NON au Changement de Peuple et de Civilisation


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/ #429 Re: Re: Re:

2014-01-18 01:47

#423: Senspratik - Re: Re:

Il faudrait tout de même pas tout mélanger. Les noirs c'est tout autre chose. C'est le seul groupe humain n'ayant pas de gènes néandertal. Toutes les autres races ont 2 à 3% de ces gènes là. Et on pense que ce serait la cause du retard permanent tout au long de l'Histoire de l'Afrique sur toutes les autres races. Les Néandertal avaient un cerveau beaucoup plus gros, comme en témoigne les restes retrouvés.

Pour citer le grand historien Arnold J. Toynbee, mondialement respecté:
"En classant les hommes selon la couleur, on s'apercevra que la seule
des races fondamentales, données par cette classification, qui n'ait
apporté aucune contribution créative à l'une de nos vingt-et-une
civilisations est la race noire."

Ou l'éminent anthropologue Louis B. Leakey:
"En tant qu'anthropologue, j'accepte bien entendu et j'affirme même
qu'il existe des différences majeures, à la fois mentales et
psychologiques, qui séparent les différentes races de l'espèce humaine.
Je serais surtout enclin à suggérer que, quelles que puissent
être les différences physiques entre des races comme l'Européen et le
Nègre, les différences mentales et psychologiques sont plus grandes encore."

Ou le Prix Nobel James Watson, découvreur de la double hélice de l'ADN qui déclarait le 14 octobre 2007 dans les colonnes du Sunday Times, qu'il était « fondamentalement pessimiste quant à l'avenir de l'Afrique » parce que « toutes nos politiques d'aide sont fondées sur le fait que leur intelligence [celle des Africains] est la même que la nôtre [Occidentaux] alors que tous les tests disent que ce n'est pas vraiment le cas ».

Un autre prix Nobel, de physique, William Shockley, inventeur du transistor et à l'origine de la création de la Silicon Valley, a maintes fois exposé ses vues sur les Noirs américains, qu'il jugeait héréditairement avoir un quotient intellectuel moyen inférieur à celui des Blancs, ce que les statistiques confirment immanquablement. Il a demandé à l'académie des sciences américaines « que des recherches soient entreprises pour déterminer l'influence de la forte natalité des Noirs sur la qualité de la population américaine.

Ceci ne doit pas nous entraîner à de la haine envers les noirs, mais à désirer ardemment qu'ils restent en Afrique -et y retournent- et ne viennent pas perturber nos sociétés par leur présence de jours en jours plus grande. Ils n'ont rien à nous apporter, si ce n'est de nous désorganiser. Mais  peut-être que c'est précisément cela que recherchent ceux qui les font venir en si grand nombre et qui leur font la délirante promotion à laquelle nous assistons par médias interposés.