseil de Sécurité de l’ONU » devra, dans cette optique, permettre à cet important organe de ne plus être simplement - à l’instar de la tribune de l’Assemblée Générale de l’ONU qui se transforme souvent, malheureusement, en un haut lieu de chantages et de discours sans lendemains - une instance où les puissances militaires et économiques imposent leur volonté, leur « diktat » aux autres États et prennent des sanctions et des résolutions contre eux, mais jamais contre elles-mêmes, ni contre leurs alliés. Le « Conseil de Sécurité » ne devra pas non plus continuer à être simplement un organe qui se contente de condamner de temps en temps les actes répréhensibles et prend des sanctions et des résolutions contraignantes que ne respecte personne, généralement après coup, lorsque les dégâts matériels, humains et environnementaux - souvent irréparables - se sont déjà produits.
31.5. Pour être efficaces, les sanctions des instances internationales ne devront plus être prises contre une nation en bloc, sous forme de punitions collectives, mais contre les individus, les commanditaires et les auteurs de l’acte réprimé, en appliquant la procédure légale prévue par la législation en la matière, soit par les organes des forces de l’ordre du pays concerné, ceux du pays hôte ou bien par les juridictions internationales. Dans ce nouveau système, les résolutions du « Conseil de Sécurité » ne seront plus dictées par des sentiments politiques partisans, mais en vertu des règles du droit international complétées et clarifiées. Il ne s’agira plus, pour les membres de cet organe, par exemple, de voter - comme c’est encore le cas actuellement - pour savoir s’il faut, oui ou non, condamner et prendre des sanctions contre un régime, aller en guerre contre un État, attaquer ou envahir militairement un pays. Dans ces conditions, la « Communauté des Nations » devra certainement s’interroger sur l’opportunité de perpétuer ce système de veto. Ce nouveau système amènera la « Communauté des Nations » à résoudre, chaque fois, les problèmes de la planète et ceux de nos différents pays à la base, à partir de leurs racines, dans une perspective globale, en recherchant leurs causes profondes, immédiates et lointaines. (Le veto n’aura sans doute plus aucun intérêt dans ce nouveau système, qui aura exclu le recours à la force et les menaces d’usage de la force comme moyens de régler les problèmes de la planète. Il ne s’agira plus, pour les membres de cet organe, par exemple, de voter - comme c’est encore le cas actuellement - pour savoir s’il faut, oui ou non, condamner et prendre des sanctions contre un régime, aller en guerre contre un État, attaquer ou envahir militairement un pays…).
32. Ce projet ne s’appuie pas sur la politique archaïque, barbare, non efficiente et contreproductive des « temps primitifs », qui se fonde sur la force et les sanctions, ces sanctions qui ne résolvent aucun problème et ne sont généralement orientées que vers un camp, celui des plus faibles, mais jamais contre celui des plus forts avec leurs alliés. L’administration TRUMP, par exemple, est allée jusqu’à imposer, à la surprise générale, des sanctions à la procureure de la Cour Pénale Internationale, tout simplement parce qu’elle avait voulu enquêter - dans le cadre tout à fait normal de l’exercice de ses fonctions - sur les exactions des soldats américains en Afghanistan. Pour ceux des États puissants qui ont une certaine idée d’eux-mêmes et s’appuient sur une « conception binaire de la société » - une idée reçue et erronée, héritée de l’âge de la pierre, qui suppose que l’humanité serait composée de « bons », d’un côté, et de « mauvais », de l’autre - la justice internationale ne doit sévir que contre les autres, contre les « mauvais », les plus faibles, mais jamais contre eux, les « bons », les plus forts et leurs alliés.
Le monde n’est, jusqu’ici, que comme une « jungle », dans laquelle prime la « loi du plus fort » et où chaque nation se fait justice à sa manière, par la force et par l’intimidation, en appliquant, avec constance, ce principe inique, « le deux poids deux mesures », pour un ordre mondial à géométrie variable, avec une justice internationale à deux vitesses ! La Chine, par exemple, qui abuse de sa position dominante, s’en prend systématiquement et violement aux gouvernements qui osent braver l’interdit, reconnaissent, coopèrent et entretiennent des relations diplomatiques avec les entités qui lui résistent et voudraient majoritairement s’affranchir de sa tutelle politique (Le cas de Hong Kong, de Taïwan et du Tibet, avec le Dalaïlama…). En effet, en vertu du « droit à l’autodétermination de chaque peuple » et avec - aujourd’hui - ce principe « scientifique » qu’est la « relativité » de la physique moderne - qui prône plutôt la « tolérance », dans la « diversité », le « pluralisme » et le « multiculturalisme » - un pays, un gouvernement n’a le droit de maintenir dans l’union, contre sa volonté, par la force et par la terreur des armes, simplement par formalisme politico-idéologique, un peuple ou un territoire qui voudrait majoritairement s’affranchir de sa tutelle politique, surtout quand, manifestement, les spécificités, les singularités de son système politique, économique et socio-culturel risquent de compromettre la cohabitation de ces deux entités (C’est le cas de Taïwan et de Hong Kong, par exemple, dont le système des libertés politiques est incompatible avec le régime communiste chinois). Avec l’échec du principe d’« un pays, deux systèmes » à Hong Kong, le gouvernement chinois y impose plutôt, aujourd’hui, un régime autoritaire, avec des violations massives des droits et des libertés et un grand nombre d’exclus et de prisonniers politiques (et c’est ce qui risque de se reproduire à Taïwan), pour des contraintes d’ordre géopolitique et pas tellement de mauvaise foi, de peur que le vent des « libertés politiques » qui souffle à Hong Kong n’atteigne le continent et n’emporte son régime ! C’est également pour des considérations d’ordre géopolitique que la Russie voudrait annexer et exercer une domination politique sur les États frontaliers, de peur que ceux-ci ne basculent dans l’autre camp idéologique, qui viendrait alors s’installer, avec ses armes, à sa porte !
En ce qui concerne Taïwan particulièrement, outre le fait que son système des libertés politiques est incompatible avec le régime communiste chinois, pour un règlement harmonieux du conflit qui les oppose, la Chine doit surtout tenir compte du fait que - comme le dit Taïwan - ce territoire (Formose), n’a - historiquement - jamais fait administrativement partie de la Chine communiste et qu’il n’a existé, lors de la désintégration de l’Empire Chinois, aucune clause de réintégration ni de rétrocession de Taïwan à la Chine, qui ressemblerait au cas de Hong Kong avec l’Empire Britannique. Le gouvernement chinois doit partir de ce principe cardinal, prôné par ce projet de paix : Les décisions à prendre, les lois et règlements doivent être fondés sur le « droit », la « justice », la « sagesse » et le « bon sens » et avoir, comme objectif primordial, la recherche de solutions aux problèmes de la société, dans l’optique de la préservation de la paix et de l’harmonie sociale - et non une multitude de sanctions, de restrictions des libertés et de contraintes inutiles à imposer aux gens et aux États, pour un ordre vain, sans un but précis, simplement par conformisme politique, idéologique ou religieux. En outre, avec des trajectoires différents et leurs idéologies farouchement opposées, l’unification de la Chine "communiste" avec un Taïwan "démocratique" (une union "contre nature" qui n’a jamais existé dans la passé), en un État "communiste", va créer plus de problèmes qu’elle ne va en résoudre, comme on le voit actuellement à Hong Kong, en raison de l’incompatibilité de leurs systèmes politiques, le principe d’"un pays, deux systèmes" ayant échoué à Hong Kong !
Une solution harmonieuse pourrait être apportée à ce conflit, en conférant - à la rigueur - le statut particulier d’un « condominium » à Taïwan avec Pékin, deux États souverains, tout à fait distincts, un État « démocratique » et un État « communiste », qui exerceraient, sur des bases égalitaires, une souveraineté conjointe, essentiellement en matière de sécurité et de police, sur le territoire taïwanais, mais dans le strict respect des libertés politiques, sociales, économiques et religieuses en vigueur dans ce territoire (Voir la note sur le sens élargi que prend le terme juridique « condominium », dans le contexte mondial actuel, aux pages 56, 221, 363, 452 et 569 de l’ouvrage « Sortir des temps primitifs… »).
A l’intelligentsia mondiale, à nos écoles et à nos universités de réfléchir donc, pour que, (1) partant du « bon diagnostic », comme hypothèse de travail, dans la recherche continue de la sécurité et de la paix, (2) les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique changent et (3) que soit réalisé un consensus international sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre », avec une doctrine sociale commune (Sans totalitarisme ni restriction sur le plan idéologique, pour pouvoir, grâce au principe de « relativité », dissiper le conflit d’idéologies qui perdure dans nos pays et dans le monde), (4) pour qu’adviennent la concorde, la sécurité et la paix dans le monde et (5) que soit mis fin à ce système mondial des blocs idéologiques opposés, radicalement hostiles, qui s’affrontent constamment, à l’intérieur de nos pays et dans le monde ! C’est alors et alors seulement, avec ce climat de détente et de confiance mutuelle, dans un monde de coexistence pacifique - et non par la confrontation, non avec des alliances politico-militaires et de multiples exercices militaires préparatoires à la guerre entre alliés - que la Chine et la Russie, qui n’auront plus rien à craindre pour leurs régimes, vont - dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale » - renoncer, d’elles-mêmes et sans heurts, à l’idée d’annexer et d’exercer, coûte que coûte, une domination politique sur les États frontaliers. Mais, entretemps, le soutien des partenaires aux territoires frontaliers à la Chine et à la Russie ne doit pas virer à la provocation, comme on l’a vu ces derniers temps, avec les visites inopportunes des officiels des pays de l’OTAN à Taïwan. Les décideurs de ces pays doivent s’en tenir au « statu quo », n’œuvrer que pour une solution politique et, surtout, cesser de promettre un soutien militaire à Taïwan, qui n’a pour effet que d’envenimer inutilement la situation, mais ne va régler aucun problème, en cas d’invasion de ce territoire par la Chine, invasion qui risque même d’être précipitée avec les velléités d’intervention du « camp occidental » !
33. La « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », la « Monnaie de l’Homo Sapiens à l’Ere solaire », la « Monnaie de la Civilisation de l’Universel » :
Le « Numéraire Universel® » : Nom déposé qui protège - par le biais d’un autre mot déposé « IMPOTO® » - l’initiative de la « Monnaie Planétaire », sous forme d’un « vrai numéraire ». Le « Numéraire Universel® » est la forme définitive, manuelle et numérique, que prend la « Monnaie-une », au terme de son évolution, au bout du processus inéluctable et irréversible de globalisation de l’économie mondiale et du système monétaire international, en remplacement, par les États-nations - à l’instigation des « Peuples de la Communautés des Nations » - des monnaies particulières, les monnaies nationales, régionales, sous régionales et continentales, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale ».
34. La « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® » : Le monde est engagé dans une mondialisation inévitable qui, malgré ses excès, est l’aboutissement de l’évolution naturelle, inéluctable et irréversible du monde, avec le progrès de la science, de la technologie et des moyens de communication. La mondialisation doit être considérée comme une « chance » pour l’humanité et non comme une « malédiction ». Mais, pour que cette globalisation soit acceptée par les peuples de tous les pays, il faudra qu’elle soit humaine, sociale, juste et équitable. Et, un tel idéal ne peut se concrétiser notamment que par l’institution de l’usage - le moment venu, une fois les conditions réunies - par les peuples de tous les pays, d’une même monnaie, la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® ». La globalisation de l’économie mondiale ne pourra être juste et équitable que si elle s’accompagne d’une mondialisation financière dont l’aboutissement sera impérativement l’adoption par les « Peuples de la Communauté des Nations » d’une même monnaie, la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® ».
La « Monnaie Universelle » permettra d’assurer une répartition équitable des retombées du développement de la science, de la technologie et de l’économie mondiale entre toutes les nations. Elle permettra l’intégration, dans l’économie mondiale, des pays qui sont jusqu’ici exclus du circuit monétaire mondial. Elle facilitera les transactions financières internationales. Ce qui va stimuler la croissance économique et le progrès social de l’ensemble de l’humanité. Elle va mettre fin à ce système archaïque de « troc monétaire » qui complique la vie aux gens et à cette guerre des monnaies que nous vivons actuellement. Elle nous permettra de réorganiser harmonieusement l’architecture financière mondiale, en y associant les mesures d’encadrement nécessaires.
La « Monnaie Universelle » sera un vecteur de paix, le meilleur élément fédérateur et le meilleur facteur d’union de l’ensemble de l’humanité, une expression vivante et le principal instrument de la solidarité internationale, un symbole hautement rassembleur qui va sceller et consolider la paix dans le monde. L’usage par tous les peuples du monde d’une même monnaie va les amener à prendre réellement conscience de l’« unicité » du genre humain et à intérioriser le sentiment d’appartenance à une communauté de destin pour toute l’humanité. Ce qui va considérablement améliorer les rapports qu’ils entretiendront entre eux. La « Monnaie Universelle », qui ne devra pas être une « monnaie virtuelle », pas une « crypto-monnaie » - c’est-à-dire pas une monnaie créée de toutes pièces, pas cette monnaie artificielle qui n’est habituellement qu’une bulle spéculative, volatile et opaque et finit par exploser - sera plutôt une monnaie fiduciaire, manuelle et numérique, tandis que la monnaie internationale de réserve - celle que propose une certaine opinion - se comportera plutôt comme une monnaie scripturale, exactement comme le DTS actuellement, sans apporter un changement substantiel dans le système monétaire international. En simplifiant un peu les choses, nous pouvons affirmer que la « Monnaie Universelle » va régir harmonieusement la vie économique de la planète - ce grand village planétaire qu’est devenu le monde - en agissant sur des pays qui pratiquent des politiques économiques, budgétaires et fiscales diverses, comme une monnaie nationale le réalise à l’échelle d’un pays, sur des entreprises et des ménages qui sont gérés différemment.
Le « Numéraire Universel® » (=forme définitive, manuelle et numérique, que prend la « Monnaie-une », au terme de son évolution, au bout du processus inéluctable et irréversible de globalisation de l’économie mondiale et du système monétaire international, en remplacement, par les États-nations - à l’instigation des « Peuples de la Communautés des Nations » - des monnaies particulières, les monnaies nationales, régionales, sous régionales et continentales, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale ») est la « vrai monnaie », la « Monnaie Planétaire de l’Homo Sapiens » à l’« Ere solaire, l’ère du numérique », la « Monnaie de la "Civilisation de l’Universel" ». Il est le substrat matériel visible, palpable et neutre, sur lequel va se fonder l’unité de l’humanité et se matérialiser, progressivement, tout le processus de pacification du monde. Il va conférer une plus grande « sécurité » et une réelle « maitrise de la vie » à l’homme, dans sa quête perpétuelle de la « paix », en son sens le plus large, qui inclue l’« ordre » sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Dans son essence, le « Numéraire Universel® » se conçoit, sur le plan philosophique, comme étant le « format fiduciaire », manuel et numérique, du « Coefficient Normatif Universel », cette « Monnaie de l’Univers » qui a toujours présidé, préside et continuera à présider harmonieusement aux relations, aux rapports, aux échanges et aux négoces entre éléments et entre individus dans la nature et dans l’univers visible et invisible, des infiniment petits aux infiniment grands. Ce « Coefficient Normatif Universel » est un attribut du « Principe Régulateur Universel » duquel émanent toutes les lois par lesquelles l’« Intelligence Infinie » (Dieu, pour les croyants) régit harmonieusement l’univers, ce principe qui garantit l’« harmonie universelle » et fait, par exemple, que, les corps célestes se déplacent harmonieusement et sans encombre dans l’espace et que la terre tourne, régulièrement et sans faille sur son orbite, autour du soleil et sur elle-même.
Ce qui va harmonieusement matérialiser l’unité de l’humanité, ce ne sera pas un gouvernement mondial qui imposerait sa volonté à tous, comme l’a souvent proposé une certaine opinion, mais plutôt l’usage - le moment venu, une fois les conditions réunies - par les peuples de tous les pays, d’une même monnaie, la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », sous la « police » duquel seront placées, avec une « Banque Universelle », dans le cadre de l’ONU, toutes les nations du monde, à conditions, bien entendu, que nos gouvernants prennent de la hauteur et œuvrent dans le sens d’unir le monde, au lieu de continuer à le diviser ! Aussi paradoxal que cela puisse paraître, la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® » garantira plus de justice entre nos différentes nations, avec une réelle souveraineté et une vraie indépendance à chacun de nos pays, mieux que ne les assurent, aujourd’hui, nos monnaies particulières, nos monnaies nationales, régionales, sous régionales et continentales, sans exiger une quelconque convergence dans les choix politiques, sociaux et économiques, ni même en matière budgétaire et fiscale des différents États du monde.
A vrai dire, nos monnaies actuelles ne sont - tout simplement - que des « monnaies des humanoïdes », pour les plus pointues d’entre elles. L’adoption de l’usage - le moment venu, une fois les conditions réunies - par les peuples de tous les pays, d’une même monnaie, la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® » ne sera que l’aboutissement logique, inéluctable et irréversible du processus de globalisation de l’économie mondiale et du système monétaire international. Il ne s’agit donc pas là d’un choix, mais bien d’un devoir qui incombe à cette génération. Et, ce n’est pas trop tôt d’en parler ! C’est justement maintenant qu’il faut en parler ! Mais, malheureusement, l’humanité est encore, dans son « inconscient collectif », en retard dans sa conception du monde, de l’être humain et de la société. Le consensus international sur lequel va se fonder le « Nouvel Ordre Mondial de l’"Ere solaire" » sera incomplet et ne sera pas harmonieux, s’il n’intègre pas « l’ordre sur le plan monétaire ».
Quel autre « ordre sur le plan monétaire » proposeraient alors à l’humanité ceux d’entre nous qui rejetteraient l’initiative de la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® » (Une « Monnaie Planétaire », comme l’ont, du reste, rêvé les grands monétaristes, à l’instar de John Maynard KEYNES, économiste britannique, 1883 - 1946), un « ordre sur le plan monétaire » qui pourrait, par la justesse de ses principes, régir le monde avec justice, avec harmonie et dans la solidarité ? A côté de l’idée de KEYNES d’une « monnaie commune », le rêve des grands monétaristes d’une « monnaie unique », une « Monnaie Planétaire » qui soit un « vrai numéraire », a été rapporté, par exemple, dans la revue « Unesco »/Histoire de la monnaie »,1983 (?).
35. Le projet de paix qui nous est proposé par le Dr. BOKOLOMBA MPELA Prosper, Pschent de « Pax Universa - Maison de la Paix Universelle - Cabinet du Médecin-Criminologue pour la Recherche de la Paix », bien qu’imparfait, se veut global et novateur et sort des sentiers battus, pour que l’humanité sorte des « temps primitifs » :
1. Il œuvre pour l’instauration d’une nouvelle ère de « paix véritable », une « paix relative », dans les limites du possible et dans les limites de l’humain, qui ne soit plus seulement absence de guerres, qui ne soit plus une paix imposée par la guerre et par la terreur des armes, par la dissuasion armée, la dissuasion nucléaire et le contrôle des armements, ni celle qui repose sur l’équilibre des forces entre les armées nationales et entre les alliances politico-militaires opposées, qui se préparent activement à la guerre, avec une multitude d’interdits et de conventions internationales, pour réglementer et humaniser les guerres, que ne respecte personne, en faisant la morale aux gens. Il s’agit plutôt ici d’une paix globale qui ne se réduit pas aux seuls aspects politique, sécuritaire, militaire et policier, mais qui inclue également l’aspect de la « paix sociale et économique », « l’ordre sur le plan monétaire », la « sécurité sociale », la « sécurité environnementale » et la « sécurité sanitaire et alimentaire », y compris l’accès à l’eau et à l’énergie, sachant, pertinemment, que la « paix absolue » n’est pas réalisable, en ce monde où la perfection ne pourra être atteinte.
2. Il ne se contente pas de faire éloge de la paix, ni de multiplier les exhortations, les revendications, les dénonciations, les déclarations de bonnes intentions, les vœux pieux, ni même les prêches du religieux et les conseils du moraliste. Toutes ces stratégies et méthodes n’ont jamais eu et n’auront pas réellement d’effets dans la recherche de la paix, parce qu’elles passent à côté du « bon diagnostic » et ne touchent pas vraiment le nœud du problème.
3. Il ne perd surtout pas de temps, en incriminant seulement une catégorie d’individus, une nation, une partie de l’humanité, quelques pays ou quelques personnalités politiques du passé ou du présent, car il s’agit plutôt ici d’un problème global qui doit être résolu à la base, dans une perspective mondiale et une approche holistique, par une action concertée de l’ensemble des personnes physiques et morales que compte l’humanité, (1) autour du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, (2) avec un consensus international sur l'essentiel en matière d’« ordre et de désordre », tant sur le plan politique, social, économique, monétaire et culturel que dans la lutte contre le réchauffement climatique.
4. Il exclue l’idée du recours à la force et les menaces d’usage de la force, comme moyens de prévention et de règlement des différends.
5. Il ne s’appuie pas sur une multitude d’interdits, ni sur des sanctions et des résolutions contraignantes que ne respectera personne et qui, du reste, ne résolvent aucun problème et ne sont - malheureusement - orientées que vers un camp, celui des plus faibles, mais jamais contre celui des plus forts avec leurs alliés.
6. Il va au-delà des revendications tiers-mondistes, des prétentions altermondialistes et de ce rêve millénariste et utopique d’un monde parfait que l’homme attend depuis la nuit des temps, un monde tranquille, un monde sans problèmes et sans conflits, un monde « sans inégalités » ou - disons plutôt - « sans différences de conditions sociales » et dans lequel les humains ne travailleraient plus pour leur intérêt personnel, pour le lucre, mais seulement par philanthropie, par altruisme, pour l’intérêt général. Ce projet de paix est surtout différent de ce monde surnaturel que prédisent certaines sectes religieuses, un monde sans souffrances et sans la mort.
7. Pour rompre avec le passé, pour perfectionner la gouvernance mondiale, améliorer la manière d’administrer nos différents pays et garantir au monde, non pas une « paix béate et absolue », mais simplement une « paix relative », dans les limites du possible et dans les limites de l’humain, ce projet propose à l’humanité d’agir radicalement, dans une perspective mondiale et une approche holistique, par une action concertée de l’ensemble des personnes physiques et morales que compte l’humanité, dans sa quête perpétuelle de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, dans la recherche continue de la sécurité, de la paix, du bien-être social pour tous et dans la lutte contre le réchauffement climatique. Dans cette action, il faudra surtout savoir que la recherche de la paix, l’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique est une question qui relève avant tout du domaine de la « science », c’est-à-dire du « savoir » et du « savoir-faire » de l’homme, et pas tellement de la « politique politicienne », ni simplement de la religion et de la morale qui auraient pour objet - comme on le pense communément - de changer la nature humaine supposée perverse et son cœur jugé corrompu.
8. Sur le plan des méthodes à appliquer et de la stratégie globale, il faudra, grosso modo (1) partir du « bon diagnostic », comme hypothèse de travail, dans la recherche continue de la sécurité et de la paix - un diagnostic « positif », en dehors de toute considération mythologique, métaphysique et moraliste - (a) pour toucher le nœud du problème et (b) pouvoir aller au-delà de ce qui, en matière d’« ordre et de désordre », a toujours été dit, a toujours été fait et a toujours été admis, depuis l’âge de la pierre, dans l’opinion commune, jusque dans le « monde scientifique », mais n’a jamais apporté la sécurité et la paix à l’humanité, (c) pour que, en définitive, les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique changent et (d) que nous puissions alors revoir, de fond en comble, notre approche, nos stratégies et nos méthodes dans la recherche de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, ces stratégies et méthodes qui sont - malheureusement - actuellement fondées sur la moralisation des gens et des dirigeants, sur l’interdit et la répression, sur les sanctions, les embargos et sur l’« option militaire », le recours à la force et les menaces d’usage de la force, (2) revoir, autour de nos écoles et de nos universités, les idées et les principes qui gouvernent le monde, en écartant les idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre », qui influent négativement - souvent inconsciemment - sur nos prises de positions et nos choix en matière politique, sociale, économique, monétaire, culturelle et dans la lutte contre le réchauffement climatique, en vue de parfaire les fondements philosophiques du monde politique et socio-économique, en général, et ceux du pouvoir démocratique, en particulier, (3) aplanir préalablement, par le dialogue, les principaux points de dissensions politiques et socio-économiques qui nous opposent, (4) réunir les conditions qui doivent être satisfaites, pour créer un climat de détente, de confiance mutuelle, de concorde, de sécurité et de paix dans le monde, (5) nous efforcer de résoudre, chaque fois, les problèmes de la planète et ceux de nos différents pays à la base, dans une perspective globale, à partir de leurs racines, en recherchant leurs causes profondes, immédiates et lointaines, (6) nous accorder sur une doctrine sociale commune (Sans totalitarisme ni restriction sur le plan idéologique, pour pouvoir, grâce au principe de « relativité », dissiper le conflit d’idéologies qui perdure dans nos pays et dans le monde), (7) dégager et établir un consensus international sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre », en ce qui concerne, aussi bien les idées et les principes, que les règles et les structures d’organisation à promouvoir, qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie, pour que même les intérêts divergents puissent être conciliés harmonieusement, (8) en appliquant les meilleures méthodes pour faire régner l’« ordre » dans le monde, (a) tout en ayant pour stratégie et comme objectif, non pas de gagner les guerres, mais de gagner la paix, (b) avec - notamment - des techniques industrielles, agricoles et énergétiques efficientes, dans la lutte contre le réchauffement climatique, qui est un phénomène purement « technique », relève du domaine de la « science » et requiert des « solutions techniques » et non avec des injonctions, des objectifs chiffrés, des résolutions contraignantes et des décisions politiques autoritaires prises d’en haut, qui, du reste, sont difficilement applicables et n’ont qu’un effet cosmétique, ni - encore moins - avec la moralisation des gens et en condamnant l’État pour inaction climatique et (9) faire de l’ONU l’institution indispensable dans la recherche de l’« ordre » sur le plan politique, social, économique, monétaire et culturel, ainsi que dans la préservation de l’environnement écologique, en général, et dans la lutte contre le réchauffement climatique, en particulier, en y instituant - dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale » - ce système mondial commun, plus harmonieux et réellement pacifiste, de sécurité collective que sera l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », sous la « police », le moment venu, une fois les conditions réunies - dans le cadre de l’ONU - de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », pour que soit mis fin à l’actuelle guerre des monnaies, et pouvoir passer, sur le plan sécuritaire, du système mondial belliciste actuel à un autre, plus harmonieux et réellement pacifiste, un système qui soit en mesure de rassurer toutes les nations et qui puisse créer, avec les idées, les principes, les règles, les méthodes et les structures d’organisation qui le sous-tendront, un climat de détente et de confiance mutuelle entre les peuples, de manière à rendre désuète l’idée du recours à la force et à écarter le spectre de la guerre de notre horizon, pour que les armes de guerres tombent, d’elles-mêmes, en désuétude, sans qu’on ne s’y active particulièrement, que le « Pacte Mondial de Non-agression et de Renonciation à l’Option Militaire » ne soit violé, que le désarmement s’opère de manière quasi spontanée et que l’espace intersidéral et numérique ne soit militarisé, tout en organisant la cyber-sécurité collective et en encadrant le maniement de l’intelligence artificielle, (10) dans un monde où les États-nations devront être régis plutôt (a) par des institutions fortes, par des méthodes, des règles et des principes harmonieux, bien établis et acceptés par tous, et (b) non par l’humeur et le charisme des leaders « éclairés », en écartant, avec le temps, toute forme de personnalisation du pouvoir, comme dans le système gouvernemental suisse, dans lequel un des sept conseillers fédéraux (=équivalents des ministres) assume la présidence du « Conseil Fédéral » (=La présidence de la confédération, présidence du pays) pendant une année civile, sans que le pouvoir ne soit, à aucun moment, personnalisé. Ce qui mettra l’humanité à l’abri des dérives des pouvoirs personnalisés (« Nous sommes régis par des lois et non par les hommes » - John ADAMS, 2ième président des États-Unis, 1735 - 1826), avec, (11) dans la gouvernance mondiale, (a) un cadre institutionnel global efficient, sous-tendu par des règles précises du droit international complétées et clarifiées, en vertu des principes harmonieux et consensuels du mode de gestion de l’ordre mondial, (b) dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale » et (c) non le leadership hégémonique d’une nation puissante ou d’une institution interétatique particulière et, (12) dans chaque pays, un mode particulier et consensuel de représentation, d’accession, de partage et d’exercice harmonieux du pouvoir (Celui des « démocraties consensuelles » qui se fondent sur le principe de « relativité »), un système qui convient le mieux à sa population, lui donne entière satisfaction, expose moins aux conflits et aux abus et garantit automatiquement, par ses mécanismes intrinsèques, le renouvellement, sans heurts, de la classe politique dirigeante, avec, surtout, (13) la bonne gestion et la bonne gouvernance dans chaque pays, d’une part, et la compréhension, la prise de conscience et la responsabilisation de chaque citoyenne et de chaque citoyen, d’autre part, comme conditions essentielles pour que puisse régner la paix sociale, la paix des cœur et des esprits dans un pays, ainsi que (14) (a) la coexistence pacifique, (b) la non-ingérence et (c) le droit à l’autodétermination de chaque État-nation, l’autodétermination de chaque peuple, comme principe intangible, pour que, plus jamais, une nation, un peuple n’exerce une quelconque domination politique sur un autre, avec, en outre, (15) ces principes sacro-saints que sont (a) l’« indépendance de la justice » et (b) l’« État de droit » dans chaque pays, d’une part, et (c) la « neutralité de la science » à l’échelle de toute la planète et (d) un certain « fair play » à l’international, sur le plan politique, diplomatique, technologique et commercial, d’autre part, (16) en magnifiant la notion d’« unicité » du genre humain et en cultivant le sentiment d’appartenance à une communauté de destin pour toute l’humanité.
C. A TITRE DE RAPPEL :
1. Pour une action concertée de l’ensemble des personnes physiques et morales que compte l’humanité, la première action à poser, par cette génération, dans ce projet de paix, devra être la rédaction et l’adoption de ce document commun de référence et d’orientation, non contraignant, en matière d’« ordre et de désordre » que sera la « Charte mondiale pour la Sécurité et la Paix ».
Dans ce document, les « Peuples de la Communauté des Nations » vont établir les bases d’un consensus international sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre », avec (1) un socle conceptuel consensuel de base sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique et (2) un cadre institutionnel global, conséquent et harmonieux, accepté par tous, (a) sous forme d’un système mondial commun de sécurité collective, l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », (b) sous la « police » - le moment venu, une fois les conditions réunies - de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », (c) en remplacement du système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète (d’alliances politico-militaires particulières), hérité de l’époque de la « guerre froide », (3) autour du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, (4) pour permettre à l’humanité de poser véritablement les bases d’un monde plus juste et réellement pacifiste, un monde écologique libre, uni, pluriel, multiculturel et tolérant (en vertu du principe de « relativité »), une société planétaire solidaire, prospère, pacifique et harmonieuse, tant sur le plan politique, social, économique, monétaire et culturel, que dans la lutte contre le réchauffement climatique, en ce qui concerne, aussi bien les idées et les principes, que les règles, les méthodes et les structures d’organisation à promouvoir, qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie, pour que même les intérêts divergents puissent être conciliés harmonieusement.
Vous auriez sans doute souhaité que la « Charte Mondiale » soit un document contraignant. Mais, ce n’est pas en contraignant les gens qu’ils vont nécessairement agir. La contrainte peut même induire de la répulsion et produire des effets contraires aux résultats escomptés ! La « Charte Mondiale » devra être plutôt, par son contenu, suffisamment attractive et fortement suggestive.
L’adoption de cette charte va arrêter le principe d’institution, dans le cadre de l’ONU, de ce système mondial commun, plus harmonieux et réellement pacifiste, de sécurité collective que sera l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », en même temps que celui de l’usage - le moment venu, une fois les conditions réunies - par les peuples de tous les pays, de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® ».
2. Les pistes de solutions avancées ici doivent être comprises dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale ».
Les grands axes de ce « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale » sont présentés dans le texte de cette « pétition » et les documents y relatifs. La « Communauté des Nations », en général, et les protagonistes au conflit ukrainien, en particulier, ne devront donc pas attendre la rédaction et l’adoption de ce document commun de référence et d’orientation, non contraignant, en matière d’« ordre et de désordre » que sera la « Charte Mondiale pour la Sécurité et la Paix », pour s’engager dans la recherche de solutions politiques aux différents conflits qui sévissent à travers la planète, en général, et à la guerre russo-ukrainienne et au conflit israélo-palestinien, en particulier.
3. Les prises de positions, dans cette initiative, ne sont pas celles d’un politicien, d’un moraliste ou d’un religieux, qui prendrait parti pour un camp ou pour un autre, comme on aura tendance à le dire, mais plutôt la réaction - en toute neutralité - d’un médecin, investi - en vertu du « Pouvoir Médical » - de l’« Autorité Médicale », qui consiste à veiller sur la « santé intégrale » de l’Etre humain dans une acception globale, tant dans son aspect physique, mental que social, dans l’optique de la « vie », de la « qualité de la vie » et de la « survie » de l’« Espèce humaine », autorité que confère à tout médecin le serment d’Hippocrate, au sens originel et noble de l’exercice de la profession médicale, pour le « bien-être intégral » de tous les membres de l’Espèce humaine, sur un même pied d’égalité, aussi bien pour ceux qui se considèrent comme « bons » par nature, que pour ceux qui sont, à tort ou à raison, pris pour des « mauvais ».
4. Il convient que la « Communauté des Nations », en général, et le « monde occidental », en particulier, comprennent que s’il y a un conflit en Ukraine, c’est qu’il se pose un ou plusieurs problèmes, qu’il faut résoudre. Ces problèmes ne pourraient être jugulés simplement par des sanctions, par des injonctions et des condamnations, en isolant diplomatiquement la Russie ! Comme l’a écrit le Promoteur dès le déclenchement de la guerre civile entre les pro-russes et les pro-européens, il est important de tenir compte, dans le règlement du conflit ukrainien, du fait que, si Kiev négocie l’intégration de l’Ukraine à l’Union Européenne et à l’OTAN, les territoires du Sud-Est sont historiquement, géographiquement, sociologiquement, culturellement, linguistiquement, industriellement, économiquement et commercialement tournés vers la Russie.
La « Communauté des Nations » devra - à l’occasion de la recherche d’une solution harmonieuse au conflit ukrainien - s’interroger sur l’opportunité de perpétuer le système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète, hérité de l’époque de la « guerre froide » d’alliances politico-militaires particulières, qui doivent s’auto-dissoudre, d’elles-mêmes (en commençant par l’OTAN). C’est ce détestable système d’alliances politico-militaires particulières, hérité de l’époque de la « guerre froide, qui est à la base du bras de fer entre la Russie et l’OTAN et a dégénéré en conflit armé en Ukraine. Ce système politico-sécuritaire belliciste qui se fonde sur la « conception binaire de la société » - une idée reçue et erronée, héritée de l’âge de la pierre, qui suppose que l’humanité serait composée de « bons » d’un côté, et de « mauvais », de l’autre - pousse chaque pays, chaque alliance politico-militaire à s’assimiler au « bien » et à supposer que tous les problèmes de sécurité et de paix ne relèvent que de la faute des autres, la faute des « mauvais » qui sont dans les autres pays et dans le camp politico-militaire opposé… Nous nous armons alors lourdement et nous nous préparons activement à la guerre, chaque nation, chaque alliance politico-militaire pour son compte, pour - paradoxalement - promouvoir la paix dans le monde, avec la course aux armements qui en résulte, exactement comme à l’époque de la « guerre froide ». La recherche de la paix se réduit alors au fait de conclure une multitude de conventions internationales, que ne respecte personne, (1) pour réglementer et humaniser les guerres, (2) pour réglementer le commerce et le transfert international des armes de guerres et de munitions, (3) en exigeant le désarmement nucléaire de deux pays seulement (les « mauvais »), l’Iran et la Corée du Nord, pendant que les autres (les « bons ») continuent à les détenir et, même, à les perfectionner.
5. Les condamnations et les injonctions des instances de l’ONU, les exhortations des hautes personnalités mondiales et, surtout, les sanctions des occidentaux se révèleront insuffisantes et même contreproductives. Elles ne contribuent qu’à envenimer la situation !
L’humanité, en général, et l’intelligentsia mondiale, en particulier, doivent plutôt - dans la recherche de solutions harmonieuses à la guerre russo-ukrainienne, au conflit israélo-palestinien et aux autres foyers de tensions à travers le monde - partir du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix et œuvrer pour l’institution de ce système mondial commun, plus harmonieux et réellement pacifiste, de sécurité collective que sera, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », (a) un système qui ne devra être, ni un gouvernement mondial, ni une structure centralisée et pyramidale, (b) sous la police - le moment venu, une fois les conditions réunies - de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », (c) en remplacement du système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète (d’alliances politico-militaires particulières), hérité de l’époque de la « guerre froide », qui est à la base du bras de fer entre la Russie et l’OTAN et a dégénéré en conflit armé en Ukraine, sachant que - comme le dit la « science » - nous sommes un seul monde, qu’il n’y a qu’une seule humanité, qu’il n’y a qu’une seule « Espèce humaine » et que l’humanité est une et indivisible !
Ce système mondial commun et harmonieux de sécurité collective va rassurer toutes les nations et va créer un climat de détente et de confiance mutuelle entre les peuples, de manière à prévenir les guerres, à régler pacifiquement les conflits entre les peuples et à l’intérieur de nos différents pays, pour que le spectre de la guerre soit écarté de notre horizon et que même les intérêts divergents puissent être conciliés harmonieusement. Ce système politico-sécuritaire va - avec les principes qui le sous-tendront - rendre désuète l’idée du recours à la force pour la prévention et le règlement des différends, pour que les armes de guerre tombent, d’elles-mêmes, en désuétude, sans qu’on ne s’y active particulièrement, que le « Pacte Mondial de Non-agression et de Renonciation à l’Option Militaire » ne soit violé, que le désarmement s’opère de manière quasi spontanée et que l’espace intersidéral et numérique ne soit militarisé, tout en organisant la cyber-sécurité collective et en encadrant le maniement de l’intelligence artificielle.
6. Pour qu’une solution politique puisse être envisagée dans le conflit ukrainien et, plus largement, dans la guerre russo-ukrainienne qui s’en est suivie, le Promoteur s’adresse d’abord au « bloc occidental », qui doit cesser d’alimenter cette guerre, mais doit plutôt chercher à l’arrêter, par le dialogue et la négociation, en tenant compte de ce qui suit :
Une guerre d’agression a déjà été lancée par la Russie contre l’Ukraine. Le vin est tiré... Tout dépend aujourd’hui de la réponse des occidentaux, soit l’éterniser, soit l’arrêter, avec une réponse qui soit en mesure d’apporter une solution harmonieuse au conflit ukrainien et de créer un climat de détente et de confiance mutuelle, non seulement dans le continent européen, mais à l’échelle de toute la planète, sans diviser le monde. Les sanctions, la force, la violence et la contrainte ne peuvent pas rétablir l’harmonie là où elle ne règne plus ! La militarisation à outrance de la planète, la logique irrationnelle de la force ne pourra que conduire la collectivité humaine à un suicide collectif, dans une apocalypse nucléaire.
7. Aucun gouvernement, aucun pays, aucune sommité du « monde scientifique », aucun de nos décideurs politiques, religieux ou économico-financiers ne doit se sentir lésé par la dénonciation d’une prise de position, d’une pratique ou d’une stratégie en matière politique, sociale, économique, monétaire, culturelle ou dans la lutte contre le réchauffement climatique qu’il prône, étant donné que nos choix politiques et stratégiques nous ont essentiellement été légués par nos prédécesseurs. Il est grand temps que nous les soumettions à une analyse critique, pour ne plus tout admettre comme allant de soi ! C’est seulement à ce prix que nous pourrons aller au-delà de ce qui, en matière d’« ordre et de désordre », a toujours été dit, a toujours été fait et a toujours été admis, depuis l’âge de la pierre, dans l’opinion populaire et dans le « monde scientifique », mais n’a jamais apporté la sécurité et la paix à l’humanité.
D. EN CONCLUSION :
Nous pouvons, en guise de conclusion, demander aux citoyennes et citoyens du monde, en général, et aux décideurs du « monde occidental », en particulier, de se poser les questions suivantes et se rappeler ce qui suit :
1. Nous devons, au sujet de la guerre russo-ukrainienne, nous poser - à titre de rappel - ces questions et interpeler les dirigeants du monde, en général, et les décideurs des pays de l’OTAN, en particulier, sur ces points :
- Pensez-vous que cette guerre d’agression de l’Ukraine par la Russie et, même, l’annexion de ses territoires puissent vraiment résoudre le conflit ukrainien ?
- Pensez-vous que cette guerre puisse s’arrêter, d’elle-même, comme par enchantement, sans dialogue et sans négociations, avec l’effondrement de l’économie russe, avec le boycott du gaz, du pétrole et de l’économie de la Russie, sous le poids des sanctions occidentales, ces sanctions qui impactent, malheureusement, l’ensemble de l’économie mondiale ?
- Pensez-vous que la réponse appropriée à l’agression de l’Ukraine par la Russie - une nième guerre d’agression et non la première qu’ait connue le monde, ces derniers temps, de la part d’un pays membre permanent du « Conseil de Sécurité » contre un État souverain - soit ce qui suit, comme le font, aujourd’hui, les décideurs des pays de l’OTAN, avec ces réponses qui ne touchent pas le nœud du problème et ne peuvent pas mettre fin à cette guerre :
a) La prise de lourdes sanctions, arbitraires et injustes, contre le peuple russe, sans aucune base légale.
b) La confiscation, de manière arbitraire, sans aucun procès, sans le moindre jugement, des biens et des avoirs bancaires des millionnaires russes, les oligarques (ce terme a pris une connotation péjorative), pour les affecter à la reconstruction de l’Ukraine (Oui, mais de quel droit et au nom de quel principe, peuvent-ils décider ainsi - arbitrairement et par la force - avec de l’argent qui ne leur appartient pas ?).
c) La séquestration des réserves extérieures de la banque centrale russe dans l’Union Européenne, de manière arbitraire, sans aucune base légale (exactement comme ils l’ont fait pour l’Afghanistan des Talibans). Comble d’ironie, les dirigeants des pays du G7 ont décidé d’affecter les actifs de cet argent - confisqué à la Russie - à la défense militaire de Kiev contre l’agression russe et à la reconstruction de l’Ukraine, sans honte, sans aucun scrupule, sans une quelconque référence aux principes de « droit », de « justice », de « sagesse » et de « bon sens », mais simplement par la « loi du plus fort ». De quel droit, au nom de quel principe et sur quelle base légale les dirigeants des pays du G7 se sont-ils permis de décider d’utiliser les intérêts de l’argent de la banque centrale russe qu’ils ont séquestré ? La loi du plus fort ! Une expropriation éhontée, une extorsion qui ne dit pas son nom et s’apparente au « vol » ! Une incongruité, sur le plan du « droit », que ne doivent pas cautionner les citoyennes et les citoyens du « monde occidental », épris de « justice » et de « paix » ! Si les puissances occidentales reconnaissent bien qu’ils n’ont, juridiquement, pas le droit de toucher à l’argent de la Confédération de Russie gardé dans leurs banques, comment peuvent-elles alors se permettre de s’accaparer des intérêts générés par cet argent ? Une décision qui n’est fondée sur aucun principe du « droit », de « justice », de « sagesse, ni de « bon sens ». Le monde les observe. L’histoire jugera ! L’humanité attend beaucoup du « monde occidental » qui, en l’absence d’un système mondial organisé de police de la planète, joue, par la force des choses, au gendarme du monde. Mais, les décideurs du « bloc occidental » n’ont cessé de décevoir le monde, avec leur conception occidentalocentrée d’un ordre mondial à géométrie variable et une justice internationale à deux vitesses - Deux poids deux mesures ! Nous ne pourrons jamais construire la paix et bâtir un « ordre mondial harmonieux » sur des bases inégalitaires et injustes ! Il n’est écrit nulle part que les réserves bancaires d’un pays qui agresserait un autre devaient être confisquées ! Il en est de même des sanctions « injustes », prises arbitrairement par « les plus forts » contre « les plus faibles », simplement par « la loi du plus fort ». (C’est vraiment étonnant que ceux-là mêmes qui doivent donner l’exemple adoptent un tel comportement, en ce 21ième siècle où l’humanité aspire à l’édification d’un monde « civilisé », avec plus de « justice » - dans le « respect des règles internationalement établies » - un monde des « droits » et des « libertés », dans lequel l’homme et la femme seraient totalement libérés de l’arbitraire ?).
La Russie n’est pas le premier pays, membre permanent du « Conseil de Sécurité », à avoir violé le droit international, en envahissant un État souverain ces dernier temps. On pourra citer les invasions d’Irak et de Lybie. Ces agressions barbares, fondées sur des mensonges, ont malheureusement été présentées comme des guerres justes. Aucune sanction, aucune condamnation, aucune exclusion n’a été prononcée contre les agresseurs. Il en est de même des bombardements massifs, par l’OTAN, des cibles serbes durant la guerre du Kosovo, du 23 mars au 10 juin 1999 ! La Russie n’est pas - dans les conditions de désordre actuel du monde politique et socio-économique - le seul pays qui s’arme, se prépare à la guerre et pourrait déclencher un nouveau conflit armé à l’avenir. Nous ne pourrons jamais résoudre les problèmes de la planète et pacifier le monde à coups de sanctions à tout bout de champ, par le recours à la force et les menaces d’usage de la force, l’interdit, la répression et les restrictions intempestives des libertés, ni même avec les prêches du religieux et les conseils du moraliste, tant que les vrais problèmes n’auront été résolus à la base. La guerre n’est pas une raison, pour les plus forts, de sombrer dans l’arbitraire et de ne pas respecter les règles internationalement établies, qu’ils prônent, d’ailleurs, eux-mêmes, pour la bonne marche du monde ! (Fait surprenant, les pays de l’Union Européenne se sont concertés, entre eux, et ont étonnamment obtenu le soutien du G7 qui s’est politisé, avec celui de administration américaine et de l’Australie, pour plafonner - d’autorité, arbitrairement - simplement par « la loi du plus fort », le prix du pétrole russe, et seulement du pétrole russe, sans y associer la Russie - Deux poids deux mesures - dans un monde des « libertés économiques », un monde de « liberté de commercer » et de « libre marché », dans le marché mondial unique du pétrole, dans lequel le prix est le même, pour un même type de baril, quel qu’en soit l’origine ! Quelle arrogance ! Dans quel monde sommes-nous ? De quel droit et au nom de quel principe, une institution interétatique peut ainsi s’arroger le droit de fixer - de manière autoritaire - le prix d’un article que produit et que commercialise un autre pays - un pays souverain - même si elle lui fait la guerre par procuration ? Tout excès nuit ! C’est là une preuve de plus du désordre actuel du monde politique et socio-économique. Il faudra abandonner la « conception binaire de la société » avec laquelle les plus forts, qui pensent être « bons » par nature, se permettent tout contre ceux qui sont pris pour des « mauvais », les plus faibles, sans aucun scrupule, sans une quelconque référence aux principes de « droit », de « justice », de « sagesse » et de « bon sens ». Aux « Peuples de la Communauté des Nations » d’agir donc pour libérer l’humanité de l’arbitraire, non pas en s’opposant à un pouvoir quelconque, mais en œuvrant pour que soient réunies les conditions qui doivent être satisfaites, tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation à promouvoir - à consigner dans la « Charte Mondiale »).
d) L’isolement diplomatique de la Russie et l’exclusion du peuple russe des rouages que l’être humain a mis en place, pour améliorer la qualité de la vie de tous les membres de l’Espèce humaine, comme le système SWIFT (Le système bancaire mondial et - au-delà - le système financier international ne doivent pas être politisés et ne doivent pas être considérés comme étant la propriété privée d’un pays, d’un groupe idéologique ou d’un camp politico-militaire. De quel droit et au nom de quel principe un pays, un bloc politico-militaire doit se permettre d’exclure un autre des rouages que l’être humain a mis en place, pour améliorer la vie et la qualité de la vie de tous les membres de l’Espèce humaine ?).
e) L’exclusion des artistes et des sportifs russes des grandes rencontres mondiales par les structures culturelles et sportives internationales, traditionnellement « apolitiques » et « neutres », qui ont pour vocation de promouvoir la paix, en unissant les nations et les peuples, au-delà de leurs convictions politiques, philosophiques et religieuses, mais qui se politisent aujourd’hui et prennent parti ! Que leur reproche-t-on, les « pauvres » ? Simplement le fait d’être russes ? (Le « CIO » - le Comité International Olympique - par exemple, qui s’est hautement politisé et a pris parti dans la guerre russo-ukrainienne, a exclu la Russie et a écarté, des « Jeux Olympiques » de Paris, les athlètes russes et biélorusses qui soutiennent ou auraient soutenu l’agression de l’Ukraine par la Russie, alors qu’une instance sportive doit rester « apolitique » et « neutre ». Les structures culturelles et sportives internationales ont pour vocation de promouvoir la paix, en unissant les nations et les peuples, au-delà de leurs convictions politiques, philosophiques et religieuses ! Elles ne doivent exclure, ni un pays, ni un sportif pour ses convictions politiques, philosophiques ou religieuses. Mais, les athlètes de ces deux pays n’y ont participé qu’à titre individuel et n’ont pas été admis à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris. Ils n’ont pas participé au défilé sur la Seine et leurs médailles n’ont pas été comptabilisées ! Quelle discrimination !).
f) La militarisation à outrance de la planète et la division du monde, avec le maintien et l’élargissement de l’OTAN. La « dissuasion armée » ne peut vraiment pas promouvoir la paix dans le monde ! Si l’OTAN s’élargit, s’arme lourdement et se prépare activement à la guerre, en proférant des propos belliqueux en direction des pays, nommément cités, qui représenteraient une menace pour la sécurité de ses membres et de ses alliés, les pays ainsi visés se sentiront, à leur tour, menacés et vont former leur propre bloc politico-militaire, malgré l’opposition des occidentaux qui veulent être les seuls à pouvoir s’associer librement « militairement ». (Les pères fondateurs de l’ONU et les « haut-esprits » qui ont œuvré pour un monde plus juste et réellement pacifiste, un monde uni et solidaire, doivent se retourner dans leurs tombes, en voyant que, aujourd’hui, ceux-là même qui sont sensés conduire le monde vers plus d’unité et plus de solidarité, sapent les efforts de leurs prédécesseurs et agissent plus pour diviser le monde que pour l’unir ! Ils s’appuient sur l’idée d’une « conception binaire de la société », avec les « bons » (eux-mêmes), d’un côté, et de l’autre, les « mauvais », ceux qui ne sont pas dans leur giron et ne pensent pas comme eux).
g) C’est vraiment ridicule, pour les occidentaux, que de demander à la Chine (1) de cesser de soutenir l’effort de guerre russe, dans son agression contre l’Ukraine et (2) de ramener le Président POUTINE à la « raison », pour qu’il fasse marche en arrière et arrête sa guerre d’agression contre l’Ukraine, pendant qu’eux-mêmes continuent à alimenter cette guerre, avec leur soutien militaire massif à Kiev (Deux poids deux mesures !). Il faudra plutôt, pour les pays de l’OTAN, (1) partir du « bon diagnostic », comme hypothèse de travail, dans la recherche continue de la sécurité et de la paix, (2) pour identifier et juguler (a) les causes profondes, immédiates et lointaines de ce conflit, (b) en même temps que les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique, en vue d’y apporter une solution consensuelle et harmonieuse, dans une perspective mondiale (au-delà du simple cadre européen et de la conception occidentalocentrée d’un ordre mondial à géométrie variable, avec une justice internationale à deux vitesses - Deux poids deux mesures !) et dans une approche holistique - tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation - une solution qui puisse créer un climat de détente et de confiance mutuelle, non seulement dans le continent européen, mais à l’échelle de toute la planète, dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale », sans diaboliser et sans isoler la Russie, pour ne pas diviser le monde et que soit mis fin au système mondial belliciste actuel de la planète (d’alliances politico-militaires particulières), hérité de l’époque de la « guerre froide », qui divise le monde.
h) Nous ne pourrons jamais construire la paix et bâtir un « ordre mondial harmonieux » sur des bases inégalitaires et injustes ! Dans quel monde sommes-nous ? Partant consciemment ou inconsciemment d’une « conception binaire de la société », les occidentaux pensent que seuls, eux, les « bons », peuvent s’armer « lourdement », élargir librement leur alliance politico-militaire et soutenir militairement leurs alliés, mais les autres, les « mauvais », ne peuvent pas faire autant ! Ils apportent - pour le cas d’espèce - un soutien militaire massif à Kiev, avec de lourdes sanctions contre le peuple russe, mais mettent en garde la Chine contre tout soutien militaire à Moscou, accusent l’Iran et la Corée du Nord de fournir des drones kamikaze, des missiles et des munitions à la Russie, dans son agression contre l’Ukraine et s’étonnent, aujourd’hui que les russes aient fait alliance avec la Corée du Nord, ce qu’eux-mêmes avaient fait depuis 1949, en créant l’OTAN. Nous pouvons bien nous demander pourquoi le rapprochement de ces pays avec Moscou doit vraiment les inquiéter, alors qu’eux-mêmes (les occidentaux) élargissent librement leur alliance politico-militaire et que les guerres illégales contre Irak et la Lybie, par exemple, avaient été menées, non pas par un seul pays, mais, chaque fois, par des coalitions de plusieurs armées, essentiellement occidentales. Deux poids deux mesures ! Comme nous le disons dans ce projet de paix, nous ne pouvons pas compter sur les conventions internationales pour règlementer harmonieusement les guerres et les humaniser avec certitude. Ceci doit amener les décideurs des deux camps à comprendre qu’il faut tout simplement faire stopper cette guerre inutile, que ne va d’ailleurs gagner aucun des deux camps, car les conflits armés ne sont régis, ni par une quelconque logique, ni par des règles précises ! C’est seulement et seulement quand les dirigeants du « monde occidental » auront abandonné leur conception occidentalocentrée d’un ordre mondial à géométrie variable, avec une justice internationale à deux vitesses, qu’un nouvel horizon politique va s’ouvrir pour l’humanité, qui pourra alors bâtir, par la suite, un ordre mondial « juste » et harmonieux !
i) Le reste de l’humanité et les instances de l’ONU doivent-ils, dans la guerre russo-ukrainienne, prendre vraiment parti pour un camp, comme le leur demandent des occidentaux qui suspectent et fustigent ceux qui ne prennent pas clairement parti pour leur camp et ne soutiennent pas publiquement leurs actions punitives contre le peuple russe, en menaçant de représailles les entreprises qui auraient une « proximité » avec la Russie et ne s’aligneraient pas sur les sanctions occidentales ? Ne doivent-ils pas plutôt agir comme des facilitateurs et des médiateurs impartiaux, en recherchant les causes profondes, immédiates et lointaines de la guerre russo-ukrainienne, en vue d’y apporter une solution juste, harmonieuse et impartiale, qui soit en mesure de résoudre le conflit ukrainien et de créer la détente, non seulement dans le continent européen, mais à l’échelle de toute la planète, sans diaboliser et sans isoler la Russie, pour ne pas diviser le monde ?
j) Faut-il vraiment nous émouvoir, outre mesure, devant cette agression de l’Ukraine par la Russie, une nième guerre d’agression et non la première qu’ait connue le monde, ces derniers temps, de la part d’un pays membre permanent du « Conseil de Sécurité » contre un État souverain et aller jusqu’à diaboliser et à isoler la Russie ? Ne faut-il pas plutôt chercher à identifier et à juguler les causes profondes, immédiates et lointaines du conflit ukrainien, pour mettre fin à cette guerre absurde et y apporter une solution politique qui soit en mesure de mettre fin à ce conflit, (1) en partant du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix et (2) en œuvrant pour l’institution de ce système mondial commun de sécurité collective, plus harmonieux et réellement pacifiste, que sera, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », sous la police - le moment venu, une fois les conditions réunies - de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », en remplacement du système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète (d’alliances politico-militaires particulières), hérité de l’époque de la « guerre froide », un système politico-sécuritaire qui puisse (a) rassurer toutes les nations et (b) créer, avec les idées, les principes, les règles, les méthodes et les structures d’organisation qui le sous-tendront, un climat de détente et de confiance mutuelle entre les peuples, (c) de manière à rendre désuète l’idée du recours à la force et à écarter le spectre de la guerre de notre horizon, (d) pour que les armes de guerres tombent, d’elles-mêmes, en désuétude, sans qu’on ne s’y active particulièrement, (e) que le « Pacte Mondial de Non-agression et de Renonciation à l’Option Militaire » ne soit violé, (f) que le désarmement s’opère de manière quasi spontanée et (g) que l’espace intersidéral et numérique ne soit militarisé, (h) tout en organisant la cyber-sécurité collective et en encadrant le maniement de l’intelligence artificielle ?
k) Si nous acceptons l’idée qu’il n’y a pas de solution militaire à la guerre d’Ukraine :
(a) Pourquoi prolonger, même simplement d’un jour, avec des soutiens militaires, cette guerre tragique et inutile, que ne pourra réellement gagner, ni l’un, ni l’autre des deux camps ?
(b) Pourquoi ne pas recourir à une solution politique dès le départ, lorsqu’un conflit armé éclate, au moment où les prises de positions des uns et des autres sont encore conciliables, pour ne l’envisager que tardivement, après tant de rancœurs, avec des dégâts matériels, humains, environnementaux et économiques tout à fait inutiles, au moment où le pourrissement de la situation politico-sécuritaire compromet les chances de succès d’une solution politique ?
(c) Faut-il vraiment compter sur les conventions internationales, conclues pour règlementer et humaniser les guerres - mais que ne respecte personne - pour ne pas immédiatement arrêter cette guerre inutile, avec l’idée de prendre le temps de documenter le plus grand nombre possible de crimes de guerre, dans l’espoir de punir, plus tard, leurs auteurs et leurs commanditaires ? Même si on réussissait à les juger et à les incarcérer tous - ce qui est peu probable - les vies perdues sont irrécupérables et les dégâts matériels, humains et environnementaux sont, dans la plupart des cas, irréparables ?
(d) Le conflit ukrainien pourrait-il être harmonieusement résolu par la victoire militaire d’un camp sur un autre ? Pourrait-il être réglé simplement par des sanctions et des injonctions, avec l'isolement diplomatique de la Russie et l'effondrement de son économie ?
l) Ne doit-on pas, à juste titre, parler de « guerre par procuration » que mènent les occidentaux contre la Russie, avec ce soutien militaire massif, largement médiatisé, qu’ils apportent publiquement à Kiev, pour sa défense face à l’agression russe ? Dans ce soutien - qui n’est pas que militaire - à Kiev contre l’offensive russe, l’Occident livre une « guerre totale » à la Russie, avec (1) de lourdes sanctions contre le peuple russe, (2) des embargos et des boycotts de l’économie russe, (3) des confiscations arbitraires - sans aucun procès, sans le moindre jugement - des biens et des avoirs bancaires des oligarques russes, (4) la séquestration - sans aucune base légale - des réserves extérieures de la banque centrale russe, (5) l’exclusion des artistes et des athlètes russes des grandes rencontres internationales, (6) l’exclusion du peuple russe du système SWIFT et des autres mécanismes de transactions bancaires, (7) une campagne diplomatique soutenue pour isoler la Russie, (8) des mesures de rétorsion contre ceux qui ne prennent pas clairement parti pour le camp de l’Occident et ne soutiennent pas publiquement les sanctions occidentales, (9) des menaces de représailles contre ceux qui oseraient apporter un soutien militaire à la Russie et contre les entreprises qui auraient une proximité avec la Russie…
m) Avec tout ce qui est dit dans cet opuscule, les protagonistes des deux camps au conflit ukrainien peuvent-ils encore avancer de raisons plausibles (1) pour poursuivre cette guerre d’agression (Pour les russes) ou (2) continuer à soutenir et à mener, par procuration, cette guerre absurde (Pour les occidentaux) que ne va réellement gagner aucun des deux camps ? Le conflit ukrainien pourrait-il être harmonieusement résolu par la victoire militaire d’un camp sur un autre ? Pourrait-il être réglé simplement par des sanctions et des injonctions, avec l'isolement diplomatique de la Russie et l'effondrement de son économie ?
2. Les guerres d’aujourd’hui ayant changé de causes et de nature, il est douteux qu’elles soient gagnées par l’outil militaire !
Les décideurs du « camp de l’Occident » ne doivent pas avoir la mémoire courte !
Toutes les guerres engagées, ces derniers temps, dans certains pays ou contre certains États, avec ou sans mandat de l’ONU, se sont presque toutes soldées par de cuisants échecs, particulièrement dans leurs conséquences, comme dans les désastreuses aventures militaires du Vietnam, de Somalie, d’Irak et de Lybie, avec, dernièrement, un fiasco retentissant en Afghanistan, 20 ans après ! Mais, malheureusement, nos leaders politiques, nos stratèges qui tiennent à gagner les guerres ne l’ont toujours pas encore compris.
La guerre russo-ukrainienne ne fera pas exception !
Ce n’est pas parce que les occidentaux arment si lourdement les ukrainiens que Kiev va nécessairement gagner cette guerre qui - à vrai dire - ne connaîtra la victoire d’aucun des deux camps !
Les occidentaux doivent le comprendre, car leur soutien militaire aux ukrainiens n’a malheureusement pour effet que d’éterniser cette guerre - qui ne sera gagnée par aucun des deux camps - et de nous éloigner de la vraie solution qui ne peut être que politique et impartiale, là où la diplomatie de la canonnière ne fait qu’exacerber les horreurs et les affres de la guerre ! Le recours aux missiles occidentaux à longue portée ne va qu’envenimer la situation et accentuer la brutalité et les atrocités de cette guerre inutile, qui doit plutôt être simplement stoppée !
Une guerre d’agression a déjà été lancée par la Russie contre l’Ukraine. Le vin est tiré... Tout dépend aujourd’hui de la réponse des occidentaux, soit l’éterniser, soit l’arrêter, avec une réponse qui soit en mesure d’apporter une solution harmonieuse au conflit ukrainien et de créer un climat de détente et de confiance mutuelle, non seulement dans le continent européen, mais à l’échelle de toute la planète, sans diviser le monde. Les sanctions, la force, la violence et la contrainte ne peuvent pas rétablir l’harmonie là où elle ne règne plus ! La militarisation à outrance de la planète, la logique irrationnelle de la force ne pourra que conduire la collectivité humaine à un suicide collectif, dans une apocalypse nucléaire.
3. Pour vraiment aider le peuple ukrainien, les pays de l’OTAN doivent plutôt chercher à arrêter rapidement cette guerre - que ne va réellement gagner aucun des deux camps - par le dialogue et la négociation, en y apportant une solution politique qui soit en mesure de mettre fin au conflit ukrainien et de créer la détente, non seulement dans le continent européen, mais à l’échelle de toute la planète, sans diaboliser et sans isoler la Russie, pour ne pas diviser le monde, au lieu d’éterniser cette guerre inutile avec leur soutien militaire à Kiev.
Les décideurs du « bloc occidental » seront tenus, eux aussi, pour responsables - devant le monde et devant l’histoire - des vies perdues et des dégâts matériels, humains et environnementaux, ainsi que des conséquences économiques de cette guerre inutile, non seulement en Ukraine, mais à l’échelle de toute la planète, pour avoir éternisé et accentué, avec leur soutien militaire à Kiev, la fureur et les affres de cette guerre, qu’ils mènent par procuration, au lieu de la stopper carrément !
4. Après la chute du mur de Berlin et la dissipation du rêve communiste et socialiste, après la fin des idéologies, celle de la « guerre froide » et de la course aux armements entre l’Est et l’Ouest, un tel projet, qui voudrait écarter le spectre de la guerre de notre horizon, ne peut plus être considéré comme une utopie. Nous avons remarqué, en marge de ces événements que, dans certaines parties du globe, des États qui, jadis, se faisaient la guerre ont totalement écarté une telle menace parmi eux. L’exemple le plus frappant est celui du « monde occidental ».
Pour un consensus international sur l’essentiel en matière d’« ordre et de désordre », condition sine qua non de l’avènement de la paix mondiale.
Si les pays de l’Occident qui, jadis, se faisaient la guerre, ont totalement écarté une telle menace parmi eux, c’est parce qu’ils ont réalisé, à leur niveau, un consensus sur un certain nombre de points en matière d’« ordre et de désordre ». Une guerre est tout à fait inimaginable entre les différents pays qui composent cette partie du monde, l’Europe de l’Ouest et l’Amérique du Nord. Œuvrons résolument pour qu’un tel climat de détente et de confiance mutuelle entre les peuples et entre les États devienne une réalité à l’échelle de toute la planète. Ce consensus sur lequel se fonde la paix entre occidentaux est malheureusement, avec les idées et les méthodes qui le sous-tendent - au stade actuel de l’évolution de la connaissance de l’humanité en matière d’« ordre et de désordre » - encore insuffisant (Sur le plan des fondements philosophiques, en rapport avec la notion d’« ordre et de désordre »), pour promouvoir la paix à travers toute la planète. Ce consensus doit, à présent, être élargi et enrichi, pour être en mesure de garantir la paix à toute l’humanité, mais à condition que les occidentaux - qui, en l’absence d’un système mondial organisé de police de la planète, jouent, par la force des choses, aux gendarmes du monde - abandonnent leur conception occidentalocentrée d’un ordre mondial à géométrie variable, avec une justice internationale à deux vitesses. Mais, malheureusement, partant d’une conception binaire de la société qui suppose que l’humanité serait composée de « bons », d’un côté, et de « mauvais », de l’autre et avec le sentiment d’un suprématisme occidental rampant qui les habitent, les règles définies dans ce consensus entre occidentaux ne sont appliquées qu’entre eux et pour eux (les « bons », les « plus forts »), avec leurs alliés, mais pas pour les autres peuples (les « mauvais »), qui, eux, n’en seraient pas dignes - Deux poids, deux mesures !
« Peuples de la Communauté des Nations », unissons-nous, pour libérer l’humanité de l’arbitraire et de la tyrannie, non pas en nous opposant à un pouvoir quelconque, mais en œuvrant pour que soient réunies les conditions qui doivent être satisfaites, tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation (à consigner dans la « Charte Mondiale »). « Les idées gouvernent et bouleversent le monde » (Auguste COMTE, philosophe français, 1798 - 1857). Œuvrons résolument pour que ce projet de paix soit mis en route et se pérennise, afin que les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique changent, pour libérer enfin les peuples, libérer réellement l’homme et la femme de l’ignorance, de la stigmatisation et de toute forme d’obscurantisme. Nous devons, de ce fait, partir du « bon diagnostic » qui n’est pas le mal prétendu enraciné en l’homme, pour abandonner les méthodes archaïques, barbares, non efficientes et contreproductives des « temps primitifs » que nous continuons à appliquer, jusqu’ici, dans la gestion de l’ordre mondial et à l’intérieur de nos différents pays, à cause de l’« immaturité relative » de l’être humain, au stade actuel de l’évolution de la connaissance de l’humanité en matière d’« ordre et de désordre », (1) à cause de l’ignorance, par l’ensemble de l’humanité (du moins dans l’opinion commune, au stade actuel de l’évolution de la connaissance en matière d’« ordre et de désordre »), des meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’« ordre » dans le monde, (2) à la suite de l’ignorance de la cause fondamentale d’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, (3) en raison de l’influence négative des idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre » sur nos choix et stratégies dans les affaires politiques, sociales, économiques, monétaires, culturelles et dans la lutte contre le réchauffement climatique.
5. Il est donc souhaitable qu’un débat mondial approfondi d’idées sur la sécurité et la paix (en son sens le plus large) parte de nos écoles et de nos universités, avant de gagner la place publique, les ONG, les associations et les états-majors des partis politiques, en passant par les différents groupes de pression et les cafés de commerce, pour modeler la pensée dominante de notre époque, en véhiculant des idées et des principes qui touchent le nœud du problème et pourraient modifier l’arrière-plan non critique, conscient et inconscient, de l’opinion commune, autour du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, de manière à pouvoir influer positivement sur les prises de positions et les comportements des individus et à changer le monde.
Après la chute du mur de Berlin et la dissipation du rêve communiste et socialiste, après la fin des idéologies, celle de la « guerre froide » et de la course aux armements entre l’Est et l’Ouest, un tel projet, qui voudrait écarter le spectre de la guerre de notre horizon, ne peut plus être considéré comme une utopie.
6. Mais, pour que cette initiative aboutisse et se pérennise, il faudra que nous comprenions tous, au départ, ce qui suit :
Le « savoir » et le « savoir-faire » de l’homme (sa science et sa technologie), en général, et la connaissance de l’humanité en matière d’« ordre et de désordre », en particulier, évoluent avec le temps, à travers l’histoire, avec le progrès de la science et de la technologie. Devant les prouesses des sciences exactes et de la technologie, nous avons tendance à penser que les sciences humaines, les sciences politiques, sociales et économiques ont connu un progrès similaire ! Mais, en réalité, l’approche, les stratégies et les méthodes utilisées - par toute l’humanité - en matière d’« ordre et de désordre », dans la recherche de la sécurité, de la paix, du bien-être social pour tous et dans la lutte contre le réchauffement climatique, sont encore, jusqu’ici - fondamentalement - celles de l’âge de la pierre. Pour rattraper ce retard, l’homme doit impérativement partir du « bon diagnostic », comme hypothèse de travail, dans la recherche continue de la sécurité et de la paix, un diagnostic « positif », en dehors de toute considération mythologique, métaphysique et moraliste.
Dans les sciences dures (les sciences exactes) et la technologie, l’être humain est tout à fait ouvert au progrès et au changement, mais, malheureusement, dans les sciences molles, les sciences humaines, le même être humain pense, à chaque époque, que la connaissance de l’homme dans le monde politique et socio-économique est totalement « scientifique » et définitivement établie. Les idées héritées du passée en matière d’« ordre et de désordre » sont admises comme allant de soi et n’ont été soumises, jusqu’ici, à une quelconque analyse critique. Dans cette optique, toute initiative qui viserait un quelconque changement d’approche et des fondamentaux en sciences humaines et dans l’organisation politique du monde et des États est aujourd’hui - malheureusement - tout à fait hors de question, étant donné que tout est supposé être totalement « scientifique » et définitivement établi. On est alors tenu de reproduire, d’une manière servile, la leçon du maître et de perpétuer indéfiniment ce qui a toujours été dit, a toujours été fait et a toujours été admis, mais n’a jamais apporté la sécurité et la paix au monde. Et, c’est là un des grands problèmes conceptuels de l’humanité, à notre époque ! Ce phénomène se pérennise avec cette espèce de griserie qui nous pousse à penser que, comparativement au progrès des sciences exactes et de la technologie, l’organisation politique et sociale du monde et celles de nos États ont réalisé - avec les sciences politiques, sociales et économiques qui les sous-tendent - un progrès similaire, en matière d’« ordre et de désordre » particulièrement, qu’elles sont « scientifiques », qu’elles auraient atteint le plus haut sommet de la perfection et ne doivent pas être modifiées et améliorées.
Comme le montre ce projet de paix et contrairement à l’opinion commune, le retard du monde politique et socio-économique, par rapport au progrès relatif accompli par l’homme dans le domaine des « sciences dures » et de la technologie, ne provient ni de l’égoïsme, ni de la perversion de l’homme ou d’une catégorie d’individus. Il ne relève même pas d’une quelconque négligence de l’homme ni d’une prétendue incurie des politiciens et des opérateurs économiques. Il résulte plutôt du fait que, jusqu’ici - en l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix - notre approche, nos stratégies et nos méthodes dans la recherche de l’« ordre » sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique, continuent à se fonder, inconsciemment, sur des idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre » et sur des points de vue grégaires des masses populaires. Cet état de choses découle essentiellement du fait que nous ne possédons pas nos idées, mais que nous sommes possédés par elles, qu’elles soient conscientes ou inconscientes !
Il est important que celles et ceux qui pensent le monde et - avec eux - le « monde scientifique » et académique, les décideurs politiques, religieux et économico-financiers comprennent que la recherche de la paix, l’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique est une question qui relève avant tout du domaine de la « science », c’est-à-dire du « savoir » et du « savoir-faire » de l’homme, et pas tellement de la « politique politicienne », ni simplement de la religion et de la morale qui auraient pour objet - comme on le pense communément - de changer la nature humaine supposée perverse et son cœur jugé corrompu. En l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix, à la suite de la méconnaissance de la cause fondamentale d’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, le désordre du monde politique et socio-économique n’a jamais été perçu comme une question qui relève du domaine de la « science », ni dans l’opinion commune, ni même dans le « monde scientifique », mais comme relevant seulement de la « politique politicienne » ou, simplement, de la religion et de la morale. C’est ainsi que les sciences humaines, qui sont censées œuvrer pour l’« ordre » et l’harmonie dans le monde politique et socio-économique, se sont tenues à l’écart de l’objet ultime de leur action, qui ne doit pas consister simplement à produire un savoir « savant » - un savoir qui, dans la plupart des cas, n’est qu’une érudition anesthésiante, qui soulève un certain nombre de questions, sans rechercher les causes profondes des problèmes à l’ordre du jour et sans avancer de propositions concrètes et n’est, dans la plupart des cas, d’aucune utilité, ni pour l’humanité, ni pour le progrès de la science elle-même - mais plutôt, à œuvrer pour l’édification - avec le temps et dans la mesure du possible, en partant du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix et d’une conception philosophique positive et harmonieuse de Dieu, du monde, de l’être humain et de la société - d’un ordre mondial pacifique et harmonieux, susceptible de promouvoir, à la fois, la tolérance, les libertés, l’unité, la solidarité, la fraternité, l’harmonie, la concorde et le bien-être social pour tous et par tous, tel que l’exige - dans la mesure du possible - le progrès relatif accompli par l’homme dans le domaine des « sciences dures » et de la technologie. C’est donc à l’intelligentsia mondiale, à nos écoles et à nos universités de réfléchir et d’agir, pour que les conditions qui sont à la base du désordre actuel du monde politique et socio-économique changent.
L’absence de paix dans le monde n’est pas tellement - comme on le pense communément - un problème de « politique politicienne », ni simplement de la religion et de la morale, mais une question qui relève du domaine de la « science ». Si, jusqu’ici, la question des meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique ne s’était jamais posée dans les sciences politiques, sociales et économiques - qui sont censées œuvrer pour l’« ordre », dans leurs domaines de recherche respectives - c’est parce que toute la collectivité humaine et même l’intelligentsia mondiale, dans sa grande majorité, continuent à admettre, inconsciemment, comme allant de soi, les idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre », (1) à la suite de la méconnaissance de la cause fondamentale d’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique, (2) en raison de l’influence négative des idées reçues et erronées, héritées du passé en matière d’« ordre et de désordre » sur nos choix et stratégies dans les affaires politiques, sociales, économiques, monétaires, culturelles et dans la lutte contre le réchauffement climatique, (3) en l’absence du « bon diagnostic » sur la problématique de la recherche de la paix.
L’humanité a perdu énormément de temps, en supposant que la cause fondamentale d’absence de l’« ordre » dans le monde politique et socio-économique serait le mal prétendu enraciné en l’homme, la déchéance et la faillite morale de l’homme, la déraison, l’égoïsme, la perversion de l’homme ou celle d’une partie de l’humanité. Cette idée est à la base de cette « conception binaire de la société » - une idée reçue et erronée, héritée de l’âge de la pierre - qui nous pousse à supposer, à tort, que l’humanité serait composée de « bons », d’un côté, et de « mauvais », de l’autre. Tout le problème se situe - essentiellement, sur le plan sécuritaire - dans l’organisation politico-sécuritaire belliciste actuelle de la planète. C’est par pure ignorance que nous perpétuons le système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète (d’alliances politico-militaires particulières), hérité de l’époque de la « guerre froide », qui ne rassure pas et ne garantit pas la sécurité à nos différents pays, à cause de l’ignorance, par l’ensemble de l’humanité (du moins dans l’opinion commune, au stade actuel de l’évolution de la connaissance en matière d’« ordre et de désordre »), des meilleures méthodes à appliquer pour faire régner l’« ordre » dans le monde. Ce système politico-sécuritaire belliciste qui se fonde sur la « conception binaire de la société » pousse chaque pays, chaque alliance politico-militaire à s’assimiler au « bien » et à supposer que tous les problèmes de sécurité et de paix ne relèvent que de la faute des autres, la faute des « mauvais » qui sont dans les autres pays et dans le camp politico-militaire opposé… Nous nous suspectons mutuellement et nous armons alors lourdement les uns contre les autres, nous nous préparons activement à la guerre, chaque nation, chaque alliance politico-militaire pour son compte, pour - paradoxalement - promouvoir la paix dans le monde, avec la course aux armements qui en résulte, exactement comme à l’époque de la « guerre froide ».
7. Nous devons œuvrer, à l’occasion de la recherche de solutions harmonieuses à la guerre russo-ukrainienne, au conflit israélo-palestinien et aux autres foyers de tensions à travers le monde, pour l’avènement d’un « Nouvel Ordre Mondial Apolaire », plus juste et réellement pacifiste, en mettant en place des mécanismes harmonieux et consensuels de gouvernance mondiale, acceptés par tous, sur le plan politique, social, économique, monétaire, culturel et dans la lutte contre le réchauffement climatique, avec un consensus international sur l’essentiel en matière « d’ordre et de désordre », tant sur le plan des idées et des principes que sur celui des règles, des méthodes et des structures d’organisation à promouvoir, qui puissent pallier aux insuffisances de la nature humaine et régir le monde avec harmonie, pour que même les intérêts divergents puissent être conciliés harmonieusement.
L’initiative pour stopper la guerre russo-ukrainienne pourrait partir, soit d’une ou de l’autre des deux parties en conflit, soit simplement d’un pays quelconque qui voudra bien servir de médiateur impartial, sans parti pris et en abandonnant les méthodes archaïques, barbares, non efficientes et contreproductives des « temps primitifs » que sont les sanctions, les boycotts, les injonctions, les condamnations, l’exclusion et l’isolement.
Les protagonistes des deux camps dans la guerre russo-ukrainienne doivent surtout comprendre que les préalables qu’ils posent pour accepter de négocier (Le retrait total de la Russie de l’Ukraine, pour les occidentaux et la reconnaissance des territoires annexés comme faisant définitivement partie de la Fédération de Russie, pour le Président POUTINE) sont les points qui posent problème. Ils doivent, justement, faire l’objet de négociations et ne peuvent être réglés par la victoire militaire d’un camp sur un autre. Ces points épineux pourront être harmonieusement réglés, en conférant, avec une force internationale « neutre » d’interposition et le retrait de la Russie, dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale », le statut d’un « condominium » aux territoires sécessionnistes disputés du Sud-Est avec Kiev. Mais, il faudra, au préalable, que la Russie reconnaisse qu’elle a agressé l’Ukraine et qu’elle lui fait vraiment la guerre et que les occidentaux admettent, pour leur part, qu’ils mènent une guerre par procuration contre la Russie, avec leurs lourdes sanctions contre le peuple russe et leur soutien militaire massif à Kiev, pour contrer l’agression de la Russie.
8. Avec tout ce qui est dit ici, (1) les protagonistes des deux camps dans la guerre russo-ukrainienne peuvent-ils encore avancer de raisons plausibles (a) pour poursuivre cette guerre d’agression (Pour les russes) ou (b) continuer à soutenir et à mener, par procuration, cette guerre absurde (Pour les occidentaux) que ne va réellement gagner aucun des deux camps et (2) les israéliens et leurs alliés peuvent-ils encore perpétuer la colonisation, l’occupation et la politique discriminatoire qu’applique l’État d’Israël à l’égard des palestiniens, au lieu de s’engager dans la recherche d’une solution politique, la solution à deux États, en vue de mettre harmonieusement un terme au conflit israélo-palestinien ?
E. APPEL DU PROMOTEUR A LA « BONNE VOLONTE MONDIALE »
1. Veuillez signer cette « pétition en ligne », pour amener les protagonistes dans la guerre russo-ukrainienne, au conflit israélo-palestinienne et aux autres foyers de tensions à travers la monde (comme dans la guerre à l’Est de la République Démocratique du Congo-Zaïre) à dialoguer et à négocier, afin que, partant - dans le cadre global et harmonieux du « Nouvel Ordre Mondial Apolaire » que va instaurer la « Charte Mondiale » - des causes profondes, immédiates et lointaines de ces conflits, des solutions politiques globales « justes » puissent y être apportées.
Veuillez retrouver les traductions (déjà disponibles) de cette pétition en ligne sur ce site web www.paxuniversa.org. Œuvrons résolument pour sortir l’humanité de la gestion belliciste actuelle de l’ordre mondial, par l’instauration - dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale » - d’une nouvelle ère de « paix véritable », une « paix relative », dans les limites du possible et dans les limites de l’humain, qui ne soit plus seulement absence de guerres, qui ne soit plus une paix imposée par la guerre et par la terreur des armes, par la dissuasion armée, la dissuasion nucléaire et le contrôle des armements, ni celle qui repose sur l’équilibre des forces entre les armées nationales et entre les alliances politico-militaires opposées, qui se préparent activement à la guerre, avec une multitude d’interdits et de conventions internationales, pour réglementer et humaniser les guerres, que ne respecte personne, en faisant la morale aux gens. Il s’agira concrètement d’instituer ce système mondial commun de sécurité collective que sera, dans le cadre de l’ONU et dans la mouvance de la « Charte Mondiale », l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », (a) un système qui ne devra être, ni un gouvernement mondial, ni une structure centralisée et pyramidale, (b) sous la « police » - le moment venu, une fois les conditions réunies - de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® », (c) en remplacement du système politico-sécuritaire belliciste actuel de la planète (d’alliances politico-militaires particulières), hérité de l’époque de la « guerre froide », qui divise le monde.
2. Pour plus d’informations, veuillez lire ces deux ouvrages que vous pouvez vous procurer, (1) soit en les commandant sur notre site/Internet ou en contactant votre libraire, pour les livres-papier, (2) soit en allant sur le site « www.paxuniversa.org », via le moteur de recherche/Internet, pour les versions numériques, (a) « Sortir des temps primitifs et de la gestion belliciste actuelle de l’ordre mondial - Nécessité pour l’humanité de se doter d’une Charte Mondiale pour la Sécurité et la Paix », (b) « Stopper la guerre d'Ukraine - Conférer le statut particulier d’un condominium aux territoires sécessionnistes disputés du Sud-Est avec Kiev et mettre fin au conflit ukrainien, avec une force internationale « neutre » d’interposition et le retrait de la Russie et de l’Ukraine des zones occupées, dans une perspective mondiale et une approche holistique » (Propositions pour stopper la guerre d’Ukraine).
3. En attendant de pouvoir vous procurer ces deux ouvrages, vous pouvez - après la lecture du texte de cette pétition - vous faire une certaine idée sur l’approche philosophique et l’orientation politique des objectifs poursuivis par cette initiative, en lisant ces trois documents que vous pouvez vous procurer, en les téléchargeant gratuitement sur le site « www.paxuniversa.org », via un moteur de recherche/Internet : (a) « Extraits de l’ouvrage "Sortir des temps primitifs…" - Remarques préliminaires sur l’initiative "Sortir des temps primitifs et de la gestion belliciste actuelle de l’ordre mondial et pouvoir enfin stopper la guerre d’Ukraine, régler le conflit israélo-palestinien et aplanir les autres foyers de tensions à travers le monde (comme la guerre à l’Est de la République Démocratique du Congo-Zaïre), dans le cadre global et harmonieux du "Nouvel Ordre Mondial Apolaire" que va instaurer la "Charte Mondiale" », (b) « Formule de la Pétition Universelle à adresser par les citoyennes et citoyens du monde aux sommités du monde académique et aux dignitaires politiques, religieux et économico-financiers de leurs pays » et (c) « Dr. BOKOLOMBA MPELA Prosper - Aperçu biographique du promoteur de l’initiative "Sortir des temps primitifs et de la gestion belliciste actuelle de l’ordre mondial et pouvoir enfin stopper la guerre d’Ukraine, régler le conflit israélo-palestinien et aplanir les autres foyers de tensions à travers le monde (comme la guerre à l’Est de la République Démocratique du Congo-Zaïre), dans le cadre global et harmonieux du "Nouvel Ordre Mondial Apolaire" que va instaurer la "Charte Mondiale" ». Vous pourrez, après la tenue de l’interview de lancement de l’initiative, visualiser, sur le site « www.paxuniversa.org », la vidéo (en français et en anglais) « Interview - L’initiative "Sortir des temps primitifs et de la gestion belliciste actuelle de l’ordre mondial et pouvoir enfin stopper la guerre d’Ukraine, régler le conflit israélo-palestinien et aplanir les autres foyers de tensions à travers le monde (comme la guerre à l’Est de la République Démocratique du Congo-Zaïre), dans le cadre global et harmonieux du "Nouvel Ordre Mondial Apolaire" que va instaurer la "Charte Mondiale" ».
4. Le Promoteur le reconnait. Ce projet de paix n’est pas parfait et comporte des lacunes. Il n’a - peut-être - rien de « scientifique », au sens académique du terme, dans l’entendement commun ! Il compte sur l’implication de ceux qui en ont la compétence, pour lui donner une dimension réellement « scientifique ». L’humanité se chargera - comme il le dit - avec tout ce qu’elle regorge comme compétences, de corriger, elle-même, ses imperfections et de l’améliorer.
Veuillez transmettre vos questions, remarques et suggestions à l’auteur de cette pétition, pour que, ensemble, nous puissions compléter et améliorer cette nouvelle approche, non seulement dans le règlement du conflit ukrainien et de la guerre russo-ukrainienne qui s’en est suivie, mais aussi pour permettre à l’humanité d’abandonner les méthodes archaïques, barbares, non efficientes et contreproductives des « temps primitifs » (les sanctions, les embargos, les blocus et les boycotts, l’isolement et l’exclusion, le recours à la force et les menaces d’usage de la force, les frappes préventives (un terrorisme d’Etat) et les invasions militaires, l’interdit et la répression, les contraintes et les restrictions intempestives des libertés…) et de sortir de la gestion belliciste actuelle de l’ordre mondial, avec des alliances politico-militaires opposée, radicalement hostiles, exactement comme à l’époque de la guerre froide et des armés nationalistes qui se préparent activement à la guerre, pour - paradoxalement - promouvoir la paix dans le monde.
Les sommités du « monde académique » de n’importe quel domaine de la science qui veulent apporter leur expertise à l’humanité, dans le cadre du « Conseil Académique Mondial pour la Sécurité et la Paix » - structure qui va assurer la supervision scientifique de « La Campagne Internationale » - sont priées de contacter le Promoteur.
Une fois constitué, cet organe va, par exemple, intervenir aux différentes étapes de la rédaction de la « Charte Mondiale pour la Sécurité et la Paix », jusqu’à son adoption par les délégués des « Peuples de la Communauté des Nations », issus des corporations, ordres professionnels et corps de métiers de la planète, réunis en un congrès, le « 1ier Congrès Mondial pour la Sécurité, la Paix, la Démocratie et le Développement ».
L’adoption de la « Charte Mondiale » va arrêter le principe d’institution, dans le cadre de l’ONU, de ce système mondial commun, plus harmonieux et réellement pacifiste, de sécurité collective que sera l’« Organisation Mondiale des Forces de l’Ordre », en même temps que celui de l’usage - le moment venu, une fois les conditions réunies - par les peuples de tous les pays, de la « Monnaie Planétaire », la « Monnaie Universelle », le « Numéraire Universel® ».
La « Charte Mondiale » ne devra pas être un manifeste qui exposerait une kyrielle de revendications politiques. Elle ne devra pas non plus être un recueil d’interdits, de prescrits religieux et de préceptes moraux, ni une simple litanie d’exhortations ou un chapelet de vœux pieux. Les idées et les principes à promouvoir et qui devront alors être inscrites dans la « Charte Mondiale » sont essentiellement ceux qui (a) se rapportent à la notion d’« ordre et de désordre », (b) touchent le nœud du problème et (c) pourraient modifier l’arrière-plan non critique, conscient et inconscient, de l’opinion populaire et de la pensée dominante de notre époque, de manière à pouvoir influer positivement sur les prises de positions et les comportements des individus et à changer le monde.
5. Les personnes physiques et morales qui désirent servir de relais à la « Campagne Internationale », organisée autour de l’initiative « Sortir des temps primitifs et de la gestion belliciste actuelle de l’ordre mondial et pouvoir enfin stopper la guerre d’Ukraine, régler le conflit israélo-palestinien et aplanir les autres foyers de tensions à travers le monde (comme la guerre à l’Est de la République Démocratique du Congo-Zaïre), dans le cadre global et harmonieux du "Nouvel Ordre Mondial Apolaire" que va instaurer la "Charte Mondiale" », sont priées de se faire signaler et de contacter le Promoteur.
6. L’initiative « Sortir des temps primitifs et de la gestion belliciste actuelle de l’ordre mondial et pouvoir enfin stopper la guerre d’Ukraine, régler le conflit israélo-palestinien et aplanir les autres foyers de tensions à travers le monde (comme la guerre à l’Est de la République Démocratique du Congo-Zaïre), dans le cadre global et harmonieux du "Nouvel Ordre Mondial Apolaire" que va instaurer la "Charte Mondiale" » est conçue pour être présentée à l’ensemble de l’humanité, le projet de paix qu’elle véhicule étant de portée planétaire. Compte tenu des frais exorbitants que requiert une telle initiative, veuillez - s’il vous plait - contacter l’auteur de cette pétition pour pouvoir réaliser, avec votre soutien, (1) les traductions de cette pétition et ses annexes en un maximum de langues possibles, (2) à mener « La Campagne Internationale » qu’il organise autour de ce projet et (3) à battre campagne à travers le monde, pour que ce projet de paix aboutisse et se pérennise, avec la rédaction et l’adoption de la « Charte Mondiale pour la sécurité et la Paix ».
Dr. BOKOLOMBA MPELA Prosper, Pschent de « Pax Universa - Maison de la Paix Universelle - Cabinet du Médecin-Criminologue pour la Recherche de la Paix » Contacter l'auteur de la pétition