Ne laissons pas brader la santé des femmes

Contacter l'auteur de la pétition

Ce sujet de conversation a été automatiquement créé pour la pétition Ne laissons pas brader la santé des femmes.


Visiteur

#676 Re:

2014-01-24 20:59

#675: -

Je trouve ça finalement très drôle car à la lecture de tous les commentaires de médecins qui sont contre les revendications des sages femmes je dirai même contre les sages femmes tous court, ce qui ressort en conclusion ( j'ai fait lire des non professionels de santé, des patients lambda) c'est que les médecins ont peur de perdre leur gagne pain si les sages femmes obtiennent ce qu'elles veulent!!!

plutôt amusant quand on lit votre commentaire qui retourne la situation dans le sens inverse !

le fric c'est pas notre priorité sinon ça ferai longtemps qu'on aurait changé de métier, même des nuits à la chaîne en usine sont mieux payées ( et tant mieux pour les ouvriers)... Mais l'appât du gain au dépend des patients est me semble t-il depuis tous temps une spécialité de certains médecins !!

Moi aussi au départ vous me donniez la nausée et bien aujourd'hui j'en rigole, votre archarnement à démonter tous ce que peuvent dire les sages femmes en devient ridicule et le ridicule finit par faire rire!!!


Visiteur

#677 Re: Re: j hallucine 2 le retour

2014-01-24 21:07

#674: - Re: j hallucine 2 le retour

Si si j'avais bien lu. Le fait que MG France soutienne ne valide pas plus à mes yeux cette demande que je trouve grotesque (je peux garder mon libre arbitre aussi)

Vous ne voyez les choses qu'à travers votre "trou de la lorgnette" : vous ne connaissez que la maïeutique (et apparemment maintenant aussi toute la gynéco sur le bout des doigts :-O ) donc vous pensez qu'on peut individualiser comme ça des motifs de consult "première consult grossesse" bientôt il y aura "post partum" "première consult gynéco" "renouvellement contraception" ...? Vous pensez qu'on peut saucissonner toute la médecine ? il y aura alors "première consult HTA" "renouvellement taritement HTA" "changement traitement HTA".....combien de motifs de consult différents ?? 2000 ? 5000 ?

Dans vos revendications actuelles vous ne vous rendez même pas compte que vous demandez des mesures exceptionnelles qui n'ont jamais été accordées aux autres professionnels de santé.

Mais comment ferez vous le jour où la patiente venue pour le motif 22 "renouvellement de contraception" vous révelle des problèmes conjugaux, fond en larme devant vous, vous l'écoutez, vous parlez avec elle ... ouh là là cata l'heure tourne et le motif 22 tarife à 23 euros.

Ben oui c'est la vie il y a des motifs de consult plus long que d'autres c'est le quotidien de tous les médecins, et pour autant les professionnels consciencieux (si si il en existe aussi chez les médecins malgré ce que vous voulez laisser croire) passent le temps qu'il faut avec les patients, que ce soit valorisé ou non. Et oui le temps passé avec les patients pour une activité clinique sans acte n'a jamais bien été valorisée...vous pensez encore une fois que la CPAM va faire une exception pour vous...quel culot !!!!


Visiteur

#678 Re: Re:

2014-01-24 21:10

#676: - Re:

Vous avez fait lire les commentaires de cette pétition à des "patients lambda" ??? Les bras m'en tombent (et la nausée me reprend, à moi aussi). Mais que faites vous en consult ? de la propagande ou de la "médecine" (cf profession médicale)


Visiteur

#679 Re: Re:

2014-01-24 21:12

#676: - Re:

C'est bien vous êtes fière de faire de la propagande, félicitations. Je n'ai même pas envie de developper tellement ce que vous dites est bas.Vous êtes pitoyable. J'ai vraiment honte pour vous.

Non vraiment, vous ne me faites pas rire, mais plutôt peur.


Visiteur

#680 Re: Re: Re:

2014-01-24 21:13

MG qui ne comprend pas

#681 soutien de MG France???

2014-01-24 21:21

je pense qu'a les entendre, il faut juste attendre un peu, et bientôt elles vont perdre aussi le soutien des MG...
Vraiment elles savent se faire entendre les SF en politique...
Bravo Me

PS : Malgré tout je ne comprends pas que MG France vous soutienne... c'est vraiment dévaloriser notre profession... Leur profession.

Visiteur

#682 Re: Re: Re:

2014-01-24 21:27

#679: - Re: Re:

Ah oui pour vous propagande veut dire informer , les patients ont le droit de savoir que vous vous bâtez pour garder le monopole ancestral de votre exercice et pour répondre à ce que je fais en consult contrairement à ce que vous pensez je prends le temps et je réponds à leur questions et la guerre guerre dr /sf les laissent sans voix! Car ne croyait pas que votre révolte est restée secrète, et pour vous rassurer ils ont lu les publications officielles mais vous en avez peut être honte!

De toute façon je pourrais répondre n'importe quoi, vous trouveriez un moyen de me contredire, m'insulter et dénigrer ma profession et me dire que je suis un danger pour les femmes. Et bien si cela vous fais plaisir faites le cela ne m'empêchera de pratiquer ce que j'ai appris alors bonne continuation à vous et continuez à faire voir au yeux de tous à quels point les médecins sont "respectueux et tolérants" !!!! ....

Sinon peut être que vous devriez faire remonter tous vos ressentiment à vos représentants des groupes de travaux au ministère car à priori ils ne vont pas dans votre sens, c''est dommage !

bon vent


Visiteur

#683 Re: soutien de MG France???

2014-01-24 21:29

#681: MG qui ne comprend pas - soutien de MG France???

ou peut-être que

MG France a compris d'une façon différente les revendications et les a interprétées en faveur des patients !


Visiteur

#684 ça s'annonce mal

2014-01-24 21:32

Depuis des mois, les revendications des SF évoluent...

Au départ, une simple revalorisation, puis un statut PH, puis premier recours... maintenant le salaire..

De plus, elles menacent de mettre des bâtons dans les roues des GO, en faisant appel a eux toutes les 10 min durant les nuits pour les ennuyer, ou de ne pas transmettre leurs capacités...

Bref vraiment elles oublient ce pourquoi elles revendiquent... Les femmes!
Tout ceci révèlent la dangerosité de leurs revendications.

Ps : Le GO n'a pas que cela a faire, il peut aussi être appelé au bloc pour une GEU, une salpingite, ou une mastectomie neoplasique... Et je pense qu'elles devraient le savoir et faire appel aux GO seulement lorsque l'accouchement dépasse leurs fonctions. Bref encore un peu d'abération!

Visiteur

#685 Re: Re: Re: Re:

2014-01-24 21:36

#682: - Re: Re: Re:

5 syndicats contre vous...

je vous renvois le compliment... "c'est dommage !"

Arrêtez de fantasmer. Oui nous sommes contre vos pratiques qui essayent de ralier les patientes... c'est vraiiment pas déontologique!

Moi ce sont mes patients qui me parlent de ce conflit, je devis toujours la discussion sur autres choses. Mais ils semblent aussi effarés face a votre culot de vous comparer a un médecin.

Je site " Elles ne sont pas médecins quand même??!!"

 

Bon Vent


Visiteur

#686 Re: Re: soutien de MG France???

2014-01-24 21:40

#683: - Re: soutien de MG France???

A lire les commentaires des sage femmes qui révèlent leurs dangerosités, je pense qu'ils se trompent...


Visiteur

#688

2014-01-24 22:06

Eh bien à ce moment là il faut faire disparaître une profession pour assurer la sécurité des femmes, c'est ce que vous proposer parce que nous sommes DANGEUREUSES ? allez au bout de vos idées, ne soyez pas hypocrites et assumez, stop il faut nous suspendre tout de suite, dissoudre le conseils de l'ordre... attention il va y avoir des morts !!! C'est bien connu les sages femmes donnent plus souvent la mort que la vie !

Vous trouvez ces propos ridicules vous diriez même "pitoyables", que ça "vous donne la nausée" et bien c'est vrai mais ce n'est que le reflet des vôtres.

Visiteur

#689 europe 1

2014-01-24 22:50

Deux syndicats craignent que l’évolution de leur statut amène des dérives néfastes pour les patientes.

L’INFO. Ils n’ont pas tiré sur l’ambulance, mais plutôt sur la salle d’accouchement. Deux syndicats de médecins ont fait part de leur inquiétude quant à l’évolution du statut réclamé par les sages-femmes depuis mi-octobre. Dans des communiqués distincts, une intersyndicale de médecins praticiens et le syndicat des gynécologue montrent leur crainte que plus d’autonomie viennent “destructurer” les équipes soignantes. L’avertissement tombe alors que de nouvelles négociations vont se dérouler au ministère de la Santé mercredi.

“Des tensions délétères”. En premier lieu, les praticiens s’inquiètent de la longueur du mouvement de grogne des sages-femmes. Selon cinq intersyndicales de praticiens hospitaliers, même si le “déficit de reconnaissance des sages-femmes doit être entendu rapidement”, leur grève pose problème. Dans un communiqué, le collectif de syndicat dénonce des “tensions délétères pour l’ensemble des professions qui les côtoient”.

Inquiétude sur les négociations. Mais plus que la situation actuelle, les médecins craignent que les tractations en cours ne viennent détruire un équilibre, selon eux, indispensable pour “maintenir la sécurité” des patientes. Le syndicat national des gynécologues obstétriciens de France (Syngof) va plus loin. Selon un de ses communiqués, l’autonomisation vis-à-vis de la fonction publique hospitalière que réclament les sages-femmes “ne peut se faire au péril des patientes”.

Il rapporte pourtant que “de différentes régions remontent des accidents, par exemple après pose inadéquate de stérilet”. L’information sur les compétences des sages-femmes ne doit pas laisser croire qu’elles “peuvent en toute sécurité, assurer le suivi gynécologique au même titre que les docteurs en médecine”, pointe le Syngof. “Il faut aussi que les sages-femmes sachent que ceux qui les flattent aujourd’hui, (...) ne seront pas à leurs côtés le jour où leur responsabilité sera engagée”, conclut, plus menaçant, le syndicat.

Trois mois de grève. Depuis le 16 octobre, date du début de leur grève, les sages-femmes se plaignent d’un manque global de reconnaissance. Payées 1.600 euros par mois en début de carrière, leur salaire monte généralement à 2.200 euros après 30 ans. Des revenus insuffisants pour un personnel qui se voit confier des missions toujours plus nombreuses pour faire face à la diminution du nombre de gynécologues.

Afin d’assurer l’ensemble de leurs fonctions, les sage-femme font pourtant cinq ans d’études. Elles doivent passer le tronc commun des écoles de médecine et suivent ensuite un parcours de quatre ans dans des écoles de sages-femmes ou au sein des universités. A titre de comparaison, la formation de base des infirmiers est de trois ans, celle des médecins généralistes de neuf ans.

Visiteur

#690 france 5

2014-01-24 22:54

Les sages-femmes sont en grève depuis le 16 octobre à l'appel d'un collectif, qui demande que les professionnelles exerçant à l'hôpital puissent sortir de la fonction publique et obtenir un statut de praticien hospitalier sur le modèle des médecins (voir encadré).



Actuellement, les sages femmes dépendent du statut de la fonction publique hospitalière, "qui concerne les professionnels non-médicaux (comme les soignants paramédicaux ou les personnels administratifs de l’hôpital)", expliquait Myriam Kheniche, sage-femme, dans le "Magazine de la santé" le 16 décembre 2013. "Nous demandons [...] un réel statut à l'hôpital, au même titre que les autres professions médicales. Ce statut nous permettrait de pouvoir diriger des filières et de faire de la recherche."

Le "déficit de reconnaissance des sages-femmes doit être entendu rapidement, car ce mouvement génère notamment dans les salles d'accouchement des tensions délétères pour l'ensemble des professions qui les côtoient, et à terme pour les femmes", admettent cinq intersyndicales de praticiens hospitaliers (SNAM-HP, INPH, CPH, CMH, Avenir Hospitalier) dans un communiqué.

"Déstructuration des équipes"

"Pour autant, nous alertons les pouvoirs publics sur les conséquences de déstructuration des équipes actuellement engagées auprès des femmes, et de l'équilibre actuel centré sur le pluri-professionnel et la complémentarité. Un accouchement dit physiologique devient rapidement à risque, et c'est le rassemblement d'équipes soudées autour de protocoles partagés qui permet de maintenir la sécurité des parturientes."

Les intersyndicales mettent également en garde "l'ensemble des sages-femmes et les pouvoirs publics sur l'aventurisme qui consisterait pour elles à sortir de la fonction publique hospitalière, pour se diriger vers un statut de praticien hospitalier".

De son côté, le syndicat national des gynécologues obstétriciens de France (Syngof) "entend alerter les pouvoirs publics sur les conséquences des dérapages dans la pratique de certaines sages-femmes".

"L'autonomisation des sages-femmes, portée par le climat d'effervescence actuel, ne peut se faire au péril des patientes. C'est pourtant le cas si les sages-femmes dévient vers le suivi gynécologique au-delà de la physiologie à laquelle se limitent leurs compétences", estime le syndicat.

Selon lui, "de différentes régions remontent des accidents, par exemple après pose inadéquate de stérilet, non diagnostiquée par les sages-femmes".

L'information sur les compétences des sages-femmes ne doit pas laisser croire qu'elles "peuvent en toute sécurité, assurer le suivi gynécologique au même titre que les docteurs en médecine", pointe encore le Syngof

Visiteur

#691 cngof

2014-01-24 23:25

Les Intersyndicales signataires suivent très attentivement le mouvement des sages femmes évoluant depuis 3 mois, et ne comprendraient pas ne pas être associées aux discussions en cours, en tant que leurs partenaires au quotidien auprès des femmes et en salle d’accouchement.
Ce mouvement, qui prend racine dans une démographie pléthorique, témoigne d’un déficit global de reconnaissance : rémunérations en comparaison avec celles des infirmières spécialisées, définition ambiguë de leurs tâches, en raison du « caractère médical à compétence définie » de leur profession, place donnée au sein de la gouvernance hospitalière à leurs cadres, valeurs universitaires de leurs enseignantes.
Ce déficit de reconnaissance doit être entendu rapidement, car ce mouvement génère notamment dans les salles d’accouchement des tensions délétères pour l’ensemble des professions qui les côtoient, et à terme pour les femmes.
Pour autant, nous alertons les pouvoirs publics sur les conséquences de déstructuration des équipes actuellement engagées auprès des femmes, et de l’équilibre actuel centré sur le pluri-professionnel et la complémentarité. Un accouchement dit physiologique devient rapidement à risque, et c’est le rassemblement d’équipes soudées autour de protocoles partagés qui permet de maintenir la sécurité des parturientes.
Nous alertons également l’ensemble des sages femmes et les pouvoirs publics sur l’aventurisme qui consisterait pour elles à sortir de la Fonction Publique Hospitalière, pour se diriger vers un statut de praticien hospitalier, dont nous connaissons bien pour essayer de le sécuriser, les conditions délétères (temps de travail mal réglementé, conditions de retraite dramatiques, soumission croissante à la hiérarchie hospitalière depuis HPST).
Des négociations statutaires et salariales doivent s’engager rapidement pour une filière sages femmes spécifique, avec définition précise de leur métier reconnaissant leurs valeurs au sein d’une équipe pluri disciplinaire, que ce soit pour le dépistage et la prévention organisés, ou le suivi des grossesses ou l’accouchement. Les filières dites physiologiques en cours d’expérimentation doivent être dûment évaluées avant de décider de leur extension. Le libre choix de la patiente doit être respecté, de même que les recommandations professionnelles.
L’encadrement sages femmes doit avoir sa juste place au sein de la gouvernance hospitalière. L’enseignement doit être identifié et valorisé au sein de l’université avec une filière spécifique en maïeutique, un statut universitaire pour les enseignantes, en veillant à l’articulation et la complémentarité avec l’enseignement des médecins généralistes, gynécologues et obstétriciens, et pédiatres.
Nous engageons les pouvoirs publics à rapidement régler ce conflit, et à mesurer les lourdes conséquences de décisions qui bouleverseraient l’équilibre bien fragilisé de l’hôpital.

Visiteur

#692

2014-01-25 00:20

Je suis medecin gynéco et j'ai signé cette pétition... Par contre je suis consterné par les commentaires de mes confrères. Vos commentaires n'élèvent pas le débat! Je ne cautionne absolument pas ces propos insultants et diffamatoires. Il ne faut pas non plus exagérer!!! Je crois que je vais retirer ma signature car cette pétition et ces commentaires ne vont pas dans le sens de ma pensée. Je sais que certains confrères n'ont d'ailleurs pas signé suite à la lecture des commentaires violents de certains médecins.
Cela ne montre pas une belle image des gynécologues...

Visiteur

#693 Re:

2014-01-25 08:36

#692: -

Bonjour,

ya des brebits galeuses dans tous les clans... pour autant, ne pas confondre l'individu et la cause générale... ce n'est pas parce qu'un conducteur grille un feu rouge, que tous les conducteurs sont des cons et que la circulation automobile doit être  une chose à banir...

Bien entendu, dans tout groupe d'idée, vous ne pouvez pas aimer tous les sympatisants... nénamoins, le but est de défendre une cause à laquelle on croit... mais pas les personnes qui la défendent...


Anonyme

#694 Re: Re: SF?Pour les ignorants des 658 et 659

2014-01-25 16:32

#667: sfsanscomplexes - Re: SF?Pour les ignorants des 658 et 659 notre sigle veut dire Soit Fière;

La, c'est carrément Super Frime, Sans Fondement pour des Sacs à Fric


Visiteur

#695 Re: Re: Re: SF?Pour les ignorants des 658 et 659

2014-01-25 16:52

#694: - Re: Re: SF?Pour les ignorants des 658 et 659

Ceci est d'une très grande utilité et fait bien avancer le débat bravo !

une sage femme

#696 tout ca est typiquement francais...

2014-01-25 22:01

vous ne comprenez pas qu'une meilleure collaboration améliorerait les indicateurs de périnatalité? c'est quand même un comble qu'après tant d'années d'études vous ne vous penchiez pas plus sur celle de la cochrane. Les Sf aujourd'hui ne demande pas plus d'autonomie sur le terrain: arrêtez de faire croire que pendant vos gardes vous êtes dérangés toutes les 10 minutes la nuit c'est faux... Nous hospitalisons les patientes sur prescription téléphoniques n'est ce pas lorsque nous avons évalué que l'urgence n'est pas vitale ... et ca vous arrange bien, je me trompe? Jusqu'à aujourd'hui, en tant que sf j'ai toujours fait tampon entre les patientes et gynéco pour calmer justement les tensions sur ce sujet: les patients ne sont pas dupes et nous voient faire... tout le monde sait que les doc préfèrent dormir et diférer une echographie de contrôle à 8 h du matin plutôt que de la faire à 3 heures... c'est humain. Mais ne pas reconnaitre notre travail la nuit, les we, le jour en semaine... allons... Pourquoi ne pas réfléchir à une meilleure collaboration? laissez nous faire notre travail et faites le vôtre... la menace du collectif est sur le durcissement de la grêve est justement basée sur ca: combien de prescrition par telephone, combien de situations gérées sans les GO pour vous préserver vos heures de nuit grassement payées par rapport aux nôtres... là ou je suis d'accord c'est que nous ne devons pas être payés comme vous par consultation : nous n'avons pas le même nombre d'étude... mais quand vous suivez une grossesse physio (donc quand vous faites du boulot de sf) dites vous que 5 ans d'études auraient suffit... que d'années perdues!
Annie

#697 Confiance

2014-01-26 07:54

Vu l'ambiance qui doit régner dans les maternités, je crois que je vais aller passer mes derniers mois de grossesse et accoucher chez mes beaux-parents en Allemagne

Visiteur

#698 Re: tout ca est typiquement francais...

2014-01-26 09:00

#696: une sage femme - tout ca est typiquement francais...

"Vos heures de nuit grassement payées par rapport aux nôtres" c'est la phrase de trop pour quelqu'un qui défend la collaboration entre professionnels !!!

Petit

t rappel :les gardes de nuit des médecins sont en plus des horaires hebdo (en général c'est au moins 50h d heures "de jour"). Pour les SF les gardes de nuit font partie des 35h hebdo. Donc je ne trouve pas fou que la garde de medecin soit payée en plus. Une garde de PHU = 473 euros bruts pour 12 heures. (NB on arrive à un total moyen de 70h par semaine quelle autre profession fait autant d heures ?). Donc cela me semble plutôt logique également que au milieu de ces 70h le gyneco ne soit pas sollicité en permanence et pour tout en pleine nuit.

 

 

Merci de calculer votre salaire total rapporte aux 35h par semaine (et en prenant en compte le nombre de semaines de congés et RTT),  et celui d'un PH à 70h. Qu on arrête encore de faire passer les médecins pour des gens nantis ou intéressés par l argent (surtout les médecins hospitaliers !!!!).


Visiteur

#699 Ré 698

2014-01-26 09:11

Bien d accord avec vous, les commentaires des Sfemmes sont honteux, à vouloir faire passer les gynécologues pour ce qu ils ne sont pas. Un seul mot me vient à l esprit: pour qui se prennent-elles? Qui elles sont pour juger les salaires des médecins? Un peu d humilité et de raison ne leur fairaient pas de mal...

Visiteur

#700 Une maman

2014-01-26 10:35

Je soutiens les sages-femmes... Et oui elles manquent de reconnaissance et souvent on découvre cette profession au moment d'une grossesse.Leur professionnalisme est une évidence pour toute femme qui a accouché! Et ce métier est une passion pour grand nombre d'entre elles. Les femmes ne connaissent pas suffisamment toutes leurs compétences. Vouloir faire croire qu'elles sont incompétentes me choque surtout lorsque cela vient de médecins. Ayant accouché à l'hôpital j'ai été suivi et accouché par une sage-femme, je pense donc que les médecins leur font confiance sinon cela ne se passerait pas ainsi, en tout cas cela n'a pas l'air d'inquiéter les chefs de maternité puisque cela est organisé ainsi.