Ne laissons pas brader la santé des femmes
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#751 Re:2014-01-29 22:17des petit chiffres sur la mortinatalité... on y apprend que 40-50% des morts nés en franc eserait du a l'IMG |
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#752 lettre Wattiez gyn monaco2014-01-30 09:19Chers collègues, chers amis, C’est un immense honneur qui m’a été fait que de me proposer la présidence du congrès GynMonaco 2014. C’est avec grand plaisir que j’ai accepté. Pour l’hyper spécialiste que je suis, habitué aux groupes d’intérêt et autres workshops spécialisés, l’opportunité qui m’est donnée de m’exposer avec mes confrères aux autres facettes de la gynécologie est excitante. Récemment, j’écoutais aux Etats-Unis, un de nos illustres collègues disserter sur : pourquoi le O devait se séparer du G. Il sous-entendait que les obstétriciens et les gynécologues n’auraient plus grand chose en commun. Loin de moi le désir de participer à ce débat, mais en considérant la richesse du programme qui nous est proposé à Monaco, je me dis que nous avons de la chance, nous Gynécologues-Obstétriciens d’être confrontés à une spécialité si large. |
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#753 Le collectif interassociatif autour de la naissance dénonce la campagne de dénigrement2014-01-30 22:04Communiqué de presse 30 janvier 2014 Le CIANE dénonce la campagne de dénigrement à l’encontre des sages-femmes Depuis plusieurs mois, les sages-femmes sont mobilisées pour réclamer une meilleure reconnaissance de leur rôle et de leurs compétences: elles demandent notamment qu’une information soit délivrée sur leurs capacités à assurer un suivi gynécologique et un suivi de grossesse - hors des situations pathologiques pour lesquelles elles orientent les femmes vers d’autres professionnels - et souhaitent pouvoir figurer parmi les professionnels de premier recours en ce qui concerne ces activités. Le CIANE est attaché à ce que les femmes gardent la possibilité de s’orienter vers le professionnel de leur choix - mais une restriction de ce choix n’est apparemment pas visée par les revendications des sages-femmes. Dans cette configuration, il n’y a aucune raison de s’opposer à leur demande d’une meilleure mise en visibilité des compétences qui leur sont reconnues. En revanche, le CIANE est extrêmement choqué par la campagne de dénigrement lancée, non par quelques médecins obscurs, mais par rien moins que le SYNGOF (Syndicat National des Gynécologues Obstétriciens Français) et la FNCGM (Fédération Nationale des Collèges de Gynécologie Médicale). Pour le SYNGOF1, l’autonomisation des sages-femmes mettraient en “péril” les patientes: “différentes régions remontent des accidents, par exemple après pose inadéquate de stérilet, non diagnostiquée par les sages-femmes” disent-ils; en l’absence d’éléments concrets, difficile d’en juger - ils refusent de “dénoncer individuellement ces pratiques”, scrupule bien commode quand il s’agit d’instiller le doute et de se maintenir dans le registre de l’insinuation. S’il y a des problèmes graves, qu’ils soient rendus publics - qu’ils concernent des sages-femmes ou des médecins - qu’ils soient discutés, analysés et que des solutions soient proposées! En fait, le SYNGOF ne se prononce pas ouvertement contre les demandes des sages-femmes d’une plus grande reconnaissance, mais suggère que, derrière ces demandes, se cacherait une volonté d’outrepasser leurs limites; l’utilisation récurrente de termes comme “alerte”, “péril”, “dérapage”, “accidents”, “sécurité”, “garde-fou”, “dérive”, “dangereux”, associés à la pratique des sages-femmes est pour le moins troublante et tend à décrédibiliser cette profession, à l’inverse de ce qu’elle réclame. La FNCGM2 ne s’embarrasse pas de tant de précautions: pour elle, accéder aux demandes des sages-femmes, c’est “brader la santé des femmes et revenir loin en arrière”. Le constat est simple et clair: les sages-femmes n’ont pas les compétences requises pour assurer ce suivi et penser autrement serait s’engager sur une pente dangereuse. Au passage, elles ne sont créditées que de 4 ans d’études (alors qu’elles en font actuellement 5, la première année oubliée étant commune aux études de médecine) comparés aux 10-12 ans des médecins. A aucun endroit, la profession de sage-femme n’est évoquée de manière positive, la “qualité” étant invariablement associée à la profession de médecin. On peut bien entendu être en désaccord avec les revendications des sages-femmes. Cependant, on pourrait s’attendre, venant d’une profession qui se targue de tant d’années d’études, scientifiques de surcroît, à un argumentaire raisonnablement étayé et non aux insinuations et aux invectives que l’on constate et qui sont indignes de leurs auteurs. Cette attitude traduit un mépris manifeste non seulement à l’égard des sages-femmes mais aussi des femmes elles-mêmes: rappelons qu’en France, dans l’hôpital public en tout cas, les sages- femmes suivent les grossesses et qu’elles sont les seules à accompagner de bout en bout l’accouchement sans complications; ce sont elles qui sont chargées de “différencier une situation normale d'une situation pathologique”, ce qu’elles seraient incapables de faire selon la FNCGM dans des situations qui paraissent pourtant à première vue plutôt plus simples comme celle d’une première consultation gynécologique ou du choix d’une méthode contraceptive. En jetant le discrédit sur les sages-femmes, le SYNGOF et la FNCGM peuvent peut-être inquiéter les femmes les plus vulnérables, les moins informées. Plus profondément, tant par leurs déclarations que par leur comportement, ils minent la confiance du public à l’égard des professions de santé. C’est non seulement une faute morale mais une erreur stratégique qui pourrait se retourner contre les professionnels dans leur ensemble. Le Collectif interassociatif autour de la naissance (CIANE) est un collectif d'associations agréé pour la représentation des usagers dans le système de santé. Il réunit une quarantaine d’associations françaises d’usagers de la santé concernés par les questions relatives à la grossesse, à la naissance et aux premiers jours de la vie. Le CIANE a développé une expertise collective appuyée sur l’expérience des associations, valorisée dans des partenariats avec des professionnels (HAS, CNGOF). Il milite auprès des pouvoirs publics pour le respect des parents, de leurs droits et de leurs choix, et réclame une information complète et loyale sur les choix qui se présentent aux parents. http://ciane.net/blog/ CIANE, 9 rue Boulitte, 75014 Paris Contact : Chantal Ducroux-Schouwey, 06 02 53 40 30 presse@ciane.net |
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#754 suivi gynécologique et contraception2014-01-31 06:07"Dans des situations qui à première vue paraissent pourtant plus simple s comme celle d une première consultation gynécologique ou le choix d une méthode contraceptive" Ben oui c'est bien "à première vue", car à y regarder de plus près, c'est plus compliqué que cela et personnellement j utilise mes compétences médicales générales quotidiennement pour une bonne prise en charge gynécologique globale. Je ne sais pas comment je pourrais pratiquer la gynécologie autrement. Je pense que la prise en charge gyneco entre un médecin et une SF est donc forcément différente (je ne parle que de la prise en charge gyneco et non du suivi de grossesse). Je suis cependant rassurée que les SF demandent le libre choix aux femmes, ce qui n était pas très clair jusque là. |
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#755 Re: Le collectif interassociatif autour de la naissance dénonce la campagne de dénigrement2014-01-31 07:21#753: - Le collectif interassociatif autour de la naissance dénonce la campagne de dénigrement "une campagne de dénigrement à l'encontre des sages femmes"??? Mais de qui se moque t'on? Ca fait 6 mois que les SF sont en greve et prétendent etre meilleurs que les gyneco en utilisant des "études" et en ne parlant que des chiffres qui les arrangent et omettant de dire ceux qui ne vont pas en leur sens, aboutissant à une distorsion complète de la réalité. La campagne de dénigrement est plutot mené par les sages femmes à l'encontre des gyneco. Et ceux jusque dans les salles d'accouchement où, profitant de l'état de dépendance des femmes qui sont en train d'accoucher, elles tentent de faire passer leur message. "Le CIANE est attaché à ce que les femmes gardent la possibilité de s’orienter vers le professionnel de leur choix": je crois que vous n'avez pas bien compris ce que siginfie statut de praticien de premier recours. Ca veut tout simplement dire que les femmes avant de voir un gyneco devront d'abord consulter une SF qui autorisera (ou pas) à consulter un gyneco sous peine de ne pas etre remboursé par la sécu. Cela veut dire que si vous consultez une SF est un peu trop sure d'elle et un peu trop prétentieuse quant à ses capacités elle vous empêchera de voir le gyneco et vous serez alors mal prise en charge. Comme l'humilité ne semble pas être la qualité des SF, il semble que ce statut fasse effectivement courir un risque aux femmes. Si vous êtes effectivement attaché au libre choix du professionnel qui vous prendra en charge alors vous devriez signer cette pétition.
La vérité c'est que depuis 6 mois les SF agissent de facon sournoise affichant clairement leur revendications les plus légitime (la revalorisation salariale par ex) pour mieux camoufler des revendications complètement folles (comme la demande du statut de praticien premier recours), aboutissant à une odieuse manipulation et une perversion de la relation privolégiée qu'elles entrtetiennent avec les patientes. |
sf leluyer |
#756 soutien des usagers2014-01-31 09:15pour reprendre les post précédents, heureusement vous ne bernez pas les usagers! faire peur, être agressif quand on n'a pas d'arguments à opposer est la solution...les femmes ont aussi des cerveaux n'est-ce pas? en démontre ce communiqué de presse qui expose bien la situation: http://ciane.net/blog/2014/01/le-ciane-denonce-la-campagne-de-denigrement-a-l%E2%80%99encontre-des-sages-femmes/ |
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#757 Re: soutien des usagers2014-01-31 09:37#756: sf leluyer - soutien des usagers Vous nous mettez le lien du communiqué qui a été copier/coller dans le commentaire #753. Ceci démontre bien le peu d'arguments que vous avez, puisque vous répétez toujours la meme chose qui est de surcroit erroné. La répétition n'a jamais permis a des informations fausses de devenir vrai |
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#758 Pression médiatique des SF : nième communiqué de presse2014-01-31 12:54Vous nous les gonflez à la fin...Extrait du nième communiqué de presse des SF (site ONSSF) "Le constat est simple : Il n’y a pas assez de médecins gynécologues pour assurer le suivi de toutes les femmes en France, de plus cette population médicale est vieillissante et exerce essentiellement en milieu urbain et 66% des gynécologues sont en secteur 2 avec un montant moyen de dépassement à 83%." : (au passage merci pour la population vieillissante, et bravo pour le coup des dépassements d'honoraires c'est bien démago comme il faut !) Mais vous avez le droit depuis 2009 de faire du suivi gynéco alors JUST DO IT et arrêtez de nous les briser et de l'imposer si les femmes ne veulent pas venir vous consulter ! J'adore : (concernant les SF) : "professionnels formés et compétents dans la discipline maïeutique qui est la leur : la grossesse, l’accouchement, le postnatal pour la mère et l’enfant, la contraception et la gynécologie de prévention." Petit tour sur Larousse.fr : maïeutique = art de faire accoucher. Rapport avec la contraception et la gynécologie de prévention ??? Les femmes ne sont pas dupes et savent que grossesse/accouchement et gynécologie sont 2 choses différentes, y compris avec un DU en poche. |
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#7592014-01-31 18:18Le SYNGOF alerte les pouvoirs publics sur leur responsabilité dans la définition du champ de compétences des sages-femmes . Au moment de la reprise des discussions avec les sages-femmes ce mercredi, le SYNGOF entend alerter les pouvoirs publics sur les conséquences des dérapages dans la pratique de certaines sages-femmes. L’autonomisation des sages-femmes, porté par le climat d’effervescence actuel, ne peut se faire au péril des patientes. C’est pourtant le cas si les sages-femmes dévient vers le suivi gynécologique au-delà de la physiologie à laquelle se limitent leurs compétences. Différentes régions remontent des accidents, par exemple après pose inadéquate de stérilet, non diagnostiquée par les sages-femmes. Dans l’intérêt général des patientes et de leur suivi médical, les gynécologues ne doivent pas individuellement dénoncer ces pratiques, mais collectivement rappeler aux pouvoirs publics leur devoir de maintenir le champ délimité des compétences des sages-femmes. Puisque les pouvoirs publics prévoient de communiquer sur les compétences des sages-femmes, le SYNGOF attend que l’information à la population vulgarise simultanément ces limites et ne laisse pas croire que les sages-femmes peuvent, en toute sécurité, assurer le suivi gynécologique au même titre que les docteurs en médecine. Ce doit être le garde-fou qui protège les patientes mais également les sages-femmes des dérives dangereuses qui pourraient être passées sous silence par opportunité politique. Il faut aussi que les sages-femmes sachent que ceux qui les flattent aujourd’hui, en ne les mettant pas en garde contre cette aventure au-delà de leurs compétences, ne seront pas à leurs côtés le jour où leur responsabilité sera engagée. |
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#7602014-01-31 18:26L'évolution du statut des sages-femmes vers davantage d'autonomie risque de "déstructurer" les salles d'accouchement alertent des médecins hospitaliers et le syndicat national des gynécologues et obstétriciens. Voilà une information qui n'est pas de nature à apaiser les sage-femmes, en grève depuis trois mois pour obtenir une revalorisation de leur statut. A la veille d'une nouvelle réunion sur ce sujet au ministère de la santé, cette "mise en garde " des médecins contre l'autonomie des sage-femmes risque de passer pour très hostile. En substance, les deux communiqués, l'un émanant de cinq intersyndicales de praticiens hospitaliers (SNAM-HP, INPH, CPH, CMH, Avenir Hospitalier), l'autre du syndicat national des gynécologues obstétriciens de France (Syngof) souhaitent alerter sur la mise en danger des patientes si les sage-femmes accèdent au statut de praticien hospitalier - celui des médecins qui travaillent à l'hôpital. Le communiqué des cinq intersyndicales de praticiens hospitaliers commence doucement, pointant les " tensions délétères" que l'absence de reconnaissance des sages-femmes induit dans les salles d'accouchement. Mais dans un deuxième temps il enfonce le clou en affirmant que rendre les sage-femmes plus autonomes (comprendre, vis à vis des médecins) ferait courir des risques aux femmes en train d'accoucher. En cas d'accouchement à risque, "c'est le rassemblement d'équipes soudées autour de protocoles partagés qui permet de maintenir la sécurité des parturientes" écrivent les 5 intersyndicales. La qualité du suivi gynécologique mise en cause De son côté, le syndicat national des gynécologues obstétriciens de France (Syngof) "entend alerter les pouvoirs publics sur les conséquences des dérapages dans la pratique de certaines sages-femmes". "L'autonomisation des sages-femmes, porté (sic) par le climat d'effervescence actuel, ne peut se faire au péril des patientes. C'est pourtant le cas si les sages-femmes dévient vers le suivi gynécologique au-delà de la physiologie à laquelle se limitent leurs compétences", estime le syndicat. Selon lui, "de différentes régions remontent des accidents, par exemple après pose inadéquate de stérilet, non diagnostiquée par les sages-femmes". L'information sur les compétences des sages-femmes ne doit pas laisser croire qu'elles "peuvent en toute sécurité, assurer le suivi gynécologique au même titre que les docteurs en médecine", assène encore le Syngof, en oubliant de rappeler que le législateur a, en 2009, élargi les compétences des sages-femmes au suivi gynécologique de prévention et à la contraception. |
SF Grand . F |
#761 La santé des femmes ...2014-02-01 23:19La santé des femmes doit rester la préoccupation de tous les soignants qui savent travailler dans leur champ et limite de compétences et surtout en bonne intelligence!Encore faudrait il en avoir de l'intelligence!Certains semblent avoir perdu le sens de l'éthique et de la déontologie...J'ai honte pour eux! Femme et mère de médecins, je suis moi même sage femme depuis bien longtemps et convaincue de la légitimité des revendications des sages femmes.Elles ne seront jamais et ne se prennent pas pour des gynécos !!Qu'ils se rassurent!!!! |
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#762 Re: La santé des femmes ...2014-02-02 09:04#761: SF Grand . F - La santé des femmes ... Bon tout va bien alors si les sages femmes sont convaincues de la légitimité de leur propres revendications. |
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#763 Ré 7612014-02-02 09:07C est pourtant l impression qu elles donnent quand on lit leur commentaire méprisant envers notre profession! Elles devraient avoir de la déontologie envers nous . Egalement. Le respect ce n est pas à sens unique. Quand on sème le vent, on récolte la tempête. |
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#7642014-02-02 11:46Il n'est pas question de remplacer les gynécologues par des sages-femmes. Arrêtez donc votre paranoïa maladive, collègues gynécologues ! En tant que sage-femme qui fait du suivi gynécologique et de la contraception depuis presque 2 ans, je n'ai jamais autant travaillé avec les gynécologues. J'ai tout-à-fait conscience de mes limites et les femmes qui font appel à moi, sont réorientées vers un médecin lorsque leur problématique dépasse mon champ de compétence. Ceci étant, les femmes que je n'ai pas eu besoin de réorienter vers un gynécologue bénéficient d'un suivi rigoureux et irréprochable, ne vous en déplaise ! Les temps changent et les prérogatives évoluent, il faut savoir accepter cela même si je conçois que c'est difficile pour un grand nombre d'entre vous. Je suis convaincue que vous ne perdrez rien dans cette affaire, bien au contraire. C'est surtout les femmes qui y gagneront car elles seront plus nombreuses à pouvoir bénéficier d'un dépistage, d'une contraception adéquate et celles qui auront besoin d'une prise en charge spécialisée auprès de vous n'auront plus des semaines d'attente, voir des mois. La majorité des femmes que vous suivez déjà continueront à vous consulter, si elles n'ont pas de bonnes raisons de changer . Celles qui n'étaient pas suivies, le seront sans doute davantage. Il ne s'agit donc pas de partager votre soupe avec nous et ceux qui le pense n'ont vraiment rien compris.Il s'agit d'offrir à un maximum de femmes une prise en charge optimale "SF et G". Le 1er recours ne signifie pas grand chose et vous le savez bien. Les femmes qui ne souhaiteront pas consulter une SF en 1er lieu viendront vous consulter. |
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#765 Re:2014-02-02 13:20Si le premier recours "ne signifie pas grand chose" il suffit de le retirer de vos revendications. |
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2014-02-02 16:55- Date de la suppression: 2014-02-02
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2014-02-02 16:56- Date de la suppression: 2014-02-02
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#768 signez aussi2014-02-02 16:58Éc<iframe src="http://www.petitions24.net/emb/66860" style="width: 600px; height: 500px; border: 1px solid #ccc;"></iframe>rire un commentaire... |
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#769 Rep 7642014-02-02 17:19C'est LE point qui fâche et vous concluez votre message par " ce n'est pas grand chose" !! Quel culot ! Retirez ce pas grand chose de vos revendications et la situation sera pacifiée . De plus j'aimerais bien comprendre pourquoi le fait que vous fassiez de plus en plus de gynécologie permettrait à beaucoup plus de femmes d'être suivies. Il y a de l'attente chez les médecins ? mais pour les actes de prévention comme un frottis à faire tous les 2 ou 3 ans ou un examen des seins où est le problème ? Nos prescriptions de contraception sont en général pour 12 mois...alors c'est un mauvais procès. Vous savez bien qu'il y a toute une frange de population qui est réfractaire à tout suivi et il faudrait sans doute instaurer une convocation comme pour les mammographies et encore ... Quant au coût financier votre tarification sera à 23 € comme tous les médecins de secteur 1 et en secteur 2 nous avons toujours su nous adapter à la situation de nos patientes . Bref faites de la gynéco comme vous y êtes autorisées depuis 2009 mais arrêtez de vous faire mousser à longueur de commentaires. |
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#7702014-02-03 17:45Nous aussi on peut dénoncer des incidents de pose de stérilet chez les médecins ! Cas clinique En 1996, une femme âgée de 30 ans, mère de trois enfants, régulièrement suivie par son médecin généraliste depuis 5 ans, le consulte pour contraception. En concertation avec lui, elle souhaite arrêter sa contraception orale et opte pour un stérilet. Quatre mois plus tard, Il met en place difficilement (col « spasmé ») un stérilet NOVA T: lors de la visite de contrôle un mois et demi plus tard, le généraliste ne retrouve pas les fils. Une échographie faite par un radiologue confirme l’absence de DIU intra utérin. Le généraliste replace donc un nouveau stérilet au cuivre d’un modèle différent, bien supporté et remplacé en 2001. Le 25 mai 2004. La patiente consulte pour des saignements et des douleurs pelviennes depuis 48 heures. Le médecin devant cette symptomatologie lui faisant suspecter une expulsion, constate que le stérilet s’est déplacé, se trouve dans le col et le retire. Il prescrit une échographie de contrôle qui confirme une vacuité utérine. Evoquant une infection, il prescrit également une antibiothérapie (Oflocet) et un bilan sanguin. Le 31 mai 2004, avant de faire son bilan, elle consulte aux urgences d’un hôpital pour douleurs persistantes et de la fièvre et elle va être hospitalisée pour une suspicion d’infection génitale haute. Un bilan pratiqué à l’admission montre une hyperleucocytose à 20.000 GB et une CRP à 148 mg/l. Le dosage de béta HCG confirme l’absence de grossesse. Le prélèvement vaginal met en évidence la présence de staphylocoques dorés. - Le lendemain 1 juin 2004 La patiente décide de sortir (avec l’accord des médecins et selon son souhait) car elle est apyrétique et se sent mieux. Le médecin assistant du service rédige une ordonnance de sortie comportant: Erythromycine (3 cp/j pendant 21 jours), Oflocet (2cp/j pendant 15 j) et antalgiques de classe 2 si douleurs. Il conseille à la patiente d’être surveillée par son généraliste. Le 2 juin, elle fait le bilan prescrit au départ par le généraliste. Le 3 juin, le généraliste revoit sa patiente avec le bilan qu’il lui avait prescrit et qui montre une hyperleucocytose à 17 000 GB et une CRP à 87 mg/l. Le 4 juin de nouveaux bilans sont pratiqués: leucocytes à 15 700 et CRP à 106 mg), puis le 7 juin (leucocytes à 15 300 et CRP à 51 mg)et le 10 juin (leucocytes à 14 300 et CRP à 58 mg). Le 10 juin, elle retourne voir son généraliste qui lui conseille de consulter de nouveau à l’hôpital d’autant que les douleurs persistent malgré les antibiotiques. Le 11 juin, le gynécologue hospitalier (le même qu’à la première consultation) la rassure, l’examen lui semblant normal. D’après la patiente il aurait critiqué la répétition inutile des examens biologiques, accordé peu d’attention à la présence d’un train sub fébrile (37 °5 à 38°) et rejeté toute indication d’examen complémentaire. Il modifie le traitement antibiotique (Bactrim). La patiente reprend le travail. Le 14 juin, elle fait un malaise. Le 16 juin elle se présente de nouveau aux urgences car elle est fébrile (38°4) et va être hospitalisée. L’examen gynécologique (par qui ?) montre une douleur provoquée de la fosse iliaque gauche, un utérus normal, une douleur du cul de sac avec perception d’une masse latéro utérine gauche. Une échographie (par un praticien hospitalier) montre une image hétérogène à gauche et souligne « un doute sur la présence d’un stérilet dans la cavité ». Un ASP (non retrouvé) aurait confirmé la présence d’un stérilet « du côté droit de l’abdomen ». Le bilan sanguin montre une hyperleucocytose à 11 000 et une CRP à 68 mg. - Le 17 juin, une cœlioscopie pratiquée (par un médecin que la patiente n’a pas rencontré) montre:«l’existence d’une masse annexielle gauche évoquant un abcès de l’ovaire chez une patiente de 38 ans sous bi antibiothérapie, apyrétique, sans défense abdominale ». Le compte rendu mentionne la présence d’adhérences difficiles à libérer sans risque et constate la présence de lésions évoquant une endométriose. Il n’est pas fait mention de la recherche d’un stérilet. Dans un deuxième temps opératoire, l’opérateur pratique sans succès une tentative d’ablation de stérilet à l’aide d’une curette de NOVACK….(La culture du prélèvement péritonéal mettra en évidence un streptocoque). - Le 18 juin, sur l’insistance de la patiente, un assistant du service demande au gynécologue du service que la patiente connait de faire une hystéroscopie: celle-ci, en salle de consultation ne retrouve pas le stérilet….. - Le 19 juin, n’ayant pas confiance dans l’équipe, les médecins ne retenant pas le même diagnostic selon ses dires, elle décide de quitter l’établissement. Elle reproche au chirurgien de lui avoir expliqué que tardivement, le lendemain de la cœlioscopie, de n’avoir pas pu retirer le stérilet « faute de matériel stérile » disponible et qui lui aurait seulement prescrit un traitement pour son endométriose… Elle téléphone à son généraliste qui parvient à joindre un des médecins hospitaliers qui lui aurait dit que le stérilet serait enlevé ultérieurement, que les craintes de la patiente vis-à-vis de son état de santé n’étaient pas fondées et amplifiées par son état anxieux. Le 19 juin, la patiente sort donc contre avis médical mais grâce à l’aide d’un gynécologue consulté en urgence, elle est de nouveau hospitalisée, le jour même dans un autre établissement où un chirurgien l’opère en urgence du fait d’un tableau de pelvi péritonite. - Dans son compte rendu opératoire, le chirurgien note « cette patiente était porteuse d’un DIU qui aurait été enlevé quelques jours auparavant mais l’ASP montre que le DIU est toujours présent sans préciser sa situation intra utérine ou intra abdominale; à l’admission, défense hypogastrique et syndrome infectieux biologique majeur». Devant les difficultés rencontrées lors de la cœlioscopie (magma d’adhérences), il convertit, réalise une annexectomie gauche en raison d’un pyosalpinx franc et retrouve le stérilet dans la paroi sigmoïdienne. Son retrait laisse une perte de substance de la paroi sigmoïdienne avec ouverture de la lumière digestive. Une colectomie partielle avec colostomie transitoire est nécessaire. La patiente est transférée en réanimation pendant quelques jours, puis en chirurgie. Trois mois plus tard, un rétablissement de la continuité digestive est effectué. L’examen anatomopathologique de la pièce opératoire confirme le pyosalpinx avec ovarite suppurée de voisinage et une péritonite étendue à la pièce de résection sigmoïdienne. En dehors de problèmes intercurrents liés à une décompensation d’un goitre basedowien (thyroïdectomie totale), une intervention pour hernie de la paroi abdominale avec réfection de la cicatrice aura lieu en 2005 |
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#771 bel esprit2014-02-04 05:56Super ! Vous auriez même dû mettre le nom de la patiente tant que vous y étiez ! Le CIANE suggère que l on déclare précisément les "boulettes" des uns et des autres c'est ça ? J'avais jamais vu faire cela dans ma carrière de médecin avant... Bel esprit ! Quelle ambiance ! Pauvres patientes... |
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#772 Re:2014-02-04 09:50
Bien entendu, il y a des erreurs médicales dans notre profession... de même A mon avis, le premier recours est une bêtise de manière générale… qu’il Avec les équivalences Européennes, cela va être difficile de concilier les Luttons pour que le médecine reste quelque chose de qualité. Et que le diplôme de "Docteur en médecine ou docteur en maîtique " reste pour l'Europe le seul diplôme valable ! Sinon demandons simplement à ce que la formation des sages aboutissent à une thèse classique et là il n'y aura plus de problème ! La thèse reste "un gage de qualité" théorique... même si ce n'est pas le diplôme qui fait le bon praticien ! |
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#773 Re: Re: avis à tous les signataires de la pétition2014-02-14 00:20 |
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#774 ça faisait longtemps2014-02-19 12:08et voila aprés 4 mois de revendications, ça faisait longtemps qu'on avait pas entendu parler de tout ça... qu'elle acharnement! alors que la discussion avec la ministre est prévue en avril, nous les voyons encore au infos... vraiment ridicule. |
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#775 Re:2014-02-19 18:10Et oui, DIU posé à la base par un MG qui est passé seulement qqs mois ds un stage d'obstétrique pdt l'externat... Et qui pense connaître mieux que les sages-femmes l'anatomie féminine...Triste. |
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Y a-t-il quelque chose que vous voulez changer ?
Le changement n'a pas lieu en gardant le silence. L'auteur de cette pétition a eu le courage de ses opinions. Allez-vous faire de même ? Lancez un mouvement social en créant une pétition.
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