Pétition contre la Dictature Islamiste

Quoted post

Mahassen Ferjani
L'auteur de cette pétition

#1

2011-04-09 22:22

Malheureusement, je n'ai pas pu publier les liens qui viennent conforter tous les points mentionnés dans la pétition faute d'espace.

Réponses


Anonyme

#2 Re:

2011-04-10 16:42:09

#1: Mahassen Ferjani -

Vous vous insugez, non pas contre la dictature islamiste, parceque l'islam est Salam, mais bel et bien contre l'Islam. Je vous renvoie à ce verset coranique.

أعوذ بالله من الشيطانالرجيم

وقل الحق من ربكم فمن شاء فليؤمن ومن شاء فليكفر إنا أعتدنا للضالمين نارا أحاط بها سرادقها وإن يستغيثوا يغاثوا بماء من المهل يشوي الوجوه بئس الشراب وساءت مرتفقا "

سدق الله العظيم

هذا تهديد ووعيد من الله الواحد القهار، وهو الحق وما تدعون إليه هو الباطل فكم كانوا دعات الباطل لما كان الرسول صلعس وحيدا يدعو الى الحق. إتقوا الله. العربة والإسلام هويتنا، وفي خلق الإسلامكرامتنا ونجاتنا

zabab

#6 Re:

2011-04-10 23:38:41

#1: Mahassen Ferjani -

Espèce de lache et menteur


Anonyme

#12 Re:

2011-04-11 23:18:50

#1: Mahassen Ferjani -

Pensez-vous que cette pétition aura un effet.? Il faudrait mobiliser bcp plus et par d'autres moyens aussi.

Merci pour cette initiative.

 

Imen

#25 Re:

2011-04-16 18:20:59

zorro

#27 Re:

2011-04-24 03:39:43


Visiteur

#42 je te propose de la traduire en arabe pour permetre a la masse d,y adérer Re:

2011-06-20 02:56:10

mimi

#121 Re: merciam ben rouha

2011-09-09 13:30:25

#1: Mahassen Ferjani -

tous ensemble pour lutter contre c malades


Visiteur

#126 Re:

2011-09-16 21:53:15

#1: Mahassen Ferjani -

après la pétition, il faut se constituer parti civile pour attaquer en justice sur le plan symbolique, ethique et morale le parti politique qui représente cette dictature islamiste, sur la base de tous les témoignages écrits, les publications internets ou dans les journaux qui viennent étayés les exactions commises par les extrémistes sur les personnes physiques et morales ou contre les symboles de la culture tunisienne (destruction de monuments historiques et culturelles par les salafistes (basilique du Kef, jerba, etc... marabouth comme à hergla mausolé de sidi Saîd, etc... ). Sur le plan médiatique s'attaquer à eux revient à les remettre à leur place, ils n'ont aucune légitimité et ne sont pas élus par le peuple jusqu'à preuve su contraire....toutes les exactions commises jusqu'à maintenant proviennent du fait que personne ne leur résiste et que les représentant de l'état (force de l'ordre) n'ont pas agit et que eux au nom de l'islam (le leur et pas celui des tunisien) ce sont donnés des droits qu'ils n'ont pas dans la réalité de la loi tunisienne. J'insiste sur la dimension symbolique et médiatique, il faut que les journaux parlent des gens qui ont signé cette pétition et qui se porte parti civile contre el nahdha puisque les salafistes sont des adhérents de ce parti politique et agissent en son nom


Visiteur

#195 Re:

2012-02-25 00:49:25

#1: Mahassen Ferjani -

Mercredi, 22 Février 2012 21:48

120 militaires français, arrêtés, en Syrie?

IRIB- Citant le site syrien Dampress.(http://www.dampress.net/index.php?page=show_det&select_page=6&id=18220), l'IRIB a rapporté l'arrestation de 120 militaires français, en Syrie, par les forces nationales syriennes(http://french.irib.ir/administrator/index.php?option=com_k2&view=item&cid=171517).

Le journaliste français, Thierry Meyssan, qui se trouve, sur place, qualifie cette information d'inexacte et donne sa version des faits  :

 

"La guerre secrète de la France contre le peuple syrien

Lors de la prise du bastion insurgé, dans le quartier de Bab Amr, à Homs, l’armée syrienne a fait plus de 1.500 prisonniers, dont une majorité d’étrangers. Parmi ceux-ci, une douzaine de Français ont requis le statut de prisonnier de guerre, en déclinant leur identité, leur grade et leur unité d’affectation. L’un d’entre eux est colonel du service de transmission de la "DGSE".

En armant la Légion wahhabite et en lui fournissant des renseignements satellitaires, la France a conduit une guerre secrète contre l’armée syrienne, qui a fait plus de 3.000 morts, dans les rangs, et plus de 1.500 morts, parmi les civils, en dix mois de combats.

Ces informations ont été partiellement dévoilées, par Thierry Meyssan, lors d’une intervention sur la première chaîne de télévision russe, le lundi 13 février 2012 ; puis, dans un article, publié, le mardi 14, par "Komsomolskaïa Pravda" ; enfin, dans une vidéo de Voltaire Network TV.

La France a sollicité l’aide de la Fédération de Russie, pour négocier avec la Syrie, la libération des prisonniers de guerre.

Le Réseau Voltaire n’a pas trouvé d’éléments permettant de confirmer les imputations, selon lesquelles, 120 Français auraient été faits prisonniers, à Zabadani. Cette rumeur semble être une exagération de nos informations et paraît sans fondement.

Par ailleurs, le Réseau Voltaire s’interroge sur les articles d’envoyés spéciaux, à Homs, parus, ces derniers jours, dans des quotidiens français : une semaine après la reprise en main du quartier insurgé, et alors que ne subsistent que des combats urbains de faible intensité, ces reporters persistent à décrire une fiction de révolution, masquant la vérité à leurs lecteurs, laissant, ainsi, à Alain Juppé, la possibilité de négocier, en secret, la restitution des prisonniers de guerre.

Le 17 février, Nicolas Sarkozy et David Cameron signaient une déclaration commune. On peut y lire : «La France et le Royaume-Uni soulignent que les personnes responsables des violences, dans toute la Syrie, ne doivent pas douter que le jour viendra où elles devront répondre de leurs actes. La France et le Royaume-Uni réaffirment leur détermination à faire en sorte que des éléments de preuve concernant les crimes soient, dûment, recueillis, afin que les personnes qui ont ordonné ou commis des atrocités puissent rendre des comptes».

En l’absence d’obligation par des traités pertinents, la guerre secrète conduite par le Président Sarkozy et son gouvernement est un acte sans précédent, sous la Ve République. Elle viole l’article 35 de la Constitution et constitue un crime passible de la Haute Cour (article 68)".