CONTRE la loi ESR "Fioraso", parce que POUR la langue française !

#1175: Paul N - Il faut arrêter les faux combats, les combats d'arrière garde

Se sont des gens comme vous qui à force de manque de vision ont tué la France. En recopiant un seul modèle on finira pas détruire ce qui reste de notre pays. Personne ne dit que apprendre et parler bien des langues soit un problème. Ce qui est grave c'est de vouloir favoriser une langue au détriment d'une autre. De toute manière ce la fait longtemps que de spersonnes commes vous souhaitent la dispariton du Français et des autres langues car pour vous celles-ci reprèsentent un obstacle. La France ne pourra jamais plus être une grande puissance si elle n'a pas de cultures si elle n'est plus ce pays différent. Ce que vous souhaitez finalement c'est que la France ressemble aux autres. Cela arrivera mais les meilleurs partiront ailleurs justement. Le problème des universités n'est pas celui des langues mais celui de la qualité.

La France.... en anglais ?

Quand on sait que dans le cadre d'Erasmus les étudiants européens doivent apprendre le Catalan, les étudiants étrangers peuvent bien apprendre le français ! Alternative : autoriser aussi les cours en Allemand, Italien , Espagnol et Portugais.

La commission de notre Assemblée nationale commence l'étude du projet, effectivement l'article 2 pose un problème, je vous invite par ce lien à consulter les débats sur l'article 2 (pour les défenseurs de la langue française c'est du brutal).

http://www.assemblee-nationale.tv/media.12.4258.0

Bon chance à tous !

#1179: JM - Fioraso : top départ à l'Assemblée !

Merci JM.

Vous pourriez commenter directement ici, après la création de votre compte facebook :

 

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10151658340092612&set=a.393974702611.173278.367713397611&type=1&relevant_count=1

 

Cela permmettra d'informer.

Contre cette loi qui n'a aucun sens !!

: Rappel.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE L'UPR
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OBJET : L’UPR demande officiellement audience au Premier ministre, au ministre de l'enseignement supérieur, au secrétaire général de la francophonie et aux secrétaires perpétuels de 4 Académies, pour leur remettre la liste des pétitionnaires contre le projet de loi Fioraso
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texte intégral :

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10151639993807612&set=a.393974702611.173278.367713397611&type=1&theater

"L’UPR demande officiellement audience au Premier ministre"
12 caisses de champagne à gagner si l'audience est acceptée ^^

#1183: - L'UPR l'aura dans le fion

Qui ne conteste consent. C'est votre position de complicité et de tromperie qui pourrit le débat.

 

Que celles et ceux qui viennent aient à apprendre notre langue au même titre que leurs études spécialisées, et que cet enseignement compte autant dans leur cursus. A partir de là nous pourrons accepter qu'une partie de l'enseignement entre étudiants de diverses nationalités puisse se retrouver sur de l'anglais, ou du français la langue du pays qui les reçoit et les forme.

Anonyme trentenaire sans parti (j'y tiens).

Ce projet de loi est inadmissible.
Déjà entre toutes les expressions, les notices en anglais,
cela devient insupportable.

Je suis entièrement pour.

L'espéranto ou autre est une lubie

Gardons nos différences et notre spécificiter dans ce domaine

La Science est le français, impératif!

je suis né FRANCAIS et je parle FRANCAIS que cela déplaise à des personnes d'origine étrangère, ici nous sommes en FRANCE et je rappel que de nombreux Français sont morts pour la FRANCE sinon on parlerait tous allemand

#1193: -

: FAUT ÉLEVER LE NIEAU INTELLECTUEL DES PRIX_NOBEL FRANÇAIS.

: FAUT ÉLEVER LE NIEAU INTELLECTUEL DES PRIX_NOBEL

FRANÇAIS.

 

Au-delà des échanges culturel scientifique et technologique, il y a l'intérêt supérieur de la nation, et l'avenir des générations de francophones dans le monde.

Sans même vous suggérer d'être patriote de temps en temps.

 

La France perd le terrain diplomatique chaque semaine comme elle perd ses entreprises et ses agriculteurs.

Maintenant elle va perdre son instrument de la pensée : la langue.

 

Je rappelle que ce projet-loi-fioraso EST CONTRAIRE À LA CONSTITUTION FRANÇAISE / article 2, que je cite :

« La langue de la nation est le français. »

 

Quiconque contrarie la Constitution est passible de HAUTE TRAHISON ENVERS LA NATION.

 

L'ex-Président Sarkosi a fait supprimer l'article constitutionnel disposant la sanction présidentielle en cas de HAUTE TRAHISION. Le comprenez-vous ?

 

 

Si vos bénéficiaires de prix-nobel ne comprenaient pas cela, il faudra qu'ILS S'ÉLÈVENT ENCORE D'UNE HAUTEUR INTELLECTUELLE.

 

S'ils adorent la langue anglo-usaricaine pour leur professions, ils devraient émigrer aux USA comme un certain Albert Einstein et autre Oppenheimer, Chomsky, Soljenitsyne.

 

Ils devraient cesser d'imposer cette langue étrangère comme langue d'enseignement et bientôt langue nationale française.

 

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Facultés : les cours en anglais sont une chance et une réalité

Article de :
Françoise Barré-Sinoussi (Prix Nobel de médecine),
Vincent Berger (président de l'université Paris-Diderot),
Alain Fuchs (président du CNRS),
Serge Haroche (Prix Nobel de physique et administrateur du Collège de France),
Antoine Petit (directeur général adjoint d'Inria),
Cédric Villani (médaille Fields)

Parmi ses missions fondamentales, le service public de l'enseignement supérieur développe des coopérations internationales et participe notamment à la construction de l'espace européen de l'enseignement supérieur et de la recherche. Les universités développent des échanges scientifiques internationaux et accueillent de nombreux étudiants étrangers. Elles envoient également les étudiants français effectuer des semestres ou des années d'études dans d'autres pays.
Ces échanges internationaux de chercheurs, d'étudiants - sont indispensables pour que notre recherche et notre innovation se maintiennent au meilleur niveau mondial et dynamisent notre économie. Ils renforcent également l'image et le rôle de la France dans le monde. L'étudiant étranger conserve pendant toute sa vie de l'affection pour le pays qui l'a accueilli pendant une partie de sa jeunesse.

La loi sur l'enseignement supérieur et la recherche en passe d'être examinée par l'Assemblée nationale est pourtant l'occasion d'une querelle déconcertante. La loi propose d'autoriser l'enseignement dans une langue étrangère dans les universités, ce qui est, en principe, toujours impossible aujourd'hui, depuis la loi Toubon qui date du siècle dernier (1994). Les universitaires ont, pour nombre d'entre eux, oublié cette interdiction et l'anglais s'est déjà de facto introduit dans les salles de cours.

On recense ainsi plusieurs centaines de masters en France dans lesquels on enseigne en anglais. Les voix qui s'élèvent au nom de la défense de la langue française nous paraissent donc totalement décalées par rapport à la réalité universitaire contemporaine, mais aussi gravement contre-productives pour ce qui concerne les intérêts de la France et de la francophonie.

Sauf dans des disciplines très particulières, les scientifiques du monde entier utilisent l'anglais pour communiquer. L'anglais est choisi pour l'immense majorité des publications scientifiques et des conférences internationales. En conséquence les étudiants en thèse dans les laboratoires doivent très vite maîtriser l'écriture scientifique, l'expression orale dans cette langue et sa compréhension. C'est pourquoi la plupart des principales universités à travers le monde, y compris dans des pays non anglophones, proposent des cours ou des cursus complets de master en anglais. Cette offre leur permet d'accueillir facilement les étudiants du monde entier - en particulier français -, de les préparer à l'anglais dans leur spécialité - ou plus exactement au "global english" ou "globish" de leur science - et de mieux les insérer dans leur futur travail de jeune chercheur.

Au-delà de l'intérêt scientifique, l'enseignement en anglais permet d'attirer des étudiants étrangers en provenance de pays dont les jeunes s'orientent majoritairement vers des pays anglophones. Si l'enseignement supérieur français conserve une attractivité internationale importante - avec près de 300 000 étudiants étrangers, la France est cinquième derrière les Etats Unis, le Royaume-Uni, l'Australie et l'Allemagne -, cette attractivité se révèle très hétérogène et extrêmement faible pour certaines nationalités (la Corée, l'Inde ou le Brésil, par exemple).

La raison principale est la barrière de la langue dans nos cursus, et davantage de cours en anglais permettraient de les convaincre. Quel dommage que la France se prive de ces étudiants ! Ajoutons qu'ils auraient pour la plupart eu à coeur d'apprendre le français en vivant dans notre pays, par exemple en suivant des cours de français langue étrangère que leur offrent par ailleurs nos universités. Le "global english" dont il est question ici n'est qu'une langue véhiculaire, qui, partout où on la parle, ne fait que se rajouter aux autres langues sans s'y substituer.

Il n'est pas ici question de contraindre les enseignants qui ne le souhaitent pas à enseigner en anglais. Le projet de loi n'entravera aucun enseignant. Dans le respect du principe d'indépendance des enseignants-chercheurs, il rend davantage de choses possibles, il dynamise leur recherche, il favorise l'insertion de la France dans le monde en renforçant son attractivité. Il renforce la France et, avec elle, la francophonie.

#2: -

Si peu d'articles des nouvelles générations sont intelligemment écrits en français c'est, d'une part, que le français n'est presque plus enseigné correctement, d'une part (mauvais apprentissage, ou absence d'apprentissage, de la lecture, de l'analyse grammaticale et logique, des langues anciennes, du vocabulaire), ne donnant pas aux étudiants les structures mentales et le langage nécessaire pour s'exprimer ; d'autre part que dans les matières dites scientifiques les étudiants souffrent généralement, et depuis longtemps, d'un déficit de formation générale et linguistique. Par ailleurs dans le domaine de l'économie notamment tout pousse à s'exprimer en anglais.

Enfin vivre avec son temps n'a guère de rapport avec le principe de respect des grandes langues nationales, surtout lorsqu'elles ont gagné avec le temps des richesses exceptionnelles et le prestige en rapport auprès des élites cultivées.

Le seul problème est de trouver des gens pour enseigner le français, en un temps (il nous faut vivre avec hélas) où l'on est agressé dès le petit déjeuner et jusqu'à la nuit tombée de barbarismes en tous genres !

#1196: -

: FAUT ÉLEVER LE NIVEAU INTELLECTUEL DES PRIX_NOBEL FRANÇAIS.

 

Au-delà des échanges culturel scientifique et technologique, il y a l'intérêt supérieur de la nation, et l'avenir des générations de francophones dans le monde.

Sans même vous suggérer d'être patriote de temps en temps.

 

La France perd le terrain diplomatique chaque semaine comme elle perd ses entreprises et ses agriculteurs.

Maintenant elle va perdre son instrument de la pensée : la langue.

 

Je rappelle que ce projet-loi-fioraso EST CONTRAIRE À LA CONSTITUTION FRANÇAISE / article 2, que je cite :

« La langue de la nation est le français. »

 

Quiconque contrarie la Constitution est passible de HAUTE TRAHISON ENVERS LA NATION.

 

L'ex-Président Sarkosi a fait supprimer l'article constitutionnel disposant la sanction présidentielle en cas de HAUTE TRAHISION. Le comprenez-vous ?

 

Si vos bénéficiaires de prix-nobel ne comprenaient pas cela, il faudrait qu'ILS S'ÉLÈVENT ENCORE D'UNE HAUTEUR INTELLECTUELLE.

 

S'ils adorent la langue anglo-usaricaine pour leur professions, ils devraient émigrer aux USA comme un certain Albert Einstein et autre Oppenheimer, Chomsky, Soljenitsyne.

 

Ils devraient cesser d'imposer cette langue étrangère comme langue d'enseignement et bientôt langue nationale française.

 

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Marre de l'omniprésence de l'anglais ! On a une si belle langue, défendons-la, que diable ! Fi ! J'enrage ! Diantre !

que font les quarantes "endormies" ? de l academie française?