Maintenir une section STG dans ce lycée est une évidence. Ce qui l'est moins, c'est la raison pour laquelle cette section fait aujourd'hui l'objet d'un transfert initié par le rectorat. Cette décision aurait été prise selon le recteur pour limiter les effectifs aux capacités d'accueil des locaux et pour faire face à l'afflux de plus en plus important d'élèves dans les communes de Clamart et de Châtillon. La question de la 14ème seconde a été posée. Pétitionner pour le maintien de la section STG revient à refuser l'accès au lycée Monod à autant d'élèves issus des trois collèges clamartois. Dans tous les cas, nous sommes perdants. A qui la faute ?
Depuis plus de 10 ans la question de la capacité d'accueil des lycéens est posée dans ce bassin. Les responsables de cette situation sont les élus du Conseil régional en charge de la gestion des lycées en Ile de France.
Qu'ont ils fait ? Qu'à fait le Sénateur maire de Clamart également 15ème vice président du Conseil régional durant cette décénie ? Certes, il soutient les enseignants grévistes. Mais ce que l'on attend de cet élu, c'est une réponse concrète à la capacité d'accueil au lycée Monod.
Qu'il signe un chèque pour construire des classes à Clamart plutôt que de signer des pétitions. Ce ne sera que plus utile pour les élèves....

#29: Patrice Roncari - Qui est responsable ?

Le lycée Monod accueille ne nombreux élèves de la commune de Chatillon (il est géographique limitrophe Chatillon-Clamart). Je crois qu'il faudrait davantage interpeller le maire de Chatillon, absent du mouvement pour le maintien des STG : sur sa commune se multiplient les constructions d'immeubles, la croissance démographique y sera forte : pourquoi n'est-il pas là pour demander la construction d'un lycée à Chatillon ?  Pourquoi ne propose-t-il pas à la région un terrain (de nombreux se libèrent...) pour le construire, plutôt que des résidences de standing ?

Je vous laisse répondre.