CONTRE la loi ESR "Fioraso", parce que POUR la langue française !

#721: -

Mais non cher visiteur, laissez tomber le FN. La langue française, c'est une question de principe de souveraineté ! C'est stratégique, l'enseignement supérieur ! Se conformer à une langue unique, aujourd'hui, l'anglais, (le tout-anglais plus précisement) c'est l'assurance d'accorder aux Etats-Unis un avantage indu ! Facile pour l'implantation, le développement des idées et des cultures américaines ! Le développement des programmes éductatifs et diplômants US, nous alors, nous n'aurons plus qu'à nous coucher !

Il faut résister à cela, des grands talents, des écrits, des pensées, dans des nombreuses langues tout aussi respectables ne merite pas d'être traités ainsi (l'allemand, l'italien...) tout cela à voler en éclat !

Nous ne subirons pas ce sort, la langue française, les langues orientales, sont des langues d'avenir, l'espagnol aussi. Allez cher visiteur, faites signer la pétition !

A bientôt !

 

C'est la modicité des frais d'inscription qui attire les étudiants étrangers, pas le goût du français... Inutile de changer de langue pour complaire aux chinois.

Cette loi montre le niveau de soumission des élites françaises à l'empire culturel US, car n'importe quel universitaire de qualité doit connaître au moins deux langues étrangères. Mais l'expression de sa pensée en France est en français. S'il veut à l'étranger honorer ses hôtes et parler leur langue, c'est très respectable. Mais la plupart de ces universitaires parlent un anglais d'aéroport, ce dont se plaignent les Anglais...

la France et la langue française ne font qu'un !

Des examens français sont donnés à des gens venant de pays étrangers alors que quand on interroge ces étudiants ils ne sont pas capables de répondre en français . La baisse de la valeur des diplômes de notre pays est affligeante, si la compétence des étudiants français est en berne, le choix d insulter la langue de Ronsard et Corneille et le peuple français, par une décision non constitutionnelle est inacceptable!

#728: -

Je savoure votre expression « … ces universitaires parlent un anglais d'aéroport, ... ».

Des députés arrivistes parlent aussi l'anglais d'aéroport.

 

Je connaissais la musique des ascenseurs.

 

 

 

Merci à l'UPR pour cette initiative.

Alors qu'on est obligé de dispenser des cours de français (dont l'orthographe) en fac, aux étudiants français incultes, ce qui nous sert d'élite s'apprête à commettre une forfaiture d'état.
Vouloir ignorer qu'adopter une langue c'est adopter sa culture (et sa sous-culture le plus souvent), c'est à dire changer d'identité, de mentalité; c'est modifier inconsciemment son essence même...
On est bien au-delà des avantages indus (économiques, financiers, culturels, psychologiques...) pour les anglophones et déjà inadmissibles et intolérables dans ce monde de compétition meurtrière.
N'oublions pas : 98% au moins des individus parlant -ou estimant parler assez bien l'anglais- sont en état d'infériorité face à des interlocuteurs anglophones de naissance de même niveau.
Cela aussi est un postulat... très lourd de conséquences...

#733: Ilssontdeplusenplusfous! - Génocide d'une culture

Je pourrais continuer longtemps ainsi. Je me contenterai d'illustrer par un exemple irréfragable, reposant sur une constatation que tout ceux qui veulent savoir, savent :

Les milliers de membres du personnel très privilégié, à Bruxelles, est très majoritairement anglophone de naissance. Faut-il vraiment insister sur les conséquences multiples perceptibles et mêmes invisilbes pour ceux qui ne veulent pas y réfléchir ?

Ainsi, si vous parlez tchèque, français, espagnol, polonais et finlandais, par exemple, vous n'avez qu'une chance particulièrement infime d'être embauché dans un bureau...

Veules et schizophrènes, féminisées à fin de soumission politique, les couches moyennes, dénuées de fierté comme de virilité, acceptent toutes les lois dont on leur vante le confort ou l'avantage matériel, parce que leur perception du monde, d'un monde où elles ne font plus l'expérience de la survie, est composée par ceux qui vont les tondre.

Le paysan, l'ouvrier - combien en reste-t-il? - reconnaissent l'aigrefin, par instinct de survie, tandis que le petit-bourgeois, qui a l'habitude que les pots cassés soient payés par autrui, est moins enclin à l'analyse critique qu'au confort intellectuel et moral de Valeurs Actelles (le haut du panier), de Libé' (le bas), du journal télévisé (plus bas) ou du Figaro (encore plus bas).

J'aime notre belle langue française si agréable et explicite.

Faire respecter notre belle langue par tous les animateurs , reporters, journalistes, de la télé et de la presse René DELACROIX

un seul mot pour ce texte aberrant : inqualifiable.
On peut à la limite accepter un enseignement bilingue, mais mettre le français au placard, en France, est ahurissant.
Honte aux fossoyeurs de la France, malheureusement en position de force actuellement.

L'indignation ne suffit pas.Il faut AGIR.
Je signe cette pétition contre ces français qui osent nous proposer ce genre d'allégeance aux puissances pernicieuses et dévoyées anglo saxonnes.

Elle est souvent TRÈS mal parlée par absence de liaisons. Ne galvaudons pas notre belle langue !

Je regrette que l'UPR demande le " retrait" du projet de loi, j'aurais préféré qu'il demande plutôt un référendum pour permettre au peuple de s'exprimer à défaut de référendum le retrait de la LOI.

Dommage que l' UPR ne fasse pas remarquer qu'avec le référendum d'initiative citoyenne qu'il propose la pétition pourrait déboucher sur un référendum!

Journaliste double national Français et Canadien, je sais bien, à travers l'expérience vivante du Québec, que le monde des affaires peut se traiter aussi en français sans recours systématique à l'anglais. La France et l'OIF doivent être exemplaires en la matière. William Biard

#1: -  

 Il ne faut pas abandonner les langues européennes ; le portugais, l'espagnol, l'italien, etc ... Mme FIORASO

Il faut privilégier l'apprentissage des langues européennes : le portugais (qui n'est pas une langue rare comme vous le pensez, l'espagnol, l'italien, etc ... merci Mme FIORASO.

c'est bien de tout mélanger, mais l'enseignement et la recherche ce n'est pas tout à fait pareil.

en recherche, il faut une langue véhiculaire, et pour des raisons externes à la science actuellement c'est l'anglais. il y a eu le grec, le latin, le français, l'allemand, pour les mêmes mauvaises raisons économiques,
politiques, etc.
que doivent faire les chercheurs ? refuser de lire 99% des publications pertinentes ? refuser
de communiquer leurs résultats à leur communauté ? il ne faut vraiment rien comprendre à la sociologie
des sciences pour croire que ça peut bien se passer pour les chercheurs qui resteraient entre eux.

et puis quand on voit ressortir des bons préjugés ethno-centristes sans aucune base empirique, je ne sais pas
s'il faut rire ou pleurer:
"le français est une langue qui demeure considérablement apprise et appréciée à l’étranger, notamment pour sa précision, sa clarté (...)"

ben voyons, il y a des langues plus claires et précises que d'autres.
on a vraiment du bol en plus, c'est la nôtre.

Toute diversité est une richesse, qu'ils s'agissent des langues, des cultures, des couleurs, ...

Pour la sauvegarde de la langue Française.

et oui, que reste-il, déjà, malheureusement, de notre beau, cher et pauvre pays LA FRANCE.......

amusant de voir que l'UPR actuelle est listée sur le wikipedia anglais, et pas le français.

Nous sommes dirigés par les Mondialistes qui veulent supprimer les nations et par suite les langues
Mais aucun n'a le courage de le dire !Nous sommes devenus un peuple de VEAUX et de laches .