Pour le retrait de la Circulaire du 31 mai

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Ce sujet de conversation a été automatiquement créé pour la pétition Pour le retrait de la Circulaire du 31 mai.


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#927

2012-04-19 20:21

Apparemment le sarkozysme est tout prêt à sacrifier l'avenir de la recherche, du métissage et de la pyramide démographique pour des fins électoralistes. Dommage, pour un pays que nous francophiles de longue date avons toujours considéré comme étant fort au dessus de ce genre de mesquineries!

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2012-04-20 10:48



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#929

2012-04-24 05:20

Nous allons revivre aprés le 6 Mai 2012, encore deux semaines de patience et le pseudo-président sarközy nicolas, retournera dans son pays d'origine : LA HONGRIE, ce n'est même pas un francais de souche et il se permait de faire du racisme dans un Pays : "LA FRANCE " qui n'est même pas le sien ! Monsieur Hollande notre prochain Président va remettre de l'ordre et espérons qu'il exige que les milliardaires remboursent à la France, les milliards de cadeaux fiscaux fait par nicolas sarközy pendant ses 5 ans de pouvoir ! La France est Belle, vive la France et Tous les Pays qui nous apportes des belles et nouvelles cultures ! Rien n'est plus beau que le mélange des Peuples !
Ax

#930

2012-04-27 23:50

Belle absurdité que d'expulser des étrangers diplômés et bien intégrés...J'avais la naiveté de penser que la France était une terre d'accueil et un pays ouvert...C'était il y a longtemps !

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#931 Les travailleurs sociaux ont besoin de votre soutien dans leur combat !

2012-05-14 14:25


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#932

2012-05-29 11:45

Je signe une pétition car je trouve que les motifs de refus sont trop arbitraire et très souvent abusif.

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#933 lRe:

2012-06-05 23:28

Bravo pour votre travail, en éspérant que les choses vont changer en bien pour tout le monde!

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2012-06-07 11:03


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2012-06-07 11:06


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2012-06-07 11:07



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#937 SOS TUNISIE

2012-06-07 18:14


MANIFESTE DES INTELLECTUELS TUNISIENS
L’avenir de la démocratie en Tunisie


http://www.petitions24.net/manifesteintellectuelstunisiens-fr


L’horizon d’espérance que la révolution tunisienne a ouvert est en train de s’obscurcir. L’esprit de liberté qui l’a animé subit chaque jour de graves atteintes qui instaurent un climat d’intimidation et de violence. Six mois après l’élection de l’Assemblée constituante, la Tunisie connaît une situation qui inspire de grandes inquiétudes.


Les signataires du présent manifeste estiment de leur devoir d’alerter leurs concitoyens sur le danger qui guette. Nous ne pensons pas que les menaces actuelles sont dues aux difficultés propres à toute transition démocratique. Nous les attribuons aux violations délibérées des principes mêmes de la démocratie naissante.


Ces atteintes proviennent du parti Ennahda et du gouvernement qui en est l’émanation. Nous avons espéré que les transformations que ce parti islamiste déclarait avoir accomplies étaient réelles. Beaucoup de Tunisiens ont parié que ce mouvement pouvait être porteur d’une conception démocratique inspirée par l’islam. Or, les discours et les actes démontrent le contraire. Une volonté hégémonique vise à s’emparer de tous les pouvoirs. L’idéologie islamiste avance pour imposer à la société tunisienne son ordre dogmatique.

Dès que les résultats des élections d’octobre 2011 ont été connus, alors même que la majorité obtenue par le parti Ennahda est relative, ses leaders se sont crus investis d’un pouvoir sans limite. Ainsi, avons-nous assisté à l’annonce fulgurante de l’entrée dans le règne du 6ème Califat, ce qui signifie l’abolition de l’Etat tunisien et de la République. Sa profération n’est pas hasardeuse. Elle est l’expression d’un projet ancien auquel les islamistes n’ont pas renoncé. Depuis, de très nombreux actes et déclarations le confirment. Seul le rejet résolu de la société tunisienne a obligé, chaque fois, Ennahda à reculer, à temporiser, à différer l’achèvement de son projet.

Alors que la Charia comme source des lois était absente du programme électoral de ce parti, les Tunisiens ont vécu pendant plusieurs mois sous la menace de son introduction dans la constitution. Une telle mention aurait eu de graves conséquences sur le code du Statut Personnel — qui est la constitution civile des Tunisiens. Ainsi auraient été mises en cause l’égalité des femmes et des hommes et la non-discrimination pour raison d’appartenance confessionnelle. Encore une fois, la résistance de la société a contraint Ennahda à reculer. Mais nous savons que le retrait de ce projet n’est que tactique. Les responsables islamistes n’abdiquent pas. N’ont-ils pas envisagé la création dans la constitution d’un Conseil supérieur de l’iftâ’ (Emetteur de fatwas), dont la fonction serait d’examiner la validité des lois au regard de la norme religieuse ? Son institution lui aurait donné une prévalence sur les pouvoirs législatif et judiciaire et sur le Conseil constitutionnel.

Une autre stratégie est déjà mise en oeuvre, celle qui cherche à introduire la norme religieuse au cas par cas. C’est le sens des déclarations de ministres et de parlementaires ciblant le droit de la famille, telles que l’abolition de l’adoption, les incitations à contourner le mariage civil par le recours au mariage coutumier (‘orf) interdit par la loi républicaine parce qu’il fragilise la situation des femmes, tout en légalisant de fait la polygamie.
L’exhortation par l’un des fondateurs d’Ennahda, en pleine session parlementaire, à « tuer, crucifier, amputer » les protestataires, en référence aux châtiments corporels (hudûd), illustre la tendance rétrograde de ce mouvement. C’est également le cas concernant l’invocation de l’ordre moral (hisba). Le ministère de l’intérieur a accordé son agrément à une association dont le but déclaré est d’instaurer la police des moeurs. Celle-ci s’arrogerait le droit d’intervenir dans la vie privée et d’annuler l’autonomie subjective du citoyen.


Avec toutes ces dispositions se mettrait en place un ordre juridico-religieux antagonique à celui de l’Etat. Derrière ces initiatives, se révèle le dessein d’annihiler le processus historique de la modernisation qu’a connue la Tunisie dès le XIXe siècle. Les gouvernants actuels s’évertuent à démanteler les principes émancipateurs qui ont transformé le pays jusqu’à le rendre apte à conduire la révolution de janvier 2011.

En effet, la révolution tunisienne ne se limite pas au soulèvement contre la dictature de Ben Ali et du parti unique. Elle s’inscrit dans la suite logique des réformes politiques fondamentales, impulsées par de nombreuses figures des Lumières.
Les agissements d’Ennahda portent les traits d’une contre-réforme qui veut nous dépouiller des acquis en mettant fin à l’exception tunisienne dans le monde arabe. Cette contre-réforme voilée par un discours ambigu, apparaît aujourd’hui dans les faits. L’accès temporaire au pouvoir d’Ennahda l’a amené à croire qu’il est en mesure de rattacher la Tunisie à l’aire de l’islam salafiste. Foi et norme,
religion et droit s’y confondent au détriment de l’Etat civil. Toute l’histoire contemporaine de la Tunisie affirme la mise en oeuvre de leur séparation.

La société tunisienne contemporaine résulte du processus d’émancipation qui dure depuis un siècle et demi, si nous prenons comme repère le Pacte fondamental de 1857 et l’édiction en 1861 de la première constitution dans le monde arabe. Le refus qu’elle oppose aujourd’hui à l’entreprise d’Ennahda se confirme quotidiennement, à travers les manifestations publiques, les réseaux sociaux,
les institutions.


Au cours des derniers mois, Ennahda a entrepris un plan d’offensive généralisée contre les lieux et les figures de la modernité. Ainsi en est-il des attaques contre l’université par des fanatiques exaltés, des violences verbales et physiques contre les enseignants, les journalistes et les sièges des médias. La volonté de contrôler l’information se manifeste à travers l’organisation de procès liberticides et par la menace de privatiser les radios et télévisions publiques que les gouvernants actuels ne parviennent pas à asservir. L’Union Générale des Travailleurs Tunisiens (UGTT) a subi un harcèlement ordurier. Les agressions contre les intellectuels, les artistes, les universitaires, les acteurs politiques se sont multipliées. Des appels au meurtre s’élèvent de mosquées transformées en lieux de sédition et d’activisme politico-religieux.
Les violations touchant l’intégrité des institutions et des personnes ne suscitent ni l’intervention de la police qui observe les exactions sans agir, ni des poursuites judiciaires. En revanche, des médias sont condamnés à l’instar de la chaîne de télévision Nessma ou du journal
Tounsia. La liberté de la presse est ainsi assimilée à un délit qui entame le sacré ou les bonnes moeurs. A l’opposé, le militant salafiste qui a profané le drapeau national bénéficie d’un sursis des plus indulgents.


Il est clair qu’Ennahda, qui détient tous les ministères de souveraineté, organise la défaillance de l’autorité de l’Etat dans le but de créer un climat d’insécurité pour intimider ceux qui s’opposent à ses visées hégémoniques. Mais la mobilisation contre ces pratiques n’a jamais fléchi. Les citoyens se sont avérés inventifs dans leur vigilance démocratique. Autonomes, spontanés, ils sont chaque fois au
rendez-vous. Ils furent nombreux, lors des manifestations du 20 mars, du 9 avril, du 1er mai, pour affirmer leurs refus de la régression et leur attachement à la liberté. Ils aspirent à poursuivre un processus historique orienté par une rationalité démocratique, juste et paisible, où les reconstructions de l’identité s’inspirent de la liberté.


Plusieurs mois d’exercice du pouvoir montrent l’incapacité du gouvernement à restaurer la paix sociale et la sécurité publique, ainsi que son échec à impulser l’investissement national et étranger. La récente dégradation de la note souveraine de la Tunisie témoigne de cette incapacité et atteste de la gravité de la situation. Les principes démocratiques sont réduits à une arithmétique de la
majorité qui l’autorise à soumettre l’ensemble de la société à sa propre vision. La prévalence donnée au religieux sur le politique est on ne peut plus patente.
De même, le discours de l’identité ethnique et confessionnelle envahit le pays. Cette propagation du fanatisme est exacerbée par les prédicateurs les plus archaïques et les plus haineux du Moyen-Orient qui sont reçus en maîtres à penser. Aux yeux d’Ennahda, la tunisianité est secondaire par rapport à cette identité exaltée. Celle-ci couvre l’opération qui cherche à s’emparer de la grande mosquée de Tunis, la Zitouna, pour l’aligner sur l’idéologie wahhabite. Foyer de la Tradition, la Zitouna appartient au patrimoine national. Nul ne peut s’autoproclamer légitime dans le seul but de l’instrumentaliser et de la détourner de sa vocation mesurée.
Aussi n’est-il pas étonnant que les autorités actuelles manifestent si peu d’empressement pour protéger les symboles de la nation. En témoigne l’étudiante de la faculté de Manouba défendant le drapeau tunisien contre le fanion du salafisme, devant des forces de l’ordre impassibles. De même, peut-on observer la passive complicité des ces mêmes autorités face à l’inquiétante recrudescence de
la violence salafiste.


Une autre source d’inquiétude concerne les alliés d’Ennahda, plus particulièrement les présidents provisoires de la République et de l’Assemblée constituante. Leur appartenance au camp des démocrates laissait supposer qu’ils rempliraient une fonction critique assumant la séparation du politique et du religieux, afin de modérer et corriger la volonté hégémonique d’Ennahda. Or, l’exercice de cette fonction faiblit.

Le soupçon s’est renforcé, lorsque après les violences du 9 avril contre des manifestants pacifiques, le président provisoire de la République a renvoyé dos à dos victimes et agresseurs. Les deux présidents sont-ils encore les alliés vigilants des islamistes ou se sontils transformés en supplétifs impuissants ?
Nous ne pouvons être sans crainte sur l’avenir de la démocratie, lorsque nous voyons le gouvernement d’Ennahda recourir à des partisans incompétents pour remplir de hautes charges dans l’administration publique. Ceux-ci se substituent aux grands commis de l’Etat qui sont écartés malgré leur qualification et leur intégrité. Ne distinguant pas entre l’Etat et le gouvernement, l’autonomie de l’administration est niée.
La volonté de domination se manifeste concernant la haute instance des élections, puisque sa composition devra, selon eux, refléter celle de l’Assemblée nationale constituante. Comment assurer la neutralité nécessaire au déroulement des élections si la haute instance qui les organise passe sous le contrôle du parti majoritaire ?
Les atermoiements devant la nécessité de séparer les pouvoirs constituants de l’Etat, en garantissant l’indépendance de la justice et de l’information, rappellent les procédés malins de l’ancien régime.
Le flou maintenu sur la prochaine date des élections est un signe supplémentaire d’inquiétude.
Quoi qu’il en soit, au regard du décret qui a convoqué les élections de l’Assemblée constituante pour siéger pendant un an, cette assemblée, ainsi que le gouvernement qui en est sorti, seront le 23 octobre 2012, hors le cadre légal qui les a rendus possibles. La légitimité absolue n’existe pas dans un Etat de droit. Les élections n’accordent pas l’exercice du pouvoir sans des échéances fixées à l’avance. La lenteur adoptée par la majorité islamiste ne voilera pas la rupture du contrat politique. Elle engendrera une perte de confiance et un accroissement des tensions dans le pays.


Ce constat, qui repose sur des faits, paroles et actes mêlés, est d’autant plus angoissant que la perspective d’une alternance ou d’un équilibrage des forces paraît incertaine. Cette incertitude contrarie la demande politique des Tunisiens. Elle provient de l’incapacité des partis républicains à incarner l’alternance attendue. L’atomisation des forces démocratiques et républicaines ne peut que faciliter la stratégie hégémonique d’Ennahda. Elle lui laisse pour l’instant toute l’initiative. Les acteurs politiques le savent, mais le narcissisme et le choc des egos entravent leur démarche.

La vitalité de la société civile, notamment exprimée à travers la formidable capacité des militants de la blogosphère et des associations, a besoin d’être relayée par des partis puissants. L’émergence d’une nouvelle alliance républicaine obligerait Ennahda à réviser sa stratégie. Un tel redéploiement des rapports de force raviverait, à l’intérieur de la mouvance islamiste, le courant animé d’un authentique désir d’adapter sa foi aux conditions d’une démocratie moderne, et non l’inverse. Ces partis et les nombreuses listes indépendantes n’étaient pas excusables, lors des dernières élections, d’avoir compromis les chances d’un résultat conforme à la sensibilité politique du pays. Ils le seront encore moins pour les prochaines échéances. L’émiettement des partis républicains dilapide les espérances de la révolution.

Tunis, le 1er juin 2012


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#938

2012-07-05 23:11

Oui, je crois qu'on est rentré sous l'ère Guéant avec cette circulaire dans l'étrangemophobie. Elle signe le rejet total des étrangers qui, pourtant en faisant bénéficiant les entreprises françaises des diplômes acquis déjà ailleurs et consolidés ici, n'est que le renvoi d'ascenceur pour la France qui nous a accompagné aussi dans cette réussite. Notre résussite est une résussite aussi pour la France.
CSR

#939 petition

2012-08-20 11:55

la petiton doit être signe pour tous pour arriver à une solution optimal!!
moi, après avoir page de ma poche les formations que j'avais fait ici en France nivaux master, je n'ai pas eu le droit de prolonguer et rester en france!! à quoi faire formes des gens rt le mettre à à la porte après!!

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2012-08-21 17:36


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2013-03-02 17:11



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#942

2013-03-06 12:23

Je comprends parfaitement l'opposition de certains à cette pétition. Mais, je trouve qu'il est vraiment injuste de refuser à quelqu'un un travail tout simplement parce qu'il est originaire d'un autre pays, et de prétexter plusieurs raisons inimaginable. Ces "gens" n'imaginent pas une seconde qu'est ce ceci impliquera si on appliquerait cela dans les autres régions du monde rien que pour embêter nos amis Français expatriés. Au contraire, loin de moi cette idée, car je viens d'un pays qui a pour premier partenaire économique la France! Je suis tout à fait d'accord avec M. Hollande, quand il disait qu'il était contre, et que pour lui on ne devrait pas refuser un travail à quelqu'un parce qu'il est issu de l'immigration.
francais

#943 totalement normal

2013-04-06 18:06

Cette circulaire est totalement normale, nous avons assez de brillants étudiant français !!! Marre de tout ceux qui ne pensent qu'à venir profiter des avantages sociaux de notre pays en ce prétendant étudiant!!!

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#944

2013-07-16 15:45

Cette circulaire du 31 Mai est bien injuste et doit être modifiée où retirée.
pas français

#945

2013-09-04 16:09

Bravo 943, même si je ne suis pas français. Qu'ils étudient c'est un compte, du moment qu'ils payent leurs études. Mais ensuite, il faut bien qu'ils retournent chez-eux, sinon à quoi ça sert? Les études ne sont que prétextes pour rentrer en Europe et prendre le boulot des européens? Un peu bizarre. Si ils sont vraiment bons, dans tous les cas les entreprises intéressées réussissent toujours à les embaucher.
cg22961

#946

2013-10-23 10:40

Bonjour, pour me présenter correctement, je suis M. Gomez un prêteur privé, je donne des prêts à des taux d'intérêt de 2%. Il s'agit d'une opportunité financière à votre porte, s'applique aujourd'hui et obtenez votre prêt rapidement. Il ya beaucoup de gens à la recherche d'opportunité financière ou une assistance partout dans les lieux et pourtant toujours pas en mesure d'en obtenir un. Mais il s'agit d'une opportunité financière à votre porte et en tant que tel, ne peut pas se permettre de manquer cette occasion. Ce service est de rendre les deux individus, entreprises, hommes et femmes d'affaires. Le montant du prêt varie disponibles pour tout montant que vous souhaitez plus d'informations contactez-nous par email: cg22961@gmail.com
cg22961

#947 offre de prêt très sérieux

2013-10-23 10:40

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Anonyme

#948

2013-12-06 15:10

Liberté, égalité, fraternité, ce serait bien de s'en rappeler

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#949 Pétiton pour dissoudre la LICRA qui dérape et trompe les français

2014-02-06 13:03


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#950

2014-02-11 16:45

"Par ma femme je suis lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël" (Manuel Valls)
http://www.youtube.com/watch?v=ezwUAAb8Lvs